dimanche 21 septembre 2025

Birobidjan

 


Birobidjan (en russe : Биробиджан ; en yiddish : ביראָבידזשאַן) est une ville et le centre administratif de l'Oblast autonome juif de Russie. Sa population s'élevait à 73 129 habitants en 2014. C'est le seul exemple contemporain d'un territoire administrativement juif, à l'exception d'Israël. Le nom de la ville désigne également, en français uniquement, l'oblast autonome juif lui-même.

Géographie

Birobidjan est située au nord de l'oblast, à la confluence de la rivière Bira, un des principaux affluents du fleuve Amour, et de la Bidzhan, lesquelles ont donné leurs noms à la ville. Elle se trouve à 163 km à l'ouest-nord-ouest de Khabarovsk, à 630 km au nord de Vladivostok et à 6 014 km à l'est de Moscou.


Histoire

Située sur le tracé du Transsibérien, sa construction à la fin des années 1920 fut supervisée par le directeur du Bauhaus, l'architecte suisse Hannes Meyer.

Birobidjan obtint le statut de commune urbaine en 1931 puis celui de ville en 1937, tout en restant également chef-lieu du raïon Birobidjanski.

En 1945, Albert Einstein crée le fonds Einstein en coopération avec Ambidjan (American Birobidjan Commitee, créé en 1934 aux États-Unis pour soutenir le développement économique de la première région juive créée au monde), afin d'y installer 30 000 orphelins juifs victimes des nazis. Chaque famille juive allemande, lituanienne, polonaise, roumaine, recevait 350 US$ négociés entre le gouvernement soviétique, le ministre des Affaires étrangères Tchitcherine et Jacob Budish, communiste américain.

La région avait été désignée en 1928 par le régime soviétique comme la future « Palestine sibérienne » pour les Juifs ; ils auraient été jusqu'à 150 000 à s'y établir, mais les sujets de cette colonisation se sont rapidement raréfiés. En 2020, les Juifs de Birobidjan représentent 2 % de la population.

Population

Recensements (*) ou estimations de la population

Évolution démographique
1932 1939* 1959* 1970* 1979* 1989*
2 54029 64840 66755 72468 63083 667
2002* 2006 2010* 2012 2013 2014
77 25075 19275 41376 20375 54274 791
2015 2016 2017 2018 2019 -
74 77774 55974 09573 62373 129

 

Écouter : https://www.youtube.com/live/TIMeUBOcEA0?si=lPEdxeuBNZiOElS7&t=6539

Ce que Charlie Kirk disait avant d'être assassiné.

 


 Source : https://www.youtube.com/shorts/LvZWD4rKudo

samedi 20 septembre 2025

🇫🇷🪖 Jean-Michel Trogneux : 13 ans de silence… Une vie effacée des archives ?

Reprenons la chronologie. 1963 : Jean-Michel Trogneux, frère de Brigitte, est enrôlé. 1967 : il joue au hockey en Allemagne. Puis… silence total.

Treize ans sans aucune trace, un dossier militaire verrouillé jusqu’en 1981, et des zones d’ombre reliant son parcours aux États-Unis, à l’alunissage de 1969, et même à l’expérience de Stanford en 1971.
Pourquoi ces archives sont-elles classées confidentielles ?
Pourquoi aucun document officiel ne refait surface ?
Et surtout… que cache vraiment l’histoire de Jean-Michel Trogneux ?


Un récit troublant, construit pièce par pièce, où chaque réponse soulève une nouvelle question. »



Source : https://www.youtube.com/watch?v=AGDj9K38hRE

vendredi 19 septembre 2025

C’est cash, avec Kash


2509

Le 19 septembre 2025

   Une audition explosive qui fait trembler Washington


   Les 16 et 17 septembre 2025, Kash Patel, nouveau directeur du FBI, s’est présenté devant deux commissions : le Comité judiciaire du Sénat, présidé par Chuck Grassley, puis la Commission judiciaire de la Chambre des représentants.


   Deux jours d’audition qui marquent déjà l’histoire politique américaine


   Patel n’a pas esquivé. Il n’a pas cherché à plaire. Il a attaqué. Frontalement. Sans se soucier du décorum, il a brisé les codes d’une institution bâtie sur le silence, l’ambiguïté et la langue de bois.

   Jamais un directeur du FBI ne s’était permis de répliquer en insultant, en provoquant, en ridiculisant les sénateurs et députés censés le contrôler.


   L’affaire Epstein : « le péché original »


   Avec l’affaire Epstein, dont aucun démocrate n’a demandé que la liste de ses clients soit rendue publique pendant les 4 ans du mandat volé de Biden, Patel n’a pas attendu les questions pour mettre les points sur les « i ».


   Dès l’ouverture, il dénonce les débuts de l’affaire Epstein : « Le péché originel de l’affaire Epstein, c’est la manière dont elle a été initialement menée par M. Acosta en 2006 … un mandat de perquisition très limité … ». Donc, selon Patel, dès 2006, sous la supervision du procureur Acosta, un accord judiciaire limitait déjà l’enquête.


   Avec cette remarque il adresse un message clair : si la vérité n’a pas éclaté plus tôt, c’est parce que les autorités [de 2006] ont volontairement réduit le champ des investigations policières et judiciaires.


   Dès lors, comment ne pas y voir un aveu : en 2006 tout se savait, tout aurait pu être arrêté, mais si cela ne l’a pas été, c’est parce qu’il y avait une volonté politique de protéger des réseaux, de protéger des élites.


   L’assassinat de Charlie Kirk : « sans le public »


   À propos du meurtre de Charlie Kirk, Patel assume un choix contraire à toutes les recommandations internes qui lui ont été faites au FBI. 


   En déclarant « Sans le public, nous ne l’aurions pas arrêté en 36 heures. », il revendique d’avoir ordonné la diffusion des photos et vidéos du suspect, malgré les réticences des forces de l’ordre.

   Patel revendique la doctrine : frapper vite, quitte à bousculer la bureaucratie.

   Qu’on se le dise : le FBI de Patel et de Trump, version 2025, ne sera pas celui de l’attente, mais celui de l’action !


   Le choc frontal avec les sénateurs


   Le sénateur Cory Booker [D–NJ] l’accuse : « Vous avez rendu notre pays plus faible et moins sûr. »

   La réplique fuse : « Cette diatribe de fausses informations ne contribue pas à unir ce pays. »

   Interrompu par Booker, il lâche « C’est mon moment, pas le tien, ton temps est fini. »

   – « Monsieur, vous ne me dites pas que mon temps est fini. Le peuple du New Jersey me dit quand mon temps est fini. »

   – « Votre temps est fini. »


   Une rupture totale de protocole


   Dans le rituel institutionnel américain, le responsable convoqué devant le Congrès – qu’il s’agisse d’un haut fonctionnaire nommé par le président et confirmé par le Sénat, ou d’un directeur d’agence fédérale – doit se limiter à répondre.

   Il n’interrompt pas, il ne contredit pas frontalement, et encore moins ne cherche à prendre la main sur le temps de parole d’un élu.


   Patel, lui, a pulvérisé ce cadre. Il coupe son interlocuteur, conteste son autorité et s’empare de la scène. En lâchant son désormais célèbre « Your time is over » (« Votre temps est fini »), il inverse brutalement les rôles : ce n’est plus le Sénat qui contrôle le directeur du FBI, mais le directeur du FBI qui prétend contrôler le Sénat.

   Un geste d’insubordination politique inédit, qui a sidéré les observateurs et conduit la presse américaine à parler d’« un des moments les plus tendus de l’histoire récente des auditions au Sénat ».


   Avec Dick Durbin, président du Comité judiciaire du Sénat, qui lui reproche ses annonces précipitées sur l’affaire Kirk, Patel coupe court et l’interrompt sèchement : « Mieux vaut agir vite que d’attendre que les cadavres s’accumulent. »


   Un échange historique


   À la Chambre, l’affrontement avec Eric Swalwell [D–CA] atteint un sommet de brutalité. Ce dernier suggère que des documents scellés pourraient impliquer Trump dans l’affaire Epstein.


   Patel ricane : « Pourquoi ne pas le dire clairement, Monsieur le député ? Dites le nom de Trump si c’est ce que vous cherchez. »


   Encore Epstein


   Le 17 septembre 2025, devant la House Judiciary Committee (« Commission judiciaire de la Chambre des représentants »), des démocrates interrogent Patel sur le non-respect supposé de ses promesses de transparence : absence de publication de tous les documents, noms de co-conspirateurs encore cachés, vidéos et photos non rendues publiques.


   Le représentant Dan Goldman [D–NY] insiste : pourquoi, après avoir promis de dévoiler tous les fichiers Epstein, certains éléments restent-ils sous scellés ? Patel réplique : « Tout ce qui a été légalement autorisé à être publié a été publié. ». Il affirme que toutes les informations « crédibles » ont été rendues publiques, rejetant les accusations de dissimulation comme « éminemment et catégoriquement fausses ». Il invoque des ordonnances judiciaires, des contrats passés entre le DOJ et Epstein, et d’autres contraintes légales pour expliquer pourquoi tout ne peut être publié.


   Le républicain Thomas Massie [R–KY], libertarien et membre influent de la commission, le pousse : ne protège-t-il pas certains noms puissants ? Patel ne fléchit pas : « J’ai publié tout ce que le tribunal m’a autorisé à publier. Je ne violerai pas la loi pour satisfaire votre curiosité. ».


   Enfin, Patel précise que les autres éléments disponibles – témoignages et formulaires d’enquête – ne contiennent pas de preuves crédibles suffisantes pour justifier d’autres divulgations.


   L’incroyable transformation du FBI en quelques mois


   Alors que Tom Homan, le « Border Czar » (« Tsar des frontières » – responsable spécial des frontières) de l’administration Trump, vient de révéler que 25 000 mineurs migrants non accompagnés – disparus sous Biden – ont été retrouvés, souvent réduits au travail forcé, à l’esclavage moderne, contraints de trimer à des heures indécentes au lieu d’aller à l’école, Kash Patel peut, de son côté, dresser un bilan sans équivalent depuis qu’il a pris la tête du FBI.


   En quelques mois, son agence revendique :

   – l’arrestation de 1 500 prédateurs d’enfants,

   – la capture de 300 trafiquants d’êtres humains,

   – le retrait de plus de 6 000 armes à feu illégales des rues,

   – et l’arrestation de 23 000 criminels violents.


   Ces chiffres ne sont pas de simples statistiques. Ils marquent une inflexion stratégique : le FBI cesse d’être paralysé par la bureaucratie et l’idéologie pour redevenir une force opérationnelle. 

   Patel n’en fait pas seulement un organe de police fédérale : il veut en faire l’avant-garde d’une reconquête politique.


   Son attitude devant le Sénat et la Chambre le prouve : il n’hésite pas à contredire, interrompre, humilier ses interlocuteurs – une première dans l’histoire américaine.  Mais ce comportement spectaculaire n’est pas un saut dans le vide. Patel joue à la limite, toujours conscient de la frontière juridique qu’il ne doit pas franchir.


   C’est là que réside toute sa force : dans ce clair-obscur où il avance à la frontière du tolérable, Patel laisse planer une menace qui glace ses adversaires. Si les tribunaux libèrent les documents qu’il garde en réserve, les démocrates – et leurs complices RINO – verraient s’écrouler des pans entiers de leur édifice politique, révélant la pourriture sur laquelle il repose.


   Il n’a pas besoin de brandir la bombe : il suffit qu’il en laisse deviner la puissance destructrice. Et c’est armé de cette certitude qu’il a pu humilier en direct plusieurs sénateurs et représentants démocrates, comme jamais ils n’auraient osé imaginer l’être au cœur même de leur bastion institutionnel.


   Une rupture institutionnelle


   Jamais un directeur du FBI n’avait parlé ainsi à des élus en séance publique. Jamais un directeur du FBI n’avait retourné la table en direct.

   Patel ne se protège pas. Il attaque. Il ne cherche pas à rassurer. Il veut déstabiliser. Il veut mettre les sénateurs devant leurs propres compromissions, les forcer à se justifier. Ce n’est pas à une audition que nous avons assisté en direct, c’est à un procès politique inversé mené d’une main de maître par le directeur du FBI.

   Patel attaque en pleine lumière. Il ridiculise ses opposants, dénonce leurs mensonges, retourne les questions contre eux. C’est une première dans l’histoire du FBI : l’audition parlementaire transformée en tribunal politique, où ce sont les élus qui se retrouvent accusés.


