Dans la récente trilogie des Star Wars, on voit le Sénateur Palpatine (en réalité Dark Sidious) organiser lui-même le courant Séparatiste, avec son complice le Comte Dooku, pour contraindre le Sénat de la République à accepter une armée de clones qui va "rétablir la paix" dans la galaxie ... et apporter à Palpatine le pouvoir absolu à la tête de l'Empire.
Le 11 septembre 2001, des attentats "hollywoodiens" surviennent en plein coeur des Etats-Unis ... alors que les services de renseignement étaient au courant des projets terroristes. Face aux images et au bilan (environ 3000 morts), le Congrès étatsunien vote un budget militaire sans cesse en augmentation alors que la Guerre froide contre l'ex-URSS est finie depuis plus d'une décennie. Les marchands d'armes se frottent les mains. Le nouveau "méchant" est Ousama Ben Laden, formé par la CIA, qui a installé les Talibans au pouvoir en Afghanistan sur les ordres des Etats-Unis. Ousama est issu de la famille saoudienne Ben Laden avec laquelle la famille Bush entretient d'étroites relations commerciales (dans l'industrie pétrolière) depuis monsieur Bush père (comme l'a abondamment démontré Michael Moore dans son documentaire "9/11").
Ousama, chef insaisissable d'Al Qaïda, serait-il un "Comte Dooku" commandité par les Bush père et fils ? Donnerait-il tout simplement un prétexte aux Etats-Unis pour installer un Empire mondial avec l'approbation crédule des nations de l'ONU ? Tout ne serait-il pas qu'un vaste coup monté, une propagande digne des "meilleures" productions hollywoodiennes ?
Incroyable et pourtant cela s'est déjà produit dans le passé.
Très tôt, Franklin Delano Roosevelt (32ème président des Etats-Unis) est favorable à l'entrée en guerre des Etats-Unis pour soutenir le Royaume-Uni et la France contre l'Allemagne nazi. Mais le Congrès a voté la neutralité. En 1941, en tant que chef des armées, il ordonne qu'on masse tous les vieux navires (voués au déclassement pour vétusté) dans le port de Pearl Habour, à portée d'avion du Japon. C'est un énorme appat. Les Nippons mordent à l'hameçon. Les services de renseignement britanniques avaient pourtant prévenu de l'attaque imminente ... Poussé par l'opinion publique, le Congrès n'a plus le choix : il accepte l'entrée en guerre. Quelques milliers de victimes (2400 environ) auront servi la volonté politique de Roosevelt.
Troublantes similitudes, n'est-ce pas ?
lundi 9 avril 2007
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