L'année 2010, le K1 a marqué son 18ème "World Grand Prix Final" (tournois à 8 combattants) consécutif par la victoire du Néerlandais Alistair Overeem sur son compatriote, le vétéran emblématique Peter Aerts.
Mais juste après, l'organisation a frôlé la disparition, annulant même l'édition 2011.
C'est alors qu'une autre organisation a pris le relais et organisé un tournoi poids lourds : le Glory Grand Slam. Fin 2012, ce tournoi a consacré le géant Semmy Schilt déjà détenteur de 4 victoires au K1 Grand Prix (codétenteur du record de victoires avec Ernesto Hoost) qui s'est imposé parmi les 16 meilleurs combattants de la planète devant le Roumain Daniel Ghiţă.
A cheval sur 2012 et 2013, le K1 a fait un baroud d'honneur, ce qui a permis au vétéran du K1 et du Pride Fighting Championship, Mirko Filipović de décrocher sa première victoire au K1 Grand Prix devant le jeune Ismael Londt.
Puis le Glory a organisé un nouveau tournoi poids lourd (à 4 combattants) en octobre 2013. Rico Verhoeven s'est imposé devant le même finaliste que celui du Glory Grand Slam 2012 : Daniel Ghiţă.
Depuis, Rico Verhoeven est le champion en titre et les tournois poids lourds qui sont organisés (à 4 combattants) ne sont là que pour désigner certains de ses challengers.
En mai 2014, le Contender Tournament voit Errol Zimmerman battre Anderson Silva en finale.
Rico Verhoeven le bat par TKO2 pour conserver son titre en févier 2015.
En octobre 2015, le Contender Tournament voit Benjamin Adegbuyi battre Jahfarr Wilnis.
Rico Verhoeven le bat par KO1 en décembre 2015 pour conserver son titre (après l'avoir déjà battu aux points en juin 2015).
En avril 2016, le Contender Tournament voit Ismael Londt battre Jahfarr Wilnis.
En novembre 2016, un autre Contender Tournament voit encore Benjamin Adegbuyi s'imposer face à Mladen Brestovac.
Cette année 2016, Rico Verhoeven défendre son titre trois fois contre :
- Mladen Brestovac (en mars)
- Anderson Silva (en septembre)
- et Badr Hari (en décembre).
lundi 27 février 2017
samedi 25 février 2017
Antifas anti-FA
Depuis qu'Etienne Chouard a annoncé qu'il ne pouvait pas participer au mouvement Nuit Debout à cause des "Antifa", je me suis interrogé sur la sincérité de ces prétendus anarchistes.
J'ai en effet un vision positive de l'anarchisme depuis que j'ai étudié le fonctionnement des communautés anarchistes : autogestion, démocratie, liberté individuelle respectueuse des autres, tolérance ... bref à l'opposé du fonctionnement haineux et intolérant des "Antifa".
Je crois avoir trouvé la réponse grâce à la publication d'un "troll" (le nom attribué à ces pollueurs de débats sur les réseaux sociaux, qui prennent un malin plaisir à envenimer une discussion jusque-là intéressante et instructive, comme pour faire diversion des vrais sujets à chaque fois qu'on s'approche de la vérité).
Ce schéma nous montre ce que les "Antifa" qualifient d'extrême-droite, donc ce qu'ils sont légitimement censés combattre. Mais ... quand on observe de plus près, en bas à droite, on découvre :
- l'humoriste Dieudonné (qui politiquement parlant n'est pas fasciste mais antisioniste, c'est-à-dire opposé à la politique intérieure et extérieure d'Israël),
- plusieurs sites d'information alternative (comme seul Internet peut en proposer dans une France verrouillée par les médias de masse devenus la propriété d'une dizaine à peine de milliardaires)
- et, comble de la dérision : l'UPR, le parti politique de François Asselineau dont le programme politique s'appuie totalement sur celui du Conseil National de la Résistance (composé, il faut le rappeler d'un tiers de communistes, et qui a lutté au péril de sa vie pour chasser les fascistes de France : les collaborateurs français et les envahisseurs allemands).
Ainsi donc :
- comme je le savais déjà, les "Antifa" diabolisent le Front National (si possible en l'associant avec toutes sortes de satellites encore plus extrêmes) afin de maintenir la légitimité des partis de gouvernement : "Parti Socialiste" et "Les Républicains".
- Mais en plus, ils dénigrent les sites d'information alternative (qui font de plus en plus d'ombre aux médias de masse donc aux milliardaires français qui en sont propriétaires)
- et, cerise sur le gâteau, ces autoproclamés "Antifa" deviennent anti-FA (François Asselineau) donc dévoilent leur idéologie pro-Union Européenne, pro-lobbies, pro-dictature marchande et bancaire.
Voilà donc qui sont les "Antifa" : des propagandistes au service des partis politiques dominants (PS et LR), des propriétaires des grands médias, d'Israël et de l'Union Européenne qu'on sait soumise aux banques, aux industriels et aux États-Unis d'Amérique.
J'ai en effet un vision positive de l'anarchisme depuis que j'ai étudié le fonctionnement des communautés anarchistes : autogestion, démocratie, liberté individuelle respectueuse des autres, tolérance ... bref à l'opposé du fonctionnement haineux et intolérant des "Antifa".
Je crois avoir trouvé la réponse grâce à la publication d'un "troll" (le nom attribué à ces pollueurs de débats sur les réseaux sociaux, qui prennent un malin plaisir à envenimer une discussion jusque-là intéressante et instructive, comme pour faire diversion des vrais sujets à chaque fois qu'on s'approche de la vérité).
Ce schéma nous montre ce que les "Antifa" qualifient d'extrême-droite, donc ce qu'ils sont légitimement censés combattre. Mais ... quand on observe de plus près, en bas à droite, on découvre :
- l'humoriste Dieudonné (qui politiquement parlant n'est pas fasciste mais antisioniste, c'est-à-dire opposé à la politique intérieure et extérieure d'Israël),
- plusieurs sites d'information alternative (comme seul Internet peut en proposer dans une France verrouillée par les médias de masse devenus la propriété d'une dizaine à peine de milliardaires)
- et, comble de la dérision : l'UPR, le parti politique de François Asselineau dont le programme politique s'appuie totalement sur celui du Conseil National de la Résistance (composé, il faut le rappeler d'un tiers de communistes, et qui a lutté au péril de sa vie pour chasser les fascistes de France : les collaborateurs français et les envahisseurs allemands).
Ainsi donc :
- comme je le savais déjà, les "Antifa" diabolisent le Front National (si possible en l'associant avec toutes sortes de satellites encore plus extrêmes) afin de maintenir la légitimité des partis de gouvernement : "Parti Socialiste" et "Les Républicains".
- Mais en plus, ils dénigrent les sites d'information alternative (qui font de plus en plus d'ombre aux médias de masse donc aux milliardaires français qui en sont propriétaires)
- et, cerise sur le gâteau, ces autoproclamés "Antifa" deviennent anti-FA (François Asselineau) donc dévoilent leur idéologie pro-Union Européenne, pro-lobbies, pro-dictature marchande et bancaire.
Voilà donc qui sont les "Antifa" : des propagandistes au service des partis politiques dominants (PS et LR), des propriétaires des grands médias, d'Israël et de l'Union Européenne qu'on sait soumise aux banques, aux industriels et aux États-Unis d'Amérique.
mardi 21 février 2017
Triste tropique
Michel Allamèle appelle à la révolution (vidéo)
« Le préfet a donné à la population réunionnaise le droit à la révolution. »
C’est ainsi que s’exprime Michel Allamèle suite au rejet de son recours par le tribunal administratif, dans le cadre des élections de la CCIR (Chambre de Commerce et d’Industrie de la Réunion) où il menait une liste de chefs d’entreprise. Ce scrutin professionnel a été entaché de forts soupçons de fraudes électorales massives. Il a d’ailleurs fait l’objet de trois recours afin de le faire annuler, dont celui de Bruno Cohen leader de la liste arrivée 2ème. Recours égalements rejetés.
