Le 13 novembre 2024, l'ensemble de la Macronie a soutenu la tenue du gala "Israël is forever" malgré les apologies du génocide et les négations de l'existence du peuple Palestinien, proférées par la Presidente de l'événement Nili Kupfer-Naouri. Le fondateur Jacques Kupfer, son père, quant à lui, déclarait : "Pour la larme versée par une petite fille juive, je suis prêt à ce que Gaza verse des larmes de sang pendant toute une semaine" et "pour une maison détruite, Gaza doit devenir un site archéologique".
Nili Kupfer-Naouri, avocate franco-israélienne, fervente alliée de l'extreme droite israélienne, revendique la colonisation et le nettoyage ethnique. Elle est tellement persuadée de la suprématie sioniste qu'elle va brailler sur toutes les télés et les radios ses apologies de crimes contre l'humanité. Pour elle, comme pour les xénophobes du monde entier, aucun Palestinien ne nait innocent, ce sont des terroristes, ce qui lui permet de justifier le massacre des bébés et des enfants.
Pendant que nous, soutiens de la Palestine, sommes traités d'antisémites, de terroristes, de troubles à l'ordre public, Nili Naouri-Kupfer, elle, est impliquée dans des actions entravant l’aide humanitaire destinée à Gaza. Oui : un pillage de l'aide humanitaire pour laisser 1,5 millions de personnes mourir de faim. Comment le sait-on ? Elle s'est filmée et vantée de ses actes. EuroPalestine et l’AJPO (Avocats pour la Justice au Proche-Orient) ont annoncé avoir déposé une plainte avec constitution de partie civile pour complicité de génocide. Cette démarche vise plusieurs personnes, dont l'avocate franco-israélienne.
Mais ne pensez pas que Nili reconnaît le génocide. Comme nombre de sionistes fanatiques, pour elle, il n'y a pas de génocide car un génocide suppose que l'on tue massivement des humains ; mais pour eux, comme lu et entendu plusieurs fois, les Palestiniens n'existent pas ou sont des "animaux". Une négation de l'existence même d'un peuple ou de son appartenance à la race humaine pour masquer un génocide, il fallait y penser ! Quoique les nazis le faisaient déjà il y a 85 ans. Nili n'est pas très originale et prononce les mots "terroristes" et "antisémites" toutes les 8 secondes. Elle sait que nous ne sommes pas antisémites et que nous luttons contre son fanatisme qui ne se cache plus, devant les caméras du monde entier de son projet de colonisation : le grand Israël.
Alors à mesure que les jours passent et que les preuves s'accumulent sur les projets colonialistes et génocidaire d'Israël (merci Nili de les vociférer), Macron et son gouvernement jouent les funambules, tiraillés entre leur soutien à des criminels xénophobes comme Nili Kupfer-Naouri et leur peur de se retrouver sur le banc des accusés quand leur complicité de crimes contre l'humanité sera jugée.
L'avantage c'est que lorsque Nili Kupfer-Naouri sera jugée, il suffira au tribunal d'écouter ça :








2 commentaires:
Les propos de cette fanatique laissent songeurs. Quelle a pu donc être son éducation pour qu'elle en arrive à nier l'humanité de ceux à qui elle vole la terre et la vie ? Le niveau d'endoctrinement et de haine d'autrui font évidemment penser à ceux d'une secte, d'une secte dangereuse. Le "devoir de mémoire" traumatisant, le culte de la Shoah jusqu' à la paranoïa de toute une communauté, le sentiment d'impunité associé à la puissance financière qui permet une telle arrogance ; tout cela est à revoir, pour le bien de l'humanité. Parce que les Israéliens et les sionistes de la diaspora n'ont pas l'intention de s'arrêter au génocide des Palestiniens. Elle a bien du "Du Nil à l'Euphrate". Ce sont donc les Libanais et les Syriens, puis les Égyptiens et tous les Arabes, sans oublier les Perses, qui seront bientôt la cible de l'entité sioniste détentrice de l'arme nucléaire.
Elle dit bien explicitement "C'est notre droit." Pour une avocate, on pourrait s'attendre à ce qu'elle soit plus précise (droit international ? droit israélien ?) mais je crois qu'elle fait plutôt référence au droit "divin", à celui qu'on peut lire dans le Talmud, le livre "sacré" qui légitime la pédocriminalité.
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