mercredi 30 septembre 2020
Citations sur l'argent
« Une société basée sur l'argent ne peut prétendre à la grandeur ou à la justice. »
Albert Camus - Articles pour le magazine "Combat" - 1944 - 1947
mardi 29 septembre 2020
L’enjeu de l’élection américaine : deux visions du monde
J'avoue ne pas suivre personnellement QAnon.C'est un organe médiatique de soutien inconditionnel dédié à la réélection de Donald Trump. Si Donald Trump "nettoie le marais" (ce qu'il a déjà promis en 2016 mais qu'il n'a toujours pas réalisé en 2020), ce sera bien évidemment tant mieux.
Pour l'instant, je constate qu'il n'a pas déclenché
de nouvelles guerres : ni contre la Corée du Nord, ni contre l'Iran;
deux des très rares pays à ne pas utiliser le système bancaire des
Rothschild. Nous verrons la suite.
Ce qui n'empêche pas de suivre ce qui se passe outre-Atlantique. Parce que la France est militairement inféodée aux États-Unis via l'OTAN. Les nouvelles guerres de l'empire américain seraient aussi nos guerres.
Voici un article de "Réseau International" qui traite de l'enjeu de l'élection états-unienne prochaine, celle de novembre 2020.
Je
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par Jean-Luc Baslé.
Traditionnellement, les élections présidentielles américaines font basculer la majorité au Congrès d’un parti à l’autre sans grand chambardement. Les choses ont brutalement changé en 2016 lorsqu’un agent immobilier s’est mis en tête de rendre à la nation sa gloire d’antan. Ses adversaires n’ont pas accepté leur défaite. Ils l’ont accusé d’être en connivence avec un pays ennemi (la Russie) et d’avoir influencé le président d’un autre (l’Ukraine) à des fins personnelles. Ces tentatives de déstabilisation – Russiagate et Impeachment – se sont soldées par des échecs, de l’aveu même de l’ancien directeur de la CIA, Robert Mueller, chargé d’investiguer la première affaire, la seconde mourant d’elle-même. Les rancœurs étant tenaces en politique, c’est dans une atmosphère lourde que cette élection va se dérouler. Derrière ce combat, se cachent deux visions du monde.
Un environnement anxiogène
L’économie est en récession depuis février, selon le National Bureau of Economic Research. La pandémie qui a été mal gérée par le président mais aussi par certains gouverneurs et maires, a renforcé la baisse d’activité. A la fin août, 26 millions d’Américains étaient sans emploi (16,25% de la population active), si l’on inclue les « gig », ces travailleurs saisonniers sans aucune protection sociale, et non 13,5 millions (8,4%), comme annoncé par les médias. A cette situation économico-sociale difficile s’ajoutent les émeutes qui ont secoué la nation, suite à la mort de George Floyd. Un mouvement anti-raciste, Black Lives Matter (BLM), a pris la direction des opérations pour le venger ainsi que d’autres noirs tués par la police. Des démonstrations ont eu lieu dans plus de 2 000 villes. Leur l’objet était la lutte contre l’injustice raciale et la brutalité policière. Pacifiques, à l’origine, elles ont dégénéré dans certaines villes, en particulier à Portland en Oregon, en émeutes avec des infractions d’immeubles publics, des pillages de magasins, et de violents accrochages avec la police [1]. Le sénateur Rand Paul fut pris à partie par un groupe de manifestants BLM à la sortie de la convention républicaine. Il ne dut sa survie qu’à l’intervention de la police [2]. Trente États ont fait appel à la garde nationale et 14.000 personnes ont été arrêtées. Selon une étude d’Armed Conflict Location and Event Data Project (ACLED), 95% de ces émeutes seraient le fait de Black Lives Matter [3],[4]. Une autre organisation, ANTIFA, serait aussi impliquée dans ces émeutes. Le 10 septembre, des membres du Congrès ont écrit à William Bart, ministre de la justice, pour lui demander de mettre fin à ces violences. En fait, elles ont cessé d’elles-mêmes.
