La France, laboratoire de la Secte mondialiste
Pierre-Emile Blairon
Transcription de l’intervention de Pierre-Emile Blairon au colloque de la Ligue du Midi, 1er octobre 2023, Villeneuve-lès-Avignon, sur le thème : Décadence et chaos.
Dans
mon exposé, je vais utiliser certaines citations, la plupart de ces
citations proviennent des responsables eux-mêmes des deux sectes qui
prétendent diriger le monde et qui sont complices : la secte mondialiste
et la secte transhumaniste, ceci pour prouver que je n’invente rien.
1. Le coup d’État planétaire de 2020
Je ne sais pas s’il y aura des historiens sur notre planète au 22e
siècle, ni même s’il y aura quelqu’un, mais s’il y en a, ils
retiendront l’année 2020 comme la tentative d’un coup d’État planétaire,
c’est le grand reset, comme l’appelle Klaus Schwab, qui semble
être le chef, ou l’adjudant-chef, de la secte mondialiste qui a préparé
ce coup d’État avec ses amis milliardaires transhumanistes. Ce grand
reset est la forme qu’a pris l’accouchement d’un long processus de
subversion qui éclate au grand jour ; ce bébé qui est né en 2020 – un
bébé merveilleux selon ses géniteurs, puisqu’il est 2.0, et même deux
fois 2.0, puisqu’il est né en 2020 ; vous savez ce que signifie ce 2.0 ;
selon le dictionnaire, cette formule qualifie « une chose qui s'est totalement renouvelée, transformée, qui a connu une évolution majeure, une quasi-révolution. »
Le représentant des transhumanistes en France, Laurent Alexandre, dans un débat face à Michel Onfray, a dit ceci : « L’Homme
1.0 est mort, l’homme 2.0 modifié par la technologie arrive. Si nous ne
nous hybridons pas avec l’IA (l’intelligence artificielle), nous allons
être marginalisés, et nous allons disparaître. » Ce qui veut dire que nous devons nous transformer en robots.
Ce bébé 2.0 me rappelle celui du film Rosemary’s baby,
du réalisateur Roman Polanski, dont on connaît les déboires
judiciaires, un film sorti en 1968, une année hautement subversive, un
film qui sonne comme le signal de départ des événements à venir ; ce
bébé universel qui est né alors est bien celui de Satan.
2. Manifestations juvéniles de « satanisme »
Pour
des esprits rationnels, Satan – ou le diable - n’existe peut-être pas,
on peut les comprendre, cette référence paraît anachronique, faite pour
faire peur aux enfants qui ne sont pas sages, comme l’histoire du
Chaperon rouge et du grand méchant loup, mais il faut bien admettre que
les satanistes, qui se définissent eux-mêmes comme tels, sont bien réels
comme les décisions délirantes qu’ils nous imposent.
Nous
allons voir que beaucoup d’actions des mondialistes sont déterminées
par rapport à la numérologie, dates, chiffres, nombres symboliques, ou
par rapport à d’anciennes formules magiques ; c’est le monde d’Harry
Potter couplé à celui de l’Inquisition, ça semble très infantile, à la
limite de la débilité, mais il ne faut pas oublier que ça nous vient des
Etats-Unis, la nation qui a été fondée par les premiers pilgrims et les
sectes bibliques, et ensuite continué plus ou moins gentiment par
Hollywood et Walt Disney. Quand j’emploie le mot « secte » pour désigner
la mouvance mondialiste, c’est avec un brin d’humour. Ces gens
paraissent ridicules aux yeux de personnes ayant gardé un peu de bon
sens. Par exemple, on a peine à imaginer que certains dirigeants des
Etats-Unis, comme la famille Bush, ont appartenu à un groupe plus ou
moins secret, appelé Skull and Bones, crâne et os. Ne manque plus que
les toiles d’araignée et les déguisements de fantômes pour évoquer
Halloween, autrement dit la Samain, l’une des grandes fêtes celtes que
les Américains, et même certains Européens, se sont appropriée pour en
faire une réjouissance pseudo-satanico-commerciale en y exposant les
enfants censés effrayer leurs parents.
Voici
quelques exemples de ces curieuses interventions de personnalités qu’on
aurait crues moins superstitieuses et plus austères :
Par exemple, Christine Lagarde, qui dirige le FMI, a demandé à son auditoire, lors d’une intervention en 2014, de « penser au 7 magique »
(pourquoi en 2014 ? Parce que la somme de tous les chiffres de 2014 est
7, tout bonnement), et elle a prédit 7 années prospères qui vont suivre
jusqu’à 2021 » , « année ou le FMI aura quelque chose à faire »,
rajoute-t-elle sur un ton mystérieux. 7 années prospères peut-être pour
les mondialistes et une année 2021 qu’elle espérait sans doute celle du
triomphe de ses amis oligarques.
