lundi 9 janvier 2023

Valérie Bugault présente son monde d'après - Interview avec Éric Verhaeghe

Nous avons interviewé Valérie Bugault, fondatrice de Révoludroit et actrice engagée de la Résistance, pour recueillir ses idées et ses analyses sur le monde d’après. Voici une interview précieuse à bien méditer. J’ai promis à Valérie une prochaine interview sur les propositions concrètes de Révoludroit, notamment sur les questions monétaires.


 

Le Courrier n’avait jamais, jusqu’ici, invité Valérie Bugault. Cet oubli est réparé ! Je l’ai longuement interviewée sur sa conception du monde d’après… Sur les soubassements qu’elle lui imagine.

Le spectateur en retiendra une certaine forme de pessimisme chez Valérie.

N’oubliez surtout pas, à cette occasion, de vous abonner à notre chaîne Youtube.

Ne manquez pas non plus de voir ou de revoir l’interview de Christian Perronne, réalisée pour le Nouvel An…

Sources : https://www.youtube.com/watch?v=RgsGL9xtltQ

et  https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/01/04/valerie-bugault-nous-presente-son-monde-dapres/

5 commentaires:

Je a dit…

Révoludroit - L'indispensable RÉFORME des INSTITUTIONS Françaises. Par le peuple, pour le peuple.

Cette réforme est construite autour de principes fondateurs – le mandat impératif, la subsidiarité, les groupements d’intérêt, le droit naturel et continental, la fin de l’anonymat, le retour à une monnaie publique et souveraine. Cette construction continue en ce moment même, grâce à vous et par le travail inhérent aux GROUPEMENTS d’INTÉRÊT.

Définitions : https://revoludroit.fr/definitions/

Je a dit…


Présentation du site

par Valérie Bugault.
L’heure est à la reconstruction

Ce site internet permet à tous ceux qui le souhaitent de consulter la Réforme en détail, de s’en emparer et de s’en inspirer.

Après plus de vingt ans de recherches indépendantes (une centaine d’articles, cinq ouvrages, de multiples conférences et autres vidéos) sur l’entreprise, le droit, les institutions, ainsi que sur l’origine, les moyens et la narrative du pouvoir, je vous présente une proposition de réforme en profondeur de l’État et du fonctionnement politique de notre Société.

Cette réforme n’est pas figée : bâtie autour de principes fondateurs (le mandat impératif, la subsidiarité, les groupements d’intérêt, le droit naturel et continental, la fin de l’anonymat, le retour au droit civil commun et à une monnaie publique et souveraine…), elle est l’étincelle qui permettra la co-construction continue grâce au futur travail des GROUPEMENTS d’INTÉRÊT.

La mise en place d’institutions saines et fortes, au service du peuple et du bien commun, n’est qu’une question de volonté politique. Et cette volonté politique c’est à nous, le peuple, qu’il revient de la manifester.

Lire la suite ici : https://revoludroit.fr

Article et vidéo ici : https://reseauinternational.net/naissance-du-site-revoludroit/

L'Amourfou a dit…

Naissance du site Révoludroit

Bonsoir, ou bonjour, ça dépendra de l'heure où vous lirez ce billet ; ). Comme vous le savez le constat est amer, on sait que notre 'démocratie' n'en est pas une, et qu'elle est totalement vérolée par des fonctionnaires tantôt en poste dans l'administration tantôt en poste dans le privé, voire des fois les deux simultanément, mais le plus grave c'est qu'ils représentent une 'caste' d'intouchables qui s'entraident et se cooptent entre eux.

Comme ils le disaient, ils sont les 'meubles', les présidents passent, mais les 'meubles' restent.

(On ne parle même pas des politiques ou des parlementaires).

Et tout ces gens, comme notre pays, est inféodé à Washington (et donc à l'Europe qui en est un outil), et par delà Washington à la City of London et aux forces anonymes privées (ou PAS) qui sont derrière.

Précision utile de Mme Bugault, les gens derrière cette équipe sous influence étrangère sont des entités juridiques privées apatrides rattachées à la City of London qui agissent via Davos, le Bilderberg, la CCI, la BRI, le FMI, la BCE et l'UE, le FMI, l'OMC, l'OMS, la banque mondiale... peu importe leur nationalité car ces gens ont aboli les frontières, ils règnent partout où existe une banque centrale... sauf que la Chine leur a échappé... ce qui est un gros caillou (un rocher en fait) dans leur chaussure du NOM/NWO

Bref, tout doit être revu de fond en comble, afin d'assurer une réelle pluralité des idées et des opinions, une réelle représentation publique des Français, une VRAIE démocratie et la fin du parlement.