   Ce que craignent les élites


   Ce que Washington redoute n’est pas seulement le style Patel. C’est ce qui pourrait suivre. Derrière ses phrases sèches, ses répliques assassines, plane une menace : la possibilité que Patel déclenche un séisme judiciaire.


   Si des grands jurys sont convoqués, si des inculpations visent des figures politiques de premier plan, alors ce ne sera pas seulement un scandale, ce sera la fin d’un équilibre politique, maintenu grâce à la corruption des politiciens présents au Congrès des États-Unis.


   Ce que cela révèle : Les démocrates sur la défensive


   Patel laisse entendre, sans jamais lâcher le mot, que le Russiagate fut une manipulation, que l’enquête sur le 6 janvier fut biaisée, que le FBI fut utilisé comme arme politique par les démocrates.

   Ces affaires sont les deux mensonges fondateurs de la décennie : le premier pour diaboliser Trump, le second pour diaboliser ses partisans. Dans les deux cas, la même mécanique : fabriquer la peur pour imposer un contrôle politique.


   Patel retourne la rhétorique : ceux qui prétendaient défendre la démocratie en accusant Trump de collusion avec la Russie, ou en le peignant en instigateur d’un coup d’État, sont ceux-là mêmes qui ont utilisé les institutions comme armes partisanes. L’accusateur devient l’accusé.


   La stratégie de Trump


   Laisser Patel s’exprimer ainsi, c’est montrer aux citoyens des États-Unis que l’ère des compromis hypocrites est terminée.

   Le FBI n’est plus un bastion du « deep state », mais un instrument de contre-attaque directe, brutale, imprévisible, entre les mains d’un Patel qui est manifestement la meilleure arme de Trump pour rétablir l’ordre là ou cela est nécessaire, c’est-à-dire dans les villes laissées à l’abandon et à la ruine par des politiciens démocrates corrompus.



  

   Et maintenant ?


   Patel risque-t-il de payer son inconvenance ?

   Le Sénat dispose de la procédure d’impeachment pour révoquer un haut fonctionnaire. Mais Patel, protégé par Trump et soutenu par la base républicaine, ne semble pas craindre cette menace.

   Son assurance ne prouve-t-elle pas qu’il se sait inexpugnable et qu’il manquerait des voix aux démocrates pour le renvoyer de son poste ?


   Grands jurys et inculpations ?


   Ses déclarations ouvrent la voie à des convocations de témoins, à des enquêtes relancées, peut-être à des inculpations. S’il détient des dossiers compromettants, il pourra forcer la justice à agir. La menace qui plane sur Washington est celle-ci : la boîte de Pandore pourrait être ouverte, et nul ne sait jusqu’où elle ira.


   L’opinion publique


   Plus encore qu’au Congrès, Patel a parlé au peuple américain. Comme Trump, il utilise le direct, la provocation, la confrontation. Ce style galvanise une base lassée des mensonges et de la corruption.

   Les démocrates hurlent à l’irresponsabilité, mais dans l’Amérique profonde, beaucoup pensent et disent : enfin quelqu’un dit la vérité.


   Washington contre Davos : la puissance politique contre celle des milliardaires globalistes


   Qu’après l’audition de RFK Jr. – sur laquelle Patrick Ledrappier reviendra dans un prochain article – puis celle de Kash Patel, une chose est confirmée : le retour, aux États-Unis, de la puissance politique.

   Une puissance légitimée par des élections où la fraude organisée par les démocrates et les milliardaires adeptes de l’Agenda 2030 et de la dépopulation a été déjouée.

   Une puissance politique dressée face aux forces de l’argent et du crime organisé, même lorsqu’il prend le visage de Big Pharma, grand corrupteur des politiciens.


   Reste l’inquiétude : espérons que ce ne soit pas un simple coup d’éclat. Car à Davos, le nouveau maître des psychopathes qui prétendent fabriquer l’avenir, Larry Fink, PDG de BlackRock et co-président du Forum, se serait vanté que le Forum économique mondial avait réussi à imposer son modèle mondial grâce à son « pouvoir » – qu’il appelle « influence » – sur les gouvernements occidentaux.


   Et il n’aurait pas hésité à détailler la méthode :

   – Exploiter le contrôle des fonds de retraite des nations (du Mexique au Japon, en passant par le Royaume-Uni) pour imposer BlackRock comme « partenaire » incontournable.

   – « Courtiser » – c’est-à-dire financer – systématiquement les candidats politiques, non pas comme des électeurs, mais comme des « financiers mondiaux », garantissant ainsi l’accès et l’influence de BlackRock, quel que soit le vainqueur.


   La fusion de ces trois forces – l’argent de BlackRock, les adeptes de l’Agenda 2030 (vous n’aurez plus rien et vous serez heureux – sans doute grâce à leurs piqûres de Ri-vos-Tril), et la logique de dépopulation du Forum économique mondial – avec des politiciens en herbe avides de pouvoir, constitue la menace majeure de notre temps.


   Une menace qui dépasse les frontières, qui s’infiltre dans les institutions, et qui pourrait bien décider du sort de l’humanité.

L’empire agresse de nouveau le Venezuela grand allié de l’Iran en Amérique du sud et maillon de l’Axe de la Résistance élargi par le général Qassem Soleimani (The Intel Drop)

 

“Nous continuerons de soutenir tous ceux qui se tiennent contre l’injustice et l’occupation.”
“Notre résistance est un phare d’espoir pour tous les peuples opprimés du monde.”
~ Hassan Nasrallah ~

“Nous ne sommes pas comme les Américains, nous n’abandonnons pas nos amis.”
“Vous commencerez la guerre, mais nous la finirons.”
~ General Qassem Soleimani ~

Rappelons ici si besoin est, la “règle d’or” universelle : ne fait pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse en pareille circonstance…
~ Résistance 71 ~

Comment le général Qassem Soleimani cimenta l’alliance anti-impérialiste irano-venezuelienne

Musa Iqbal

28 août 2025

The Intel Drop avec Press TV

Source : https://www.theinteldrop.org/2025/08/29/how-general-soleimani-cemented-venezuela-iran-anti-imperialist-alliance/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Dans les récentes décennies, l’alliance entre l’Iran et le Venezuela a émergé comme un développement géopolitique de première importance, enracinée dans des implications idéologiques partagées et une résistance mutuelle aux agendas hégémoniques occidentaux.

Cette solidarité, forgée dans la lutte commune des peuples contre les sanctions occidentales et l’agression militaire, combinée avec une résilience historique de résistance aux envahisseurs, représente un partenariat stratégique qui transcende les divisions géographiques et culturelles.

Les deux nations, riches en ressources naturelles et tourmentées par des pressions extérieures qui cherchent à les dominer, ont cultivé une relation qui comprend la coopération économique, la collaboration militaire et le soutien diplomatique.

De partenariats énergétiques aux efforts coordonnés dans les forum internationaux, l’alliance irano-venezuelienne exemplifie une bien plus large coopération sud-sud, un glissement qui défie rapidement l’hégémonie américaine.

Aujourd’hui, l’Iran et le Venezuela doivent faire face au scénario de l’agression américaine. L’Iran, qui a émergé victorieuse de la récente “guerre des 12 jours” contre les sionistes, a subi des bombardements à longe distance des Américains suite à l’agression israélienne.

Empêchant la destruction de ses centrales nucléaires civiles pacifiques et déjouant une fois de plus le plan de “changement de régime”, la République Islamique d’Iran a repoussé l’axe israélo-américain au point qu’Israël supplia pour un cessez-le-feu après que ses systèmes de défense furent complètement annihilés par les frappes de missiles iraniens.

Mais de nouvelles agressions demeurent à l’horizon, agressions à venir contre lesquelles l’Iran est totalement préparée.

Simultanément, le Venezuela fait aussi face aux menaces d’agression des Etats-Unis alors que l’armée américaine se mobilise actuellement dans les Caraïbes avec des mouvements de navires de guerre et des déploiements stratégiques de troupes encerclant le Venezuela.

L’agression militaire par les Etats-Unis, particulièrement sous le président Trump, n’est pas nouvelle. Ce fut Trump qui lança la tentative échouée de coup d’état contre le président vénézuélien Nicolas Maduro en mai 2020, la même année où Trump fit assassiner le commandant des forces Quds anti-terroristes du CGRI, le général Qassem Soleimani, alors en mission diplomatique en Irak (NdT : assassiné par drone sur ordre de Trump en janvier 2020)

Par leurs intérêts partagés et une culture de résilience dans la résistance, l’Iran et le Venezuela allaient naturellement devenir de solides alliés. Hugo Chavez, feu président du Venezuela et leader de la révolution bolivarienne, a reconnu très tôt cela et a établi des liens chaleureux de longue date avec l’Iran, soutenant la République Islamique et son engagement dans l’opposition à l’impérialisme américain.

