mercredi 26 septembre 2018

24.
Attention : subrepticement est glissé le concept de gouvernement victime, qui pourrait pousser les naïfs à lui pardonner d'être "en marche" arrière, ou "progressiste" en direction du pire... : je veux dire : Il ne faudrait pas qu'un départ larmoyant nous fasse avaler l'idée que le gouvernement serait prisonnier des lobbies et de la finance.
Que nenni : les lobbies n'ont même plus besoin d'amadouer les décideurs faîtiers : les décideurs faîtiers en sont des membres actifs : des transfuges de Rothschild, Areva, des ,labos pharmaceutiques, plus certainement quelques transfuges du cac40, occupent les fauteuils présidentiel ou ministériels.
Voilà pourquoi le président affirme qu'il n'y a pas d'argent magique : il est du camp de ceux qui disposent de l'argent magique, et en usent pour asservir.
Voilà pourquoi est prévue une salve d'EPR, vous savez, ce truc qui coûte la peau des fesses et n'a pas encore été testé : le premier ministre est issu de l'industrie nucléaire.
Voilà pourquoi on bombarde le système immunitaire des nouveaux nés : les labos ont une déléguée au ministère de la santé.
Je laisse les méticuleux approfondir ce dossier en direction d'autres affaires où la complicité des ""élites"" n'est certainement pas fortuite, ni forcée :)
Qu'on ne nous fasse pas croire que des membres de la société civile, mais de cette civilité qui se goinfre ou empoisonne, du simple fait qu'ils sont propulsés responsables du bien commun, peuvent se transformer en saints pétris de sagesse et bienveillance ; c'est faux : formatés pour cela, ils poursuivent fatalement leur œuvre antérieure, là où au contraire ils devraient nous protéger d''elle.
La constitution est ce texte supérieur qui doit nous protéger des abus de pouvoir. La constitution actuelle, au contraire, les favorise, plein pot. NOUS devrons en changer, à travers un processus constituant tenu à l'écart des amoureux du pouvoir.

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