L'intitulé "Juste mon opinion" s'applique à la politique, la philosophie, la religion, l'esthétisme, l'humour ... Mais "ça m'intéresse" aurait tout à fait convenu comme titre pour ce blog étant donné les nombreux autres thèmes abordés et les articles encyclopédiques : sur l'histoire, les sciences, etc, sans oublier les sports.
La plupart des articles sont issus de recherches sur le net et de lectures personnelles. Sources indiquées en fin d'article.
Après Epicure - De l'éthique à la politique
Épicure vivait avec une communauté d'amis (ouverte aux hommes libres, aux femmes –y compris prostituées- et aux esclaves) dans le Jardin (son école philosophique créée en 306 avant Jésus-Christ) près d’Athènes, en Grèce.
Il enseignait les moyens de parvenir au plaisir par la suppression des douleurs et des angoisses. Santé du corps et sérénité de l’esprit. Sa méthode consistait à identifier les besoins naturels et nécessaires, et de tempérer ou rejeter les autres, sources de frustration et de violences.
Bien qu’Épicure recommande de « vivre caché » et de ne pas s’impliquer dans la vie politique, ses successeurs, les philosophes épicuriens de l'époque romaine, les philosophes du siècle des Lumières ou les penseurs contemporains se sont progressivement orientés vers un épicurisme politique : un bien-être étendu à la société.
Quelle pourrait être la société idéale, aujourd'hui ou demain, selon les préceptes du sage antique ?
Au sommaire de cette compilation : - Préambule. Nous sommes mus par les sentiments. - Qu'est-ce que la beauté ? Réponse de l'éthologie. Et des dizaines d'exemples illustrés regroupés en quatre catégories : - Belles - Belles et sportives - Belles de la BD - Beaux gosses. Au format "livre papier glacé" sur : Lulu.com
Juste mon opinion 2014
Articles et commentaires du blog "Juste mon opinion" pour l'année 2014 ; au format livre papier glacé.
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Juste mon opinion 2013
Articles et commentaires du blog "Juste mon opinion" pour l'année 2013 ; au format livre papier glacé.
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Juste mon opinion - 2012 - Second Semestre
Articles et commentaires du blog "Juste mon opinion" pour le second semestre de l'année 2012 ; au format livre papier glacé.
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Juste mon opinion - 2012 - Premier semestre
Articles et commentaires du blog "Juste mon opinion" pour le second semestre de l'année 2012 ; au format livre papier glacé.
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Juste mon opinion - Année 2011
Articles et commentaires du blog "Juste mon opinion" pour l'année 2011 au format livre papier glacé.
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Juste mon opinion - Année 2010
Articles et commentaires du blog "Juste mon opinion" pour l'année 2010 au format livre papier glacé.
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Juste mon opinion - Année 2009
Articles et commentaires du blog "Juste mon opinion" pour l'année 2009 au format livre papier glacé.
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Juste mon opinion - Année 2008
Articles et commentaires du blog "Juste mon opinion" pour l'année 2008 au format livre papier glacé.
Source: Lulu.com
Juste mon opinion - Année 2007
Articles et commentaires du blog "Juste mon opinion" pour l'année 2007 au format livre papier glacé.
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Le Temple du Lotus, sis à Bahapur, un faubourg sud de Delhi, en Inde, est une des 8 principales maisons d’adoration bahá’ies.
Il est considéré comme le 'Temple-mère' d’Asie du Sud. C’est un
monument qui se veut ouvert à toutes les croyances. Indépendamment de
son caractère religieux, cette remarquable œuvre architecturale a reçu
de nombreux prix.
Sur un terrain acquis en 1953, l’architecte iranien Fariborz Sahba, construit pour l’Association bahá’ie indienne un temple en forme de fleur de lotus, un symbole de pureté indissociablement liée à l’esprit religieux en Inde. Le chantier est ouvert en 1980 et, le 24 décembre 1986, l’édifice est officiellement consacré au Dieu Un, à l’Unité de la Religion et de l’Humanité.
Conçue comme fleur de lotus à peine entrouverte, l’œuvre comprend 27 pétales sur 9 côtés (chiffre symbolique important pour la foi bahá’ie),
recouverts de marbre. L’intérieur est principalement un vaste auditoire
permettant des assemblées de plus de 1 300 personnes. Seules les
saintes écritures de la foi bahá’ie et des autres Révélations divines
antérieures peuvent être publiquement lues ou récitées dans cette grande
salle de prière. Aucun rituel religieux ne peut y être accompli. Tout y porte à la méditation silencieuse personnelle. Comme se dessinent certaines obédiences qui peuplent l’Inde telles Auroville, le temple se veut ouvert à toutes les religions.
Sous les pétales extérieurs se trouvent les pièces annexes : réception, bibliothèque,
salles d’expositions ou de conférences. Autour du bâtiment, neuf pièces
d’eau recréent le cadre habituel du lotus, une fleur d’étang. Des
jardins à la Le Nôtre conduisent au Temple légèrement surélevé, donnant au bâtiment une perspective fort dégagée.
Le revenu universel est un revenu versé par une communauté politique
à tous ses membres, sur une base individuelle, sans contrôle des
ressources ni exigence de contrepartie (selon la définition du Basic Income Earth Network). Cette proposition est aussi appelée "revenu de base".
Définition
Certaines définitions de l'allocation universelle sont plus
restreintes et nécessitent par exemple un montant permettant de
satisfaire les besoins primaires d'une existence, ou remplacent tous les transferts sociaux par l'allocation universelle1. Ces termes sont parfois aussi repris pour des mesures qui, proches de l'impôt négatif,
versent cette allocation selon la situation des ménages, ou qui
incluent des contreparties, et qui ne sont donc pas des formes
d'allocation universelle selon la définition du BIEN1,.
L'allocation universelle a été expérimentée notamment au Canada, en Inde ou en Namibie. L'Alaska a mis en place l'Alaska Permanent Fund,
une forme particulière d’allocation universelle basée sur les revenus
miniers et pétroliers de l'État. L'allocation universelle est défendue
au niveau mondial par des politiques allant des altermondialistes aux libertariens, des universitaires, des personnalités et des associations notamment regroupées au sein du BIEN.
Les arguments invoqués pour sa mise en œuvre vont de la liberté et de l'égalité à la réduction de la pauvreté, au combat contre des conditions de travail inhumaines, à l'amélioration de l'éducation et à la réduction de l'exode rural et des inégalités régionales. L'allocation universelle peut aussi être justifiée comme un dividende monétaire ou crédit social reçu par chacun lié à la propriété commune de la Terre et à un partage des progrès techniques passés. Cette mesure permet aussi de lutter contre le chômage et d’améliorer la flexibilité du marché du travail en luttant contre les trappes à pauvreté créées par les mesures de type revenu minimum ou impôt négatif.
Montant
Selon Liêm Hoang-Ngoc deux branches existent pour l'allocation universelle : une marxiste et une libérale; la branche marxiste « s'appuie sur les Grundrisse,
ces textes où Karl Marx imagine le développement d'une société où
l'humanité sera sortie du salariat et où les machines seules assureront
la création de richesses, qui seront reversées sous la forme d'un revenu
socialisé universel »3.
La branche libérale considère qu'il convient d'accorder une certaine
somme d'argent aux citoyens, mi-filet de sécurité, mi-capital de départ,
pour qu'ils puissent consommer et participer à la vie de la société. À
chacun, ensuite, d'organiser ses dépenses comme il l'entend.
Des montants faibles sont donc plutôt libéraux et peuvent être liés à
une privatisation de l'éducation, de la santé et tous les autres
services publics. En outre, selon Jean-Pierre Mon :
« Un revenu d'existence très bas est, de
fait, une subvention aux employeurs. Elle leur permet de se procurer un
travail en dessous du salaire de subsistance. Mais ce qu'elle permet aux
employeurs, elle l'impose aux employés. Faute d'être assurés d'un
revenu de base suffisant, ils seront continuellement à la recherche
d'une vacation, d'une mission d'intérim, donc incapables d'un projet de
vie multi-active. »
Des montants plus élevés permettent de vivre décemment de la seule
allocation universelle, mais peuvent soulever des incertitudes sur la
participation au travail et des problèmes de financement. Pour Jacques Marseille :
« Le pari de l'allocation universelle est que
l'insertion sociale ne peut se construire sur la contrainte mais sur la
confiance placée dans les bénéficiaires de ce nouveau droit. Une
utopie, sans doute, pour tous ceux qui n'accordent aucune confiance aux
individus et pensent que seule la contrainte de "gagner son pain à la
sueur de son front" est le meilleur garde-fou contre la paresse. Un pari
sur l'intérêt et la nature humaine pour tous ceux qui pensent au
contraire qu'un individu préférera toujours cumuler ce revenu à un autre
salaire, surtout quand ce salaire correspondra à un travail qu'il aura
librement choisi. »
Les partisans de l'allocation universelle qui souhaitent lui
attribuer un montant faible veulent qu'elle soit identique pour tous les
êtres humains résidents, alors que ceux qui souhaitent lui attribuer un
montant très élevé ne visent en général qu'une partie de la population
comme les seuls adultes, ou prévoient plusieurs montants différents, par
exemple en fonction de l'âge, le montant indiqué étant le plus élevé de
la liste.
Le montant varierait en France selon plusieurs propositions :
Christine Boutin : 200 € de 0 à 18 ans et 400 € à partir de 18 ans ;
Site critiqueduliberalisme.com : 500 € de 0 à 13 ans, 750 € de 13 à 18 ans, 1 000 € de 18 à 60 ans et 2 000 € au-dessus de 60 ans (incluant les prestations retraite).
Financement
Par redistribution
En Allemagne, selon le modèle de l'ancien président du conseil des ministres de Thuringe, Dieter Althaus
(CDU), l'allocation universelle coûterait annuellement à l’État 583
milliards d'euros, mais ce système est alors conçu comme venant en
remplacement de l'actuel système d'aide sociale, qui coûte 735
milliards. Donc l'allocation universelle selon le modèle « althausien »
serait moins coûteuse pour les finances publiques que le système actuel.
Certains
considèrent que l’allocation universelle devrait être alimentée par un
prélèvement économiquement le plus neutre possible, en particulier pour
ne pas peser de façon trop ciblée sur le coût du travail, afin de préserver la compétitivité de la zone concernée.
Un autre type de financement de cette allocation universelle se
ferait notamment par une imposition sur les revenus et sur la
consommation (TVA).
Ainsi, tous les ménages, y compris les plus pauvres, payeraient un
impôt. D'une manière générale, il n'y a pas de raison de créer un impôt
spécifique pour financer l'allocation universelle : il suffit de la
faire financer par l’État selon le principe de non affectation des
ressources aux dépenses.
Marc de Basquiat
développe une proposition selon laquelle l'allocation universelle prend
la forme d'une réforme de l'impôt sur le revenu qui serait transformé
en IURR (impôt universel de redistribution des revenus). Les 280
milliards d'euros de la redistribution actuelle seraient redirigés vers
un impôt négatif versé à tous, avec un montant variable selon l'âge, financé par un prélèvement uniforme de 30 % sur tous les revenus.
Pour Philippe Van Parijs
le financement de l'allocation universelle doit contribuer à l'équité
et diminuer les inégalités. Doivent être taxés les dons et héritages, la
pollution et les revenus marchands.
En effet la pollution détériore le sort des générations futures alors
qu'elle est principalement le fait des couches les plus aisées.
L'emploi est devenu une ressource rare et très inégalement répartie.
Majoritairement il fournit des avantages directs et indirects enviables.
L'équité exige que la valeur des privilèges attachés à l'emploi soit
égalitairement distribuée. D'où la taxation des revenus professionnels,
et plus largement de tous les revenus marchands.
Par création monétaire
Selon le modèle du Crédit social, le coût serait nul, l'allocation n'étant que la répartition équitable de l'augmentation de la masse monétaire nécessitée par la croissance de la valeur des biens et services échangés. Ce modèle nécessite toutefois la ré-appropriation par l'état de la fonction régalienne de création monétaire.
Plus récemment, le journaliste et économiste Anatole Kaletsky défend l'idée selon laquelle les banques centrales devraient faire de l'assouplissement quantitatif pour le peuple, plutôt qu'à travers le système bancaire, en rachetant des actifs financiers.
Selon cette idée, la banque centrale pourrait injecter de la nouvelle
monnaie dans l'économie directement en versant de l'argent dans les
comptes bancaires des citoyens. Selon lui, il se pourrait que cette
proposition gagne du terrain prochainement.
Par les revenus des biens communs
Différents mécanismes basés sur la compensation des externalités négatives ont été proposés.
Pour Peter Barnes(entrepreneur) les biens communs, tels que les ressources naturelles, les services écologiques, les biens culturels, la solidarité, etc. devraient, pour les mettre à l'abri d'une appropriation, être « propriétisés » et leur gestion confiée à des fiducies.
Le but de ces fiducies serait de maintenir au moins la valeur de ces
biens pour les générations futures et de distribuer le surplus à la
génération présente.
Pour On The Commons le marché des droits à polluer (cap and trade) est un système moins efficace qu'un système de dividende universel financé par les droits à polluer (cap and dividend).
Voir également : "Le Revenu de Base | Film version Française"
« Un revenu, c'est comme l'air sous les ailes de l'oiseau ! ». C'est
ainsi que commence le film. Est-ce que ce revenu devrait être
inconditionnel pour chacun ? Est-ce possible, un droit civique
économique ?
Le film est captivant, il fait réfléchir, il touche
et met le doigt sur ce qui est raisonnable. Il permet de voir la
situation de la société et le devoir de l'argent sous un jour nouveau.
Un thème d'une actualité brûlante.
L'automatisation
a dépossédé d'une part de l'initiative au travail (tout en créant
cependant de nouveaux métiers, plus qualifiés mais moins nombreux,
reposant sur le savoir (économie de la connaissance).
Concernant certains pays d'Europe, après une période d'amélioration et de progrès, les Trente Glorieuses de 1945 à 1975, diverses causes attribuées à l'informatisation a engendré une société qui renoue avec le sous-emploi.
Le XXIe siècle s'ouvre avec la robotisation
qui ne peut que supprimer certains emplois moins qualifiés tout en en
créant de nouveaux pour mettre en place cette robotisation et sa
maintenance.
Ceux qui pensent que la balance penche en faveur d'un sous-emploi
chronique souhaitent repenser le modèle de fonctionnement des sociétés
humaines qui jusqu’à présent reposent sur la notion de plein emploi. La
solution passerait par une augmentation de la productivité et une baisse du temps de travail, afin d'augmenter le temps libre qui permettrait de faire croître la consommation, la création et le lien social. Certains proposent en parallèle la mise en place d'un revenu universel perçu par tous, pouvant être complété pour ceux qui le choisiraient par un travail rémunéré (salarié ou indépendant).
Vidéo publiée par L'Express le 27 mars 2013
Les chiffres du chômage sont tombés et ils ne sont pas bons pour le 22e mois consécutif. Avec 3 187 700 d'inscrits sans activité, le triste record de 1997 est frôlé. Le zapping des matinales.
Le papillon de mer ou clione (Clione limacina) est un petit mollusque marin. Il s'agit d'un petit mollusque sans coquille, translucide, d’environ 2,5 cm de long, qui possède sur les côtés du corps deux nageoires qu’il utilise pour se déplacer. Le papillon de mer ne possède ni coquille ni branchie. Son corps transparent laisse apercevoir ses organes, sa tête portant trois paires de tentacules que l'animal déploie pour capturer ses proies.
Assez justement surnommé l’ange de mer, cette créature translucide,
longue de deux ou trois centimètres, est une proie de choix pour les
baleines et les poissons des eaux froides de la côte Nord du Japon.
Glaucus atlanticus, parfois appelé glaucus atlantique ou francisé en glauque dans les écrits anciens, est une petite espèce de nudibranches de la famille des Glaucidés. C'est un mollusquegastéropode décrit comme élégant par ses formes et ses couleurs, mêlant le blanc et le gris perle à différents tons de bleu.
Il vit dans toutes les eaux tempérées ou tropicales, où il flotte à la surface des eaux parmi le pleuston, la face ventrale tournée vers la surface. Il se nourrit principalement d'hydrozoaires dont il tire son pouvoir urticant, y compris pour l'Homme, en conservant certains nématocystes. Glaucus atlanticus est hermaphrodite et pond des chapelets d'œufs laissés à la dérive ou fixés sur les cadavres des proies des adultes.
La maîtrise du calcul, de l'écriture et de la lecture est fondamentale pour la réussite des élèves dans la poursuite de leurs études, et au-delà pour leur insertion professionnelle. [...]
[...] Les fameuses enquêtes Pisa de l'OCDE, qui évaluent les jeunes de 15 ans, c'est-à-dire quasiment à la fin de la scolarité obligatoire, enfoncent le clou : la France recule. [...]
Pour l'historien Antoine Prost, "il faut non seulement travailler davantage mais mieux", précisant que "cinq journées de cinq heures de cours seraient le plus efficace".
"Entre 1960 et aujourd'hui, on a perdu une heure de travail d'élève sur cinq. C'est comme si on avait obligé tous les élèves à sauter une classe", note-t-il.
Le temps alloué à l'enseignement du français a aussi fortement baissé, relève l'historien Claude Lelièvre. "Les élèves font plus de fautes de grammaire ou de lexique parce qu'on passe moins de temps à faire de la grammaire explicite et encore moins à faire des répétitions."
En revanche, si vous mettez entre parenthèses la question de l'orthographe, on a des élèves qui font des rédactions supérieures par rapport à des copies du certificat d'études de 1923", souligne-t-il. [...]
[...] M. Prost note que l'on est passé des exercices (lecture, rédaction, ...) à des disciplines (français, maths ...) : "Chaque discipline a ses objectifs propres tandis qu'avec les exercices, l'objectif était transversal : on faisait aussi du français, de l'orthographe et de la lecture quand on recopiait l'exercice de calcul que le maître écrivait au tableau". [...]
[...] Viviane Buhler, inspectrice de l’Éducation nationale honoraire, formule d'autres hypothèses : "La dégradation sociale et la transformation de la population", citant "le chômage, la perte de repères dans les milieux populaires, des familles issues de cultures très éloignées de celle de l'école ...".
Elle accuse aussi la multiplication des réformes qui ont introduit de nouvelles matières (langue vivante, sécurité routière ...). "Les enseignants ne savent plus trop quelles sont leurs priorités" [...].
In this fight kickboxing legend Don Wilson is having a hard time against the thai Samart Prasamit (not to confond with the legend Samart Payakaroon).
The thai although being smaller and much lighter is able to overwork Don Wilson with hard kicks and in the clinch with strong knee attacks.
1ère reprise : Don "the Dragon" Wilson se déplace sur le pointe des pieds, dans une position caractéristique du karaté, c'est-à-dire de profil, et délivre des coups de pieds chassés. Vers la fin de la reprise, Samart Prasanmit, bien que plus petit, veut montrer lui aussi qu'il est capable de placer des high-kick rotatifs.
Avantage à Don Wilson.
2ème reprise : Premiers corps-à-corps. Samart Prasanmit projette aisément Don "the Dragon" Wilson malgré la différence évidente de poids. Mais le calvaire de l'Etatsunien ne fait que commencer. Saisi à la nuque, il subi des séries de coups de genoux et est compté deux fois.
Net avantage à Samart Prasanmit
3ème reprise : Samart Prasanmit avance sans cesse et Don "the Dragon" Wilson ne fait que survivre. Il simule peut-être des tentatives de reprendre son souffle "à la Mohamed Ali" pour surprendre son adversaire sur un coup de poing mais personne n'est dupe, il souffre.
Avantage à Samart Prasanmit
4ème reprise (la dernière sur cette vidéo d'un match qui comptait pourtant 5 reprises) : Don Wilson reprend le dessus grâce à ses poings et contraint le Thaïlandais à reculer lors des derniers échanges. C'est un champion qui veut finir dignement.
Mais victoire sans contestation du local, Samart Prasanmit.
The World Combat Games are an international multi-sport event featuring combat sports and martial arts. Fifteen Olympic and non-Olympic sports are currently on the programme: aikido, boxing, fencing, judo, ju-jitsu, karate, kendo, kickboxing, Muay Thai, Pankration, sambo, savate, sumo, taekwondo, wrestling and wushu.
Dans mon
étude des combattants modernes, j’ai fait le choix de ne prendre en compte que
les sports de combat principaux (ceux apparaissant aux Jeux Olympiques ou aux
Jeux Mondiaux) et de ne tenir compte que de la catégorie suprême (celle des
poids lourds) voire de la catégorie juste inférieure (notamment quand des
combattants issus de la dite catégorie sont par la suite devenus champions
poids lourds).
J’ai fait ce choix parce que dans
le passé, il n’y avait pas toutes nos catégories de poids. Les combats
opposaient des hommes forts sans distinction de taille ou de poids ; comme
actuellement dans les championnats du monde « toutes catégories » de
judo, par exemple, ou dans les tournois intitulés K1 Grand Prix. Dans l’Antiquité
gréco-romaine, il n’existait qu’une discipline de préhension (la lutte
orthopale), qu’une de percussion (le pugilat avec cestes) et qu’une mixte (le
pancrace). Bref, tous sports de combat confondus, il n’existait que 3 champions
au maximum.
Au début
des années 1990, le tournoi K1 Grand Prix a permis d’y voir enfin clair parmi les
sports de percussion modernes (boxe anglaise mis à part), c’est-à-dire parmi la
multitude des sports de combat pieds-poings :
light-contact,
semi-contact,
full-contact,
boxe
française,
kick-boxing
low-kick,
muay
thaï …,
les
différents styles de karaté,
de
kempo,
de
kung-fu wushu, dont il existe près de 400 styles distincts,
etc.
En effet,
le nombre important de disciplines, mais
aussi :
de
fédérations mondiales (une quinzaine en boxes pieds-poings)
et
de catégories de poids (une quinzaine d’après le STAR « Standardized Tournaments And Ratings System »)
… contribuaient
à l’éparpillement et à la perte de valeur des titres mondiaux. Pour une seule
de ces disciplines, il pouvait y avoir jusqu’à 15x15= 225 « champions du
monde » simultanés ! Et si l’on multiplie encore par le nombre de disciplines
… On comprendra pourquoi je n’ai pris en compte que les poids lourds des sports
de combat majeurs ! Sinon, comment savoir qui était véritablement le
meilleur combattant parmi toutes ces boxes pieds-poings ? Difficile d’y
répondre avec certitude.
A partir
de 1993, karatéka, kempoka, kick-boxeurs et pratiquants de kung-fu wushu
(toutes ces disciplines commençant par la lettre k, d’où le nom K1), et bien
d’autres encore, ont eu la possibilité de briller en s’affrontant les uns les
autres pour gagner en notoriété (faute de posséder le statut de sport olympique,
comme la boxe amateur et le taekwondo,ou de figurer au programme des Jeux Mondiaux, l’antichambre des Jeux
Olympiques, comme le karaté shotokan).
Dommage
pour certains champions antérieurs à cette année 1993. Parmi eux, je pourrais citer
Don « The Dragon » Wilson (1m85, champion du monde entre 78 et 88kg).
Il fut champion du monde de full-contact (qu’on appelle aussi
« full-contact karaté » ou « boxe américaine ») :
pour
la STAR en 1980 chez les -79kg,
de
1980 à 1991 pour la fédération WKA toujours chez les -79kg (9 défenses),
de
1983 à 1987 pour la fédération KICK -79kg (2 défenses)
en
1983 incursion chez les -86,4kg et titre mondial STAR
en
1983-84, titre mondial WKA -86,4kg
en
1984 titre mondial STAR de la catégorie intermédiaire -83,2kg
toujours
en 1984, titre mondial WKA -83,2kg
et
encore en 1984, retour chez les -79kg avec le titre de la fédération STAR
1988-89,
titre mondial -82,7kg pour la fédération ISKA
1989,
titre mondial -78kg pour la PKO
Après sa
9ème et dernière défense du titre WKA -79kg en 1991, Don Wilson (37
ans) se retire. Mais, il revient à la compétition en 1999 (à 45 ans !) et,
dès son premier combat réalise l’exploit :
1999,
champion du monde IKF -88,6kg !
Ainsi, à
ses onze années de règne (1980-91), il ajoute une douzième faisant de lui une
icône de son sport, le full-contact.
Ses plus
grandes victoires ont été contre :
James Warring, en 1982, titre WKA -79kg en jeu
(6ème défense), qui fut
ensuite champion STAR -86kg en full-contact 1984-1987, champion IBF -86kg en
boxe anglaise professionnelle 1991-1992 et finaliste du WCC à 100kg en MMA
1995 contre Renzo Gracie ;
Maurice
Smith, en 1983,
titre WKA -86,4kg en jeu, qui fut d’abord
champion WKC -79kg en 1983, puis ensuite champion poids lourds WKA (autour de 92kg)
de 1983 à 1993 (malgré 2 défaite contre Peter Aerts et 1 contre Ernesto Hoost en
1992-93), et champion poids lourds de l’UFC en 1997;
Dennis Alexio, en 1984, titre WKA -83,2 kg en
jeu, qui fut ensuite champion PKA -79kg
en 1984-85, puis ISKA -88,2 kg en 1986-87, puis KICK et ISKA -96,4 kg de 1987 à
1996 (avec au passage un match nul contre Branco Cikatic en 1992 mais aussi une
défaite en 15’’ sur fracture tibia-péroné contre Stan Longinidis en « oriental
rules » en 1992), puis le titre IKF -97,7 kg en 1997 et finalement WAKO -94,1kg
en 1999 , soit 15 années
champion du monde de full-contact sans discontinuer;
Branko Cikatic, en 1987, titre KICK -79kg en
jeu (2ème défense), qui futchampion du monde amateur WKKA -79kg en
1981, et aussi champion du monde de
boxe thaïlandaise -82,5 kg en 1987, et ensuite WKA de kick-boxing -86 kg en 1989,
et IKBF en 1990, champion de boxe thaï -86 kg en 1991, vainqueur du premier K1
Grand Prix toutes catégories confondues en 1993 (au poids de 91kg) et enfin à
nouveau champion du monde WMTA en 1998.
Et il
faut aussi signaler le match nul de Don Wilson en 1984 contre l’autre vedette
du full-contact dans les années 1980 (des -77kg aux -81kg): le Canadien Jean-Yves
Thériault . Celui-ci fut champion du monde PKA poids
moyen (-77,1kg) de 1980 à 1995 (de l’âge de 25 à 40 ans), titre auquel il
ajouta celui ISKA lourds-légers (-81,3kg) de 1988 à 1992, puis le titre ISKA
super-moyen (-78,1kg) de 1992 à 1993, et enfin il conclura sa carrière sur un
nouveau titre ISKA lourds-légers (-81,3kg) en 1995 … ce qui constitue un règne
total de 15 années (1980-95) supérieur à celui de Don Wilson ! Avec au
passage deux victoires contre Ernesto Hoost, dans les règles du full-contact,
en 1986 et 1989.
Toi, sioniste qui te caches derrière ma religion, mon peuple et son histoire pour justifier ton existence…
Tu me dis « Nous, juifs, nous avons le droit à une terre ».
Je te répondrai : depuis quand être juif est devenu une identité nationale ?
Et de quel droit pouvons nous, nous approprier une terre qui ne nous appartient plus…
Tu me diras : « Si nous avons le droit à cette terre, c’est parce que nous avons été persécutés ».
Je te citerai : Le Talmud babylonien (Traité Ketoubot 111a) rapporte qu’il y a deux mille ans, lorsque le Temple de Jérusalem fut détruit, les juifs prêtèrent serment à Dieu :
de ne jamais immigrer en masse en Terre d’Israël, de ne jamais (se) rebeller contre les autres nations et de ne jamais tenter de terminer l’exil.
La fondation de l’État sioniste est en contradiction flagrante avec l’enseignement de la Torah qui interdit toute proclamation d’un État juif. La Torah nous contraint à rester en exil jusqu’à la délivrance divine qui annoncera la paix éternelle parmi toutes les nations du monde.
De plus, de quel droit, toi, sioniste, né dans la liberté, jouissant de tout le confort du monde moderne, peux tu oser te porter en martyr de la Shoah ? Peux-tu oser honorer la mémoire de nos ancêtres morts durant l’holocauste par la barbarie de l’homme, en exportant cette barbarie en Terre Sainte…par le massacre de civils palestiniens ?…
« Le sionisme est aux Palestiniens, ce que le nazisme est au peuple juif »
A vous qui me dites : « Toi juif, tu es un sale Israélien, vous assassinez des Palestiniens »
Je te répondrai qu'assimiler un Juif à un Israélien, serait comme affirmer qu'un Musulman est un Arabe.
Puis l'article (critique) d' Elsa Ferreira | Rue89
Mieux vaut être au RSA que travailler, selon un tableau posté sur Facebook et partagé 100 000 fois en une journée. Sauf que le tableau est truffé d’erreurs
L’auteur du tableau, « Reynald Pais », précise qu’il l’a réalisé « à partir d’infos brutes trouvées sur le site du gouvernement ».
Il compare la situation financière d’une famille de cinq personnes gagnant un très petit salaire à une autre famille de même taille vivant du RSA. Sa conclusion : la seconde famille, celle qui vit du RSA, s’en tire mieux, avec 500 euros par mois de plus.
"Une connerie pour faire rire les copains"
Le tableau a été fait sans réfléchir, il est donc complètement faux, comme on va le voir plus loin. Mais apparemment tout le monde s’en fiche : les idées reçues sur le RSA se sont offertes une belle pub grâce à « une connerie destinée à faire sourire quelques amis Facebook », selon l’auteur de cette campagne de désinformation, premier surpris de son succès.
L’idée qu’on peut mieux s’en sortir « sans travailler » n’est pas nouvelle. Il y a deux ans déjà, Laurent Wauquiez déclarait sur BFM :
« Aujourd’hui, un couple qui ne travaille pas, qui est au RSA, en cumulant les différents système des minima sociaux, peut gagner plus qu’un couple dans lequel une personne gagne un smic. Ce n’est pas logique, c’est la société française qui tourne à l’envers. »
Et ça énerve Martin Hirsch, le papa du RSA, auquel nous avons soumis le tableau :
« Ce sont toujours les mêmes conneries. Ça marche parce que les gens ont envie d’entendre ce genre de choses. Ça arme leur aigreur. »
Ça ne pas fait rire non plus Jean-Christophe Sarrot, de l’association ATD Quart-Monde. Il estime que l’on « tape sur les pauvres », leur infligeant ainsi une « double peine » :
« Ça fait souffrir beaucoup de gens. Ils n’arrivent pas à joindre les deux bouts à partir du 15 du mois et on leur dit qu’ils gagnent plus que les gens qui travaillent. »
Jean-Christophe Sarrot prévient : il n’est pas facile de calculer le montant du RSA. C’est d’ailleurs un problème pour les familles. Mais il a essayé quand même, et nous aussi. Et sans surprise, les résultats ne sont pas les mêmes que ceux qui ont été partagés sur des dizaines de milliers de pages Facebook.