Mais ce fut le général Soleimani, le grand vainqueur de l’EIIL / Daesh (NdT : la légion mercenaire de la CIA, MI6, Mossad et MIT turc, comme le fut et l’est toujours Al Qaïda ou plutôt Al CIAda..) en Irak et en Syrie, qui fit parvenir la relation entre l’Iran et le Venezuela à l’étape supérieure.

Connu pour forger l’alliance anti-impérialiste de l’Axe de la Résistance et pour être le commandant de la force spéciale Quds du CGRI, il avait une très fine compréhension des tentacules de l’ennemi impérialiste.

C’est pour cette raison qu’il aidait à l’entrainement des armées et des groupes de résistance intéressés à combattre les agents impérialistes. (NdT : la formation du Hezbollah en Iran a pris une toute autre dimension avec le Gen. Soleimani, qui forgea aussi une grande amitié avec Hassan Nasrallah. Le Général. Soleimani fut instrumental dans la grande victoire de la Résistance contre les sionistes dans la “guerre des 33 jours” de juillet 2006 au Liban) Ainsi donc, la défaite de l’impérialisme représente une victoire pour les peuples libres.

En 2019, le Venezuela fut soumis à de dures sanctions menées par les Etats-Unis, juste un an avant l’échec de l’Opération Gédéon. Les sanctions ciblaient spécifiquement le secteur énergétique vénézuélien et pour rendre les choses pires, la nation fut sujette à de nombreuses attaques cybernétiques en mars, handicapant les systèmes énergétiques principaux.

Ce fut à cette même époque que les Etats-Unis essayèrent de renverser Maduro et de le remplacer par leur marionnette, Juan Guaido.

Les attaques cybernétiques impérialistes devaient mettre la pression sur le gouvernement vénézuélien et discréditer Maduro et la révolution bolivarienne. Le renversement d’un Venezuela souverain aurait été une grande victoire et un pied-à-terre dans les Caraïbes et l’Amérique du Sud.

Ce calcul fut parfaitement compris par la force Quds, qui était familière de ces attaques cybernétiques, outil de l’arsenal des attaques impérialistes sophistiquées contre l’Iran. D’après le président Maduro, le Général Soleimani offrit l’aide et l’expertise en la matière de son pays pour restaurer la grille énergétique vénézuélienne.

En deux ou trois jours, des experts iraniens arrivèrent au Venezuela et restaurèrent la grille énergétique pour la remettre aux mains de l’état vénézuélien.

Il est impossible de surestimer à quel point cette intervention fut cruciale. A ce moment là, tous les acteurs régionaux soumis aux diktats yankees mettaient la pression sur le Venezuela afin de renverser le gouvernement Maduro et y mettre un régime factice embrassant les règles Neo-libérales impérialistes.

L’intervention décisive du Gen. Soleimani dans le dénouement de cette attaque aida grandement à faire tomber la pression de la crise fabriquée par les impérialistes et à restaurer une énergie dont le peuple avait grandement besoin.

Dans un entretien accordé en 2022, Maduro mentionna cet incident : “Je ne connaissais pas le gen. Soleimani, je ne savais pas qui il était. La conversation que j’ai eue avec lui fut très harmonieuse, nous avons passé en revue tous les sujets de la crise. Il a immédiatement offert son soutien et l’aide des experts iraniens et deux ou trois jours plus tard, ceux-ci étaient au Venezuela pour restaurer nos services d’électricité.

Il fut très clair que le gen. Soleimani joua un rôle décisif dans les efforts du Venezuela à repousser et déjouer les attaques cybernétiques dont le Venezuela faisait l’objet.

Dans un autre entretien, Maduro se félicita de sa réunion avec le gen. Soleimani en disant : “Le gen. Soleimani fut un homme optimiste et pétillant dans la vie et je remercie Dieu d’avoir pu le rencontrer… Il a fait face au terrorisme et aux criminels terroristes sanguinaires qui attaquaient les peuples de l’Axe de la Résistance. Il était courageux.