Autre exemple, Bill Gates qui a déposé un brevet concernant un « système de crypto-monnaie utilisant des données sur l’activité corporelle » (celui
qui sait ce que ça veut dire est un champion), brevet numéroté :
060606, 666, « le nombre de la bête » dans l’Apocalypse de Jean ; je
vous en rappelle le texte d’origine : « À tous, petits et grands,
riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle impose une marque sur
la main droite ou sur le front. Et nul ne pourra acheter ou vendre,
s’il ne porte la marque, le nom de la bête ou le chiffre de son nom.
C’est le moment d’avoir du discernement : celui qui a de l’intelligence,
qu’il interprète le chiffre de la bête, car c’est un chiffre d’homme :
et son chiffre est six cent soixante-six. ». La marque, c’est
évidemment cette volonté des mondialistes de tracer tous les humains par
une puce implantée, mais nous verrons que ce nombre n’est pas que ça..
A propos de ladite « bête », Macron a eu cette phrase : « Je
crois que notre génération doit savoir que la Bête de l’évènement est
là, elle arrive, qu’il s’agisse du terrorisme, de cette grande pandémie
ou d’autres chocs. » C’est une technique habituelle des membres de
cette élite autoproclamée : Ils décrivent ce qui va se passer
en faisant croire qu'il ne s'agit pas de leur plan mais d'une "fatalité"
dont ils ne sont pas responsables et même qu’ils combattraient. C’est
ce que fait aussi Laurent Alexandre, le représentant en France de la
secte transhumaniste qui est en complète fusion avec la secte sataniste
mondialiste, quand il écrit dans son livre au titre très explicite La
Mort de la mort[1]
(toujours cette obsession de devenir « immortel ») : « Rien ne garantit
qu’une humanité augmentée sera tolérante vis-à-vis des humains
traditionnels. La possible tyrannie de la minorité transhumaniste doit
être envisagée avec lucidité. » Il écrit encore : « Avoir des millions
de nanorobots médicaux dans le corps est une perspective intéressante, à
condition que la sécurité informatique soit assurée. Imaginez que des
bioterroristes parviennent à prendre le contrôle de ces nanorobots ! En
les rendant agressifs, ils pourraient tuer d’un clic de souris des
millions d’individus. Une attaque terroriste virale, avec par exemple
une version génétiquement modifiée du SRAS (c’est un coronavirus), de la
variole ou autre, pourrait provoquer des millions de victimes avant
qu’un vaccin ne soit disponible. »
C’est
très intéressant, surtout quand on sait que ce livre est paru en avril
2011 ! Donc, en 2011, Laurent Alexandre, tel un prophète, envisage
l’éventualité d’une pandémie de coronavirus qui pourrait provoquer des
millions de morts et il ajoute : « avant qu’un vaccin soit disponible »
!
3. Les psychopathes
Depuis
l’année 2020, nous sommes entrés par la grâce de ces psychopathes, dans
un monde de cauchemar que nous ne pouvions même pas imaginer. Et encore
aujourd’hui, la plupart de nos concitoyens n’en ont toujours pas pris
conscience. Je rappelle la définition d’un psychopathe, elle correspond
exactement au caractère de ces gens : « ce syndrome caractérise des
gens arrogants, très manipulateurs, insensibles, séducteurs et
dominants. Ils n'ont aucun remords ou empathie. »
En
France, toutes les avanies qui semblent nous tomber brusquement sur le
dos dans des domaines très différents comme l’invasion migratoire
préméditée, l’insécurité organisée et la justice politisée, la
liquidation de nos fleurons économiques et industriels comme EDF, Alstom
et bien d’autres, la totale déliquescence de nos valeurs
traditionnelles, la négation de nos principes les plus évidents et
naturels comme la différenciation sexuelle ou la préservation de
l’innocence et de la pureté de nos enfants, l’abolition de nos
frontières, la destruction méthodique de l’instruction publique et de
notre système de santé, la disparition de notre qualité de vie dont
personne n’ose même plus évoquer ne serait-ce que le concept, tellement
c’est devenu un luxe, disparition qui conduit au saccage de nos
terroirs, de nos paysages et de notre cadre de vie avec leurs nouvelles
énergies soi-disant renouvelables, les diverses manipulations génétiques
ou dérèglements climatiques (c’est leur nouvelle lubie – il est
probable que toutes ces catastrophes dites naturelles qui se multiplient
sur toute la planète actuellement ne soient pas si naturelles que ça),
toutes ces épreuves que nous subissons - et la liste est loin d’être
exhaustive - ne sont pourtant pas le fruit du hasard.
Il faut bien nous rendre à l’évidence : elles nous sont imposées, il s’agit d’un plan concerté.
Nos
esprits raisonnables n’ont pas mesuré l’ampleur de la catastrophe qui
s’abattait sur nous. Il ne s’agit pas tant de la nocivité d’un virus qui
aurait été concocté dans un laboratoire franco-chinois, mais plutôt de
ce qu’il représentait comme test pour mesurer nos capacités de
résistance à une manipulation somme toute grossière.
