mercredi 26 septembre 2018

22.
L'infamie légale, ça suffit.
Concernant la Syrie, notre président tient des propos infondés, raconte des sornettes, et se comporte comme s'il était légitime à se mêler des affaires d'un autre peuple, non seulement verbalement, mais encore physiquement.
Il nous raconte que maintenir Bachar serait une erreur funeste.
Il dénigre un chef d’État dont chacun peut penser ce qu'il veut, mais qui a été élu avec un score de loin supérieur au score français. Et ne parlons pas des sondages.
La nouvelle mode, c'est de dire que "le régime" ( terme choisi ) risque de provoquer des drames à l'occasion de ses derniers efforts menés en vue de la reconquête de son territoire. Comme si la libération de la France en 44-45 s'était faite sans casse ! ... et sans aide extérieure ... Il faut quand même une sacrée mauvaise foi pour user de cette circonstance afin de déclarer monstres ceux qui dégagent le terrorisme, vous savez, ce fléau qui a servi de prétexte par chez nous, pour rendre quasi définitif l'état d'urgence ...
A l'occasion d'un grand ramdam médiatique, Emmanuel Macron s'est appuyé en début d'année sur la constitution de 1958 pour justifier à l'international ses actes et ses mots, passés, présents ou futurs. Actes et mots que malgré l'intensité d'un flux médiatique biaisé, nous savons suspects, nuisibles, dangereux, coupables, illégitimes au sens onusien.
Nous ne sommes pas représentés, et en notre nom sont commises des bévues intentionnelles, et en notre nom la paix est mise en danger, sans que rien ne justifie cette prise de risque, sinon la question de certains intérêts économiques, celle du vampirisme traditionnel des anciens empires coloniaux, ou la farce du droit-de-l'hommisme à géométrie variable.
Et ""nous"" vendons des armes à des assassins ...
Le déshonneur en notre nom, c'est pas rien .......
Non seulement en cette affaire syrienne, mais encore chez nous sur la question sociale, mais encore au sens le plus large sur la question de la biosphère, maintenant que nous la savons outil du pire, la constitution en vigueur ne peut plus être acceptée par le peuple français comme légitimation de la décision puante ; il devra en changer, et bien sûr en se protégeant des scribes officiels et des faux sauveurs, si prompts à trahir.
Dire quand est impossible ; mais s'il vous plaît, faisons en sorte, chacun chacune selon ses moyens, même les plus ténus, que se répande l'idée de la nécessaire réécriture, & à l'abri des traitres usuels ; sans cette idée, c'est cuit.
Sans cette idée, c'est cuit, expression de circonstance

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