M. B. : Nos
"élites" qui sont des "vampires" utilisent une technique de
communication appeléé le "gaslihting", l'enfumage, le flux
d'informations diverses et souvent disparates est destiné à brouiller le
discernement et coloniser l'esprit des gens, la réaction que décrit Pascal Cuxac plus haut en est l'un des effets.
Leurs intention sont de combattre justement l'éducation, dont parle Jérome Sanchez comme solution.
David
Moeb plébicite le Grand Jihad lol, le Jihad du coeur, c'est à dire le
combat contre soi même qui n'est rien d'autre que l'introspection et ses
effets positifs, sauf que les "vampires" refusent de se remettre en
question.
Olivier Herubel touche la ou ça fait mal et parle de dimension pathologique, c'est chaud, très chaud!?
Jérome Sanchez parle à nouveau d'éveiller les consciences.
je suis d'accord avec tout le monde, mais il faut être conscient du genre de prédateurs auquels nous avons à faire.
Le gaslighting qui se sert de la "communication paradoxale" assassine la réflexion, puis la volonté.
je dirai que c'est le terme "communication paradoxale" qui recèle des clés qui ouvrent ls portes de l'arsenal.
c'est
Olivier Herubel qui s'pproche le plus de la solution quand il parle de
pathologie, on peut finir par parler de "pathocratie" avec un Trump en
maestro producteur industriel du trauma infantile et émotionnel.
C'est
l'action sociopathe et les injonctions paradoxales qu'il faut apprendre
à combattre et apprendre aux français à les identifier.
Ainsi qu'il faut inventer une réthorique de défense et de protection contre la toxicité des gasligthers.
J.S. : Vous avez raison quand vous parlez d'enfumage (https://fr.wikipedia.org/wiki/Gaslighting)
et de tout l'arsenal basé sur "La psychologie des foules" de Gustave Le
Bon, la propagande de guerre, l'opinion publique ou la "fabrication du
consentement" de Walter Lippman et les relations publiques d'Edward
Bernays (l'auteur de "Propaganda").
J'aime
le terme de "vampire" que vous utilisez pour décrire la classe
dirigeante. Personnellement, j'ai pris l'habitude de parler de
"parasites sociaux", ce qui est synonyme.
Enfin,
j'ai conscience que ces "vampires" n'hésiteront pas à changer de
méthode quand "l'enfumage" cessera de fonctionner. Après la ruse, la
force. Ces "vampires" sont les maîtres de l’État; c'est-à-dire qu'ils
ont le monopole de la violence légale.
Si quelques manifestants deviennent violents, ils enverront la police,
les services de renseignement pour "neutraliser" ("assassiner" dans leur
vocabulaire) les meneurs, etc. Et si la foule devient énorme, il faudra
la diriger vers une autre cible. La guerre de 1939 "tombe bien" pour
casser les élans anarchistes et sociaux qui naissaient un peu partout en
Europe depuis 1936.
Nous
sommes du bétail pour ces "parasites sociaux". S'il faut pratiquer "une
saignée" pour diminuer la fougue des prolétaires, ils n'hésiteront pas
une seconde. Ils nous préfèrent vivants parce que nous produisons leurs
richesses. C'est plus rentable de manipuler nos esprits et de nous
laisser vivants pour produire et consommer. Mais s'il le faut ...
Finalement,
face à ces États fascistes (au sens historique du terme : collusion
entre un exécutif autoritaire et de grandes entreprises qui contrôlent
les lois et l'économie), je propose un cocktail de solutions
non-violentes : l'éducation (pour éveiller les consciences), le boycott
des produits industriels et les grèves massives non-violentes.
Je
dois dire que je suis impressionné par ce que Gandhi a réussi dans son
pays et je considère que, malheureusement, il a été trahi par ceux qui
l'entouraient. Il faut savoir que Gandhi ne voulait pas une Union
Indienne avec un pouvoir central fort. Il voulait une "République des villages", avec des assemblées de villages/quartiers appelées "gram sabha" (http://justemonopinion-jeronimo.blogspot.com/.../des...).
C'est aussi la société à laquelle j'aspire personnellement; on pourrait
dire "confédération de communes" autogérées; "le village gouverné par
le village" comme Jacques Attali a involontairement dit lors de son
face-à-face télévisé avec Etienne Chouard.
M.B. : je
suis entièrement d'accord avec vous, et vous félicite pour la
pertinence et la qualité de vos commentaires, très impressionné par
votre réflexe de recherche dans le post gaslighting.
Il nous faut identifier ces personnes sous leur vraie
nature, les nommer au yeux de tous dans les termes qui leur sont
propres en les extrayant de l'action politique pour les ramener à leur
origines pahologiques.
Est-il normal que dans la
responsabilité du pouvoir à diriger une nation, que le peuple soit
soumis à des comportements déviants dont la prédation psychologique et
matérielle, sont les moyens essentiels de pression?
Comment
peut-on qualifier l'utilisation d'un langage, d'une communication
autant que l'utilisation consacrée des injonctions paradoxales?
A quand déterminant la malveillances des intentions politiques au travers d'uen syntaxe paradoxale.
je
vous met à mon tour un lien qui me permet de mieux apréhendr la
question et qui relie à la politique la psychologie des pouvoir.
D'utilité publique.
https://perversionnarcissiqueetpsychopathie.com/.../la.../
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire