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2509 Le 19 septembre 2025 |
Une audition explosive qui fait trembler Washington Les 16 et 17 septembre 2025, Kash Patel, nouveau directeur du FBI, s’est présenté devant deux commissions : le Comité judiciaire du Sénat, présidé par Chuck Grassley, puis la Commission judiciaire de la Chambre des représentants. Deux jours d’audition qui marquent déjà l’histoire politique américaine Patel n’a pas esquivé. Il n’a pas cherché à plaire. Il a attaqué. Frontalement. Sans se soucier du décorum, il a brisé les codes d’une institution bâtie sur le silence, l’ambiguïté et la langue de bois. Jamais un directeur du FBI ne s’était permis de répliquer en insultant, en provoquant, en ridiculisant les sénateurs et députés censés le contrôler. L’affaire Epstein : « le péché original » Avec l’affaire Epstein, dont aucun démocrate n’a demandé que la liste de ses clients soit rendue publique pendant les 4 ans du mandat volé de Biden, Patel n’a pas attendu les questions pour mettre les points sur les « i ». Dès l’ouverture, il dénonce les débuts de l’affaire Epstein : « Le péché originel de l’affaire Epstein, c’est la manière dont elle a été initialement menée par M. Acosta en 2006 … un mandat de perquisition très limité … ». Donc, selon Patel, dès 2006, sous la supervision du procureur Acosta, un accord judiciaire limitait déjà l’enquête. Avec cette remarque il adresse un message clair : si la vérité n’a pas éclaté plus tôt, c’est parce que les autorités [de 2006] ont volontairement réduit le champ des investigations policières et judiciaires. Dès lors, comment ne pas y voir un aveu : en 2006 tout se savait, tout aurait pu être arrêté, mais si cela ne l’a pas été, c’est parce qu’il y avait une volonté politique de protéger des réseaux, de protéger des élites. L’assassinat de Charlie Kirk : « sans le public » À propos du meurtre de Charlie Kirk, Patel assume un choix contraire à toutes les recommandations internes qui lui ont été faites au FBI.
En déclarant « Sans le public, nous ne l’aurions pas arrêté en 36
heures. », il revendique d’avoir ordonné la diffusion des photos et
vidéos du suspect, malgré les réticences des forces de l’ordre. Patel revendique la doctrine : frapper vite, quitte à bousculer la bureaucratie. Qu’on se le dise : le FBI de Patel et de Trump, version 2025, ne sera pas celui de l’attente, mais celui de l’action ! Le choc frontal avec les sénateurs Le sénateur Cory Booker [D–NJ] l’accuse : « Vous avez rendu notre pays plus faible et moins sûr. » La réplique fuse : « Cette diatribe de fausses informations ne contribue pas à unir ce pays. » Interrompu par Booker, il lâche « C’est mon moment, pas le tien, ton temps est fini. » – « Monsieur, vous ne me dites pas que mon temps est fini. Le peuple du New Jersey me dit quand mon temps est fini. » – « Votre temps est fini. » Une rupture totale de protocole Dans le rituel institutionnel américain, le responsable convoqué devant le Congrès – qu’il s’agisse d’un haut fonctionnaire nommé par le président et confirmé par le Sénat, ou d’un directeur d’agence fédérale – doit se limiter à répondre. Il n’interrompt pas, il ne contredit pas frontalement, et encore moins ne cherche à prendre la main sur le temps de parole d’un élu. Patel, lui, a pulvérisé ce cadre. Il coupe son interlocuteur, conteste son autorité et s’empare de la scène. En lâchant son désormais célèbre « Your time is over » (« Votre temps est fini »), il inverse brutalement les rôles : ce n’est plus le Sénat qui contrôle le directeur du FBI, mais le directeur du FBI qui prétend contrôler le Sénat. Un geste d’insubordination politique inédit, qui a sidéré les observateurs et conduit la presse américaine à parler d’« un des moments les plus tendus de l’histoire récente des auditions au Sénat ». Avec Dick Durbin, président du Comité judiciaire du Sénat, qui lui reproche ses annonces précipitées sur l’affaire Kirk, Patel coupe court et l’interrompt sèchement : « Mieux vaut agir vite que d’attendre que les cadavres s’accumulent. » Un échange historique À la Chambre, l’affrontement avec Eric Swalwell [D–CA] atteint un sommet de brutalité. Ce dernier suggère que des documents scellés pourraient impliquer Trump dans l’affaire Epstein. Patel ricane : « Pourquoi ne pas le dire clairement, Monsieur le député ? Dites le nom de Trump si c’est ce que vous cherchez. » Encore Epstein Le 17 septembre 2025, devant la House Judiciary Committee (« Commission judiciaire de la Chambre des représentants »), des démocrates interrogent Patel sur le non-respect supposé de ses promesses de transparence : absence de publication de tous les documents, noms de co-conspirateurs encore cachés, vidéos et photos non rendues publiques. Le représentant Dan Goldman [D–NY] insiste : pourquoi, après avoir promis de dévoiler tous les fichiers Epstein, certains éléments restent-ils sous scellés ? Patel réplique : « Tout ce qui a été légalement autorisé à être publié a été publié. ». Il affirme que toutes les informations « crédibles » ont été rendues publiques, rejetant les accusations de dissimulation comme « éminemment et catégoriquement fausses ». Il invoque des ordonnances judiciaires, des contrats passés entre le DOJ et Epstein, et d’autres contraintes légales pour expliquer pourquoi tout ne peut être publié. Le républicain Thomas Massie [R–KY], libertarien et membre influent de la commission, le pousse : ne protège-t-il pas certains noms puissants ? Patel ne fléchit pas : « J’ai publié tout ce que le tribunal m’a autorisé à publier. Je ne violerai pas la loi pour satisfaire votre curiosité. ». Enfin, Patel précise que les autres éléments disponibles – témoignages et formulaires d’enquête – ne contiennent pas de preuves crédibles suffisantes pour justifier d’autres divulgations. L’incroyable transformation du FBI en quelques mois Alors que Tom Homan, le « Border Czar » (« Tsar des frontières » – responsable spécial des frontières) de l’administration Trump, vient de révéler que 25 000 mineurs migrants non accompagnés – disparus sous Biden – ont été retrouvés, souvent réduits au travail forcé, à l’esclavage moderne, contraints de trimer à des heures indécentes au lieu d’aller à l’école, Kash Patel peut, de son côté, dresser un bilan sans équivalent depuis qu’il a pris la tête du FBI. En quelques mois, son agence revendique : – l’arrestation de 1 500 prédateurs d’enfants, – la capture de 300 trafiquants d’êtres humains, – le retrait de plus de 6 000 armes à feu illégales des rues, – et l’arrestation de 23 000 criminels violents. Ces chiffres ne sont pas de simples statistiques. Ils marquent une inflexion stratégique : le FBI cesse d’être paralysé par la bureaucratie et l’idéologie pour redevenir une force opérationnelle. Patel n’en fait pas seulement un organe de police fédérale : il veut en faire l’avant-garde d’une reconquête politique. Son attitude devant le Sénat et la Chambre le prouve : il n’hésite pas à contredire, interrompre, humilier ses interlocuteurs – une première dans l’histoire américaine. Mais ce comportement spectaculaire n’est pas un saut dans le vide. Patel joue à la limite, toujours conscient de la frontière juridique qu’il ne doit pas franchir. C’est là que réside toute sa force : dans ce clair-obscur où il avance à la frontière du tolérable, Patel laisse planer une menace qui glace ses adversaires. Si les tribunaux libèrent les documents qu’il garde en réserve, les démocrates – et leurs complices RINO – verraient s’écrouler des pans entiers de leur édifice politique, révélant la pourriture sur laquelle il repose. Il n’a pas besoin de brandir la bombe : il suffit qu’il en laisse deviner la puissance destructrice. Et c’est armé de cette certitude qu’il a pu humilier en direct plusieurs sénateurs et représentants démocrates, comme jamais ils n’auraient osé imaginer l’être au cœur même de leur bastion institutionnel. Une rupture institutionnelle Jamais un directeur du FBI n’avait parlé ainsi à des élus en séance publique. Jamais un directeur du FBI n’avait retourné la table en direct. Patel ne se protège pas. Il attaque. Il ne cherche pas à rassurer. Il veut déstabiliser. Il veut mettre les sénateurs devant leurs propres compromissions, les forcer à se justifier. Ce n’est pas à une audition que nous avons assisté en direct, c’est à un procès politique inversé mené d’une main de maître par le directeur du FBI. Patel attaque en pleine lumière. Il ridiculise ses opposants, dénonce leurs mensonges, retourne les questions contre eux. C’est une première dans l’histoire du FBI : l’audition parlementaire transformée en tribunal politique, où ce sont les élus qui se retrouvent accusés. Ce que craignent les élites Ce que Washington redoute n’est pas seulement le style Patel. C’est ce qui pourrait suivre. Derrière ses phrases sèches, ses répliques assassines, plane une menace : la possibilité que Patel déclenche un séisme judiciaire. Si des grands jurys sont convoqués, si des inculpations visent des figures politiques de premier plan, alors ce