dimanche 15 janvier 2017

Le Saviez-Vous ?

Les lignes de vos chèques sur lesquelles vous écrivez le nom du destinataire ; la somme ; la date ainsi que le lieu ne sont pas réellement des lignes. C’est en réalité une petite partie du discours de Robert Schuman du 9 mai 1950 ultra européiste.

On peut y lire la phrase suivante : « L’Europe ne se fera pas d’un coup, ni dans une construction d’ensemble. Elle se fera par des réalisations concrètes, créant d’abord une solidarité de fait. »


Ce matin, au hasard de mes recherches je tombe sur une vidéo (de 2008) qui nous explique qu’il y aurait des messages subliminaux sur les chèques. Oh ????  Il faut que je vérifie  J’ai donc scanné un chèque de la BNP avec mon scanner en noir et blanc avec une résolution de 1200 dpi. Ce qui permet de faire un agrandissement important à l’écran et de voir des détails.
Stupéfaction ! C’est vrai il y a des lettres en continu qui forme les lignes nous servant à écrire droit.
Bon, après tout c’est peut être aléatoire, une sorte de sécurité comme les filigranes. Sauf que ces lettres donnent un phrase, et que cette phrase n’est pas anodine. Bon ce n’est pas un message subliminal, mais plutôt un clin d’œil très déplacé comme vous le verrez dans la suite de l’article. Je ne cède pas à la paranoïa.
L’Europe ne se fera pas d’un coup, ni dans une construction d’ensemble : elle se fera par des réalisations concrètes créant d’abord une solidarité de fait.


Solidarité de fait = une guerre entre nation permet de faire accepter après coup plus facilement les unions nationales. De même qu’une bonne crise économique manipulée depuis Wall Street permet de justifier une union budgétaire totale dans le prolongement de la monnaie commune…. Bref, cette solidarité de fait, elle se fabrique en créant les conditions favorables (guerres, crises financières, crises politiques….)

Il s’agit d’une citation de Robert Schuman du 9 mai 1950. Qui est cet homme ?
  • Après l’offensive allemande du 10 mai 1940, Robert Schuman estime dès le 12 juin qu’il « faut mettre bas les armes ». On pourrait se dire que déposer les armes est une sage décision. Sauf que le livre d’Annie Lacroix Riz nous démontre qu’il y avait au sein de la France un complot destiné à mettre en place un régime anti Front Populaire. Bref, la Synarchie conduite par les régents de la Banque de France et la l’industrie ont tout fait pour pousser la France à l’abandon face à l’invasion. (Voir Le Choix de la Défaite d’Annie Lacroix Riz). Bref, le gouverment Pétain était attendu par cette synarchie de banquiers et de puissant patrons de l’industrie.

https://www.youtube.com/watch?v=aoUatq7UdG4
  • Le 16 juin 1940, il est confirmé à son poste de sous-secrétaire d’État et fait ainsi partie du premier gouvernement Pétain. Et le 10 juillet Schuman vota les plein pouvoirs à Pétain comme de nombreux députés. Et voilà notre homme a fait partie du gouvernement de Pétain….. hum les choses se précisent….
Poursuivons un peu nos recherches : 
Après la guerre il devient ministre des affaires étrangères de 1947 à 1952. Il fut un des grands négociateurs de tous les traités majeurs de la fin de la Seconde Guerre mondiale (Conseil de l’Europe, pacte de l’Atlantique Nord, CECA, etc.)
Le 19 septembre 2000, le journal Daily Telegraph de Londres, par la voix d’Ambrose Evans-Pritchard, annonce que les archives dé-classifiées de l’administration Américaine pour les années 50 et 60 montrent que Paul-Henri Spaak, Robert Schuman et d’autres personnalités importantes dans les origines de la construction européenne étaient « employés » par les services américains. Le journaliste explique que la communauté des services secrets a camouflé son action et a fait transiter des fonds par le biais des fondations Rockefeller et Ford, ce qui a été confirmé par la revue Historia en 2003.
Les notes déclassés des archives révèlent aussi que les Américains recommandaient à leur agents (dont Schuman) d’éviter tout débat sur la construction européenne jusqu’a ce que cela deviennent inévitable.
Ils recommandaient aussi de poursuivre l’Union monétaire à la dérobée…
Extrait Vidéo d’une conférence de François Asselineau : Qui gouverne réellement la France.
 https://www.youtube.com/watch?v=tbXc8aQytSs