Ce
qui nous a effectivement permis de découvrir le véritable désastre : la
grande majorité de la population française, européenne et même
planétaire est tombée dans le panneau, s’est soumise à toutes les
injonctions étatiques sans avoir élevé la moindre objection ; il
suffisait de faire peur aux foules.
Certains
d’entre nous ont gardé un esprit critique, ceux qu’on a appelés d’abord
des lanceurs d’alerte, puis ensuite des complotistes mais qui ne sont
que des gens avertis et curieux ; ces personnes lucides ont compris
ceci : Les complotistes sont désignés ainsi par ceux qui organisent les
complots, à savoir les comploteurs.
Victor Hugo écrivait dans Les Misérables : « Mentir, c'est la face même du démon ; Satan a deux noms : Il s'appelle Satan et il s'appelle Mensonge. »
Au
début de leur prise de pouvoir, les mondialistes ont régné
effectivement par le mensonge ; on se souvient des déclarations
contradictoires de nos gouvernants d’un jour à l’autre, ou d’un ministre
à l’autre, au début de cette période covidiste, qui nous ont fait
penser qu’ils étaient incompétents ; mais non : nous avons fini par
comprendre que chacune de leurs interventions et de leurs actions était
parfaitement préméditée et calibrée. Ces gens maîtrisent parfaitement
l’art du mensonge, de la manipulation des masses - ou de l’ingénierie
sociale, pour parler un langage plus moderne.
Puis,
peu à peu, ces mêmes dirigeants, un peu partout dans le monde, ont
cessé de mentir, ils n’ont plus rien caché de leurs véritables
intentions.
Pourquoi sont-ils si sûrs d’eux-mêmes ? Pour deux raisons principales.
-
D’abord parce qu’ils savent qu’ils ont réussi au moins une partie de
leur plan : leur emprise sur les masses. Ils peuvent affirmer les pires
insanités, exposer leurs projets les plus liberticides, les populations
lobotomisés n’y prêtent plus attention, comme si elles refusaient d’y
croire. En fait, peu importe aux masses que ce soit vrai ou faux ; elle
ne veulent tout simplement pas en entendre parler ; depuis des années,
les alerteurs s’échinent à apporter les preuves de la grande
manipulation ; en vain ; c’est : « Après moi, le déluge ! »
-
Il faut dire aussi que ces dirigeants occidentaux, qui se considèrent
comme « l’élite », sont arrogants à ce point pour une deuxième raison :
c’est parce que les adjudants--chefs comme Schwab, qui les supervisent,
les ont convaincus qu’ils étaient invincibles (voire immortels), parce
qu’ils seraient protégés par une caste secrète de Supérieurs inconnus,
selon leur jargon, qui est celui d’un occultisme de bas-astral, une
caste qui actionnerait tous les rouages qui fabriquent le monde
matériel, caste elle-même héritière de très anciennes officines qui ont
œuvré depuis des siècles, voire des millénaires, pour prendre ce pouvoir
bien terrestre qu’elles pensent avoir arraché aux instances divines. Le
satanisme de nos modernes élites est à la fois puéril, archaïque et
féroce ; il puise ses références dans les vieux grimoires de magie noire
et s’accompagne presque toujours de perversions sexuelles comme nous
l’avait montré Stanley Kubrick dans le dernier film qu’il a réalisé, Eyes wide shut, les yeux grands fermés, un titre qui caractérise bien l’attitude timorée de la masse.
4. Les origines
Comment
en sommes-nous arrivés là ? Pour comprendre un problème et tenter de le
résoudre, il faut toujours retourner à ses origines.
A. Origines anciennes
Je parle de siècles et de millénaires.
Nos
modernes satanistes sont les héritiers de la race des Titans qui, dans
la mythologie grecque, ont voulu se mesurer aux dieux par la révolte de
leur figure la plus emblématique qui s’appelle Prométhée, lequel est
réputé avoir créé les humains ; le prométhéisme, ou le titanisme, a
donné naissance au surhumanisme, qui est lui-même l’antichambre de
l’actuel transhumanisme, qui milite pour un homme augmenté, équivalent
du surhomme.
Cette
vanité, cet orgueil qui a poussé les Titans à défier les dieux
s’appelle l’hubris, la démesure élevée en mode de fonctionnement de nos
sociétés actuelles, la folie titanesque ; je ne prendrai pour seul
exemple de cette folie, exemple qui est caricatural, que cette course à
celui qui élèvera la plus haute tour au monde (on pense à la Tour de
Babel), compétition engagée par les Bédouins richissimes du Golfe
persique qui les distrait de leurs collections de Ferrari ou des courses
de chameaux dont ils sont restés friands ; mais cette frénésie de
constructions verticales apparue à New-York et à Chicago, à la fin du 19e
siècle, hautes tours qu’on a appelées gratte-ciel – le mot gratte-ciel
symbolise à merveille cette volonté de concurrencer les dieux - , cette
frénésie s’est étendue à l’ensemble de la planète, si bien que les
villes de culture, qui se distinguaient par une architecture enracinée,
perdent leur particularité et sombrent dans l’anonymat et l’uniformité
de ces terrifiantes mégapoles dont Oswald Spengler avait si bien
prophétisé la sinistre emprise au début du 20e siècle, dans son livre « Le déclin de l’Occident ».
