mercredi 8 mars 2017

Séisme politique à l’horizon : François Asselineau peut se qualifier pour le premier et le deuxième tour. Il peut battre Marine Le Pen

ELECTION PRESIDENTIELLE : QUI D'AUTRE PEUT LE FAIRE ?
François Asselineau propose sans détours, ni ambiguïtés, ni cachotteries de rétablir pleinement le droit du peuple français à décider souverainement de sa politique économique et sociale, de sa diplomatie, de ses coopérations. Il est le seul à proposer une alternative crédible au pouvoir actuel.

Depuis dix ans, François Asselineau informe nos concitoyens en toute franchise sur le comment et le pourquoi de l'Union Européenne, sur les liens structurels de l'UE et de l'Otan, sur l'inféodation du projet européen aux ambitions géo-stratégiques des Etats-Unis et à leur politique de domination mondiale.

De tous les candidats, François Asselineau est le seul à expliquer pourquoi et comment il faut absolument sortir la France du piège mortifère de l'Union Européenne dont l'un des objectifs majeurs est la préservation des privilèges de la minorité qui pille le pays et détruit la nation.

Il est le seul à expliquer qu'on peut et qu'on doit sortir de l'Union Européenne tout en respectant nos actuels partenaires de l'UE, sans hypothéquer les coopérations ultérieures que la France redevenue souveraine et indépendante maintiendra ou établira avec ses partenaires historiques, et avec d'autres, sur la base de l'intérêt réciproque, en veillant à la préservation de la bonne marche de notre société. L'article 50 du TUE prévoit les modalités de sortie des pays qui choisissent de s'affranchir de la tutelle de l'Union Européenne.

La mise en application de cet article 50 du traité pour organiser la sortie de la France de l'UE est une perspective autrement plus réaliste, plus crédible, plus pragmatique, plus sûre et plus engageante que les chantages proposés par la "France Insoumise" avec le "non-respect" des traités. [la constitution de ce pays stipule que l'une des fonctions majeures du président de la république est de veiller au respect des traités internationaux signés par la France]. C'est la voie qu'ont choisie, avant nous, nos voisins britanniques malgré les chantages, les pressions internationales, l'ingérence d'Obama et autres dirigeants de l'oligarchie euro-atlantique dans les affaires de leur pays, malgré la trahison des intérêts des travailleurs et des classes laborieuses de la Grande Bretagne par un grand nombre de dirigeants syndicaux et par l'appareil du parti travailliste.

François Asselineau se trouve confronté à une meute de politiciens qui rivalisent d'ardeur pour nous vendre, chacun à leur façon, leur "nouvelle Europe" en demandant aux travailleurs privés d'emploi ou menacés de licenciement, aux agriculteurs qui se tuent véritablement au travail, à ceux dont les retraites ou les allocations permettent à peine de se nourrir et de se loger et aux autres laissés pour compte, à la jeunesse livrée en pâture aux exploiteurs de tous accabits, aux ruraux à la recherche d'un médecin de campagne ou d'une maternité, et à tant d'autres...de bien vouloir prendre leur mal en patience...de bien vouloir les laisser tenter une fois encore de commettre leur énième bricolage de la dernière chance pour sauver "l'Europe".

Dans ces conditions, le programme de libération nationale que François ASSELINEAU va soumettre aux électeurs a de bonnes chances de recueillir la majorité des suffrages de nos concitoyens.

Après avoir réalisé une prouesse digne des grandes épopées de l'histoire nationale avec la création de l'UPR bientôt forte de 20 000 adhérents (16 353 aujourd'hui), parcouru la France profonde en organisant un véritable travail d'éducation populaire pour expliquer les traités européens au grand public, pour dénoncer la nocivité de ces traités en diffusant un cycle de conférences d'une qualité exceptionnelle, François Asselineau est en passe de recueillir les 500 parrainages nécessaires à la validation de sa candidature à l'élection présidentielle. Il est en passe de réaliser cet exploit, en dépit de l'ostracisme absolu dont il fait l'objet dans les médias, et des magouilles des politiciens véreux qui siègent à la tête de l’État, pour empêcher sa candidature.

Ayant affronté vents et marées, laissé glisser les ricanements, persévéré dans son travail de recherche et d'explication, mené à bien la mise sur pied d'une organisation politique capable de relever les défis d'aujourd'hui, convaincu nombre de personnalités éminentes de rejoindre son combat et d'y apporter leur pierre, enrichi sa connaissance des dossiers, renforcé sa proximité avec les préoccupations essentielles de nos concitoyens à travers les contacts établis avec la France profonde, se trouvant aujourd'hui armé d'une analyse solide et d'un projet libérateur et conquérant, François Asselineau peut se qualifier pour le deuxième tour de l'élection présidentielle.

FRANCOIS ASSELINEAU PEUT BATTRE MARINE LE PEN AU DEUXIEME TOUR parce qu'il présente la seule alternative réelle, crédible, réaliste, nécessaire, à l'européisme effréné destructeur de la nation dans lequel se sont fourvoyés tous les gouvernements qui se sont succédé à la tête de l'état au cours des quatre dernières décennies.

