Je : Jacques
Attali dit que nous sommes sur un vélo et que si on arrête de pédaler,
on va tomber. Il préconise même d'accélérer : "Plus d'Europe", etc. Ah
si cet "expert" pouvait être moins écouté; et si à la place on écoutait
des philosophes comme Épicure ou (parmi
les vivants) comme Pierre Rabhi. La sobriété heureuse ! Descendons de ce
foutu vélo de Jacques Attali qui nous conduit à toute vitesse vers le
mur (ou le précipice, c'est selon) et marchons tranquillement, flânons
paisiblement.
F.B. : On peut descendre de son vélo,le jeter dans le fossé et sur « nos » deux jambes, prendre du recul et réfléchir.
Je : C'est d'autant plus important que nous ne tenons même pas le volant ! 80% des décisions (grandes orientations de politique économique) ne sont même pas prises en France mais par l'Union Européenne, par les fameux 28 Commissaires (rien que le nom ...) qui sont nommés (c'est pire qu'élus ...) par les chefs d’État (sur quels critères ?) des 28 pays de l'UE. Première étape : sortir de l'UE donc. Ensuite, faire comme en Islande : une assemblée populaire constituée de 100% de tirés au sort. Définir une constitution populaire, qui préciserait ce qui ressort de l’État, ce qui ressort des instances locales (comme les philosophes Helvétius et Jean Meslier, je suis favorable à une "fédération de républiques" voire, plus proche des citoyens, à une "fédération de communes"). Et tout le reste du domaine privé. Mais avec un règle qui changerait tout : on ne peut pas être propriétaire d'un "outil de production" (entreprise) si on n'y travaille pas. Finis les conflits sociaux entre "capitalistes" et "travailleurs". La démocratie entrerait dans les entreprises (comme dans les mutuelles, les coopératives, les cabinets d'associés, ...).
mercredi 5 juillet 2017
Dialogue dans le groupe de discussion "Autour des travaux d'Étienne Chouard"
Libellés :
éthique,
évolution de la société,
philosophie,
politique,
politique internationale
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire