mardi 9 février 2021

Si je me fais vacciner et si j’ai bien compris

 

Si je me fais vacciner et si j’ai bien compris :

1 – Pourrai-je arrêter de porter le masque ?

Réponse : Non

2 – Est-ce que les restaurants, les bars, les théâtres, cinémas, musées, bibliothèques, etc. pourront rouvrir ?

Réponse : Non

3 – Est-ce que je serai résistant au covid ?

Réponse : Peut-être. On ne sait pas trop avec tous ces variants...

(NDLR : clairement NON ! C’est un peu comme la grippe de l’année dernière, du fait de la mutation, les anti-corps de l’année dernière ne t’empercherons pas de choper celle de cette année )

4 – Au moins, je ne serai plus contagieux pour les autres ?

Réponse : Non, vous pouvez toujours le transmettre.

5 – Si je me vaccine et mon grand-père aussi, peut-on se serrer dans nos bras ?

Réponse : Non

6 – Est-ce que les vaccinés pourront se rassembler ?

Réponse : Non

7 – Si je suis vacciné, puis-je arrêter la distanciation sociale ?

Réponse : Non

8 – Si je suis vacciné, puis-je arrêter de me désinfecter les mains ?

Réponse du gouvernement : Non

9 – Est-ce que les cinémas, théâtres et stades seront rouverts grâce aux vaccins ?

Réponse : Non

10 – Si nous vaccinons tous les enfants, l'école reprendra-t-elle normalement ?

Réponse : Peut-être

 

11 – Est-ce que les vaccins seront efficaces contre tous les variants ?

Réponse : certainement non.

12 – Faudra-t-il inventer d’autres vaccins et se faire de nouveau vacciner ?

Réponse : on doit envisager cette hypothèse.

13 – Quel est le véritable avantage de la vaccination ?

Réponse : Le virus vous rendra moins malade.

14 – Êtes vous sûrs que ça ne me tuera pas ?

Réponse : Non

15 – Si statistiquement le virus ne me tue pas de toute façon… Pourquoi me ferais-je vacciner ?

Réponse : Pour protéger les autres.

16 – Donc si je me fais vacciner, les autres sont sûrs à 100 % que je ne les infecte pas ?

Réponse : Non

 

17 – Ah, au fait, est-on certains de l’innocuité des vaccins à long terme.

Réponse : on n’a pas assez de recul pour le savoir.

Alors… Qu’est-ce qu’il fait vraiment le vaccin ?

Réponse : Qu’on atteigne l’immunité collective.

18 – Vous êtes sûrs ?

Réponse : Non

19 – Bah alors, si ça se trouve, ils ne servent pas à grand-chose les vaccins.

Réponse : Si, si, de toute façon, ils servent à enrichir les firmes pharmaceutiques,

20 – Vous en êtes certains ?

Réponse : Absolument certain !


Donc en résumé, le vaccin contre la Covid-19 :

Ne donne pas l'immunité individuelle ni collective.

N'élimine pas le virus.

Ne vous empêche pas de l'attraper ni de le transmettre.

N'élimine pas la nécessité des gestes barrières et la distanciation sociale.

N'élimine pas la nécessité de fermer certaines entreprises.

N'élimine pas la nécessité de confiner.

N’élimine pas de futures vaccinations.

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/si-je-me-fais-vacciner-et-si-j-ai-230595

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Avis éclairé d’un médecin : (le nom du médecin n'est pas cité, peut-être veut-il rester anonyme)

Commentaire de Mélusine ou la Robe de Saphir.

sur Si je me fais vacciner et si j'ai bien compris


Je vous parle des effets protecteurs habituels et attendus des vaccins :

  • Un vaccin vous protège de l’infection d’un virus, et donc potentiellement de ses formes graves ;
  • Un vaccin protège les autres de ce même virus, en ne vous rendant pas contagieux.

Aucun des deux « vaccins » anti-Covid administrés en France n’a fait la preuve qu’il remplissait pleinement ces deux conditionsParler de « vaccin » à leur sujet est un abus de langage.

Voici les 4 raisons principales qui me permettent de prouver ce que je dis.

Je n’utilise pour ma démonstration « que » des informations publiques, sans les déformer, sans les sortir de leur contexte, rien de tout cela.

Car il n’est pas question pour moi d’être « antivax » (je ne l’ai jamais été) ni d’alimenter la moindre théorie complotiste.

Les informations que vous allez lire sont scientifiques et disponibles. Par contre elles ne sont pas relayées par les médias grand public, et c’est un grave problème.

1 – La vaccination anti-Covid pourrait favoriser des formes plus graves… de Covid-19 

Les vaccins anti-Covid – et je ne parle pas là uniquement des vaccins Pfizer et Moderna – sont susceptibles de provoquer des formes plus graves du Covid-19 a affirmé une étude publiée fin octobre dans l’ultra-sérieux The International Journal of Clinical Practice[1].

