mercredi 25 avril 2007

Déception ... mais il reste un second choix.

La peur des extrêmes nous renvoie dans la classique opposition gauche-droite, respectivement symbolisées par le Parti Socialiste et l'UMP (sorte de R.P.R. élargi). L'idée séduisante "d'union nationale" prônée par le centriste François Bayrou aura obtenu un score honorable, certes, mais insuffisant.

Il ne nous reste plus qu'à choisir entre "la peste et le colérique" disait un journaliste politique invité par Yves Calvi.

Nicolas Sarkozy est certes agité mais au moins, il a démontré qu'il pouvait être performant dans des ministères importants. Ségolène Royal incarne la nouveauté parce qu'elle est une femme, c'est incontestable, mais elle incarne surtout à mes yeux la démagogie. Personnellement, mon choix est fait. Il n'est pas enthousiaste mais raisonnable : avant de songer à distribuer des richesses (en faisant "du social"), il faut d'abord en créer (et pour cela, l'économie de marché s'est toujours avérée la plus efficace).

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