Le psychothérapeute Paul Diel dira que « Les
hommes, en tant que créatures de Prométhée, formés de boue et animés
par le feu volé, réalisent la révolte du Titan et ne pourront que se
pervertir. Guidés par la vanité de l’intellect révolté, fiers de leurs
capacités d’invention et de leurs créations ingénieuses, les hommes
s’imagineront être pareils aux dieux[2]. »
Et
ce n’est pas un hasard si l’équivalent des Titans chez les monothéistes
sont les anges rebelles, et de ce fait déchus, dont le chef s’appelle
évidemment Satan, dont la racine serait la même que celle de Titan,
selon le chercheur Daniel E. Gershenson. La cause de la déchéance de ces
anges est identique à celle qui a poussé Prométhée à défier les dieux :
l’hubris, l’orgueil, la vanité, la volonté de se mesurer à Dieu, voire
de le remplacer.
On peut constater que paganisme et christianisme se rejoignent ici, pour une fois, au moins pour avoir un diable en commun.
B. Histoire contemporaine
Voyons maintenant rapidement quelques épisodes de l’histoire contemporaine qui ont favorisé l’émergence de la Secte.
En même temps que les gratte-ciel, sont apparues tout au long du 19e
siècle quantité d’inventions scientifiques et techniques qui faisaient
penser que le monde entrait dans une phase de bonheur et de prospérité
matériels.
La
fée électricité, le cinéma, la photographie, le télégraphe, le
téléphone, la machine à vapeur, le train, l’avion… un tourbillon
d’inventions techniques qui ne pourront que tourner la tête des foules
et les persuader qu’une ère nouvelle était en train de bouleverser leur
vie, celle du progrès sans fin.
Un
autre événement, culturel cette fois, va s’insérer dans cette suite de
révolutions techniques ; c’est la parution d’un livre qui va changer
radicalement l’idée qu’on se faisait de l’origine de l’Homme . Jusqu’à
la parution en 1859 de l’ouvrage de Darwin, L’Origine des espèces,
c’était les religions du Livre, les bien nommées, qui expliquaient que
c’était leur Dieu unique qui avait créé l’espèce humaine, les animaux,
la terre et la nature, le cosmos dans son ensemble. Les thèses de Darwin
sur l’évolution supposent que l’ancêtre de l’Homme est le singe et
vont, bien sûr, à l’encontre de la doctrine créationniste des
monothéistes. L’ouvrage de Darwin eut un grand succès qui perdure
encore ; cette théorie de l’évolution a été à l’origine d’une autre
théorie qui en découle et qui est tout aussi aberrante : celle du
progrès , qui a donné naissance à ses partisans, nos chers amis les
progressistes.
On
comprend pourquoi l’influence de l’Église commence alors à décliner à
cette époque ; et c’est même en 1850 qu’on voit apparaître le mot : anticlérical.
A
cette même période, l’Université crée les premières chaires d’Histoire,
et va former de nouveaux historiens qui vont réviser leurs
connaissances à l’aune de leur époque si fertile en nouveautés. Ils ont
alors estimé que le Moyen-Age était une période obscurantiste, sans
doute parce que c’est au Moyen-Age qu’ont été érigées les plus somptueux
édifices réalisés par le génie européen : je veux parler des
cathédrales ; c’est encore au Moyen-Age qu’on a vu le retour des valeurs
éternelles qui ont constitué le socle spirituel indo-européen avec
l’élaboration du code de chevalerie, c’est toujours au Moyen-Age que
l’on a assisté à une résurgence fugace de la Tradition primordiale avec
l’apparition du cycle du Graal.
Selon
ces historiens, l’époque moderne débute soit en 1453 avec la chute de
Constantinople, soit en 1492 avec la découverte de l'Amérique, en gros à
la Renaissance, ce qui induit que la Renaissance, par un retournement
sémantique inclus dans toute fin de cycle, était donc le début de la fin
; selon ce même principe, le mouvement philosophique qu’on appellera le
Siècle des Lumières (entre 1715 et 1789) sera le début de
l’obscurcissement de la pensée et de la disparition des valeurs
traditionnelles jusqu’à l’apparition de la Révolution française qui aura
été préparée par ce même mouvement rationaliste, individualiste et
libéral.
Il
est probable que la Révolution française ne fut à l’origine qu’une
agitation de quelques fanatiques éméchés, recrutés dans les bas-fonds et
manipulés par les bourgeois issus du mouvement des Lumières, des
troubles que les historiens progressistes feront passer pour une révolte
populaire et qui sera le modèle de toutes les révolutions sanglantes
qui lui ont succédé de par le monde. La Révolution engendrera la
République française, un concept politique que nos dirigeants
contemporains aimeraient bien faire passer pour l’âme même de la France,
comme si l’histoire de notre pays avait commencé à la Révolution.
