samedi 3 mai 2025

La création monétaire outil d'asservissement ou de souveraineté

Événement: "La monnaie outil d'asservissement ou de souveraineté ?" 

A Bordeaux le 5 avril 2025

Débat entre Valérie Bugault, Étienne Chouard et Jacques Cheminade sur le pouvoir monétaire suivi d'ateliers constituant avec les citoyens présents, suivie d'une restitution des travaux Constituant sur le pouvoir monétaire. 

 

Source : https://www.youtube.com/watch?v=7Dj9H33sEqk

 

Source : https://www.youtube.com/watch?v=T_Y3IljbJeI

Photos des ateliers constituants












Photos de la conférence



























34 commentaires:

Anonyme a dit…

42ème minute de la 1ère vidéo : en mars 1968, réunion de tous les banquiers centraux pour décider de ne plus convertir la monnaie (billets) en or. Un seul pays refuse : celui de De Gaulle. Quelques mois plus tard, en mai 1968, soulèvement orchestré par les Etats-Unis. De Gaulle perd le pouvoir et Pompidou (directeur de la banque Rothschild) le remplace.

Anonyme a dit…

46-47ème minute : le drapeau des États-Unis d'Amérique est une copie du drapeau de la Compagnie des Indes Britannique.

Anonyme a dit…

49ème minute : les deux symptômes liés à la monnaie dans la vie des gens sont l'inflation et le chômage.
En simplifiant :
- Quand il y a trop de monnaie en circulation, il y a de l'inflation.
- Quand il n'y a pas assez de monnaie en circulation, il y a du chômage.

Anonyme a dit…

Étienne Chouard dit que Valérie Bugault et lui-même ont un ami commun.

Il s'agit de Philippe Bourcier de Carbon ui a écrit la préface d'un des livres de Valérie Bufault, co-écrit avec Jean Rémy : "Du nouvel esprit des lois et de la monnaie - Les moyens d'une véritable démocratie"

Philippe Bourcier de Carbon est lui-même démographe, polytechnicien et auteur de plusieurs livres dont "Coup d'État planétaire - Comment une élite financière s’arroge le pouvoir absolu par la captation universelle des ressources".

Anonyme a dit…

On doit écouter les experts (qui ne sont pas toujours d'accord entre eux) parce qu'ils ont travaillé sur le sujet, mais la décision doit revenir au peuple.

La décision doit toujours revenir à ceux qui vont en subir les conséquences.

Anonyme a dit…

Étienne Chouard explique que la titrisation a permis de mélanger des bons du trésor (très fiables) avec des créances immobilières "subprime" (pourries).

1h12 Valérie Bugault : c'est la honteuse "privatisation des bénéfices et la mutualisation des pertes".

Je a dit…

1h20 : "Inside Job" ce film n'est pas une fiction, c'est un véritable documentaire sur les malversations financières, sur la dérégulation, sur les causes premières de l'effondrement de 2008.
Tous les propriétaires des banques géantes devraient être en prison mais, au lieu de cela, les banques centrales leur ont offert des milliers de milliards et ont reporté le risque (la faillite) sur les populations..

Je a dit…

Déclaration de Philadelphie de 1944 : "La monnaie n'est pas une marchandise. Le travail n'est pas une marchandise."

Je a dit…

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_de_Philadelphie

Le 10 mai 1944, la Conférence générale de l'Organisation internationale du travail, réunie à Philadelphie, aux États-Unis, a adopté la Déclaration de Philadelphie qui redéfinit les buts et objectifs de l'Organisation internationale du travail.

Cette déclaration, adoptée à l'unanimité par les représentants (délégués des gouvernements, des employeurs et des salariés) s'adresse « à tous les humains » et « insiste sur leur dignité. Elle consacre la reconnaissance à l'échelle internationale de l'importance des questions économiques et sociales, et du fait qu'elles sont indissociables des autres aspects des questions internationales ».

Je a dit…

Déclaration concernant les buts et objectifs de l'Organisation internationale du Travail

La Conférence générale de l'Organisation internationale du travail, réunie à Philadelphie en sa vingt-sixième session, adopte, ce dixième jour de mai 1944, la présente Déclaration des buts et objectifs de l'Organisation internationale du travail, ainsi que des principes dont devrait s'inspirer la politique de ses membres.