Je vous traduis les résultats de cette étude :

« Les vaccins COVID-19 conçus pour provoquer des anticorps neutralisants peuvent sensibiliser les receveurs à une maladie plus grave que s’ils n’étaient pas vaccinés. Les vaccins contre le SRAS, le MERS et le RSV n’ont jamais été approuvés, et les données générées dans le développement et les tests de ces vaccins suggèrent une grave préoccupation mécaniste : les vaccins conçus empiriquement en utilisant l’approche traditionnelle (consistant en un pic viral de coronavirus non modifié ou minimalement modifié pour susciter des anticorps neutralisants), qu’ils soient composés de protéines, de vecteurs viraux, d’ADN ou d’ARN et quelle que soit la méthode de délivrance, peuvent aggraver la maladie COVID-19 via un renforcement des anticorps facilitants (ADE en anglais). Ce risque est suffisamment obscurci dans les protocoles d’essais cliniques et les formulaires de consentement pour les essais de vaccins COVID-19 en cours pour qu’une compréhension adéquate de ce risque par les patients ne se produise probablement pas, empêchant le consentement véritablement éclairé des sujets de ces essais. »

De quoi s’agit-il, en bon français ?

Les « anticorps facilitants » sont, si vous voulez, des anticorps corrompus, passés du côté de l’ennemi, c’est-à-dire du côté du virus qu’ils sont censés combattre.

Ces anticorps ont déjà été une première fois confrontés au virus et, au lieu de l’arrêter, ils le laissent passer – et facilitent donc l’installation de la maladie… ou d’un autre virus.

Ce phénomène est bien connu. https://www.agoravox.fr/commentaire5972522


Suite des infos de ce médecin :

les thérapies géniques s’adressent par principe à des patients malades, pas à des sujets sains.

C’est ce qui a fait dire il y a quelques jours à la généticienne Alexandra Henrion-Caude, spécialiste mondiale de ces thérapies géniques : « Administrer de l’ARN à des individus sains me paraît de l’ordre de la folie[14] »

Quel est le risque ?

Que l’ARN de virus injecté au patient devienne de l’ADN… et que cet ADN s’intègre au génome humain.

C’est un peu compliqué car normalement l’ARN ne peut pas devenir de l’ADN… sauf dans des cas très précis, celui de la présence d’une enzyme spécifique, la transcriptase inverse.

Cette capacité à « rétrotranscrire » de l’ARN dans notre ADN est une spécificité de certains virus, comme celui du VIH.

Ce risque a été identifié puisque les notices des vaccins Pfizer et Moderna excluent explicitement les patients atteints du VIH des candidats à l’injection.

« Ah, mais si je n’ai pas le VIH, je ne risque rien alors ? ».

Pas si vite… car le VIH n’est pas le seul virus capable de produire cette enzyme susceptible d’intégrer de l’ARN à notre ADN.

Il y en a d’autres, moins bien connus, comme ceux de la famille des spumavirus.

Certains spumavirus ont été détectés chez certains patients atteints de maladies auto-immunes et/ou neurologies comme la sclérose en plaques, mais ces virus restent mal connus car ceux-ci sont pour la plupart asymptomatiques[15].

A présent, lisez attentivement ce qui suit : personne, ni vous ni moi, n’avons le moyen de savoir si nous sommes porteurs d’un spumavirus humain.

Pour deux raisons très simples :

  • Comme je vous le disais, les patients humains infectés ne développent pour l’immense majorité pas de symptômes[16](et donc pas à proprement parler de maladie) ;
  • Il n’existe pas de test standard de détection de ce virus.

Il y a, je vous rassure, assez peu de probabilités pour que vous hébergiez un spumavirus humain. Mais si l’on sait que ce virus circule, on ignore complètement à quelle échelle !

Cependant, ce « pouvoir » qu’a le spumavirus humain de retranscrire l’ARN en ADN en a fait depuis à peu près vingt ans un candidat pour servir de support… aux thérapies géniques[17].

Je reprends donc : ces virus sans symptômes ayant le pouvoir de retranscrire dans notre génome des fragments d’ADN, l’injection d’un vaccin à ARN comme ceux de Pfizer et Moderna présente donc bel et bien un risque – minime mais réel et surtout non maîtrisable – d’intégration d’ADN viral à notre génome !

Il s’agit ni plus ni moins d’un vertigineux saut dans l’inconnu  !

Peut-être l’avenir dira que nous nous sommes inquiétés pour rien.

Mais pour l’instant c’est factuel : nous ne disposons d’aucun recul sur les effets ADN à long terme des vaccins Pfizer et Moderna.

D’ailleurs le saviez-vous ? Ces vaccins sont officiellement en phase d’essai clinique jusqu’en janvier 2023[18], sans doute pour cette raison ; toute personne recevant une de leurs doses maintenant accepte d’être… un cobaye.


https://www.agoravox.fr/commentaire5972560

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revoir les explications de Christian VÉLOT sur les vaccins:

Covid-19 : Les Technologies Vaccinales à la loupe (Vidéo)

26 décembre 2020

Suite à sa note d’expertise grand public sur les vaccins faisant appel aux biotechnologies, le Dr Christian VÉLOT*, généticien moléculaire à l’université Paris-Saclay et Président du Conseil Scientifique du CRIIGEN, propose une vidéo didactique sur les différents types de vaccins contre la COVID-19, et en particulier ceux de dernière génération avec les risques potentiels qu’ils peuvent engendrer.

* : Enseignant-chercheur du Service Public, Christian VÉLOT déclare n’avoir aucun conflit d’intérêt.

https://criigen.org/covid-19-les-technologies-vaccinales-a-la-loupe-video/
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« ceux qui produisent tout n’ont rien et ceux qui ne produisent rien ont tout » Marius, Alexandre Jacob

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