Certains se souviennent que nos vieux maîtres d’école nous apprenaient
que nous étions Français, de souche gauloise, sous un régime momentanément républicain.
5. Evolution ou involution ?
Le
principe de progrès et d’évolution qui est entré alors dans la tête et
la logique de tous au point d’être considéré comme une évidence, est la
plus formidable réussite de manipulation et de conditionnement des
masses, avant même celle de la pseudo-pandémie et du pseudo-vaccin que
nous avons vécu en direct. Mais ces notions sont d’ordre purement
humain, issues de l’intelligence, ou de l’ignorance, humaine. Nous
allons voir que ces théories ne sont, en fait, que des utopies,
puisqu’elles ne se rattachent à aucun élément concret.
Selon
Julius Evola, seule une petite minorité de personnes a conscience de
cette manipulation parce que ces personnes ont conservé ce que Julius
Evola appelle « cette hérédité des origines, cet héritage qui nous
vient du fond des âges qui est un héritage de lumière. […] Seul peut
adhérer au mythe de l’évolutionnisme et du darwinisme l’homme chez qui
parle l’autre hérédité (celle introduite à la suite d’une hybridation)
car elle a réussi à se rendre suffisamment forte pour s’imposer et
étouffer toute sensation de la première[3] ».
Evola précise qu’il est « plus juste de dire que le singe dérive de l’homme par involution que d’affirmer que l’homme dérive du singe par évolution[4]. »
Et il rajoute dans Révolte contre le monde moderne :
« Le fait qu'à la conception aristocratique d'une origine d' "en haut",
d'un passé de lumière et d'esprit, se soit substituée de nos jours
l'idée démocratique de l'évolutionnisme, qui fait dériver le supérieur
de l'inférieur, l'homme de l'animal, la civilisation de la barbarie –
correspond moins au résultat "objectif" d'une recherche scientifique
consciente et libre, qu'à une des nombreuses influences que, par des
voies souterraines, l'avènement dans le monde moderne des couches
inférieures de l'homme sans tradition, a exercées sur le plan
intellectuel, historique et biologique. »
Encore un mot à propos de cette théorie de l’évolution pour nous retrouver au cœur des événements actuels.
Notre
bon professeur Raoult, avant de s’opposer aux représentants de la
pseudo-médecine, avait écrit un livre qui posait les vraies questions à
propos du travail de Darwin et il en démolissait les dogmes ; le titre
de son livre ne laisse aucun doute sur son contenu : Dépasser Darwin,
livre paru chez Plon en 2010, qui dérangeait la presse de gauche
puisque l’Express titrait sur cette parution dans le style bien tordu
que nous leur connaissons : « L’étrange évolution du professeur Raoult ; verdict : Raoult s'égare et se contredit. ».
Ces braves petits journalistes se permettaient de condamner cette
sommité mondiale du haut de leur ignorance, mais on comprendra mieux la
perfidie de cette démarche, sachant que l’article est daté du 28 mai
2020, en plein procès stalinien du professeur Raoult. Que c’est bon de
pouvoir hurler avec les loups...
Cette
faculté spirituelle innée, qui permet à certains de conserver la
mémoire des temps primordiaux comme le disait Evola, présente l’avantage
de ne pas être vulnérable aux attaques des nouveaux Titans qui ne
peuvent s’exercer que sur le plan de la technique et de la matérialité ;
face à ces hommes et ces femmes différenciés, la charge transhumaniste,
qui vise à s’introduire dans le corps de chaque individu pour en faire
un robot ou un esclave, ne peut rien.
6. Le principe cyclique
Quelques mots sur le principe cyclique qui est à l’opposé du principe linéaire des progressistes.
Toutes
les civilisations traditionnelles, dès l’apparition de l’humanité, se
sont référées à l’observation de la nature pour comprendre la marche du
monde. Elles en ont toutes conclu que le monde vivait sur Terre selon un
principe cyclique, qui est lui-même d’essence cosmique ; tout vit et
meurt et revient ; il n’y a ni début ni fin ; nos ancêtres ont établi
une mesure du temps en observant le mouvement cyclique des planètes. Les
heures, les jours, naissent et meurent selon la course du Soleil, de
même que les saisons, les arbres fleurissent chaque année et leurs
feuilles tombent à l’automne pour la plupart et, sauf intervention
humaine, il fait froid en hiver et chaud en été sous nos climats dits
tempérés.
On
a l’illusion d’un progrès parce que celui-ci est matériel, qu’il se
voit, qu’il se touche, avec lequel on vit ; ce progrès est entièrement
relié à la techno-science que les hommes semblent avoir inventée comme
une sorte de prothèse pour remplacer les pouvoirs naturels qu’ils
possédaient dans les temps anciens, selon les mythes d’origine.