1 Les revenus
• L’oubli du RSA activité
Première ligne, première erreur. Et elle est de taille : avec un salaire de 1 200 euros par mois pour un ménage de cinq personnes, la famille est en droit de toucher le RSA activité. Un revenu créé justement « pour que dans tous les cas, on ait un intérêt à travailler », explique Jean-Christophe.
La famille gagnerait donc 18 132 euros par an au lieu de 14 400.
• Le RSA prend en compte les allocations familiales et logement
Les allocations, dans l’esprit de l’auteur, ce seraient donc le RSA + les allocations familiales. A noter aussi que l’allocation au logement entraîne une réduction de 143 euros du RSA.
La famille touchera donc 1 065 euros par mois de RSA , soit 12 780 par an au lieu de 14 496.
• La prime de Noël est plus élevée que prévue
Il faut croire que la famille de fainéants a été sage, puisque ce n’est pas 154 euros qu’elle touchera à Noël mais 380 euros...
• Allocations logement : un peu plus pour les uns, un peu moins pour les autres
L’allocation logement est relativement difficile à calculer, et d’autant plus lorsqu’il s’agit d’une famille hypothétique dont on ne connaît ni le lieu d’habitation, ni la superficie du logement. Jean-Christophe Sarrot a quand même fait son estimation sur le site de la CAF, avec un logement en province au loyer de 500 euros (comme dans le tableau Facebook).
Pour la famille au RSA, ce serait donc 450 euros d’allocations logement (au lieu de 500 euros) et pour les salariés, 350 euros (au lieu de 200).
• Au total, les revenus annuels de la famille salariée seront de 25 812 euros (au lieu de 20 280) et ceux de la famille au RSA de 18 560 euros (au lieu de 20 650).
2 Les dépenses
• Loyer : 500 euros chacun. Pour cette donnée arbitraire, pas d’erreur.
• La complémentaire universelle pour tous
Selon l’auteur du tableau, la famille de salariés payerait 50 euros par mois pour leur mutuelle santé. Pour la seconde famille, on leur offre la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C), et donc, c’est gratuit.
Mais là encore, il n’a pas bien fait ses devoirs : la famille de salariés est en droit de demander la CMU-C puisqu’elle se trouve en dessous du plafond de 19 835 euros pour un foyer de 5 personnes (tous les revenus n’étant pas pris en compte).
C’est donc 0 euro pour les deux familles pour l’assurance complémentaire.
• Impôts locaux et redevance télé
La famille qui touche un smic plus le RSA activité peut être exonérée de ces frais, puisqu’elle se situe en dessous du plafond de revenus.
0 euro encore, pour les deux familles.
• Cantine des enfants et transports
Pas de frais de cantine, ni de frais de transport (« pas de boulot ! », précise l’auteur), pour la famille au RSA.
Là encore, les données sont arbitraires, et pas forcément justes. L’exonération des frais de cantine dépend non pas de l’attribution du RSA mais de la volonté d’une commission académique. Les deux familles sont donc susceptibles ou non de bénéficier d’un tarif. Pour notre exemple, nous avons donc gardé l’hypothèse d’une exonération totale de cantine pour les deux familles.
Quant au transport, même sans travail, il faut se déplacer : pour chercher du travail, pour accompagner ses enfants à l’école, pour faire ses courses... Nous avons donc rétabli une dépense transport pour la famille RSA.
• Electricité, eau, gaz
Les tarifs sociaux pour l’énergie sont calés sur l’éligibilité à la CMU-C. Les deux familles en bénéficient de la même façon.
3 Conclusion
La famille vivant du smic et du RSA activité gagne 25 812 euros et ses dépenses contraintes (en considérant qu’elle ne paye pas la cantine) sont de 8940 euros environ par an. Il lui reste donc, après paiement des factures, 16 872 euros par an (1406 euros par mois) pour se nourrir, se vêtir et de divertir.
Pour celle vivant uniquement du RSA, le revenu annuel est de 18 560 euros pour les mêmes dépenses contraintes. Il lui reste donc 9620 euros (soit 801 euros par mois) pour les autres dépenses.
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