mercredi 2 mai 2007

La phrase clé.

Après avoir lu très attentivement les courriers officiels des deux candidats qualifiés pour le second tour de l'élection présidentielle, je retiendrai une phrase : "[...] il n'y a aucune fraternité possible si nous ne créons pas plus de richesses."

C'est aussi ce que je crois. Je voterai donc pour le candidat le plus efficace sur le plan économique; car c'est un préalable indispensable avant de faire du social (au sens "redistribution des richesses").

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