Article I

La Conférence affirme à nouveau les principes fondamentaux sur lesquels est fondée l'Organisation, à savoir notamment :

- le travail n'est pas une marchandise;
- la liberté d'expression et d'association est une condition indispensable d'un progrès soutenu;
- la pauvreté, où qu'elle existe, constitue un danger pour la prospérité de tous;
- la lutte contre le besoin doit être menée avec une inlassable énergie au sein de chaque nation et par un effort international continu et concerté dans lequel les représentants des travailleurs et des employeurs, coopérant sur un pied d'égalité avec ceux des gouvernements, participent à de libres discussions et à des décisions de caractère démocratique en vue de promouvoir le bien commun.

Je a dit…

Article II

Convaincue que l'expérience a pleinement démontré le bien-fondé de la déclaration contenue dans la Constitution de l'Organisation internationale du travail, et d'après laquelle une paix durable ne peut être établie que sur la base de la justice sociale, la Conférence affirme que :

- tous les êtres humains, quels que soient leur race, leur croyance ou leur sexe, ont le droit de poursuivre leur progrès matériel et leur développement spirituel dans la liberté et la dignité, dans la sécurité économique et avec des chances égales ;
- la réalisation des conditions permettant d'aboutir à ce résultat doit constituer le but central de toute politique nationale et internationale ;
- tous les programmes d'action et mesures prises sur le plan national et international, notamment dans le domaine économique et financier, doivent être appréciés de ce point de vue et acceptés seulement dans la mesure où ils apparaissent de nature à favoriser, et non à entraver, l'accomplissement de cet objectif fondamental ;
- il incombe à l'Organisation internationale du travail d'examiner et de considérer à la lumière de cet objectif fondamental, dans le domaine international, tous les programmes d'action et mesures d'ordre économique et financier ;
- en s'acquittant des tâches qui lui sont confiées, l'Organisation internationale du travail, après avoir tenu compte de tous les facteurs économiques et financiers pertinents, a qualité pour inclure dans ses décisions et recommandations toutes dispositions qu'elle juge appropriées.

Je a dit…

Article III

La Conférence reconnaît l'obligation solennelle pour l'Organisation internationale du travail de seconder la mise en œuvre, parmi les différentes nations du monde, de programmes propres à réaliser :

- la plénitude de l'emploi et l'élévation des niveaux de vie ;
- l'emploi des travailleurs à des occupations où ils aient la satisfaction de donner toute la mesure de leur habileté et de leurs connaissances et de contribuer le mieux au bien-être commun ;
- pour atteindre ce but, la mise en œuvre, moyennant garanties adéquates pour tous les intéressés, de possibilités de formation et de moyens propres à faciliter les transferts de travailleurs, y compris les migrations de main-d'œuvre et de colons ;
- la possibilité pour tous d'une participation équitable aux fruits du progrès en matière de salaires et de gains, de durée du travail et autres conditions de travail, et un salaire minimum vital pour tous ceux qui ont un emploi et ont besoin d'une telle protection ;
- la reconnaissance effective du droit de négociation collective et la coopération des employeurs et de la main-d'œuvre pour l'amélioration continue de l'organisation de la production, ainsi que la collaboration des travailleurs et des employeurs à l'élaboration et à l'application de la politique sociale et économique ;
- l'extension des mesures de sécurité sociale en vue d'assurer un revenu de base à tous ceux qui ont besoin d'une telle protection, ainsi que des soins médicaux complets ;
- une protection adéquate de la vie et de la santé des travailleurs dans toutes les occupations ;
- la protection de l'enfance et de la maternité ;
- un niveau adéquat d'alimentation, de logement et de moyens de récréation et de culture ;
- la garantie de chances égales dans le domaine éducatif et professionnel.

Je a dit…

Article IV

Convaincue qu'une utilisation plus complète et plus large des ressources productives du monde, nécessaire à l'accomplissement des objectifs énumérés dans la présente Déclaration, peut être assurée par une action efficace sur le plan international et national, et notamment par des mesures tendant à promouvoir l'expansion de la production et de la consommation, à éviter des fluctuations économiques graves, à réaliser l'avancement économique et social des régions dont la mise en valeur est peu avancée, à assurer une plus grande stabilité des prix mondiaux des matières premières et denrées, et à promouvoir un commerce international de volume élevé et constant, la Conférence promet l'entière collaboration de l'Organisation internationale du travail avec tous les organismes internationaux auxquels pourra être confiée une part de responsabilité dans cette grande tâche, ainsi que dans l'amélioration de la santé, de l'éducation et du bien-être de tous les peuples.

Je a dit…

Article V

La Conférence affirme que les principes énoncés dans la présente Déclaration sont pleinement applicables à tous les peuples du monde, et que, si, dans les modalités de leur application, il doit être dûment tenu compte du degré de développement social et économique de chaque peuple, leur application progressive aux peuples qui sont encore dépendants, aussi bien qu'à ceux qui ont atteint le stade où ils se gouvernent eux-mêmes, intéresse l'ensemble du monde civilisé.

Je a dit…

"Curieusement", je constate que Wikipédia, dans l'article consacré à la Déclaration de Philadelphie, a omis ce que Jacques Cheminade a cité en premier (à 1h20 de la deuxième vidéo) : "La monnaie n'est pas une marchandise".

C'est le plus important ; la clé de voûte de tout le système économique.
"Celui qui contrôle la monnaie contrôle le monde" disait Henry Kissinger.

Je a dit…

1h24-1h25 de la première partie : Donald Trump propose le "retour au système américain" (jadis recommandé/défendu par Lyndon LaRouche, l'ami de Jacques Cheminade) :
- investir dans les infrastructures et s'assurer que ça marche ;
- se protéger par des tarifs [douaniers] ;
- et avoir une pensée qui réhabilite le travail.
Mais le problème, c'est qu'il veut bâtir ce système sur des "sables mouvants", c'est-à-dire sur le système financier actuel. "C'est hypocrite !", dixit Jacques Cheminade et Valérie Bugault.

Je a dit…

1h36 : Valérie Bugault : "L'or peut être un élément d'adossement de la monnaie mais ne doit en aucun cas être l'unique valeur physique d'adossement." Sinon, ceux qui contrôlent l'or contrôleront la monnaie et donc l'économie.

Je a dit…

1h40 : Etienne Chouard cite Maynard Keynes : "L'or est une relique barbare." Adosser la monnaie à des matières premières est une erreur. Nous voulons que la monnaie représente du travail ! Ce sont des certificats de travail !
Valérie Bugault : "C'est l'exemple des bons MEFO de Hjalmar Schacht malheureusement utilisé au service d'Adolf Hitler mais qui a fonctionné excellemment.

Je a dit…

Silvio Gesell, socialiste proudhonien et réformateur monétaire, est l'auteur de "la Théorie de la monnaie franche"

Voir la thèse : https://shs.hal.science/file/index/docid/168528/filename/WPGesellProudhon253.pdf

Un économiste qualifié de « génial, d’autodidacte, de hétérodoxe et d’anarchiste ». Rien que cela… Cet économiste, c’est Silvio Gesell (1862-1930), un Belgo-allemand né à Saint-Vith, qui a imaginé en 1916 la théorie de la » monnaie fondante ». En donnant une date de
péremption à la monnaie et en la dépréciant à intervalles fixes, on force la circulation de cette monnaie et son utilisation dans l’économie. C’est donc une monnaie qui fond ou rouille dans la poche si elle n’est pas utilisée. [...]
Gesell, qualifié de « prophète étrange et illégitimement négligé » par le maître de l’économie qu’est John Maynard Keynes, préconisait une perte de valeur de la monnaie d’un millième par semaine, correspondant à un taux d’intérêt négatif de 5,2% par an.
Cette dépréciation monétaire aurait été organisée sous forme de tamponnage (ou d’estampillage) sur les billets, afin de diminuer leur valeur nominale. Dans ce système, la circulation monétaire serait en principe constante permettant aux pouvoirs publics d’en doser la quantité afin d’assurer la stabilité des prix.