Ceux-ci portaient sur un nombre important de bulletins de vote non distribués aux électeurs, notamment à ceux ayant l’intention de voter pour des listes autres que celle qui a gagné (liste du président sortant Ibrahim Patel). L’autre principal motif de contestation de ces élections était le vote de personnes n’ayant pas voté… des abstentionnistes et même des morts… Ces pratiques déloyales rappellent beaucoup les méthodes utilisées lors des élections politiques (Municipales, Départementales, Régionales, …).
Logiquement déçu, le candidat à la présidence de la CCIR invoque la population réunionnaise. « J’appelle les gens à la révolution puisque Monsieur le Préfet ne veut pas qu’on respecte la loi. » Il rejoint ainsi la longue liste des personnes dénonçant les dysfonctionnements des services publics à la Réunion, les collusions entre intérêts privés et dépositaires de l’ordre public (Police et Justice notamment) au détriment des droits de chacun. La Réunion officiellement fait partie de la République Française patrie des Droits de l’Homme, mais dans les faits c’est une zone de non-droit comme certains pays du Tiers-Monde…
L’histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine
Ce grand livre de Carroll Quigley (1910-1977),
professeur à l’université de Georgetown est paru en anglais après sa
mort en 1981.
Nous pouvons affirmer que cette parution en langue française de l’Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, est véritablement une œuvre de salubrité publique.
En effet, grâce aux travaux de cet universitaire américain, il est désormais possible de mieux connaître les arcanes de ce monde oligarchique opaque dont l’action a été déterminante pour le monde anglo-saxon et, par ricochet, pour la planète entière.
L’auteur
développe et explique à partir d’abondantes pièces d’archives que les
élites anglo-saxonnes ont élaborées, dans la deuxième moitié du XIXe
siècle, un véritable plan de bataille afin de permettre à l’Empire
britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur
le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre
d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et
de Wall Street.En effet, grâce aux travaux de cet universitaire américain, il est désormais possible de mieux connaître les arcanes de ce monde oligarchique opaque dont l’action a été déterminante pour le monde anglo-saxon et, par ricochet, pour la planète entière.
Tout un groupe, issu de la haute aristocratie et bourgeoisie britannique en liaison avec une élite américaine, émerge. Fort d’un travail de bénédictin, Carroll Quigley recense les noms et expose les ambitions de cette « super classe » ou « famille technocratique » avant l’heure définie par des liens sociaux et familiaux étroits.
Pierre Hillard
dimanche 19 février 2017
Présidence Trump… Repose en paix (Paul Craig Roberts)
Article de PCR qui suit l’analyse du Saker d’il y a quelques jours: « La présidence Trump est finie !… »
Le but de tout cela ? Le chaos politico-social. Trump est-il un dupé ou est-il partie du plan ? L’avenir le dira… Tout ce merdier arrive à grands pas en France. Voter c’est acquiescer, voter c’est être complice de ces criminels de la politique professionnelle, du mensonge permanent et du conflit, guerre sans fin, du consensus du statu quo oligarchique… Il n’y a pas de solution au sein du système, il n’y en a jamais eu et n’y en aura jamais ! qu’on se le dise !…
~ Résistance 71 ~
La présidence de Trump: Repose en paix
Paul Craig Roberts
16 février 2017
url de l’article original:
http://www.paulcraigroberts.org/2017/02/16/trump-presidency-rip/
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Donald Trump a t’il surestimé son pouvoir présidentiel ? La réponse est oui.
Steve Bannon, le conseiller principal de Trump, est-il politiquement inexpérimenté ? La réponse est oui.
Nous pouvons conclure suite aux réponses à ces deux questions que Trump est submergé et qu’il va payer un lourd tribut.
Combien ?
Le New York Times rapporte que “les agences de renseignement américaines ont cherché à apprendre si la campagne électorale de Trump était de mèche avec les Russes au sujet du hacking et autres efforts pour influencer les élections.”
L’ancien espion de la NSA John Schlinder a tweeté qu’un collègue haut placé dans la communauté du renseignement lui avait envoyé un courriel disant que l’état profond avait déclaré une guerre nucléaire à Trump et qu’il “mourait en prison”.
https://sputniknews.com/us/201702151050723578-intelligence-community-war-trump/
Il est très possible que cela se produise.
A la fin de la seconde guerre mondiale, le complex militaro-industriel et de la sécurité décida que le flot de revenus et de bénéfices ainsi que le pouvoir, émanant de la guerre et des menaces de guerre, étaient bien trop important pour être abandonnés dans une ère de paix. Ce complexe manipula un faible et inexpérimenté président Truman de s’engager dans une guerre froide totalement inutile avec l’URSS. Le mensonge fut créé et accepté par le peuple américain naïf, mensonge disant que le communisme internationaliste avait l’intention de conquérir le monde. Ceci était un mensonge transparent, parce que Staline avait purgé le système et fait assassiné Léon Trotski et tous les communistes qui croyaient en une révolution mondiale. “Le socialisme dans un seul pays” avait déclaré Staline.
Les experts universitaires, sachant pertinemment où leurs tartines étaient beurrées, s’accommodèrent et contribuèrent même au mensonge et à la falsification. Dès 1961, le pouvoir extrême du complexe militaro-industriel devint très apparent au président Eisenhower, un général 5 étoiles qui fut en charge de l’invasion américaine de l’Europe occidentale occupée par les Allemands durant la seconde guerre mondiale. Le pouvoir privé, que le complexe militaro-industriel (nom donné par Eisenhower lui-même) exerçait, dérangea tellement “Ike” lui-même que sa dernière adresse au peuple américain au soir de sa présidence fut pour le mettre en garde contre la subversion de la démocratie (NdT: si tant est qu’elle existait avant… une simple analyse historique prouve que non, mais c’est une autre histoire… disons que c’était devenu bien pire…):
“Jusqu’au dernier des conflits mondiaux, les États-Unis ne possédaient pas d’industrie d’armement. Les fabricants américains de charrues pouvaient le moment venu et suivant la demande, forger tout aussi bien des épées. Mais maintenant, nous ne pouvons plus prendre le risque d’une gestion d’urgence de notre défense nationale, on nous a forcé à créer une industrie d’armement permanente et ce à grande échelle. De plus, trois millions et demi d’hommes et de femmes sont directement engagés dans le secteur de la défense. Nous dépensons annuellement en sécurité militaire plus que les revenus nets de toutes les entreprises américaines combinées.
Cette conjoncture d’un grand et vaste secteur militaire et d’une importante industrie de l’armement est une nouvelle expérience pour l’Amérique. L’influence totale, économique, politique et même spirituelle, s’en fait ressentir dans chaque ville, dans chaque état, dans chaque bureau du gouvernement fédéral. Nous reconnaissons le besoin impératif d’un tel développement. Pourtant, nous ne devons pas manquer de comprendre ses graves implications. Notre travail, nos ressources et notre mode de vie sont tous impliqués, ainsi que la structure même de notre société.
Dans les conseils gouvernementaux, nous devons nous réfréner de l’acquisition d’une influence non mandatée, qu’elle soit recherchée ou pas, par le complexe militaro-industriel. Le potentiel pour la montée désastreuse d’un pouvoir mal placé existe et persistera.
Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés ou les processus démocratiques. Nous ne devons rien prendre pour acquis. Seuls des citoyens alertes et informés peuvent forcer le meilleur maillage de cette énorme machine militaro-industrielle de la défense avec nos objectifs et méthodes pacifiques et ce de façon à ce que la sécurité et la liberté puissent prospérer de concert.”
L’avertissement d’Eisenhower était d’une grande justesse. Mais cela reposait sur le concept “de citoyens alertes et informés”, ce que les États-Unis ne possèdent pas. La population américaine est, dans les grandes largeurs, grandement insouciante et se dirige, sous la houlette de tout le spectre politique de l’extrême gauche à l’extrême droite, vers l’auto-destruction.
Les médias de presse écrite et audiovisuelle, qui servent de propagandistes pour les élites du complexe militaro-industriel et de Wall Street, s’assurent que les Américains ne sont exposés qu’à une information bidon et totalement orchestrée. Chaque foyer ou personne qui allume sa télé ou lit les journaux/magazines, est programmé pour vivre dans une réalité falsifiée, orchestrée qui ne sert que le plus petit nombre du sommet de la pyramide du pouvoir et du contrôle.
Trump a défié cet establishment sans réaliser vraiment que celui-ci était bien plus puissant que le président des États-Unis.
Voici ce qui s’est produit: Pendant le second terme de la présidence d’Obama, la Russie et son président (Poutine) furent diabolisés par le complexe militaro-industriel et les nouveaux "cons"(ervateurs) utilisant les médias "pressetitués".. La diabolisation a facilité la capacité des médias "pressetitués" comme le Washington Post, le New York Times, CNN, MSNBC et le reste de la clique, d’associer le contact avec la Russie et des articles questionnant les tensions orchestrées entre les États-Unis et la Russie avec des activités suspicieuses, voire même de trahison. Trump et ses conseillers étaient par trop inexpérimentés pour comprendre que la conséquence de l’élimination politique de Flynn était en place pour valider cette association (amalgame) orchestrée de la connexion de la présidence de Trump avec le renseignement russe.
Maintenant nous avons les putes des médias et de la politique qui posent des questions du genre de celles qui furent utilisées pour noircir le président Nixon et le forcer à démissionner: “Qu’est-ce que le président savait et quand l’a-t-il su ?…” Trump savait-il que le général Flynn avait parlé avec l’ambassadeur russe des semaines avant que Trump a dit qu’il l’avait fait ? Est-ce que Flynn a commis l’irréparable ? Parler à un Russe, parce que Trump lui a dit de le faire ?…
Les fournisseurs de bobards (“fake news”) tels que le NYT, le WP, CNN, MSNBC et le reste de ces détestables menteurs en série, utilisent des allusions totalement irresponsables afin d’emmêler le président Trump dans une toile d’araignée de la trahison. Voici une des manchettes du NYT: “Les aides-de-camp de la campagne Trump ont eu des contacts répétés avec le renseignement russe.” Ce à quoi nous assistons est une campagne gérée par l’état profond utilisant ses putes des médias pour piéger Trump et amener sa destitution.
Ceux qui sont à la manœuvre pour renverser le résultat de l’élection présidentielle US de 2016 sont si confiants en leur succès, qu’ils déclarent publiquement leur préférence pour un coup de palais à la démocratie (NdT: disons à la mascarade de démocratie, mais là n’est pas le sujet de PCR…). Le méga sioniste, chien de guerre nouveau con Bill Kristol a exprimé sa préférence pour un coup d’état en provenance de l’état profond sur le président élu Donald Trump.
http://www.breitbart.com/big-government/2017/02/15/bill-kristol-backs-deep-state-president-trump-republican-government/
La “gauche/libérale/progessiste” s’est alignée avec le 1% contre la classe salariale étiquetée “raciste, misogyne et homophobe”, qualifiée des “déplorables de Trump” (NdT: par Hillary Clinton durant sa campagne…), classe qui a essentiellement élu Trump. Même ce tâcheron mal informé de musicien, Moby, s’est senti obligé de poster des non-sens flagrants sur Facebook en déclarant: “1-le dossier russe contre Trump est vrai. 100% vrai, le gouvernement russe le fait chanter, pas seulement parce qu’il s’est fait pisser dessus par des putes russes, mais pour des choses bien plus graves et 2-l’administration Trump est en collusion avec le gouvernement russe et elle l’a été depuis le tout premier jour.”
Maintenant que Trump a été marqué du sceau “d’associations avec le renseignement russe”, les idiots républicains, d’après Bloomberg, “ont rejoint les appels des démocrates pour avoir une enquête sur les contacts entre les membres de l’équipe Trump et les agents du renseignement russe ce mercredi (15 février), ceci indiquant un péril politique croissant au sein du parti alors que de nouveaux rapports émergent sur les contacts extensifs entre les deux.”
https://www.bloomberg.com/politics/articles/2017-02-14/flynn-s-ouster-sparks-new-gop-calls-for-wider-russia-probe?cmpid=BBD021517_BIZ
Bien sûr, il n’y a absolument aucune preuve de ces soi-disants contacts, mais les faits réels ne font pas partie de la campagne visant à déposer Trump.
L’acceptation de la démission de Flynn par Trump est utilisée par ses opposants comme une confirmation de leurs fausses accusations disant que le président des États-Unis est compromis par le renseignement russe. Comprenant son erreur, la Maison Blanche a essayé de contrer sa bourde (l’acceptation de la démission de Flynn) en disant que Flynn a été écarté parce que Trump avait perdu confiance en lui, pas parce qu’il avait fait quelque chose d’illégal ou avait des connexions avec le renseignement russe. Mais aucun des opposants de Trump n’écoute quoi que ce soit et la CIA continue à alimenter la "pressetituée" de bobards.
Depuis le tout début j’avais prévenu que Trump manquait singulièrement d’expérience et de connaissance pour choisir un gouvernement qui lui serait fidèle et servirait son agenda. Trump a maintenant viré la seule personne sur laquelle il pouvait vraiment compter. La conclusion la plus évidente est celle-ci: Trump est de la viande froide.
L’effort du peuple américain pour ramener le gouvernement sous contrôle via Trump a été défait et vaincu par l’état profond.
L’argument de Chris Hedges qui dit que la révolution est maintenant la seule façon pour les Américains de reprendre le contrôle de leur pays, continue à gagner en crédibilité.
Voici les mots qui ont condamné Trump lorsqu’il a déclaré la guerre à l’establishment avant même d’avoir assemblé son armée:
“Il n’y a rien que ne fera pas l’establishment politique, aucun mensonge qu’il ne proférera pas, pour conserver son prestige et le pouvoir à vos dépends. L’establishment de Washington et les corporations médiatiques et financières qui le financent, n’existe que pour une seule raison: se protéger et s’enrichir. Ceci représente un carrefour dans l’histoire de notre civilisation qui déterminera si oui ou non, nous, le peuple, allons reconquérir le contrôle de notre gouvernement. L’establishment politique qui essaie de nous en empêcher est le même groupe responsable de nos désastreux rapports commerciaux, de l’immigration illégale massive et de politiques économiques et étrangères qui ont saigné ce pays à blanc.
L’establishment politique a amené la destruction sur nos usines et sur nos boulots alors qu’ils s’échappent vers le Mexique, la Chine et d’autres pays du monde. C’est une structure de pouvoir mondiale qui est responsable des décisions économiques qui ont volé notre classe ouvrière et nos salariés, qui a vidé notre pays de sa richesse et mis ce fric dans les poches d’une poignée de grandes entreprises et d’entités politiques.”
