Tu peux continuer d'y croire encore mon ami et pourquoi pas aller voter à des élections ou , tiens, pourquoi pas des référendums. C'est vrai que ça rassure un peu de se sentir acteur, mais d'une façon ou d'une autre, le monde artificiel dans lequel on vit est en sursis et ceci quoi que l'on nous promette, est inéluctable.
Toi même tu le
sais, tu le sens depuis que t'es tout petit, on va dans le mur, mais tu
essaies de te rassurer en espérant que ça viendra pas de ton temps, que
ça tienne au moins jusqu’à la retraite ; normal chacun aspire à la paix,
mais on est déjà en guerre, enfin des gens sont déjà en guerre contre
nous.
Y'a une phrase que j'aime beaucoup et qui dit que de faire pousser sa salade c'est comme imprimer ses billets de banque. Je la trouve tellement juste de simplicité et elle risque de prendre de plus en plus de sens à l'avenir...
Les denrées fraîches vont devenir un luxe accessible uniquement en gros par les industriels qui les réduiront en bouillies avant de nous la refourguer sous différente s formes de plats préparés et on leur dira bien merci. Je pense à cette méga-ferme-usine de 40 hectares dont 25 hectares de serres chauffées en train de sortir de terre en France et qui produira des tonnes de tomates/jour avec très peu de main d’œuvre pendant que nos jeunes ont peur de s'installer à cause des surfaces minimum ou des normes rédhibitoires.
Les forêts ont doublé en France depuis un siècle, enfin les friches agricoles seront bientôt des forêts que les grands groupes d’investissements pourront se partager pour les échanger contre des crédits carbone, ces mêmes terres qui, avant, nous fournissaient tout ce dont on avait besoin et sans avoir besoin de la souiller.
Maintenant vous pouvez continuez de croire que la science ou la politique viendront tout arranger mais bon, aujourd'hui, ça relèverait quand même du syndrome de Stockholm.
Des solutions rapides, universelles et sans douleur n'existent pas, personnellement j'en vois pas des masses, l'exode urbain, l'agriculture vivrière et le retour à l'artisanat, bref à l'autonomie. Et ne venez pas me dire "ça marchera pas pour 65 millions de personnes", déjà parce que c'est la meilleure excuse pour ne jamais rien faire et surtout parce que j'ai jamais dit qu'on sauverait tout le monde...
Bonne (r)évolution à tous amis terriens...
Giovani Maori
Y'a une phrase que j'aime beaucoup et qui dit que de faire pousser sa salade c'est comme imprimer ses billets de banque. Je la trouve tellement juste de simplicité et elle risque de prendre de plus en plus de sens à l'avenir...
Les denrées fraîches vont devenir un luxe accessible uniquement en gros par les industriels qui les réduiront en bouillies avant de nous la refourguer sous différente s formes de plats préparés et on leur dira bien merci. Je pense à cette méga-ferme-usine de 40 hectares dont 25 hectares de serres chauffées en train de sortir de terre en France et qui produira des tonnes de tomates/jour avec très peu de main d’œuvre pendant que nos jeunes ont peur de s'installer à cause des surfaces minimum ou des normes rédhibitoires.
Les forêts ont doublé en France depuis un siècle, enfin les friches agricoles seront bientôt des forêts que les grands groupes d’investissements pourront se partager pour les échanger contre des crédits carbone, ces mêmes terres qui, avant, nous fournissaient tout ce dont on avait besoin et sans avoir besoin de la souiller.
Maintenant vous pouvez continuez de croire que la science ou la politique viendront tout arranger mais bon, aujourd'hui, ça relèverait quand même du syndrome de Stockholm.
Des solutions rapides, universelles et sans douleur n'existent pas, personnellement j'en vois pas des masses, l'exode urbain, l'agriculture vivrière et le retour à l'artisanat, bref à l'autonomie. Et ne venez pas me dire "ça marchera pas pour 65 millions de personnes", déjà parce que c'est la meilleure excuse pour ne jamais rien faire et surtout parce que j'ai jamais dit qu'on sauverait tout le monde...
Bonne (r)évolution à tous amis terriens...
Giovani Maori
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