Source : https://youtu.be/rSYuTiaia1s
L'UPR
Parti créé le 25 mars 2007 (pour le 50ème anniversaire du traité de Rome ... ce qui est un peu ironique)
Par François Asselineau (Président et Fondateur du parti)
- inspecteur général des fincances (énarque, parmi ceux qui accèdent aux meilleurs postes, major de HEC)
- ancien membre des cabinets ministériels (ex-RPR)
- son nouveau parti n'est ni de gauche ni de droite, il est souverainiste
Par vocation l'UPR est un parti transitoire qui va mettre en place un processus par lequel nous (le peuple français) allons récupérer notre France, notre souveraineté nationale et ensuite ... ce sera aux Français de recommencer à se disputer mais entre eux, pour savoir comment ils veulent être gouvernés, ils feront leurs choix entre eux
Vincent Brousseau
Ancien élève de l’École Normale Supérieure de Saint-Cloud, Vincent Brousseau a obtenu un doctorat en mathématiques à l’Université Paris IX, ainsi qu’un doctorat en économie à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) en 1990.
Après un début de carrière dans une grande banque parisienne comme « trader », il intégra en 1998 ce qui allait devenir la Banque centrale européenne à Francfort, où il participa à la mise en place de l’euro.
« Lorsque je décidai d’aller travailler à la BCE, à l’age de 37 ans, j’étais un européiste convaincu. Je me suis donc installé en Allemagne avec beaucoup d’enthousiasme, en imaginant que la monnaie européenne préfigurait une véritable fusion de, entre autres pays, l’Allemagne et la France, perspective grandiose qui me paraissait éminemment désirable. Le parcours que j’avais suivi jusqu’alors m’avait familiarisé avec le domaine de la finance le plus proche des préoccupations des banques centrales : celui des taux d’intérêts. En outre, l’union monétaire commençait juste, c’était neuf et existant, c’était conforme à mes convictions d’alors, cela me paraissait un choix parfait. »
C’est donc à la BCE qu’il effectua l’essentiel de sa carrière. Il devait y rester 15 ans, de septembre 1998 à janvier 2014. Ayant compris que les institutions européennes, constituées en quasi-dictature, visaient à favoriser les intérêts géopolitiques, économiques et financiers d’une petite oligarchie atlantiste, au détriment des peuples européens en général – et français en particulier -, il décidait de renoncer à sa carrière à la BCE et de rejoindre l’UPR et François Asselineau, afin d’informer nos concitoyens et de sortir la France de l’UE et de l’euro.
Ses points de vue sur l’euro, sa construction, ce qu’il est et ce qu’il va devenir, sont très éclairants. Ses analyses, éminemment pertinentes, justifiées et vérifiables, ne laissent aucune place à l’à peu près.
Pour plus d’informations, vous pouvez également consulter cet article.
Parti créé le 25 mars 2007 (pour le 50ème anniversaire du traité de Rome ... ce qui est un peu ironique)
Par François Asselineau (Président et Fondateur du parti)
- inspecteur général des fincances (énarque, parmi ceux qui accèdent aux meilleurs postes, major de HEC)
- ancien membre des cabinets ministériels (ex-RPR)
- son nouveau parti n'est ni de gauche ni de droite, il est souverainiste
Par vocation l'UPR est un parti transitoire qui va mettre en place un processus par lequel nous (le peuple français) allons récupérer notre France, notre souveraineté nationale et ensuite ... ce sera aux Français de recommencer à se disputer mais entre eux, pour savoir comment ils veulent être gouvernés, ils feront leurs choix entre eux
Vincent Brousseau
Ancien élève de l’École Normale Supérieure de Saint-Cloud, Vincent Brousseau a obtenu un doctorat en mathématiques à l’Université Paris IX, ainsi qu’un doctorat en économie à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) en 1990.
Après un début de carrière dans une grande banque parisienne comme « trader », il intégra en 1998 ce qui allait devenir la Banque centrale européenne à Francfort, où il participa à la mise en place de l’euro.
« Lorsque je décidai d’aller travailler à la BCE, à l’age de 37 ans, j’étais un européiste convaincu. Je me suis donc installé en Allemagne avec beaucoup d’enthousiasme, en imaginant que la monnaie européenne préfigurait une véritable fusion de, entre autres pays, l’Allemagne et la France, perspective grandiose qui me paraissait éminemment désirable. Le parcours que j’avais suivi jusqu’alors m’avait familiarisé avec le domaine de la finance le plus proche des préoccupations des banques centrales : celui des taux d’intérêts. En outre, l’union monétaire commençait juste, c’était neuf et existant, c’était conforme à mes convictions d’alors, cela me paraissait un choix parfait. »
C’est donc à la BCE qu’il effectua l’essentiel de sa carrière. Il devait y rester 15 ans, de septembre 1998 à janvier 2014. Ayant compris que les institutions européennes, constituées en quasi-dictature, visaient à favoriser les intérêts géopolitiques, économiques et financiers d’une petite oligarchie atlantiste, au détriment des peuples européens en général – et français en particulier -, il décidait de renoncer à sa carrière à la BCE et de rejoindre l’UPR et François Asselineau, afin d’informer nos concitoyens et de sortir la France de l’UE et de l’euro.
Ses points de vue sur l’euro, sa construction, ce qu’il est et ce qu’il va devenir, sont très éclairants. Ses analyses, éminemment pertinentes, justifiées et vérifiables, ne laissent aucune place à l’à peu près.
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