Source : https://resistance71.wordpress.com/2017/02/18/presidence-trump-repose-en-paix-paul-craig-roberts/
Le but de tout cela ? Le chaos politico-social. Trump est-il un dupé ou est-il partie du plan ? L’avenir le dira… Tout ce merdier arrive à grands pas en France. Voter c’est acquiescer, voter c’est être complice de ces criminels de la politique professionnelle, du mensonge permanent et du conflit, guerre sans fin, du consensus du statu quo oligarchique… Il n’y a pas de solution au sein du système, il n’y en a jamais eu et n’y en aura jamais ! qu’on se le dise !…
~ Résistance 71 ~
La présidence de Trump: Repose en paix
Paul Craig Roberts
16 février 2017
url de l’article original:
http://www.paulcraigroberts.org/2017/02/16/trump-presidency-rip/
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Donald Trump a t’il surestimé son pouvoir présidentiel ? La réponse est oui.
Steve Bannon, le conseiller principal de Trump, est-il politiquement inexpérimenté ? La réponse est oui.
Nous pouvons conclure suite aux réponses à ces deux questions que Trump est submergé et qu’il va payer un lourd tribut.
Combien ?
Le New York Times rapporte que “les agences de renseignement américaines ont cherché à apprendre si la campagne électorale de Trump était de mèche avec les Russes au sujet du hacking et autres efforts pour influencer les élections.”
L’ancien espion de la NSA John Schlinder a tweeté qu’un collègue haut placé dans la communauté du renseignement lui avait envoyé un courriel disant que l’état profond avait déclaré une guerre nucléaire à Trump et qu’il “mourait en prison”.
https://sputniknews.com/us/201702151050723578-intelligence-community-war-trump/
Il est très possible que cela se produise.
A la fin de la seconde guerre mondiale, le complex militaro-industriel et de la sécurité décida que le flot de revenus et de bénéfices ainsi que le pouvoir, émanant de la guerre et des menaces de guerre, étaient bien trop important pour être abandonnés dans une ère de paix. Ce complexe manipula un faible et inexpérimenté président Truman de s’engager dans une guerre froide totalement inutile avec l’URSS. Le mensonge fut créé et accepté par le peuple américain naïf, mensonge disant que le communisme internationaliste avait l’intention de conquérir le monde. Ceci était un mensonge transparent, parce que Staline avait purgé le système et fait assassiné Léon Trotski et tous les communistes qui croyaient en une révolution mondiale. “Le socialisme dans un seul pays” avait déclaré Staline.
Les experts universitaires, sachant pertinemment où leurs tartines étaient beurrées, s’accommodèrent et contribuèrent même au mensonge et à la falsification. Dès 1961, le pouvoir extrême du complexe militaro-industriel devint très apparent au président Eisenhower, un général 5 étoiles qui fut en charge de l’invasion américaine de l’Europe occidentale occupée par les Allemands durant la seconde guerre mondiale. Le pouvoir privé, que le complexe militaro-industriel (nom donné par Eisenhower lui-même) exerçait, dérangea tellement “Ike” lui-même que sa dernière adresse au peuple américain au soir de sa présidence fut pour le mettre en garde contre la subversion de la démocratie (NdT: si tant est qu’elle existait avant… une simple analyse historique prouve que non, mais c’est une autre histoire… disons que c’était devenu bien pire…):
“Jusqu’au dernier des conflits mondiaux, les États-Unis ne possédaient pas d’industrie d’armement. Les fabricants américains de charrues pouvaient le moment venu et suivant la demande, forger tout aussi bien des épées. Mais maintenant, nous ne pouvons plus prendre le risque d’une gestion d’urgence de notre défense nationale, on nous a forcé à créer une industrie d’armement permanente et ce à grande échelle. De plus, trois millions et demi d’hommes et de femmes sont directement engagés dans le secteur de la défense. Nous dépensons annuellement en sécurité militaire plus que les revenus nets de toutes les entreprises américaines combinées.
Cette conjoncture d’un grand et vaste secteur militaire et d’une importante industrie de l’armement est une nouvelle expérience pour l’Amérique. L’influence totale, économique, politique et même spirituelle, s’en fait ressentir dans chaque ville, dans chaque état, dans chaque bureau du gouvernement fédéral. Nous reconnaissons le besoin impératif d’un tel développement. Pourtant, nous ne devons pas manquer de comprendre ses graves implications. Notre travail, nos ressources et notre mode de vie sont tous impliqués, ainsi que la structure même de notre société.
Dans les conseils gouvernementaux, nous devons nous réfréner de l’acquisition d’une influence non mandatée, qu’elle soit recherchée ou pas, par le complexe militaro-industriel. Le potentiel pour la montée désastreuse d’un pouvoir mal placé existe et persistera.
Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés ou les processus démocratiques. Nous ne devons rien prendre pour acquis. Seuls des citoyens alertes et informés peuvent forcer le meilleur maillage de cette énorme machine militaro-industrielle de la défense avec nos objectifs et méthodes pacifiques et ce de façon à ce que la sécurité et la liberté puissent prospérer de concert.”
L’avertissement d’Eisenhower était d’une grande justesse. Mais cela reposait sur le concept “de citoyens alertes et informés”, ce que les États-Unis ne possèdent pas. La population américaine est, dans les grandes largeurs, grandement insouciante et se dirige, sous la houlette de tout le spectre politique de l’extrême gauche à l’extrême droite, vers l’auto-destruction.
Les médias de presse écrite et audiovisuelle, qui servent de propagandistes pour les élites du complexe militaro-industriel et de Wall Street, s’assurent que les Américains ne sont exposés qu’à une information bidon et totalement orchestrée. Chaque foyer ou personne qui allume sa télé ou lit les journaux/magazines, est programmé pour vivre dans une réalité falsifiée, orchestrée qui ne sert que le plus petit nombre du sommet de la pyramide du pouvoir et du contrôle.
Trump a défié cet establishment sans réaliser vraiment que celui-ci était bien plus puissant que le président des États-Unis.
Voici ce qui s’est produit: Pendant le second terme de la présidence d’Obama, la Russie et son président (Poutine) furent diabolisés par le complexe militaro-industriel et les nouveaux "cons"(ervateurs) utilisant les médias "pressetitués".. La diabolisation a facilité la capacité des médias "pressetitués" comme le Washington Post, le New York Times, CNN, MSNBC et le reste de la clique, d’associer le contact avec la Russie et des articles questionnant les tensions orchestrées entre les États-Unis et la Russie avec des activités suspicieuses, voire même de trahison. Trump et ses conseillers étaient par trop inexpérimentés pour comprendre que la conséquence de l’élimination politique de Flynn était en place pour valider cette association (amalgame) orchestrée de la connexion de la présidence de Trump avec le renseignement russe.
Maintenant nous avons les putes des médias et de la politique qui posent des questions du genre de celles qui furent utilisées pour noircir le président Nixon et le forcer à démissionner: “Qu’est-ce que le président savait et quand l’a-t-il su ?…” Trump savait-il que le général Flynn avait parlé avec l’ambassadeur russe des semaines avant que Trump a dit qu’il l’avait fait ? Est-ce que Flynn a commis l’irréparable ? Parler à un Russe, parce que Trump lui a dit de le faire ?…
Les fournisseurs de bobards (“fake news”) tels que le NYT, le WP, CNN, MSNBC et le reste de ces détestables menteurs en série, utilisent des allusions totalement irresponsables afin d’emmêler le président Trump dans une toile d’araignée de la trahison. Voici une des manchettes du NYT: “Les aides-de-camp de la campagne Trump ont eu des contacts répétés avec le renseignement russe.” Ce à quoi nous assistons est une campagne gérée par l’état profond utilisant ses putes des médias pour piéger Trump et amener sa destitution.