L’Iran a résisté à bien des attaques cybernétiques, des attaques contre sa grille énergétique, et bien d’autres complots faits pour subvertir ses industries souveraines et ce pendant des décennies. Le gen. Soleimani et son équipe  d’experts savaient ce qu’il fallait faire pour arrêter cette menace et voyagèrent à travers le monde pour aider le Venezuela et bien d’autres nations.

Cet exemple de solidarité cruciale a immortalisé le gen. Soleimani aux yeux de la révolution bolivarienne. On peut voir aujourd’hui au Venezuela beaucoup de fresques murales de Soleimani, comme celle de Caracas où fut aussi inauguré un trottoir de l’amitié irano-venezuelienne en gratitude à la République Islamique d’Iran.

La solidarité et des exemples de la sorte ne sont pas juste un moment exceptionnel dans le temps ou dans les évènements historiques qui ne peuvent jamais se répéter. La solidarité est une force vivante, qui respire, spécifiquement entre deux géants de la résistance comme le sont le Venezuela et l’Iran, chacun opérant comme un rempart contre l’impérialisme dans leurs régions respectives.

Une fois de plus, aujourd’hui, nous retrouvons ces deux pays repoussant des complots armés impérialistes agressifs. Les tactiques et stratégies peuvent changer, mais le but demeure : la subjugation, la mise sous tutelle et la domination.

Ce que les agresseurs impérialistes recherchent, c’est d’écraser la solidarité, d’isoler les pays pour qu’ils se défendent seuls contre les complots d’agression. Ce qu’ils essaient d’activement briser est la solidarité régionale. Ce qu’ils n’anticipent certainement pas est la solidarité intercontinentale.

Il est essentiel de maintenir les contacts avec ses voisins, c’est indiscutable. Mais devant l’assaut global impérialiste, nous devrions examiner cette action simple de solidarité entre deux pays séparés par des océans, des continents et comment ils réussirent à arrêter l’avance ennemie.

Le monde, et particulièrement le sud global, doit apprendre du livre expérimental de gen. Soleimani et s’aider les uns les autres pour mettre fin à la marche mortifère de l’impérialisme.

Musa Iqbal est un chercheur, analyste basé aux Etats-Unis et éditeur sur le site Vox Ummah.

“Tant que l’impérialisme existe en ce monde, une paix permanente est impossible.” (Hassan Nasrallah)

“L’objectif est le peuple, la société, la communauté, la liberté, la beauté, la joie de vivre.”
~ Gustav Landauer 1911 ~

mardi 16 septembre 2025

Albert Einstein, un génie du plagiat

"Ce n'est pas Albert Einstein qui a théorisé la relativité restreinte en 1905, c'est le Français Henri Poincaré, et ce n'est pas Albert Einstein qui a théorisé la relativité générale en 1915, c'est David Hilbert. Albert Einstein est un faussaire soutenu par la coterie juive sioniste."


Sourcehttps://vk.com/video546895073_456255097

A Gaza, des enfants de 5-6 ans préparent leurs propres funérailles

 


 Source : https://www.youtube.com/shorts/ypbh7ioqwUg

dimanche 14 septembre 2025

ALAIN SORAL FAIT LE BILAN DE L’ACTUALITÉ BRÛLANTE DE LA RENTRÉE ET SA CONDAMNATION ! | GPTV

L’assassinat politique de Charlie Kirk à l’université de l’Utah a bouleversé les États-Unis et révélé l’ampleur de la fracture idéologique qui déchire l’Occident. Cet acte violent a attisé la rage d’une droite conservatrice galvanisée par la réélection de Donald Trump, face à une gauche radicale qui ne cache plus sa haine. La spirale de confrontation se nourrit de chaque provocation, dessinant la perspective d’une guerre civile larvée, dont les répercussions s’étendent déjà en Europe.

En France, la crise institutionnelle s’aggrave. Après la chute du gouvernement Bayrou, Sébastien Lecornu tente de sauver Emmanuel Macron en imposant un budget marqué par la dette abyssale et la dépendance à l’Union européenne. La perte de souveraineté se conjugue avec une politique belliciste qui alimente la défiance populaire. La tentative de mobilisation sociale a échoué, mais la colère enfouie reste prête à exploser à tout moment, confirmant que la fracture entre élites et peuple atteint un point de non-retour.