ne sera pas seulement un scandale, ce sera la fin d’un équilibre politique, maintenu grâce à la corruption des politiciens présents au Congrès des États-Unis. Ce que cela révèle : Les démocrates sur la défensive Patel laisse entendre, sans jamais lâcher le mot, que le Russiagate fut une manipulation, que l’enquête sur le 6 janvier fut biaisée, que le FBI fut utilisé comme arme politique par les démocrates. Ces affaires sont les deux mensonges fondateurs de la décennie : le premier pour diaboliser Trump, le second pour diaboliser ses partisans. Dans les deux cas, la même mécanique : fabriquer la peur pour imposer un contrôle politique. Patel retourne la rhétorique : ceux qui prétendaient défendre la démocratie en accusant Trump de collusion avec la Russie, ou en le peignant en instigateur d’un coup d’État, sont ceux-là mêmes qui ont utilisé les institutions comme armes partisanes. L’accusateur devient l’accusé. La stratégie de Trump Laisser Patel s’exprimer ainsi, c’est montrer aux citoyens des États-Unis que l’ère des compromis hypocrites est terminée. Le FBI n’est plus un bastion du « deep state », mais un instrument de contre-attaque directe, brutale, imprévisible, entre les mains d’un Patel qui est manifestement la meilleure arme de Trump pour rétablir l’ordre là ou cela est nécessaire, c’est-à-dire dans les villes laissées à l’abandon et à la ruine par des politiciens démocrates corrompus. ≈
Et maintenant ? Patel risque-t-il de payer son inconvenance ? Le Sénat dispose de la procédure d’impeachment pour révoquer un haut fonctionnaire. Mais Patel, protégé par Trump et soutenu par la base républicaine, ne semble pas craindre cette menace. Son assurance ne prouve-t-elle pas qu’il se sait inexpugnable et qu’il manquerait des voix aux démocrates pour le renvoyer de son poste ? Grands jurys et inculpations ? Ses déclarations ouvrent la voie à des convocations de témoins, à des enquêtes relancées, peut-être à des inculpations. S’il détient des dossiers compromettants, il pourra forcer la justice à agir. La menace qui plane sur Washington est celle-ci : la boîte de Pandore pourrait être ouverte, et nul ne sait jusqu’où elle ira. L’opinion publique Plus encore qu’au Congrès, Patel a parlé au peuple américain. Comme Trump, il utilise le direct, la provocation, la confrontation. Ce style galvanise une base lassée des mensonges et de la corruption. Les démocrates hurlent à l’irresponsabilité, mais dans l’Amérique profonde, beaucoup pensent et disent : enfin quelqu’un dit la vérité. Washington contre Davos : la puissance politique contre celle des milliardaires globalistes Qu’après l’audition de RFK Jr. – sur laquelle Patrick Ledrappier reviendra dans un prochain article – puis celle de Kash Patel, une chose est confirmée : le retour, aux États-Unis, de la puissance politique. Une puissance légitimée par des élections où la fraude organisée par les démocrates et les milliardaires adeptes de l’Agenda 2030 et de la dépopulation a été déjouée. Une puissance politique dressée face aux forces de l’argent et du crime organisé, même lorsqu’il prend le visage de Big Pharma, grand corrupteur des politiciens. Reste l’inquiétude : espérons que ce ne soit pas un simple coup d’éclat. Car à Davos, le nouveau maître des psychopathes qui prétendent fabriquer l’avenir, Larry Fink, PDG de BlackRock et co-président du Forum, se serait vanté que le Forum économique mondial avait réussi à imposer son modèle mondial grâce à son « pouvoir » – qu’il appelle « influence » – sur les gouvernements occidentaux. Et il n’aurait pas hésité à détailler la méthode : – Exploiter le contrôle des fonds de retraite des nations (du Mexique au Japon, en passant par le Royaume-Uni) pour imposer BlackRock comme « partenaire » incontournable. – « Courtiser » – c’est-à-dire financer – systématiquement les candidats politiques, non pas comme des électeurs, mais comme des « financiers mondiaux », garantissant ainsi l’accès et l’influence de BlackRock, quel que soit le vainqueur. La fusion de ces trois forces – l’argent de BlackRock, les adeptes de l’Agenda 2030 (vous n’aurez plus rien et vous serez heureux – sans doute grâce à leurs piqûres de Ri-vos-Tril), et la logique de dépopulation du Forum économique mondial – avec des politiciens en herbe avides de pouvoir, constitue la menace majeure de notre temps.
Une menace qui dépasse les frontières, qui s’infiltre dans les
institutions, et qui pourrait bien décider du sort de l’humanité. |
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