Ceux qui sont à la manœuvre pour renverser le résultat de l’élection présidentielle US de 2016 sont si confiants en leur succès, qu’ils déclarent publiquement leur préférence pour un coup de palais à la démocratie (NdT: disons à la mascarade de démocratie, mais là n’est pas le sujet de PCR…). Le méga sioniste, chien de guerre nouveau con Bill Kristol a exprimé sa préférence pour un coup d’état en provenance de l’état profond sur le président élu Donald Trump.
http://www.breitbart.com/big-government/2017/02/15/bill-kristol-backs-deep-state-president-trump-republican-government/
La “gauche/libérale/progessiste” s’est alignée avec le 1% contre la classe salariale étiquetée “raciste, misogyne et homophobe”, qualifiée des “déplorables de Trump” (NdT: par Hillary Clinton durant sa campagne…), classe qui a essentiellement élu Trump. Même ce tâcheron mal informé de musicien, Moby, s’est senti obligé de poster des non-sens flagrants sur Facebook en déclarant: “1-le dossier russe contre Trump est vrai. 100% vrai, le gouvernement russe le fait chanter, pas seulement parce qu’il s’est fait pisser dessus par des putes russes, mais pour des choses bien plus graves et 2-l’administration Trump est en collusion avec le gouvernement russe et elle l’a été depuis le tout premier jour.”
Maintenant que Trump a été marqué du sceau “d’associations avec le renseignement russe”, les idiots républicains, d’après Bloomberg, “ont rejoint les appels des démocrates pour avoir une enquête sur les contacts entre les membres de l’équipe Trump et les agents du renseignement russe ce mercredi (15 février), ceci indiquant un péril politique croissant au sein du parti alors que de nouveaux rapports émergent sur les contacts extensifs entre les deux.”
https://www.bloomberg.com/politics/articles/2017-02-14/flynn-s-ouster-sparks-new-gop-calls-for-wider-russia-probe?cmpid=BBD021517_BIZ
Bien sûr, il n’y a absolument aucune preuve de ces soi-disants contacts, mais les faits réels ne font pas partie de la campagne visant à déposer Trump.
L’acceptation de la démission de Flynn par Trump est utilisée par ses opposants comme une confirmation de leurs fausses accusations disant que le président des États-Unis est compromis par le renseignement russe. Comprenant son erreur, la Maison Blanche a essayé de contrer sa bourde (l’acceptation de la démission de Flynn) en disant que Flynn a été écarté parce que Trump avait perdu confiance en lui, pas parce qu’il avait fait quelque chose d’illégal ou avait des connexions avec le renseignement russe. Mais aucun des opposants de Trump n’écoute quoi que ce soit et la CIA continue à alimenter la "pressetituée" de bobards.
Depuis le tout début j’avais prévenu que Trump manquait singulièrement d’expérience et de connaissance pour choisir un gouvernement qui lui serait fidèle et servirait son agenda. Trump a maintenant viré la seule personne sur laquelle il pouvait vraiment compter. La conclusion la plus évidente est celle-ci: Trump est de la viande froide.
L’effort du peuple américain pour ramener le gouvernement sous contrôle via Trump a été défait et vaincu par l’état profond.
L’argument de Chris Hedges qui dit que la révolution est maintenant la seule façon pour les Américains de reprendre le contrôle de leur pays, continue à gagner en crédibilité.
Voici les mots qui ont condamné Trump lorsqu’il a déclaré la guerre à l’establishment avant même d’avoir assemblé son armée:
“Il n’y a rien que ne fera pas l’establishment politique, aucun mensonge qu’il ne proférera pas, pour conserver son prestige et le pouvoir à vos dépends. L’establishment de Washington et les corporations médiatiques et financières qui le financent, n’existe que pour une seule raison: se protéger et s’enrichir. Ceci représente un carrefour dans l’histoire de notre civilisation qui déterminera si oui ou non, nous, le peuple, allons reconquérir le contrôle de notre gouvernement. L’establishment politique qui essaie de nous en empêcher est le même groupe responsable de nos désastreux rapports commerciaux, de l’immigration illégale massive et de politiques économiques et étrangères qui ont saigné ce pays à blanc.
L’establishment politique a amené la destruction sur nos usines et sur nos boulots alors qu’ils s’échappent vers le Mexique, la Chine et d’autres pays du monde. C’est une structure de pouvoir mondiale qui est responsable des décisions économiques qui ont volé notre classe ouvrière et nos salariés, qui a vidé notre pays de sa richesse et mis ce fric dans les poches d’une poignée de grandes entreprises et d’entités politiques.”
Source : https://resistance71.wordpress.com/2017/02/18/presidence-trump-repose-en-paix-paul-craig-roberts/
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samedi 18 février 2017
La Finlande va devenir le premier pays à supprimer toutes les matières scolaires
Le système éducatif finlandais est considéré comme l’un des meilleurs
au monde. Dans les classements internationaux concernant l’éducation,
la Finlande est toujours dans les 10 premiers. Toutefois,
le gouvernement a décidé de ne pas s’en contenter, et d’entreprendre une
véritable révolution de son système scolaire.
Les responsables souhaitent supprimer toutes les matières scolaires : il n’y aura désormais plus de cours de physique, mathématiques, littérature ou histoire-géographie.
La ministre de l’Education à Helsinki, Marjo Kyllonen, explique ces changements de la façon suivante : “Il y a encore des écoles où l’on enseigne selon des méthodes anciennes, qui fonctionnaient au début du XXème siècle. Mais aujourd’hui les besoins ont évolué et nous devons créer quelque chose qui soit adapté au XXIème siècle“.
Au lieu d’avoir des matières distinctes, les élèves apprendront les événements et les phénomènes dans un cadre pluridisciplinaire.
Par exemple, la Seconde Guerre Mondiale sera étudiée d’un point de vue historique, géographique et mathématique. Et pendant le cours ”Travail à la caféteria“, les élèves assimileront des connaissances complexes d’anglais, d’économie et de communication.
Ce système sera appliqué aux étudiants de dernier cycle, à partir de 16 ans. L’idée est que chaque élève choisisse le thème ou le phénomène qu’il souhaite étudier selon sa notion de leur utilité dans sa vie. De cette façon, les adolescents n’auront pas à étudier des cursus complets de physique ou de chimie en se posant cette éternelle question : “A quoi bon apprendre tout ça?” ou ”Pourquoi ai-je besoin de savoir ça?“
Le format traditionnel ”professeur-élève" va également évoluer.
Les étudiants ne seront plus assis derrière leurs tables en attendant qu’on les interroge. A la place, le travail en petites équipes et l’explication de problèmes seront développés.
Le système éducatif finlandais encouragera le travail en équipe, si bien que les transformations du travail concerneront aussi les professeurs. La réforme scolaire va requérir plus d’interaction entre les professeurs des différentes matières. Environ de 70% de tous les professeurs d’Helsinki ont déjà suivi une préparation pour savoir exposer l’information sous cette forme, et leur salaire sera revu à la hausse.
Le système sera complètement rénové à l’horizon 2020.
Les responsables souhaitent supprimer toutes les matières scolaires : il n’y aura désormais plus de cours de physique, mathématiques, littérature ou histoire-géographie.
La ministre de l’Education à Helsinki, Marjo Kyllonen, explique ces changements de la façon suivante : “Il y a encore des écoles où l’on enseigne selon des méthodes anciennes, qui fonctionnaient au début du XXème siècle. Mais aujourd’hui les besoins ont évolué et nous devons créer quelque chose qui soit adapté au XXIème siècle“.
Au lieu d’avoir des matières distinctes, les élèves apprendront les événements et les phénomènes dans un cadre pluridisciplinaire.
