vendredi 20 août 2021

« Les premières personnes qui vont être supprimées font partie des populations riches et bien éduquées » , s'étonne un internaute. Est-ce cohérent de la part de dirigeants occidentaux ?

Ma réponse :

Pour les personnes au sommet de la pyramide (banquiers, aristocrates et industriels milliardaires), nous sommes tous des « rats » ; que nous soyons issus des peuples occidentaux, africains ou asiatiques.

La perception racialiste de la situation est erronée ; elle a été mise dans la tête des gens pour les diviser. La situation réelle est verticale : 1% (et probablement beaucoup moins, probablement 8000-8500 personnes seulement au sommet, d’après Ronald Bernard) contre 99%.

Les populations « riches » (c’est très relatif par rapport à des milliardaires) et « bien éduquées » vont être supprimées par de plus serviles esclaves. C’est la destruction de la classe moyenne en cours. La signature du Pacte de Marrakech sur les migrations, au même moment que l’émergence du mouvement des « gilets jaunes » (coïncidence ?), a pour but d’effectuer ce remplacement de façon gérée pour le plus grand profit des milliardaires. Pourquoi délocaliser, alors que le pétrole devient plus coûteux à extraire, si les travailleurs miséreux sont déjà sur place ?

Dans les textes retrouvés et compilés par Pierre Hillard, on apprend que les mondialistes envisagent la création d’une race (je rappelle qu’ils considèrent la population humaine comme du bétail, comme des « rats ») métisse composée d’africains et d’asiatiques qui combinerait à la fois la résistance au travail et la docilité. Cette race serait également privée de toute culture nationale ; ainsi privée de racines, elle serait beaucoup plus malléable. On lui imposerait même une sous-religion appelée « noachisme » ou « noahisme » (ne comportant que 7 commandements au lieu des 10 du Décalogue). Si on ajoute la technologie de contrôle par la 5G, on obtient des esclaves « parfaits » mi-hommes mi-machines (une version extrême des employés d’Amazon qui ont un bracelet électronique au poignet lorsqu’ils n’effectuent pas le geste parfait).

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