dimanche 26 avril 2015

LOI "POMPIDOU-GISCARD" DE 1973

Je vous signale le travail remarquable, que viennent de publier Lior et Magali, pour comprendre précisément ce que la loi de 1973 a changé et ce qu'elle n'a pas changé :

http://www.theorie-du-tout.fr/2012/03/loi-1973-rothschild.html

Il faudra donc, je pense, corriger notre raisonnement au sujet de l'histoire du sabordage monétaire en France, car ce que j'appelais la PREMIÈRE PINCE de la tenaille de la dette, et que je localisais dans la trahison d'un jour (le jour du vote d'une loi), se trouve donc, apparemment, davantage dans la tête des parlementaires eux-mêmes, durablement, (COMME LA SECONDE pince, par laquelle les mêmes parlementaires ont manifestement accepté, durablement aussi, la MISSION D'ENDETTER L'ÉTAT en votant année après année 40 budgets en déséquilibre !), puisque ces mêmes parlementaires ont donc apparemment accepté d'emprunter longtemps auprès des marchés financiers ALORS QU'ILS N'Y ÉTAIENT PAS OBLIGÉS (jusqu'en 1993).

Dès que je serai moins charrette, il faudra que je vérifie (avec vous ?) que j'ai bien compris les conséquences du travail de Lior et Magali, mais je voulais vous en parler dès maintenant.

Étienne.

Sourcehttps://www.facebook.com/notes/etienne-chouard/loi-pompidou-giscard-de-1973/10150784482602317

2 commentaires:

Anonyme a dit…

La question que se posent toujours un certain nombre de personnes est : l'argent dette est-il réellement créé ex nihilo a partir d'un clavier d'ordinateur et si oui qui a accepté que les banques aient ce privilège exorbitant et de quelles banques s'agit-il ?

Je a dit…

La monnaie scripturale, autrement dit d'écriture, peut être créée à partir d'un ordinateur ou d'un simple livre de compte. Les faux-monnayeurs font ça sur de simples bouts de papier. La différence c'est que c'est légal pour les banques. Qui a autorisé cela ? Je pense que cela a commencé avec la Banque de France (1800) et l'avidité et la corruptibilité de Napoléon Bonaparte. Aujourd'hui, toutes les banques commerciales (établissement bancaires) ont ce privilège indécent, avec leur permis de banque. Seuls les établissements financiers n'ont pas ce pouvoir.