Comme souvent dans ces situations, les bons ne sont pas d’un côté et les mauvais de l’autre. George Floyd n’est pas mort de la pression du genou du policier Derek Chauvin sur son cou, comme il a été annoncé dans les médias, mais d’une overdose de fentanyl [5],[6]. Le chef (noir) de la police de Rochester, accusé à tort de violences dans sa ville, a démissionné [7]. Il est permis de s’interroger sur les motivations profondes des leaders. Ainsi, est-il de notoriété publique que Black Lives Matter a reçu des millions de dollars de la Fondation Ford et d’Open Society, institut fondé par George Soros, mais aussi de nombreuses entreprises [8],[9],[10]. Ces émeutes qui ont fait plusieurs dizaines de morts et de blessés, ont créé un climat délétère qui s’est traduit par une augmentation sensible de ventes d’armes, à tel point que certains fabricants ont connu des ruptures de stock [11]. Ce climat d’insécurité renforce la suspicion des uns et des autres à la veille de l’élection présidentielle. Un très mauvais présage.
Des politiques politiciennes
A de nombreuses reprises, Donald Trump a fait savoir qu’il ne quitterait pas la Maison Blanche s’il a des doutes sur le déroulement de l’élection. En raison de la pandémie, de nombreux Américains ont décidé de voter par correspondance. Or les démocrates ont plus facilement recours à ce mode de scrutin que les républicains. Trump pense que cela donnera lieu à de nombreuses fraudes [12]. Réagissant à ses déclarations, Hillary Clinton, candidate malheureuse à l’élection 2016, enjoint Joe Biden de ne concéder en aucun cas la victoire à Donald Trump [13]. C’est une première ! Jamais dans l’histoire des États-Unis, des candidats à la présidence n’ont proféré de telles menaces. C’est l’inverse qui est la règle : le perdant reconnaît avec élégance la victoire de son adversaire. Mais les choses vont plus loin.
Anticipant une crise constitutionnelle due au refus de Donald Trump de céder le pouvoir, des Démocrates ont imaginé le scénario, dénommé « Mirage rouge ». Le soir du 3 novembre, sur les écrans de télévision apparaîtra une carte des États-Unis où une majorité d’États seront en rouge (couleur du Parti républicain) et une minorité en bleu (couleur du Parti démocrate). Donald Trump criera victoire. Mais les Démocrates déclareront que c’est un mirage car tous les bulletins de vote par correspondance n’auront pas été comptés. Trump considérera que ces bulletins sont frauduleux et refusera d’en tenir compte. Les personnes à l’origine de cette initiative parmi lesquelles on compte Rosa Brooks, professeur de droit à l’université de Georgetown, John Podesta, ancien chef de cabinet de Bill Clinton, mais aussi des transfuges républicains, comme Bill Kristol, ont rédigé un manifeste intitulé : « Prévenir une élection perturbée » dans lequel ils se présentent en défenseurs de la constitution. Mais, en refusant de reconnaître de facto une victoire de leur adversaire, ils se placent dans l’illégalité et préparent la crise constitutionnelle qu’ils veulent éviter. Pire, en préconisant la sécession des États de Washington, d’Oregon et de Californie – à majorité démocrate – pour faire valoir leur point de vue, ils sèment les germes d’une guerre civile.
Toute vérité n’est pas bonne à dire
C’est connu : Donald Trump est un menteur, mais il lui arrive de dire des vérités.
Lors d’un récent rassemblement à Winston-Salem, il a déclaré : « notre seule raison d’être au Moyen-Orient est de protéger Israël… Il fut un temps où nous avions un besoin désespéré de pétrole. Ce temps est révolu ». Philip Weiss est l’un des rares commentateurs à avoir relevé cette remarque [14]. Elle n’en est pas moins vraie. Dans un précédent article, Philip Weiss, se faisant l’écho d’une diatribe entre la London Book Review et Philip Zelikon, alors conseiller au département d’État, rappelait les propos que ce dernier avait tenu au sujet d’Israël. Il reconnaissait que l’Irak n’était pas une menace pour les États-Unis, mais qu’il l’était pour Israël, ajoutant qu’il ne faut pas en faire état car ce n’est pas « une cause très populaire »[15].
Dans sa conférence du 5 septembre, Donald Trump a sorti une autre vérité : « Les dirigeants du Pentagone ne souhaitent qu’une chose : faire la guerre, afin que nos magnifiques entreprises puissent fabriquer des bombes, des avions, et tout autre chose nécessaire… Mais, nous sortons de ces guerres sans fin… pour rapatrier les boys » [16]. Il s’est fait étriller pour avoir tenu ces propos, non seulement par les généraux ce qui est compréhensible, mais aussi par les médias ce qui l’est moins car dans son dernier discours Eisenhower n’avait rien dit d’autre !
Interviewé sur la destruction du World Trade Center, il a visiblement parlé sans avoir tourné sept fois sa langue dans sa bouche. Il a déclaré sans ambages que ces tours ne pouvaient être détruites sans l’usage de bombes [17]. Ce faisant, il s’oppose brutalement à la doxa officielle. Il n’en a pas moins raison, comme l’ont démontré un certain nombre d’études [18],[19]
La politique étrangère en embuscade
Les politologues le répètent à l’envie : les élections américaines se jouent sur des questions de politique intérieure. C’est vrai, à l’exception de celle-ci. Derrière le combat que mènent des Démocrates se cache une volonté d’en finir avec l’Iran et de poursuivre le grand dessein de domination mondiale tel qu’il a été décrit dans « Defense Planning Guidance de février 1992 », « Projet pour le nouveau siècle américain » de septembre 2000, et dans d’autres documents. Le général Wesley Clark, ancien commandant des forces alliées de l’Otan, s’est fait l’écho de ses plans dans son discours du 3 octobre 2007 au Commonwealth Club of California [20]. Il a déclaré avoir appris quelques jours après les attentats du 11 septembre que le Pentagone prévoyait d’envahir sept nations au Moyen-Orient : l’Irak, la Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, le Soudan et l’Iran, sans que le Congrès ne soit consulté. Wesley Clark n’hésite pas à qualifier ce projet de coup d’état. Pour satisfaire les néoconservateurs qui sont les auteurs de ces textes et projets, Donald Trump a été aussi loin qu’il le pouvait sans engager directement le combat avec les mullahs – dernière nation importante à ne pas avoir été envahie ou détruite.
Donald Trump n’est pas un homme de paix à proprement parler, mais il sait que les États-Unis n’ont pas les moyens de leur politique. Il note que les États-Unis ont dépensé 6000 milliards de dollars en vingt ans dans leur guerre contre le terrorisme [21]. Qu’ont-ils obtenu en retour ? Rien sinon des morts, des blessés et des dettes. L’Afghanistan est un nouveau Vietnam [22]. Bachar el-Assad est toujours président de la Syrie. L’Iran est soutenu par la Russie et quasiment allié à la Chine. Le pétrole irakien qui devait payer l’invasion du pays, selon Donald Rumsfeld, secrétaire à la défense de George W. Bush, est exploité par les Chinois ! C’est l’échec.
Donald Trump n’éprouve aucune sympathie réelle pour Kim Jung-un. Il n’en souhaite pas moins faire la paix avec lui ce qui serait justice pour qui connaît l’histoire de la guerre de Corée (1950-53) – certains militaires rêvant « d’aplanir la Corée du nord » sous les bombes – bombes atomiques incluses. De même, s’il semble s’entendre avec Vladimir Poutine, il n’est pas prêt à l’embrasser sur la bouche à la mode russe. Mais, il sait que la Russie ne représente pas une menace pour les États-Unis et que l’accroissement des échanges commerciaux profiterait aux deux nations. Ce rapprochement servirait aussi à éloigner la Russie de la Chine – désormais le grand concurrent des États-Unis.