Par exemple, la Seconde Guerre Mondiale sera étudiée d’un point de vue historique, géographique et mathématique. Et pendant le cours ”Travail à la caféteria“, les élèves assimileront des connaissances complexes d’anglais, d’économie et de communication.
Ce système sera appliqué aux étudiants de dernier cycle, à partir de 16 ans. L’idée est que chaque élève choisisse le thème ou le phénomène qu’il souhaite étudier selon sa notion de leur utilité dans sa vie. De cette façon, les adolescents n’auront pas à étudier des cursus complets de physique ou de chimie en se posant cette éternelle question : “A quoi bon apprendre tout ça?” ou ”Pourquoi ai-je besoin de savoir ça?“
Le format traditionnel ”professeur-élève" va également évoluer.
Les étudiants ne seront plus assis derrière leurs tables en attendant qu’on les interroge. A la place, le travail en petites équipes et l’explication de problèmes seront développés.
Le système éducatif finlandais encouragera le travail en équipe, si bien que les transformations du travail concerneront aussi les professeurs. La réforme scolaire va requérir plus d’interaction entre les professeurs des différentes matières. Environ de 70% de tous les professeurs d’Helsinki ont déjà suivi une préparation pour savoir exposer l’information sous cette forme, et leur salaire sera revu à la hausse.
Le système sera complètement rénové à l’horizon 2020.
L'éducation idéale (2) Une synthèse personnelle
Cet article est la suite de : http://justemonopinion-jeronimo.blogspot.com/2017/02/leducation-ideale-les-textes.html
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En synthèse, voici comment devrait être l'éducation idéale ...
En préambule, plusieurs questions fondamentales se bousculent.
1) L'école doit-elle être réservée à une élite ou au contraire être ouverte à toutes et à tous ?
Jadis, seules les riches familles pouvaient se payer les services d'un précepteur.
Puis c'est toute une catégorie de la population qui a été recrutée et formée pour servir l'empereur ou le roi : les clercs sous Charlemagne, les mandarins (fonctionnaires) chinois de 605 à 1905, etc.
Je choisis pour ma part la formule recommandée par Platon :
- des écoles d’État (donc financées par l’État)
- un enseignement obligatoire (afin d'assurer une culture de base commune à toute la population)
- et l'égalité entre l'éducation des garçons et des filles (comme dans le Jardin d’Épicure).
Comenius a même précisé :
- "qu'il y ait dans chaque foyer une école maternelle;
- une école élémentaire dans chaque communauté, bourg ou village (dès 400 ou 500 habitants);
- un gymnase/école latine (on dira aujourd'hui : collège/lycée) dans chaque ville;
- une Académie dans chaque État et même dans chaque province importante."
2) Doit-on limiter "l'éducation idéale" à de l'instruction ? Ou doit-on aussi éduquer l'enfant pour qu'il devienne un citoyen ?
Si on ajoute l'éducation (certains diront la morale, la vertu, ...) :
- Quelle vision de la société doit-on lui enseigner ?
Pendant toute la monarchie française, l’Église a eu pour mission "d'éduquer" les sujets du roi. Elle les a maintenus dans l'ignorance et a martelé leurs esprits pour qu'ils se soumettent à l'autorité du seigneur, représentant de droit divin du Seigneur (Dieu) sur Terre ... sous peine de subir mille tortures pour l'éternité en enfer !
Depuis Jules Ferry, l'éducation morale a remplacé l'éducation religieuse mais toujours dans un souci de soumission. Les instituteurs avaient pour mission de marteler les esprits des enfants d'ouvriers pour qu'ils restent calmes, dociles, qu'ils travaillent en obéissant aux grands bourgeois, propriétaires des industries et des banques. Dans sa circulaire adressée aux instituteurs, du 17 novembre 1883, il disait ceci : "Des diverses obligations [que la loi du 28 mars 1882] vous impose, celle qui assurément vous tient le plus à cœur, celle qui vous apporte le plus surcroît de travail et de souci, c'est la mission qui vous est confiée de donner à vos élèves l'éducation morale et l'instruction civique [...]". C'est donc la mission prioritaire de cette IIIème République, une république des "gens de biens", comme le dit si ironiquement l'historien Henri Guillemin.
Les pédagogues du XXème siècle se réclament de la démocratie (le bien joli mot) voire même de l'anarchie ... mais j'ai peur que cette nouvelle idéologie ne devienne à son tour intolérante (comme le montre le reportage suivant : http://justemonopinion-jeronimo.blogspot.com/2017/02/lintolerance-nest-pas-toujours-la-ou-on.html).
Alors, par prudence, je m'abstiendrais personnellement d'imposer une quelconque morale aux élèves, ou tout au plus, je présenterais toutes celles que l'Histoire a connue. Et finalement, je m'en tiendrais à la conclusion, à la recommandation la plus caractéristique de Condorcet :
"Enfin, aucun pouvoir public ne doit avoir l'autorité, ni même le crédit, d'empêcher le développement de vérités nouvelles, l'enseignement des théories contraires à sa politique particulière ou à ses intérêts momentanés."
3) Si l'on se limite à de l'instruction :
- Quelles matières faut-il enseigner ?
- Avec quelle structuration dans le temps ?
- Avec quelle méthode pédagogique ?
En ce qui concerne l'instruction, je reprendrais le découpage en classes d'âge que Comenius a établi dès le XVIIème siècle; et j'appliquerais à chaque âge une pédagogie spécifique, et un contenu d'enseignement spécifique.
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En synthèse, voici comment devrait être l'éducation idéale ...
En préambule, plusieurs questions fondamentales se bousculent.
1) L'école doit-elle être réservée à une élite ou au contraire être ouverte à toutes et à tous ?
Jadis, seules les riches familles pouvaient se payer les services d'un précepteur.
Puis c'est toute une catégorie de la population qui a été recrutée et formée pour servir l'empereur ou le roi : les clercs sous Charlemagne, les mandarins (fonctionnaires) chinois de 605 à 1905, etc.
Je choisis pour ma part la formule recommandée par Platon :
- des écoles d’État (donc financées par l’État)
- un enseignement obligatoire (afin d'assurer une culture de base commune à toute la population)
- et l'égalité entre l'éducation des garçons et des filles (comme dans le Jardin d’Épicure).
Comenius a même précisé :
- "qu'il y ait dans chaque foyer une école maternelle;
- une école élémentaire dans chaque communauté, bourg ou village (dès 400 ou 500 habitants);
- un gymnase/école latine (on dira aujourd'hui : collège/lycée) dans chaque ville;
- une Académie dans chaque État et même dans chaque province importante."
2) Doit-on limiter "l'éducation idéale" à de l'instruction ? Ou doit-on aussi éduquer l'enfant pour qu'il devienne un citoyen ?
Si on ajoute l'éducation (certains diront la morale, la vertu, ...) :
- Quelle vision de la société doit-on lui enseigner ?
Pendant toute la monarchie française, l’Église a eu pour mission "d'éduquer" les sujets du roi. Elle les a maintenus dans l'ignorance et a martelé leurs esprits pour qu'ils se soumettent à l'autorité du seigneur, représentant de droit divin du Seigneur (Dieu) sur Terre ... sous peine de subir mille tortures pour l'éternité en enfer !
Depuis Jules Ferry, l'éducation morale a remplacé l'éducation religieuse mais toujours dans un souci de soumission. Les instituteurs avaient pour mission de marteler les esprits des enfants d'ouvriers pour qu'ils restent calmes, dociles, qu'ils travaillent en obéissant aux grands bourgeois, propriétaires des industries et des banques. Dans sa circulaire adressée aux instituteurs, du 17 novembre 1883, il disait ceci : "Des diverses obligations [que la loi du 28 mars 1882] vous impose, celle qui assurément vous tient le plus à cœur, celle qui vous apporte le plus surcroît de travail et de souci, c'est la mission qui vous est confiée de donner à vos élèves l'éducation morale et l'instruction civique [...]". C'est donc la mission prioritaire de cette IIIème République, une république des "gens de biens", comme le dit si ironiquement l'historien Henri Guillemin.
