jeudi 12 octobre 2023

Prix Nobel et chimiste de la mort

 

Le chimiste de la mort…

« Un chimiste allemand chauve qui invente un gaz mortel en 1912 » - Peinture

Image créée par IA

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

Fritz Haber (1868-1934)


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Le  11 octobre 2023

   Madame, monsieur, chère amie, cher ami,


   Toutes les institutions internationales, et le prix Nobel en est une, sont au service - entièrement au service -, de ce que l’on appelle en Occident « Deep State » (« État profond ») qui est dirigé par des milliardaires qui considèrent que c’est à eux de diriger le Monde, dans le cadre de ce qu’ils appellent, dans leurs clubs ou à Davos, le « Nouvel Ordre Mondial ».


   En Occident, tous les États et leurs institutions (comme, en France, le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État, les facultés et les académies de médecine, etc.) sont maintenant sous la coupe directe de ces milliardaires que nous appelons les « mondialonazis », en référence au mondialisme et au nazisme.


   En Occident toujours, les institutions européennes, les politiciens professionnels, les banquiers, les hauts fonctionnaires, ou encore les « intellectuels », les « journalistes » et les « artistes » subventionnés, sont les relais médiatiques et les obligés (directement pour les plus riches et les plus connus, indirectement pour les autres), de ces milliardaires, dont les principaux ont pour prénom Bill, George, Ted, Mark, Jeff...


   Le prix Nobel de médecine 2023 est une récompense offerte au mondialonazisme


   Le prix Nobel de médecine 2023, que nous appelons désormais « prix Bill Nobel de la dépopulation planétaire » a donc été attribué à l’ancienne vice-présidente de BioNTech, Katalin Kariko et à Drew Weissman.


   Ce prestigieux prix leur a été octroyé pour récompenser leurs rôles dans la mise au point des produits à ARNm, qui, dans le monde, ont rendu gravement malades des centaines de millions de personnes et qui en ont tué sans doute plus de 20 millions…


   C’est l’occasion pour nous, à l’aide de quelques exemples présentés dans une minisérie de quatre articles, de rappeler que les prix Nobel sont avant tout des récompenses politiques, parfois accordées à des monstres, coupables de bien des abominations, afin de les rendre respectables aux yeux de public et de faire oublier que ces abominations ont été organisées, de A à Z, par « Deep State » (« l’État profond »).


   Espérons que ces exemples permettront de démythifier la médecine occidentale et ses « médecins », dont on a vu, à l’occasion de la fausse pandémie de « C19 », qu’ils étaient majoritairement dans le camp du mal.

   Dans « Hippocrate aux enfers », Michel Cymes précise que plus de 70 % des médecins allemands ont adhéré au parti nazi.

   Combien en France ont-ils adhéré à la collaboration avec l’Allemagne nazie, 99 % ?


   Fritz Haber, « chimiste de la mort »


   Commençons par celui qui a longtemps été surnommé le « Chimiste de la mort, Fritz Haber qui a été lauréat du prix Nobel de chimie en 1918, pour ses travaux sur l’ammoniaque utilisée comme fertilisant agricole.


   Mais Fritz Haber est surtout connu, en 1918, pour ses travaux sur les gaz de combat à base de chlore et sur les tests d’efficacité qu’il a fait réaliser dans les tranchées et sur les champs de bataille avec l’accord des responsables militaires allemands.


   À ce sujet, c’est à Ypres, en Belgique, le 22 avril 1915, que l’armée allemande effectue sa première offensive au gaz (dichlore). 15 000 soldats français de la 45e division d’infanterie et de la 87e division d’infanterie territoriale sont alors intoxiqués et plus d’un millier perdent la vie.

   Alors que selon la chimiste Inger Ingmanson, Fritz Haber s’attendait à passer en Cour martiale, voire à être exécuté, il reçut le prix Nobel…


   Bien amicalement à tous.

   Patrick Ledrappier

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