vendredi 13 août 2021

Pré-rentrée (rentrée des enseignants) à l'île de la Réunion : 13 août 2021

La rentrée de ce matin a été assez contrastée. Le directeur de mon école a pris la parole devant les enseignants (deux tiers masqués, un tiers masque accroché à une oreille ou sans masque, comme moi). Il a bien insisté sur : "Les fonctionnaires ont le droit d'opinion mais l'interdiction d'expression."

Par contre, le personnel d'entretien qui connaît mes positions depuis des mois est venu me voir : "Alors monsieur, vacciné ?". J'ai répondu "Jamais, c'est trop dangereux !". Et là, une des dames m'a raconté qu'un membre de sa famille était paralysé du bras et de la jambe côté droit depuis la 1ère injection. Et que le médecin avait insisté pour que cette personne ait une deuxième injection en disant, "ça va passer". Mais la paralysie est toujours là. Quand je leur ai simplement dit qu'une consultation étiquetée "covid" était rémunérée 55 € au lieu de 25 €, ces dames ont été outrées.

Plus tard, j'ai parlé avec une stagiaire (PES) qui s'est reconvertie dans l'enseignement après avoir travaillé dans le secteur bancaire. En discutant de diverses choses (étant donné que moi aussi, j'ai commencé ma vie professionnelle dans le secteur banque-assurance), je lui ai appris que les assurances ne prenaient pas en compte les invalidités ou les décès consécutifs aux injections car il s'agissait d'une phase 3 d'expérimentation médicale qui exonère les compagnies d'assurance de tout remboursement de prêt (immobilier, par exemple). J'ai eu l'impression qu'elle se décomposait.

Bref. Lundi, le masque sera obligatoire à l'extérieur et à l'intérieur avec des enfants de primaire. En attendant que les injections soient suffisamment avancées parmi les adolescents pour s'attaquer aux enfants.

Génocide en cours.

Je ferai comme d'autres courageuses et courageux enseignants : je désobéirai. Inacceptable de participer à un crime contre l'humanité. Hors de question de dire plus tard, comme les ex-membres de la Gestapo pensant trouver une excuse : "J'obéissais aux ordres."

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