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L'intitulé "Juste mon opinion" s'applique à la politique, la philosophie, la religion, l'esthétisme, l'humour ... Mais "ça m'intéresse" aurait tout à fait convenu comme titre pour ce blog étant donné les nombreux autres thèmes abordés et les articles encyclopédiques : sur l'histoire, les sciences, etc, sans oublier les sports. La plupart des articles sont issus de recherches sur le net et de lectures personnelles. Sources indiquées en fin d'article.
32 commentaires:
La parole économique n'a jamais été libre.
On vous dit ce que vous devez entendre; surtout pas de choses qui fâchent.
On vous présente des chiffres qui sont à la limite de la manipulation (par omission de ce qui ne va pas).
En Allemagne, on vire des gens des listes du chômage parce qu'ils ont travaillé deux heures par mois.
Et après, on prend l'Allemagne en exemple pour sa lutte contre le chômage.
En réalité, 90% des emplois créés depuis plusieurs années sont des emplois à temps partiel.
Si l’État ne dit pas au grand public ce qui se passe réellement, c'est pour éviter qu'on ressorte les guillotines.
"Un mouton, pour le tondre, il faut éviter qu'il bouge."
Dans tous les pays, on a un budget déficitaire excessif.
La dette d’État, c'est de l'impôt différé.
Aujourd'hui, il n'y a plus de croissance sans dette.
Pour 1 ou 2% de croissance, il y a 5% de dette supplémentaire.
C'est de la croissance achetée; une dette pour le futur.
En France, en ajoutant dette publique et dette privée, on est à 300 ou 350% du PIB ! C'est intenable !
Aux États-Unis d'Amérique, il y a les très riches et les pauvres.
En France, ce sera la même chose : la classe moyenne va disparaître à ce rythme.
L'Allemagne a beaucoup profité de l'euro.
L'Allemagne et le Japon sont de gros exportateurs.
Le président Macron est un président d'opérette.
"Sa" loi travail est la transposition des directives (union-)européennes.
Le vrai président de tout ça, c'est madame Merkel.
C'est elle qui a les sous; c'est elle qui commande.
C'est la Banque Centrale Européenne qui dirige la politique monétaire et c'est madame Merkel qui dirige la politique économique et sociale.
En 2014, les chiffres de la prostitution (!) et de la drogue (!) ont été intégrés dans le PIB (produit intérieur brut) de l'Espagne ... Et cela représente 0,8 à 0,9% du PIB. C'est donc trompeur par rapport aux autres pays.
Emmanuel Macron n'est pas un banquier, c'est un employé de banque.
Son passage à la Banque Rothschild s'est résumé à du "private equity" pour lequel il suffit d'avoir un joli carnet d'adresses et d'organiser des diners entre clients (par exemple un acheteur et un vendeur).
Le système bancaire, c'est le plus beau modèle économique au monde (ironie) ; c'est : "face je gagne, pile tu perds".
Quand ça gagne, c'est pour les actionnaires avec des commissions pour les traders et le patron de la banque.
Quand ça perd, c'est pour les contribuables (avec la complicité des États) ou, maintenant, pour les déposants !
Les fonds propres des grosses banques européennes (Société Générale, Deutsche Bank, etc.) sont de l'ordre de 50 milliards d'euros.
Mais leurs actifs sont, eux, de l'ordre de 1500 milliards d'euros.
Et pour tout ce qui est produits dérivés (matières premières, actions, produits financiers, etc.), donc hors bilan des banques, là, c'est de l'ordre de 30.000 milliards d'euros à chaque fois !
Or le risque, l'exposition, porte sur environ 10% de ces produits dérivés soit 3000 milliards (une fois et demi le PIB français ! ... sur chaque banque !).
Donc oublions les fonds avec 2, 5 ou 10 milliards de sécurité car c'est juste ridicule !
En 2008-2009, au lieu de laisser les banques qui avaient fait des bêtises s'effondrer, on [les États, la banques centrales] est intervenu. On a donc empêché la "destruction créatrice". Aujourd'hui, on tient à bout de bras des choses qui ne sont absolument pas rentables.
Au lieu de maintenir artificiellement (avec des crédits accordés à des personnes insolvables) en vie des secteurs d'activités (comme l'automobile), on aurait mieux fait d'utiliser cet argent pour former les gens à faire autre chose.
Olivier Delamarche est amusé de voir les gens se précipiter sur les cryptomonnaies parce qu'ils n'ont pas confiance dans leur monnaie électronique (dollar, euro, etc.).
Pourtant, ce qui est électronique n'est pas sûr puisque ceux qui ont de mauvaises intentions ont toujours un coup d'avance.
En plus quelle valeur cela a quand n'importe quel gars doué en informatique peut créer sa monnaie dans son coin. Qu'est-ce que ça vaut ? Cela ne vaut rien.
Ne prenez pas ça pour une réserve de patrimoine.