Les pédagogues du XXème siècle se réclament de la démocratie (le bien joli mot) voire même de l'anarchie ... mais j'ai peur que cette nouvelle idéologie ne devienne à son tour intolérante (comme le montre le reportage suivant : http://justemonopinion-jeronimo.blogspot.com/2017/02/lintolerance-nest-pas-toujours-la-ou-on.html).
Alors, par prudence, je m'abstiendrais personnellement d'imposer une quelconque morale aux élèves, ou tout au plus, je présenterais toutes celles que l'Histoire a connue. Et finalement, je m'en tiendrais à la conclusion, à la recommandation la plus caractéristique de Condorcet :
"Enfin, aucun pouvoir public ne doit avoir l'autorité, ni même le crédit, d'empêcher le développement de vérités nouvelles, l'enseignement des théories contraires à sa politique particulière ou à ses intérêts momentanés."
3) Si l'on se limite à de l'instruction :
- Quelles matières faut-il enseigner ?
- Avec quelle structuration dans le temps ?
- Avec quelle méthode pédagogique ?
En ce qui concerne l'instruction, je reprendrais le découpage en classes d'âge que Comenius a établi dès le XVIIème siècle; et j'appliquerais à chaque âge une pédagogie spécifique, et un contenu d'enseignement spécifique.
Classe d’âge :
nom, définition, fonctionnement psychologique
|
Nom de l’école
|
Méthode pédagogique et matières/disciplines
enseignées
|
Comenius
(1592-1670)
La
petite enfance
Rudolf Steiner
(1861-1925)
« jusqu'au
changement de dentition »
Piaget
(1896-1980)
C’est
le stade sensorimoteur, celui du bébé qui comprend le monde qui l'entoure par
ses sens (sensori) et par ses actions (moteur).
|
Comenius
L’école
du giron maternel ou école maternelle
|
Comenius
A
l’école maternelle, on formera surtout les sens externes.
Rousseau (1712-1778)
Il
faut avoir une approche naturelle, respectueuse du rythme spécifique de
l'enfant, surtout dans la petite enfance où les expériences sont sensorielles
plutôt qu'une connaissance abstraite acquise / transmise par la contrainte.
Rousseau indique : "Oserai-je exposer ici la plus grande, la plus
importante, la plus utile règle de toute l'éducation ? Ce n'est pas de gagner
du temps, c'est d'en perdre."
Montessori (1870-1952)
Il
faut proposer aux enfants, dans un cadre très soigné, des activités qu'ils
sont libres de choisir.
A
titre d’exemple, il existe de nos jours nombre d’environnements sécurisés,
colorés, tactiles, et pourquoi pas parfumés, dans les crèches et les
ludothèques, avec un mobilier adapté et des ateliers ludo-éducatifs.
|
Comenius
L’enfance
Steiner
après le
changement de dentition et jusqu'à l'adolescence (la tranche 7-14 ans)
Piaget
le
stade des opérations concrètes, où l'enfant raisonne à partir d'objets
physiques
|
Comenius
L'école
élémentaire ou école publique où l'on enseignera la langue maternelle.
Condorcet
(1743-1794)
L’école
primaire
|
Aristote (384
av. JC-322 av. JC) préconise :
-
la grammaire (lire et écrire)
-
la gymnastique "préparatoire", c’est-à-dire avant la puberté (14-16
ans chez les Grecs), avec des exercices faciles, une alimentation libre et
pas de travaux contraignants faisant obstacle à la croissance
-
la musique (jouer d'un instrument)
-
et le dessin.
Comenius
Pour
la pédagogie, il recommande ceci :
« A
l'école élémentaire, on formera exercera les facultés intérieures,
imagination et mémoire, toujours associées à l'usage de la main et de la
parole. »
Pour
le contenu des apprentissages, Comenius recommande cela :
« -
lire couramment en langue nationale;
-
apprendre à écrire de mieux en mieux et respecter les règles grammaticales,
savoir les expliquer et les appliquer au cours d'exercices;
-
calculer mentalement ou en écrivant;
-
mesurer suivant les règles les longueurs, les largeurs et les distances;
-
apprendre à chanter des chansons [...] ou les principes de la musique;
[...]
-
connaître la situation économique et politique pour comprendre ce qui se
passe quotidiennement à la maison et dans la ville;
-
savoir en termes généraux l'histoire du monde [...]
-
apprendre l'essentiel de la cosmographie [ici au sens générique de géologie,
géographie et astronomie]
-
apprendre le nom de villes, de montagnes et de fleuves [...]
Si
tout le programme est bien réalisé à l'école nationale, les jeunes gens
passeront à l'école latine, et ceux qui entrent dans l'agriculture, le
commerce, les métiers manuels, ne rencontreront rien [...] dont ils n'aient
eu un avant-goût. »
Montessori
Le
cadre très soigné et les activités que les enfants sont libres de choisir
peut toujours s’appliquer à cette classe d’âge ; mais il faut (à mon
avis) progressivement alterner avec des moments de cours magistraux (relation
maître-groupe d’élèves).
Freinet (1896-1966)
Recommande
la production de textes libres, l’utilisation de l’imprimerie, des correspondances,
des réunions coopératives, le recours à des fichiers autocorrectifs, etc.
Idriss
Aberkane (1986-…),
dans son livre Libérez votre cerveau,
affirme, en s’appuyant sur les découvertes récentes des neurosciences, qu’il
faut changer l’école.
A
titre d’exemple, il remarque à juste titre que la « vie notée »
(l’école) et la « vraie vie » s’opposent radicalement sur les
critères suivants:
-
se conformer au moule
-
rester à sa place
-
discuter l’autorité
-
s’exprimer librement
-
être autonome
-
trouver la bonne réponse/poser la bonne question
-
travailler en groupe
Sans
oublier que la meilleure façon d’apprendre est par le jeu (c’est la façon
naturelle qu’on peut observer chez tous les mammifères évolués).
|
L’adolescence
Steiner
à la puberté.
Piaget
L’adolescence,
c’est l’âge des opérations formelles, où le jeune est capable d'émettre des
hypothèses et de faire des déductions à partir de propositions abstraites.
|
Comenius
Dans
les écoles plus avancées, chaque enseignement sera particulier et détaillé.
Comenius
nomme cette école : l'école latine ou gymnase. L'éducation
intellectuelle et musicale aura lieu dans les écoles;
l'éducation
athlétique dans les gymnases.
Condorcet
L’école
secondaire
Claparède
(1873-1940)
Il
est donc nécessaire que l'école tienne compte davantage des aptitudes
individuelles, et se rapproche de l'idéal de "l'école sur mesure".
« L’école
sur mesure » pourrait être celle qui, après avoir offert à tous les
enfants une culture de base commune (s’appuyant sur la maîtrise de la langue
nationale), prendrait en compte les différentes formes d’intelligence sans en
dénigrer aucune.
Voici
les huit types d’intelligence selon Howard
Gardner (1943-…) :
-
linguistique
-
logico-mathématique
-
musicale
-
visuelle spatiale
-
kinesthésique
-
naturaliste
-
interpersonnelle
-
intrapersonnelle
La
liste des disciplines proposées dans la colonne de droite sera à compléter
pour répondre aux formes d’intelligence « oubliées ».
|
Platon (428
av. JC-348 av. JC) préconise
comme Aristote
-
l'écriture,
-
la gymnastique ; Aristote
précisant pour cette classe d’âge (après 14-16 ans) : la gymnastique
"supérieure" avec des exercices exigeants et une alimentation
contrôlée en quantité et qualité.