Ce qui inclus l'avènement de la 'participation' au sein des entreprises, afin que les salariés ne soient plus la dernière roue du carosse en termne de rémunération,

Bien sûr, tout ceci passe obligatoirement par la reprise de notre souvraineté, et de notre monnaie.

Si vous voulez réellement que les choses bougent (dans le bon sens), créez des comités ou des groupements citoyens (ou à défaut rejoignez-en un).

Retrouvez-vous dans le réel, et commencez à faire bouger les choses.

Notre pays peut et devait représenter une alternative à la domination anglosaxone.

C'est pour cela qu'ils nous ont méthodiquement éliminé, et qu'ils veulent le faire disparaître, ainsi que notre histoire (ils ne s'en sont JAMAIS caché).

Pour ne pas qu'il y ait d'alternative à la mondialisation et au commerce de toutes choses.

(Maurice Allais avait prédit l'échec de ce modèle ultra libéral...)

Aussi nous avons toujours eu un rôle singulier à jouer.

Il est temps de l'assumer.

Amitiés,

L'Amourfou.

Source (avec plusieurs liens inclus dans le texte) : https://www.crashdebug.fr/naissance-du-site-revoludroit

Je a dit…

Participation des salariés aux résultats de l'entreprise

Valérie Bugault fait bien la distinction dans la première partie de son interview entre :
- la participation qui avait été souhaitée par le CNR et que le général De Gaulle voulait appliquer (une des causes principales de son éviction par les pressions états-uniennes, selon elle)
- et la "participation", ou intéressement, telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui dans certains entreprises.

Pour cette dernière, Wikipédia propose un long article ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Participation_des_salari%C3%A9s_aux_r%C3%A9sultats_de_l%27entreprise

Cet article commence ainsi (mais ensuite "le diable se cache dans les détails" comme on dit) :

En France, la participation des salariés aux résultats de l'entreprise est une forme d'intéressement des salariés aux résultats de leur entreprise.

Environ 5 millions de salariés sont concernés par la participation en France. Sauf cas particuliers, la participation des salariés est exonérée d'impôts et de cotisations (hors CSG et CRDS) si elle reste placée durant 5 ans. Elle est en revanche soumise au forfait social. Depuis 2012, 8 % sont prélevés sur les sommes gagnées par le salarié, et la société doit payer elle 20 % de la somme brute versée au salarié. Pour un coût de revient de 100€ pour l'entreprise, un salarié se voit donc attribuer 76,66€.

Je a dit…

Les gaullistes de gauche remettant en cause le capitalisme et le communisme avec l'idée de faire émerger une « troisième voie » économique et sociale, par l'association du capital et du travail et la participation. Ils se veulent en effet les défenseurs des convictions sociales du général Charles de Gaulle, héritées de son catholicisme social, de ses rencontres avec des hommes de gauche pendant la Seconde Guerre mondiale et des réformes conduites à la Libération.

Les gaullistes de gauche veulent surmonter la lutte des classes en réconciliant le patron et l'ouvrier, espérant ainsi garantir l'unité et l'indépendance du pays. Ils fondent notamment leur action sur quelques grands discours du général de Gaulle, comme le discours d'Oxford (25 novembre 1941) ou le discours de Saint-Étienne (4 janvier 1948).

La société de participation qu'ils défendent entend redonner toute sa dignité à l'homme en lui reconnaissant sa représentativité et sa responsabilité en tant que tel : le référendum de 1969, dont le texte prévoyait de fusionner le Sénat et le Conseil économique et social pour en faire une assemblée des forces vives de la nation, et de créer des collectivités décentralisées régionales, en est un exemple.

Cette participation s'étend au monde de l'entreprise, où les gaullistes de gauche contestent la mainmise du capital dans la gestion au détriment du travail. Ils envisagent simultanément l'intégration des salariés en tant que tels au processus de décision (système de cogestion), assortie d'une large et systématique distribution d'actions aux travailleurs en fonction de l'expansion économique de leur outil de production (théorie du pancapitalisme de Marcel Loichot). Dans les années 1970, une partie des gaullistes de gauche contribua en conséquence à l'union de la gauche et au programme commun, comme Jean Charbonnel ou Françoise Binoche.