Conclusions : 
La citation cachée sur nos chèques est une citation d’un ancien du gouvernement de Pétain, un ancien « agent dont les idées sont financées » par des services secret américains chargés d’activer (en évitant tout débat) la construction européenne et la monnaie commune.
Il est temps que je demande à mon banquier ce que vient faire cette citation déplacée liée à Pétain, aux services secrets américains et sans débat, bref anti démocratique…) Il va me répondre que c’est une sécurité anti-contrefaçon. La bonne blague ! Si avec un scanner à 50 € nous sommes capables de décrypter le texte, je ne vois pas où se trouve la sécurité. Non sans rire, les chèques ne posent pas de gros problème de sécurité, ils sont nominatif, signés, avec un numéro de compte, numéro de chèque, et à l’encaissement ces informations sont largement suffisantes pour détecter un faux. Quant à la caissière, comment peut-elle prendre le temps de vérifier avec son scanner la validité d’un chèque ? Je n’ai encore jamais vu de caissière sortir sa loupe… De plus,
Le paiement par chèque est soumis au décret-loi du 30 Octobre 1935. IL est possible de réaliser un chèque sur papier libre si votre banque vous y autorise (cf. contrat bancaire signé).

Les obligations d’écriture pour un chèque sur papier libre sont :

  • La mention « chèque »
  • La somme précisée en chiffres et en lettres
  • Le nom du tiré (banque)
  • Le nom et coordonnées bancaires de l’émetteur
  • Le lieu de paiement
  • La date de création du chèque
  • Le nom du bénéficiaire
Les problèmes liés au chèque sur papier libre seront la longueur du traitement, la possible réticence de l’acquéreur et l’absence de traces (numéro de chèque).
Décret-loi du 30 octobre 1935 – Art. 65-3 à 77 à http://www.adagio.com.fr/consomed/FRCO0630.HTM
Après tout, cette citation clin d’œil par les banques ne nous étonnent pas.
Le banques ont profité à merveille de l’Europe de Maastricht et de l’article 104, aujourd’hui devenue art 123 de Lisbonne. Et oui, grâce à cet article les États d’Europe n’ont plus le droit d’émettre de la monnaie. Toute création monétaire est devenue le monopole des banques privées qui récoltent des intérêts sur les dettes. Bref, l’Europe est un énorme business pour les banques, un business très rentable. 
Nous vivons une période de fausse crise économique dans le sens ou les banques fabriquent les dettes à partir du néant et poussent à plus d’Europe ou de fédéralisme comme disent nos politiciens voyous. D’ailleurs n’est-ce pas François Hollande qui rêve que tous les pays mettent leurs dettes au pot commun ? Allez youpla, allons voir si nos voisins sont d’accord pour mettre nos dettes en commun !
Il y a une réelle volonté des élites politiques et des banquiers de dépasser le stade de la monnaie unique. Le plan : c’est un budget unique pour toutes les nations d’Europe, des dettes collectives, et bien sur chaque pays devra fermer sa g……. puisque les budgets seront décidés en haut lieu par des commissaires non élus  à Bruxelles. Nos faux députés Européens n’auront plus qu’à signer des 2 mains les yeux fermés ou faire semblant de pleurer sur les plateaux de télévision.
Et un jour, à ce train-là, les états nations auront disparu, la démocratie, du moins les miettes existantes, auront été avalées par un nouvel ordre mondial où l’ONU, le FMI, l’OMS, l’ OMC…. deviendront les supers ministères non élus une fois encore.
Annexes :

Sourcehttp://info-resistance.org/2012/08/quy-a-til-decrit-sur-les-cheques-en-tout-petit-petit/

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