On
se massacrait autrefois à coups d’épée, et maintenant, c’est à coups de
canon ; le sang coule toujours à flots et ça réjouit notre secte
sataniste, mais où est le progrès spirituel ?
Jean Giono qui a consacré son œuvre à vouloir comprendre le fonctionnement de la nature écrit dans Triomphe de la vie : « Le seul mot d’ordre depuis l’ivresse de la fin du 19e
siècle, c’est aller de l’avant. Tout cela est bel et bon quand on sait
en premier lieu qu’aller de l’avant, c’est retourner en arrière…
Constamment, vous retournez en arrière parce que c’est la loi de tout[5]. »
En
réalité, nous ne retournons pas en arrière ; c’est le secret que ne
pourront jamais percer ceux qui ne cessent de courir après, même si on
le leur dévoile ; nous ne retournons pas en arrière, nous retournons à
la source, la source de la civilisation primordiale qui est à l’origine
de toutes les sociétés traditionnelles et qui est la source du savoir
sur notre planète. Plus on est « moderne », donc d’apparition récente,
et plus on est archaïque, déliquescent, parce que plus éloigné de
l’origine, de la source, qui est un renouvellement permanent, comme une
fontaine de Jouvence, puisque l’eau qui en surgit n’est jamais la même.
Ceci vaut aussi pour les civilisations. l’Amérique, appelée aussi le
Nouveau Monde, est en fait le plus dégénéré, car le plus loin de la
source, ou pour les religions comme l’islam, qui est la dernière
religion monothéiste d’importance apparue dans l’univers religieux qui
est donc la plus éloignée de la spiritualité originelle.
7. Les quatre âges d’un cycle
Les
anciennes sociétés indo-européennes : hindoues, grecques et iraniennes
principalement, ont établi la conception d’un cycle du temps divisé en
quatre âges : le plus ancien, le plus long et le plus heureux, c’est
l’Age d’or, remplacé par l’Age d’argent, puis l’Age de bronze, et enfin
vient l’Age de la fin du cycle appelé l’Age de fer chez les Grecs, le
Kali-Yuga chez les Indous, l’Age du loup ou l’âge sombre chez les
Germains, un âge dont nous vivons actuellement les derniers instants.
Les cycles se suivent et se ressemblent, ils se terminent tous dans la
confusion, le chaos, la décadence et la totale inversion de toutes les
valeurs vertueuses qui constituaient le socle de nos sociétés
millénaires ; mais un arbre, s’il pouvait parler, se désolerait tout
autant de voir ses feuilles faner, se transformer en pourriture, mais
aussi en humus qui préparera l’engrais pour une nouvelle saison, pour un
nouveau cycle. Pour les humains, il faut attendre l’horreur absolue (et
je crois que nous n’en sommes pas loin) pour voir arriver la fin de ces
désordres et l’émergence du nouveau cycle.
Cette
horreur est inévitable, mais ce n’est pas une raison pour des Européens
à la longue mémoire de se comporter comme des spectateurs passifs en
considérant de loin, dans leur fauteuil, les événements tragiques qui
vont inévitablement se dérouler ; tout changement de cycle se fait grâce
à une infime minorité clairvoyante et résolue qui est en charge de
préparer les bases de ce nouveau cycle et, surtout, de préserver le
moyeu intangible de cette roue qu’ils sont amenés à faire repartir sous
les attaques de ceux qui veulent remplacer Dieu, ou les Dieux, en
l’occurrence pour notre cycle actuel, ce que j’appelle la secte
mondialiste.
Juste
quelques remarques sur des faits évidents mais que personne n’évoque
parce que ces faits naturels vont à l’encontre de la doxa
évolutionniste ; c’est pour cette raison que j’ai parlé d’aberration à
propos des théories de Darwin et des progressistes.
A
l’observation de la nature, nous voyons bien que tout est involution
sur Terre, et non pas évolution, ce qui est l’utopie des progressistes.
Tout va toujours du meilleur au pire et non pas du pire au meilleur.
Notre propre vie ne se fait pas de la vieillesse à la jeunesse, ou de la
mort à la naissance, mais c’est le contraire ; nous allons toujours
vers la mort ; c’est d’ailleurs pour faire mentir la nature que les
transhumanistes veulent supprimer la mort, un phénomène bien regrettable
mais inévitable. Au solstice d’été, nous fêtons la nuit la plus courte
de l’année, et donc le jour le plus long ; mais dès le lendemain du
solstice, les jours commencent à raccourcir. Les civilisations et les
cultures font de même : il y a une naissance, un apogée, un déclin,
l’ancien monde romain, par exemple.
Je vous donne deux exemple concrets pour bien comprendre une fin de cycle.
L’exemple
de la piscine : quand on saute dans une piscine, il faut attendre de
toucher le fond pour donner un petit coup de talon pour remonter.