Quels autres candidat(e)s à l'élection présidentielle peuvent s'enorgueillir de la même clairvoyance, de la même lucidité, de la même détermination, de la même constance dans le discours et dans l'engagement, de la même volonté de rassemblement pour sortir la France du cauchemar européen et redonner aux Français la maîtrise de leurs affaires et de leur destin ?

De quelque bord qu'ils soient, les autres candidats offrent-ils la même perspective de libération nationale, de redressement économique et de progrès social (fondamentaux autour desquels les forces vives du pays avaient su se rassembler pendant la lutte contre l'occupant, puis après la Libération, pour la reconstruction de l'économie dévastée par la guerre) , la même crédibilité, et ne serait-ce qu'une toute petite chance de succès ? (Je ne parle pas ici de succès personnel, avec ou sans reconversion avantageuse dans un fauteuil d'administrateur, je parle du succès de la politique de redressement national attendue par le peuple français.)

Jean Luc Mélenchon et sa "France Insoumise", Benoît Hamon et sa "Belle Alliance Populaire", Emmanuel Macron et sa "Marche en arrière", les verts de toutes nuances, François Fillon (ou Alain Juppé) et leurs casseroles, Marine Le Pen et ses invectives contre les travailleurs immigrés, les fonctionnaires et les syndicats proposent-ils autre chose aux Français qu'une énième version du cauchemar européen ?

Les Français veulent passer à autre chose. Ils veulent retrouver la France que leur ont léguée nos aînés. Ils veulent RESTER LA FRANCE.

LES FRANCAIS VEULENT LE REDRESSEMENT ECONOMIQUE, SOCIAL, CULTUREL ET MORAL DE LA NATION.

Ils veulent la paix, la justice, la fraternité (pas la litanie des "affaires", ni la chasse aux sorcières relookée genre "décodex", ni la désinformation, ni la propagande organisées par les médias, y compris par ceux qui sont censés être un service public, au service de l'information citoyenne).

Les Français ne veulent pas du soutien officiel ou inavoué aux organisations terroristes (Comment peut-on les combattre sur le territoire national tout en finançant leurs crimes en Syrie, en Libye ou ailleurs ?...). Ils ne veulent pas non plus des compromissions avec les plans belliqueux des régimes fascisants et rétrogrades du Proche Orient, du Moyen Orient ou de l'Ukraine.

Les Français ne veulent pas de la politique hostile qui est poursuivie à l'égard de la Russie. Ils veulent la coopération pacifique avec les autres nations. Ils veulent la sécurité que seul le respect du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes peut garantir. Ils ne veulent pas de la politique agressive de l'oligarchie euro-atlantique, ni de sa prétention à choisir à la place des peuples les dirigeants de leurs pays respectifs, fût-ce au nom de l'élimination d'un "dictateur" ou d'un soi-disant "droit d'intervention humanitaire" puant le gaz, le pétrole ou l'uranium.

L'immense majorité de la population condamne l'usage inconsidéré de l'état d'urgence et les restrictions toujours plus sévères aux libertés individuelles et collectives, aux libertés syndicales, aux libertés démocratiques. Les Français n'approuvent pas la répression anti-syndicale, ni les sanctions prononcées contre les salariés coupables d'avoir voulu défendre leur outil de travail (dans bien des cas, celui de la nation).

Les Français sont excédés par les passe-droit et la complaisance à l'égard des criminels en col blanc, fussent-ils membres du gouvernement, capitaines d'industrie ou de la finance.

Nos concitoyens ne veulent pas de la loi de la jungle, des délocalisations, de la casse de l'industrie, du chômage imposé à des millions de salariés pour faire pression sur les salaires et accroître les profits des exploiteurs.

Nos concitoyens refusent que les salariés fassent les frais de la compétition entre les grands groupes capitalistes et soient traités par le gouvernement et les patrons comme de vulgaires variables d'ajustement des aléas de la course au taux de profit maximum.

Nos concitoyens ne veulent pas de la liquidation à marche forcée de l'industrie, ni de la course à la misère orchestrée sous l'égide du sempiternel "moins-disant social" au nom de la sacro-sainte concurrence "libre et non faussée".

Nos concitoyens veulent stopper la liquidation en cours des exploitations agricoles familiales et la désorganisation des marchés qui ruine les producteurs.

Pour l'agriculture comme pour l'industrie, les Français demandent que l'économie (la production et les échanges) soit organisée pour satisfaire en premier lieu les besoins des travailleurs, de leurs familles, et ceux de la population, pas pour grossir les profits des banquiers et les intérêts de la dette, ni ceux des profiteurs de tous acabits, ni pour étoffer encore et encore les prébendes scandaleuses accordées aux valets de l'oligarchie et aux politiciens corrompus à leur solde.

A l'occasion de l'élection présidentielle, les Français n'ont que de bonnes, d'excellentes raisons de voter au premier comme au deuxième tour pour François Asselineau.

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