-
et la danse
A
la musique, qui sera aussi recommandée par Aristote, Platon
ajoute :
-
l'arithmétique,
-
la géométrie
-
et l'astronomie.
Boèce
(480-524)
Ces
quatre dernières disciplines, les "quatre voies" de la connaissance
scientifique selon Boèce, constituent ce qu’il nomme le « quadrivium » :
-
"la multiplicité qui existe en soi", sujet d'étude de
l'arithmétique,
-
"la multiplicité relative", objet de la connaissance de la musique
et de ses combinaisons harmonieuses,
-
"la grandeur immobile", dont la géométrie propose la connaissance,
-
et "la grandeur en mouvement", dont la science est l'astronomie.
Aux
disciplines scientifiques décrites ci-dessus, l’éducation classique
gréco-latine ajoutait les trois disciplines littéraires :
-
grammaire,
-
rhétorique
-
et dialectique.
Comenius
Au
gymnase (comprendre « école latine »), on doit étudier la
dialectique, la grammaire, la rhétorique en pratique et en théorie, et tout
ce qui touche aux sciences et aux arts.
|
L'âge
adulte
Selon
Comenius (avec des classes d’âge de
6 ans) : de 18 à 24 ans ; selon Steiner
(avec des classe d’âge de 7 ans) : de 21 à 28 ans.
|
Comenius
L'académie
(en hommage à Platon) et les
voyages
Condorcet
Les
lycées (en hommage à Aristote),
correspondant à nos actuelles facultés (au sens de « partie d’une
université ») récemment rebaptisées « unités de formation et de recherche »
(UFR).
Mais
aussi les instituts formant les instituteurs des écoles primaires et où se
perfectionnent ceux du second degré.
|
Comenius
Enfin,
les académies cultiveront ce qui a rapport à la liberté [...] On y apprendra
les fonctions vitales du corps ainsi que la médecine et le droit. [...]
|
Condorcet
Il
imagine un système à cinq degrés.
Aux
quatre premiers qu’on peut faire correspondre au découpage de Comenius, Condorcet ajoute la Société nationale des sciences et des arts
qui couronne le tout.
|
Les
quatre premiers degrés devraient permettre la transmission de la
connaissance, en respectant :
-
les capacités (fonctionnement psychologique selon Piaget),
-
les spécificités (formes d’intelligence selon Gardner)
-
et les motivations de l’élève (« Je ne connais personne d’excellent qui
ne soit pas aussi amoureux du domaine où il excelle », Aberkane).
Ce
cinquième degré correspond à la production de nouvelles connaissances ;
ce qu’on nomme de nos jours la recherche.
|
En résumé :
1) L’école du giron maternel ou école maternelle est celle des expériences sensorimotrices.
La relation mère-enfant peut être valorisée jusqu'à l'âge de 3 ans, comme dans les pays scandinaves où le congé maternité (plein salaire) court jusqu'aux 3 ans de l'enfant.
Puis ce sont des expériences interpersonnelles et naturalistes, dans un environnement sécurisé, qui permettront au petit enfant de s'épanouir jusqu'à 6 ou 7 ans.
2) L'école élémentaire ou école publique (jusqu'à 12-14 ans) sera celle où l'on enseignera essentiellement la langue maternelle.
C'est ce qu'on décidé les autorités allemandes après avoir constaté leur faible classement (21ème sur 31) lors de la première enquête PISA (Programme International du Suivi des Acquis des élèves) en 2000. Les Allemands se sont inspirés du système finlandais (meilleur d'Europe) où l'apprentissage de la langue maternelle est très poussé en primaire.
Cette classe d'âge est celle des opérations concrètes, où l'enfant raisonne à partir d'objets physiques. Ainsi, à Singapour (meilleur système du monde selon le PISA) au lieu d'écrire dans son cahier 5 + 3 = 8, l'écolier va d'abord manipuler des objets pour répondre à une question. Par exemple, 5 canards sont dans une mare, 3 à l'extérieur, combien y a-t-il de canards en tout ? Après avoir visualisé la scène avec des cubes, l'enfant la dessine et n'écrit l'addition qu'à la toute fin.
3) L'enseignement secondaire tiendra davantage compte des aptitudes individuelles, et devra se rapproche de l'idéal de "l'école sur mesure".
Je propose que des tests fournissent l'information à chacun sur son type d'intelligence; qu'il y ait une dominante ou une combinaison multiple. Et qu'en dernier recours, ce soit la motivation de l'élève qui prime entre les différentes orientations :
L’adolescence, c’est l’âge des opérations formelles, où le jeune est capable d'émettre des hypothèses et de faire des déductions à partir de propositions abstraites.
4) A l'âge adulte, chacun choisira sa voie professionnelle. La formation académique s'accompagnera de voyages (que ce soit des échanges internationaux ou un circuit national comme à l'époque du compagnonnage médiéval).
Le droit est une matière que tous les étudiants devront aborder; au minimum la partie relative à leur domaine professionnel.
1) L’école du giron maternel ou école maternelle est celle des expériences sensorimotrices.
La relation mère-enfant peut être valorisée jusqu'à l'âge de 3 ans, comme dans les pays scandinaves où le congé maternité (plein salaire) court jusqu'aux 3 ans de l'enfant.
Puis ce sont des expériences interpersonnelles et naturalistes, dans un environnement sécurisé, qui permettront au petit enfant de s'épanouir jusqu'à 6 ou 7 ans.
2) L'école élémentaire ou école publique (jusqu'à 12-14 ans) sera celle où l'on enseignera essentiellement la langue maternelle.
C'est ce qu'on décidé les autorités allemandes après avoir constaté leur faible classement (21ème sur 31) lors de la première enquête PISA (Programme International du Suivi des Acquis des élèves) en 2000. Les Allemands se sont inspirés du système finlandais (meilleur d'Europe) où l'apprentissage de la langue maternelle est très poussé en primaire.
Cette classe d'âge est celle des opérations concrètes, où l'enfant raisonne à partir d'objets physiques. Ainsi, à Singapour (meilleur système du monde selon le PISA) au lieu d'écrire dans son cahier 5 + 3 = 8, l'écolier va d'abord manipuler des objets pour répondre à une question. Par exemple, 5 canards sont dans une mare, 3 à l'extérieur, combien y a-t-il de canards en tout ? Après avoir visualisé la scène avec des cubes, l'enfant la dessine et n'écrit l'addition qu'à la toute fin.
3) L'enseignement secondaire tiendra davantage compte des aptitudes individuelles, et devra se rapproche de l'idéal de "l'école sur mesure".
Je propose que des tests fournissent l'information à chacun sur son type d'intelligence; qu'il y ait une dominante ou une combinaison multiple. Et qu'en dernier recours, ce soit la motivation de l'élève qui prime entre les différentes orientations :
-
linguistique
-
logico-mathématique
-
musicale
-
visuelle spatiale
-
kinesthésique
-
naturaliste
-
interpersonnelle
-
intrapersonnelle
L’adolescence, c’est l’âge des opérations formelles, où le jeune est capable d'émettre des hypothèses et de faire des déductions à partir de propositions abstraites.
4) A l'âge adulte, chacun choisira sa voie professionnelle. La formation académique s'accompagnera de voyages (que ce soit des échanges internationaux ou un circuit national comme à l'époque du compagnonnage médiéval).
Le droit est une matière que tous les étudiants devront aborder; au minimum la partie relative à leur domaine professionnel.
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