Donald Trump ou Joe Biden
Voilà ce que cache l’élection américaine : un conflit entre deux visions du monde. En juin 2017, je publiais un article dans lequel j’écrivais que « Donald Trump est un électron libre qui n’a pas sa place à la Maison Blanche » [23]. Cela est toujours vrai aujourd’hui. Néanmoins, les électeurs américains auraient sans doute intérêt à voter pour un président qui ne s’est lancé dans aucune guerre pendant son mandat à la différence de ses prédécesseurs, et non pour un politicien, Joe Biden, acquis aux thèses néoconservatrices, guerrières, dominatrices et in fine destructrices, et dont un récent rapport du sénat américain a rappelé la vénalité [24].
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[1] Mass looting in Chicago, my neighborhood under siege, Stephen Lendman.
[2] Chaos erupts in DC after GOP Convention.
[3] Study: Up to 95 percent of 2020 U.S. riots are linked to Black Lives Matter.
[4] Demonstrations & political violence in America.
[5] Il s’agit d’une technique israélienne. De nombreuses polices américaines ont été formées par Israël : « From Occupation to “Occupy” The Israelification of American Domestic Security”, Max Blumenthal.
[6] Who killed George Floyd?
[7] « The entire Rochester police command resigns », 9 septembre 2020.
[8] Black Lives Matter cashes in with $100 million from liberal foundations.
[9] BLM coalition demanding abolition of police previously received $33 million from Open Society Foundations.
[10] Want to know where all those corporate donations for BLM are going?
[11] 185 personnes ont été blessées et 38 sont mortes dans le seul week-end du 4 juillet – jour de la fête nationale. « NY cops blame Bill de Blasio for 140 per cent spike in gun violence”.
[12] A list of the times Trump has said he won’t accept the election results or leave office if he loses.
[13] Hillary Clinton says Joe Biden should not concede on election night ‘under any circumstances’.
[14] U.S. is in the Middle East ‘to protect Israel’ not for oil.
[15] The smoking transcript.
[16] Trump vs. The Military Industrial Complex: Military Coup Danger Escalates.
[17] https://www.bing.com/videos/search?q=trump+world+trade+center&docid=608026378420356931&mid=3A57810D0BADD155A4E63A57810D0BADD155A4E6&view=detail&FORM=VIRE
[18] 15-years later: on the physics of high-rise building collapses.
[19] Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe.
[20] Westley Clark’s speech at the Commonwealth Club of California.
[21] Environ, un tiers du produit intérieur brut.
[22] The Afghanistan Papers: A secret history of the war.
[23] Trump, une menace pour l’empire américain, Ouest France, 17 juin 2017.
[24] Hunter Biden, Burisma, and corruption: the impact on U.S. government policy and related concerns.
Sources : https://www.iveris.eu et https://reseauinternational.net/lenjeu-de-lelection-americaine-deux-visions-du-monde/
Attali, ou la dictature par la pandémie
Jacques Attali est un mondialiste, c'est à dire qu'il œuvre pour qu'advienne un gouvernement mondialisé. Les élites sans scrupule qui pilotent ce projet totalitaire semblent être prêtes à tout, comme par exemple provoquer une psychose en faisant passer une épidémie peu mortelle pour une véritable pandémie. La peur étant l'arme incontournable de toute dictature qui se respecte, peut-on redouter un succès de cette entreprise machiavélique ? Le nouvel ordre mondial en marche..
Pour que Jérusalem devienne la capitale mondiale (sur Public Sénat)
Sur son blog. Comme Attali n'est pas un devin, ce qu'il expose, c'est le déroulé du plan mondialiste ; le même qui est consigné dans le rapport de la Fondation Rockefeller de 2010, et celui qui a été simulé fin 2019 lors de l'Event201 :
"Séparer les familles" de force "parce que le confinement ce n'est pas assez" (2020, sur France24) !