Voir l'article : https://strategika.fr/2023/08/27/silvio-gesell-er-la-monnaie-fondante-nicolas-bonnal/

Anonyme a dit…

1h58 : Étienne Chouard dit "Un État digne de ce nom crée la monnaie dont il a besoin pour financer tous les services publics. Puis il détruit cette monnaie par l'impôt. Toujours dans cet ordre, et non l'inverse."

Je a dit…

2h16 : Pourquoi faut-il toujours de la croissance ? Mais c'est parce qu'il faut créer de la richesse (réelle) correspondant aux intérêts des dettes monétaires ! La monnaie émise ex nihilo correspondant au capital est détruite ("démonétisée") quand la dette est remboursée ... mais il faut payer en plus les intérêts. D'où l'obligation d'une création de richesse en contrepartie.

Je a dit…

2h29 : Valérie Bugault : "La définition juridique d'une monnaie, c'est la "fongibilité de la monnaie" Sa valeur unitaire doit être identique quelle que soit la personne qui la possède. Or, avec les CBDC (monnaies numériques de banques centrales), chaque unité monétaire est individualisée." Les CBDC sont un outil de contrôle social, de destruction des opposants.

Je a dit…

2h42 : L'élection est l'outil anti-démocratique par excellence. C'est un outil d'asservissement au parlementarisme.

Anonyme a dit…

A 35mn de la deuxième partie, Valérie Bugault explique qu'elle a choisi le système de la participation pour son modèle d'entreprise.
C'est le seul point du programme du CNR qui n'avait helas pas été appliqué.
Ni capitaliste, ni communiste, le système de la participation était la "troisième voie". Les employés sont payés en salaire et en parts de l'entreprise ; ce qui fait que les travailleurs de l'entreprise deviennent aussi, progressivement, les copropriétaires de l'entreprise. C'est la fin du capitalisme et il n'y a pas non plus de "communisme " d'État.
Valérie Bugault dit que toutes les entreprises de son changement de paradigme Révoludroit sont des entreprises participatives.

Anonyme a dit…

Les salaires (et pensions de retraite), loyers et prêts doivent être indexés sur l'inflation.

Anonyme a dit…

Si on a l'indexation des salaires sur les prix, l'inflation ne pénalise que les rentiers, ceux qui ne travaillent pas et qui ont un gros tas de fric.

Anonyme a dit…

Chaque commune doit avoir sa constitution, chaque commune doit avoir sa monnaie (avec capacité de création monétaire). C'est seulement ainsi qu'il s'agira de communes libres.

Anonyme a dit…

Valérie Bugault propose, dans Révoludroit, une monnaie (franc) composite. Chacun des quatre grands groupes d'intérêt pourra émettre et détruire (par l'impôt) sa monnaie :
- volet commercial
- volet civique ( enseignement, sport, musique...)
- volet spirituel et moral
- volet administratif.

Je a dit…

Vers 2h08 de la deuxième partie, une personne du public parle du JEU, Jardin d’Échange Universel.

Qu’est ce que le JEU?

Le JEU est un espace bienveillant dans lequel tu t’assures d’offrir ce que tu aimes accomplir avec enthousiasme, et tu te permets de demander ce dont tu as besoin.

Ce terrain de JEU est favorable à l’expérimentation de ce qui t’intéresse au plus profond de toi. Offrir ce qui te passionne est un cadeau en soi. Cela permet le rapprochement vrai des individus, l’enrichissement de la communauté et l’abondance pour tout·e·s.

Selon son initiateur Daniel Fargeas (1998), la mission du JEU consiste à « démontrer notre souveraineté dans un exercice libre et inconditionnel de nos échanges. »

Uni·e·s par une conscience de souveraineté individuelle, les JEUeur·se·s se regroupent pour créer et gérer leur monnaie. Les rencontres mensuelles des groupes JEU locaux, les listes d’offres et de demandes, ainsi que les carnets de transaction facilitent les échanges de biens, de services et d’informations. Ils donnent naissance à des liens humains, ils font émerger et converger des projets, dans la confiance, la justesse et la responsabilité.