L’exemple
de la montre : je n’ai pas trouvé de meilleur exemple concret pour
symboliser le concept de cyclologie. Regardez la montre que vous avez au
poignet ; si elle n’est pas numérique, elle est composée de rouages,
des roues dentées de différents diamètres et de trois aiguilles
représentant les heures, les minutes et les secondes, chaque aiguille
étant souvent terminée par une flèche ; un grand cycle comme celui dont
nous vivons la fin est lui aussi composé de petits cycles qui ont tous
démarré au zénith, les trois aiguilles pointant leur flèche sur le 12,
le midi, le point le plus haut du soleil, et ils termineront leurs
cycles, les flèches inversées tête en bas sur le 6 ; lorsque les trois
aiguilles pointent en même temps sur le 6, elles composent le 666 de
l’Apocalypse, donc la fin du cycle avec une totale inversion des
valeurs, l’Apocalypse est une conjonction de catastrophes naturelles ou
initiées par l’humain, mais, en même temps commence la remontée vers le
midi, vers le nouveau cycle, ce que la religion chrétienne appelle la
Révélation.
Chacun de nous porte le début et la fin du monde à son poignet.
8. Le projet de la Secte
Quel est le projet de la secte ?
Le
projet de la Secte est justement d’arrêter le cours du cycle naturel
pour le remplacer par leur propre utopie en mode linéaire qui consiste à
supprimer la mort par des moyens techniques, immortalité dont seraient
bénéficiaires uniquement une certaine caste, la leur. Jacques Attali
nous dévoile ce projet sans complexe.
Le
nom même d’Attali n’échappe pas à ce besoin maladif d’inversion dont la
secte est si gourmande. On se demande s’il n’a pas fait exprès de
porter ce nom. Je l’appelle Attali, le fléau de Dieu. Dans une vidéo que
j’ai vue récemment, il a tout bonnement décrit le monde qu’ils sont en
train de nous concocter.
Il a énoncé son discours avec un cynisme effrayant et un total manque d’empathie.
Ecoutez bien, il dit ceci : « Il est évident que ça se terminera un jour par un gouvernement mondial, équilibré, démocratique (ben voyons !)
qui mettra en place des règles, qui dominera le système financier, il y
aura une monnaie mondiale. Les humains se diviseront en trois
catégories : il y aura les nomades de luxe ; mais leur déracinement sera
un luxe choisi et non pas une souffrance ; ils auront tous les moyens,
tous les outils de la liberté, y compris la liberté génétique de devenir
un autre (Je ne vois pas où est l’intérêt ? Si ce n’est de cautionner toutes ces manipulations génétiques) ; ils seront 100 à 150 millions.
A
l’autre bout, il y aura 5 ou 6 milliards de nomades de misère qui
seront nomades d’une ville à l’autre, d’une campagne à l’autre par
nécessité, pour trouver à manger.
Et,
au milieu, une classe moyenne qui vivra dans l’espérance illusoire de
rejoindre les nomades de luxe et dans la terreur réelle de basculer dans
l’infra-nomadisme. Ces gens regarderont la vie des nomades de luxe à la
télé et se réjouiront de regarder le spectacle de la souffrance des
autres, de la misère des autres, en se réjouissant de ne pas en être. ».
- Voilà le merveilleux projet de la secte mondialiste.
Cet
homme doit avoir une drôle de mentalité pour penser que des gens
normaux peuvent se réjouir de la misère des autres, il le dit même deux
fois ; c’est l’attitude typique du manipulateur qui reporte ses propres
turpitudes sur ses victimes.
Dans
cette vidéo, il fait semblant d’ignorer la première des mesures que ces
nouveaux maîtres veulent prendre : à savoir la réduction de la
population mondiale, à moins qu’il ne considère que ces 5 ou 6 milliards
d’individus infra-nomades, comme il dit, sont destinés tout simplement à
mourir de faim, ce qui est implicite dans sa description.
D’autant
plus qu’on se souvient qu’il avait lancé l’idée d’une euthanasie pour
les plus de 65 ans qui, passé cet âge, ne servent plus à rien. Je le
cite : « Dès qu’on dépasse 60-65 ans, l’homme vit plus longtemps
qu’il ne produit et il coûte cher à la société, il est bien préférable
que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se
détériore progressivement. C’est parfaitement clair si l’on se rappelle
que les deux tiers des dépenses de santé sont concentrées sur les
derniers mois de vie. L’euthanasie sera un des instruments essentiels de
nos sociétés futures dans tous les cas de figure[6]. » Lui
qui aura 80 ans le mois prochain ne se sent évidemment pas concerné
puisqu’il se range d’emblée dans la caste des nomades de luxe qui auront
toute liberté de vivre comme bon leur semble.
9. La France, laboratoire de la secte mondialiste
Pourquoi la France serait-elle le laboratoire de la secte mondialiste ?
Parce
que la France est un concentré de tout ce que l’Homme, son œuvre et la
nature ont pu faire de mieux, c’était autrefois le siège de la culture,
du beau, du bon et du bien, un véritable paradis.