Ce n'est pas un actif réel. C'est du casino. Un jeu.
Le Bitcoin est une ligne de code, un support spéculatif. Rien de plus.
Il faut arrêter la surcroissance, la surconsommation. Le système financier a besoin de ça mais cela a atteint des proportions grotesques.
Il faudrait éviter l'hyper-spécialisation des pays. Il faudrait que les pays soient quasi-autonomes (industries, services, etc.).
Le système financier est la bête qui refuse de mourir.
Les populations vieillissent. On ne consomme plus à 70 ans comme à 25 ou 30. En plus, les retraites baissent alors la consommation baisse aussi.
Le Japon vieillit, avec vingt ans d'avance sur la France. Ils sont 126 millions actuellement, ils seront 90 millions en 2050.
L'économie du partage (troc d'un service contre un autre) est une façon de sortir de l'impôt et de se passer des transactions monétaires.
Une PME en France va être taxée à 33%. Et encore taxée, au niveau des particuliers, sur les dividendes.
En Irlande, l'Union Européenne a mis en place un système économique où les entreprises (du monde entier) qui voudront bien s'y installer, sont taxées à 6 ou 8%, et même moins si elles négocient bien.
C'est là qu'est l'évasion fiscale; et elle coûte des centaines de milliards.
Par qui sont financés les hommes politiques ? Par les grandes entreprises ! Les hommes politiques n'ont pas du tout envie de changer quoi que ce soit, de se fâcher avec ceux qui les financent.
Le terme assouplissement quantitatif - traduction de l'anglais de Quantitative easing (QE) - désigne un type de politique monétaire dit « non conventionnel » consistant pour une banque centrale à racheter massivement des titres de dettes aux acteurs financiers, notamment des bons du trésor ou des obligations d'entreprise, et dans certaines circonstances des titres adossés à des actifs comme des titres hypothécaires.
Les banques centrales ont recours à ce genre de pratique dans des circonstances économiques exceptionnelles, telles que des crises économiques et financières de grande ampleur. Plus particulièrement, le QE est utilisé dans une situation de trappe à liquidité, c'est-à-dire lorsque les taux directeurs sont déjà très bas et ne parviennent plus à assurer une hausse des prix suffisante. Le QE vise à inciter les banques à faire plus facilement crédit - la banque centrale assumant parfois les risques en leur rachetant leurs créances - pour relancer ainsi la production et l'emploi. Le QE accroît ainsi la quantité de monnaie en circulation ce qui a pour effet en théorie de relancer l'économie et de maintenir l'inflation à un niveau correct afin d'éviter tout risque de déflation.
Bien que le rachat de titres sur les marchés soit une pratique courante pour les marchés (via les opérations d'open market), le caractère non conventionnel du quantitative easing tient à la taille et la durée du programme. Dans le cadre d'un programme de QE, la banque centrale s'engage à racheter un volume massif d'actifs financiers, et ceci pour une durée de plusieurs années. L'effet d'annonce joue donc également un rôle important dans le fonctionnement de cette politique.
Le quantitative easing se traduit par un gonflement du bilan de la banque centrale - son actif augmentant avec les titres achetés, la monnaie utilisée pour le faire - qu'elle créé ex nihilo - se rajoutant à son passif.
Les mesures non conventionnelles adoptées par la Banque du Japon entre 2001 et 2006 suite à la "Décennie perdue" des années 1990, constitue le premier exemple de mise en place d'une politique d'assouplissement quantitatif à grande échelle. La crise financière de 2008 a ensuite marqué l'avènement des politiques non conventionnelles qui ont été mises en place sous différentes formes par la Fed, la BCE, la Banque d'Angleterre et de nouveau la Banque du Japon.
Il ne faut pas faire confiance à son banquier, ne pas faire confiance à son assurance-vie ("des trucs de plus en plus pourris"), ...
Le système va s'effondrer et Olivier Delamarche espère qu'il y aura un réel ménage dans le système économique et politique.
Un changement de système monétaire mondial va probablement arriver.
Il va se "dé-dollariser"; notamment pour l'achat du pétrole.
On en parle depuis des années.
Certains pays s'y préparent parce qu'ils en ont marre de se faire rançonner par les États-Unis.
C'est la raison pour laquelle la Chine achète tout l'or physique qu'elle peut.
Les "éconoclastes" essaient d'informer les gens pour ne pas les laisser aux mains de quelques organes de presse qui leur racontent ce qu'ils veulent bien leur raconter.
Voir l'équipe complète à : http://leseconoclastes.fr/biographies/
Quelques noms : Philippe Béchade, Pierre Sabatier, Nicolas Chéron, Olivier Delamarche, Olivier Berruyer, Thomas Veillet, Loic Schmid, Stéphane Dubois, Nicolas Meilhan, Jacques Sapir, Steen Jakobsen, Pierre Conesa, Liliane Held-Khawam ...
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