Porté par l’élan des JEUeur·se·s à œuvrer à l’enrichissement de la communauté et au rapprochement des individus, le JEU est en constante évolution. Le JEU ne comporte pas de règlement, car le comportement de chaque participant est guidé par son adhésion à la conscience du JEU. Sans frontière, ni centre, ni hiérarchie, le JEU utilise la minute comme unité de base. Cette convention universelle empêche la fluctuation de la valeur du point JEU.

Source : https://lejeu.org/

Je a dit…

Où peut-on JEUer?

Pour connaitre les dates et lieux des rencontres, contacte ton groupe JEU local.

Tous les groupes sont connectés, et sont en contact régulier. Sens toi libre de rendre visite à d’autres groupes à proximité, ou à des groupes qui se trouvent sur ton chemin lorsque tu voyages. Parfois, il fait sens d’adhérer à plus d’un groupe à la fois.

Il n’y a pas de groupe près de chez toi? Qu’à cela ne tienne, tu peux créer un groupe dans ton village, ton quartier ou ta ville! Pour ceci, mets-toi en lien avec des groupes existants, qui sauront t’offrir le support nécessaire. Si possible, rends-toi à une rencontre pour mieux comprendre le fonctionnement, ressentir ce qui s’y passe et y tisser des liens.
Rejoins un groupe local près de toi

Je a dit…

Pourquoi participer au JEU?

La monnaie JEU est une véritable solution pour remplacer l’argent, car elle redonne le pouvoir aux individus et elle nourrit le lien de reconnaissance entre eux. La création monétaire juste émerge lorsque deux individus s’entendent sur la valeur de leur échange, et c’est le cas avec le JEU. Par opposition, le système financier mondial actuel repose sur l’endettement et mène donc à l’exploitation de l’individu par le système.

De plus, la monnaie JEU est autogérée, car elle est administrée par chaque partenaire de la transaction. Chacun·e reprend ainsi son pouvoir sur la monnaie. Par opposition, dans le système financier mondial, les monnaies officielles des pays sont sous le contrôle extérieur des banques privées, avec notre permission plus ou moins consciente, et nous n’avons aucun pouvoir ni sur leur création ni sur leur gestion, qu’elles soient virtuelles ou physiques.

Enfin, la monnaie JEU est sans usure, sans rareté et sans inflation; elle génère ainsi l’abondance individuelle et la prospérité collective. Elle met fin au manque engendré par l’argent-dette, outil d’oppression de l’humanité.
Approfondis ta compréhension du JEU

Je a dit…


Comment participer au JEU?

Avant toute inscription, il est essentiel de participer à une rencontre mensuelle du JEU afin de bien saisir dans quoi tu t’engages et afin de découvrir les pratiques à adopter.

Chaque groupe JEU local offre aux partenaires une occasion mensuelle de se réunir et d’échanger biens, services, informations, projets… avec amitié, sincérité et complicité. Lors de cette rencontre, les partenaires apprennent à se connaître et créent des liens. Ils échangent produits et services. Ils ont également l’occasion de tour à tour se présenter et signaler leurs offres et leurs demandes particulières.

Bien sûr, nos échanges vont au-delà des rencontres, grâce aux listes d’offres et de demandes dont la fonction d’annuaire du groupe permet de nourrir nos liens. Le JEU fait partie de notre quotidien, et met nos compétences à disposition du groupe tout en subvenant à nos besoins quotidiens.
Prêt·e à te lancer?

Anonyme a dit…

A 2h22, "la monnaie libre" ou G1 (prononcer "june") de Stéphane Laborde est enfin évoquée, hélas après le départ de Valérie Bugault.

Anonyme a dit…

Étienne Chouard explique les vertus de la "june", émancipatrice, avec des citoyens co-créateurs de monnaie, mais aussi ses limites : impossibilité de créer ponctuellement une grosse quantité de monnaie pour un projet étatique donné ou tout simplement pour résorber le chômage éventuel provoqué par la thésaurisation (épargne) de certains citoyens.
Hors de question pour Stéphane Laborde, le concepteur de la "june", de mélanger le chartalisme, promu par Étienne Chouard, et son système de monnaie libre.