La
France occupe une place unique dans le monde par sa situation
géographique, son climat, la diversité de ses terroirs et de ses
peuples, son histoire, sa langue - qui fut longtemps celle des élites
européennes - l’œuvre de ses ancêtres ; sa douceur de vivre représentait
le paradis sur terre ; c’est pour cette raison que les satanistes ont
jeté leur dévolu sur notre pays pour en faire leur pandémonium,
c’est-à-dire la demeure du diable, pour remplacer celle de Dieu. Ils
veulent jouir du pouvoir de saccager ce qui est beau. Il s’agit là d’un
triple crime : Crime contre l’humanité, crime contre l’œuvre de l’Homme,
crime contre la nature.
Le
personnel politique français a été choisi depuis longtemps pour cet
autre grand remplacement, par exemple, les individus formatés par la
Secte, les Young leaders, nourris aux techniques de
manipulation des masses comme les poulets de batterie sont nourris aux
OGM ; Macron, Edouard Philippe, Gabriel Attal et d’autres sont passés
par cet apprentissage, on note même le nom de Marlène Schiappa, dont on
peut se demander en vertu de quoi (sans jeu de mots) elle a figuré sur
cette liste ?
L’apparition
de ces zombies de luxe avait été largement préparée par les présidents
de la République française qui avaient précédé Macron, et surtout par
les deux derniers, Nicolas Sarkozy et François Hollande.
Sarkozy collectionne les diktats mondialistes :
Il
a commencé par trahir le peuple français en 2005 en ne tenant aucun
compte du référendum sur le Traité constitutionnel européen dont les
Français ne voulaient pas à 55 % des voix. On sait que l’Europe de
Bruxelles n’est qu’une courroie de transmission de l’Ordre mondial.
Le 17 décembre 2008, il a prôné le métissage obligatoire des Français. Voici ce qu’il a dit : « En
relevant le défi du métissage, la France est fidèle à son histoire.
D'ailleurs c'est la consanguinité qui a toujours provoqué la fin des
civilisations et des sociétés. La France a toujours été au cours des
siècles métissée. La France a métissé les cultures, les idées, les
histoires. La France qui a su métisser ces cultures et ces histoires, en
a construit, produit un discours universel parce que, elle-même, la
France se sent universelle dans la diversité de ses origines. Mesdames
et messieurs, c'est la dernière chance. Si le volontarisme républicain
ne fonctionnait pas, il faudra alors que la République passe à des
méthodes plus contraignantes encore. »
Le 16 janvier 2009, il a cette phrase qui veut tout dire : «"On ira ensemble vers ce nouvel ordre mondial, et personne, je dis bien personne, ne pourra s'y opposer."
En
2011, il fait intervenir la France en Libye, ce qui a pour effet de
libérer les Africains contenus par le gouvernement libyen qui vont se
répandre sur le continent européen.
Hollande,
lui, est responsable, entre autres, et c’est déjà beaucoup, de la mort
de centaines de milliers de soldats russes et ukrainiens et d’un parjure
de la France qu’il représentait ; il était chargé de garantir la bonne
application des accords de Minsk et il a au contraire tout fait pour que
ces accords ne soient pas appliqués, en avouant même que le seul but
était de retarder l’application de ces accords pour donner le temps à
l’Ukraine et aux Occidentaux de s’armer.
Quant à Macron, c’est l’élu de la clique mondialiste. Schwab a dit de lui : « Macron est celui qui doit nous emmener dans le monde d’après ».
Macron,
le 26 avril 2023, a eu cette phrase, je ne sais plus à propos de quoi,
mais elle peut servir de leitmotiv à tout ce qu’il entreprend : « On est en train d’inventer un modèle ; c’est plus dur de le réinventer quand tout n’a pas été détruit. »
Je
le répète : les transhumanistes mondialistes n’arriveront jamais à
leurs fins parce qu’ils sont incapables de se hisser à un niveau autre
que matériel ; ils pourront toujours se déguiser en Belzébuth tant
qu’ils voudront, rien n’y fera.
Je laisse à Cioran le soin de conclure avec cette phrase terrible : « Est-ce
à cette vermine que devait aboutir une civilisation aussi délicate,
aussi complexe ? Peut-être fallait-il en passer par là, par l’abjection,
pour pouvoir imaginer un autre genre d’homme ? »
Merci de m’avoir écouté.
Pierre-Emile Blairon
Notes:
[1]. Laurent Alexandre, La mort de la mort, éditions JCLattès
[2]. Paul Diel, Le Symbolisme dans la mythologie grecque, Payot.
[3]. Révolte contre le monde moderne
[4]. Métaphysique du sexe, éditions l’Age d’Homme, p.18.
[5]. Le Triomphe de la Vie, page 31, éditions Grasset
[6]. Jacques Attali, L’avenir de la vie, 1981, Seghers
Sources : http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2023/10/09/la-france-laboratoire-de-la-secte-mondialiste.html et https://reseauinternational.net/la-france-laboratoire-de-la-secte-mondialiste/