mercredi 26 septembre 2018

6.
Je vais vous donner du travail :)
Ce matin, je me suis éveillée avec l’intention de publier sur les arguments présentés par les amoureux du pouvoir ( et étrangement par certains qui lui sont soumis ) pour légitimer le gouvernement représentatif et donc refuser la démocratie ( nous sommes bien d’accord j’espère sur le fait que
le couple < représentation | élection > est aux antipodes de la démocratie ).

Mais au bistrot du village, j’ai eu le plaisir de bavarder deux heures avec une grande amie ; nous avons discuté d’une foule de thèmes, tantôt du domaine privé, tantôt de celui de la politique générale …. à moins qu’il n’y ait pas de cloison étanche entre ces deux domaines … c’est bien dans l’esprit de ce « à moins que » que sera le bas de page ……………
Au cours de la conversation a jailli une question, que je m’étais déjà posée dans ma vie, mais qui partagée change de dimension.
Je choisis donc de remettre à plus tard mon projet initial, pour simplement proposer à qui me lit un exercice de méditation politique solitaire, qui consistera simplement à réfléchir à cette question, mais pas à la va vite svp, non : à l’occasion d’un long instant de calme sûr et aménagé.
Car je pense que si chacun(e) se la posait, car je pense que si dans leur cursus scolaire il était demandé deux ou trois fois aux jeunes, à différents âges de leur croissance, de s’interroger activement sur les limites de leur acceptation, alors notre « civilisation » ne serait pas ce qu’elle est !!!
Je développerai peut être ici plus tard de mon côté, mais ce n’est pas sûr.
Cette question, la voici, brute et sans fioriture :
Pourquoi dans ma vie certaines fois n’ai-je pas dit NON ?

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