L’Angleterre connaît, elle aussi, une révolte populaire massive. Des millions de citoyens exigent la libération de leur nation du joug mondialiste et dénoncent la gouvernance cachée qui confisque leur avenir. Les événements de cette rentrée marquent une accélération décisive, où chaque peuple doit choisir entre soumission et résistance.

Alain Soral et Raphaël Besliu dévoilent ce que cache réellement la fracture de l’Occident, en direct sur Géopolitique Profonde.




Source :
https://www.youtube.com/watch?v=TIMeUBOcEA0&t=1176s

SORAL DIT SES 4 VÉRITÉS sur IDRISS ABERKANE

 


 

Source : https://www.youtube.com/watch?v=VeD2oBxO8Dw

6 milliards d'adorateurs d'idoles doivent mourir selon ce rabbin


 

 Source : https://www.facebook.com/reel/3026078640887695

jeudi 11 septembre 2025

Le Major Gérald, victime des injections ARN | Coach Tréguier Remise en Forme

Le Major Gérald refuserait le vaccin contre le Covid-19 si c’était à refaire.
Serait-il devenu complotiste ?
Malheureusement, il n’est pas le seul à avoir souffert des conséquences d’un vaccin expérimental. Pfizer a officiellement reconnu des effets indésirables « accru », mais seulement après avoir injecté des doses à un maximum de personnes… et envoyé la facture ! Dès le début de la campagne, des lanceurs d’alerte dénonçaient déjà l’inefficacité et la dangerosité du vaccin à ARN.
Aujourd’hui, beaucoup regrettent d’avoir accepté plusieurs doses, mais il faut se replacer dans le contexte de l’époque :
• Une pression et une anxiété permanentes diffusées par tous les médias.
• Ne pas être vacciné revenait à être tenu responsable du déficit de la Sécurité sociale.
• Pire encore, à être perçu comme un citoyen irresponsable, voire dangereux.
La morale de l’histoire ?
Comme l’a dit un autre « nous sommes en guerre ».
Il ne s’agissait pas d’une guerre classique entre nations avec des soldats sur le front, mais d’une guerre hors limite, opposant des individus libres aux institutions étatiques et mondiales (gouvernement, OMS, Union européenne…).
Ce conflit ne se joue pas sur un champ de bataille, mais dans des domaines multiples : médical, idéologique, historique, éducatif, médiatique, économique…
Alors, si l’on veut prendre le maquis, bâtissons un corps en meilleure forme, nourri d’une spiritualité épanouissante.
Mon site pour bâtir un corps en meilleur forme : https://www.formathlete.fr/

 

Source : https://www.youtube.com/watch?v=sVbBxMvZons

mercredi 10 septembre 2025

vendredi 5 septembre 2025

ASSELINEAU vs D'HÉRÉ / Incroyable : cette vidéo date de 2012 !

À QUI LE TEMPS DONNE-T-IL RAISON ?

En 2012, François Asselineau a débattu avec Marc d’Héré, un “Européen convaincu”, ancien socialiste ayant rejoint Sarkozy.

Treize ans plus tard, en 2025, réécouter ce débat permet de constater que toutes les analyses de François Asselineau se sont révélées exactes. Il avait parfaitement anticipé les catastrophes économiques, politiques, financières et démocratiques de l’Union européenne, le déclin de l’euro, les violations des traités et la soumission aux intérêts américains.

En revanche, les événements survenus depuis 13 ans ont systématiquement contredit tous les arguments que Marc d’Héré n’a eu de cesse de lui opposer tout au long du débat.

Revoir cette vidéo, avec le recul du temps, confirme à quel point est scandaleuse la censure constante par les médias que subit encore François Asselineau.

Cette vidéo est ainsi une des nombreuses preuves de la stratégie délibérée de l’oligarchie euro-mondialiste pour priver les Français de la seule alternative réelle au système actuel qui conduit la France à sa perte. Il faut faire taire François Asselineau.

Les médias cachent François Asselineau aux Français parce que c’est lui qui détient les clés de leur libération.



Source : https://www.youtube.com/watch?v=fM79xBjMJAM