Source : https://www.youtube.com/watch?v=3ZYtkgLW3iA
Quelques liens :
Conversations d'avenir, L'avenir de Jérusalem, sur Public Sénat: https://www.dailymotion.com/video/xc9cec
Changer, par précaution: http://www.attali.com/societe/changer-par-precaution/
Interview sur France 24: https://www.youtube.com/watch?v=ilYpm7Ow-jY
La vidéo titrée "Isoler de force les enfants ?" : https://www.youtube.com/watch?v=oudJNSEetLg
Contact : jcrabiller@yahoo.fr
La compagne de Véran recadrée sur un plateau TV par le Pr Toussaint
Source : https://www.facebook.com/Mediaterranee/videos/612428792769606
Le médecin Emma Djingh's lance l'alerte aux Africains
Les êtres humains du monde entier doivent prendre conscience de l'enjeu historique de ce qui se joue actuellement. Les Africains seront les premiers impactés car ils servent de cobayes aux industries pharmaco-chimiques depuis plusieurs années déjà. Ce médecin lance l'alerte.
Source : https://www.facebook.com/infos225.net/videos/1176843212660958
"Que les dirigeants écoutent le peuple ! Sinon, le peuple prendra ses responsabilités !"
lundi 28 septembre 2020
Violences policières : ensauvagement politique - #DATAGUEULE 99
À peine installé à Matignon, le nouveau Premier Ministre Jean Castex faisait de la sécurité de ses concitoyennes et concitoyens l'une ses grandes priorités. Gérald Darmanin, Ministre de l'Intérieur, lui a vite emboîté le pas, évoquant notamment une "crise d'autorité" et un dangereux "ensauvagement d'une certaine partie de la société". En face, la question des violences policières, malgré de multiples manifestations, reste toujours sans réponse claire. Il faut dire que cette bonne vieille insécurité fait bien plus recette lorsqu'il s'agit de communication politique. Mais regardons de plus près ce que produit la réponse sécuritaire qui l'accompagne depuis près de 20 ans. Et si l'étendard sécuritaire agité si énergiquement cachait une profonde incapacité à se saisir collectivement de questions avant tout sociales ?
Retrouvez toutes les sources de l'épisode sur : https://frama.link/aQ0Dcj0z
Source : https://www.youtube.com/watch?v=5a2u2qHivFo&pp=QAA%3D
Déclaration du colonel des pompiers Guy Colaianni
Coup de gueule d'un colonel parce que, je cite, "l'heure est grave" !
Source : https://www.facebook.com/ledirectdefaxo1/videos/765342577373053
dimanche 27 septembre 2020
Big Pharma, labos tout-puissants
Vidéo (extrait) : https://www.facebook.com/estcequecemondeestserieux/videos/367013204670198
Plus riches et plus puissantes que jamais, les firmes pharmaceutiques orientent la recherche et le remboursement des soins. Enquête sur une industrie hors de contrôle, dont les intérêts ne coïncident pas toujours avec les impératifs de santé publique.
On
les surnomme les "Big Pharma" : à eux seuls, les suisses Novartis et
Roche, les américains Pfizer et Johnson & Johnson, et le français
Sanofi contrôlent la majeure partie de la fabrication de médicaments.
Pour conserver leur monopole, ces grands laboratoires minimiseraient,
voire occulteraient, certains effets indésirables causés par leurs
produits. En Europe, la Dépakine, un antiépileptique responsable de
malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux chez des
enfants exposés in utero, est au cœur d’un retentissant scandale.
Soupçonné d’avoir tardé à alerter les autorités sanitaires et les
consommateurs sur ces risques pourtant connus, Sanofi a été mis en
examen pour "tromperie aggravée", "blessures involontaires" et
"homicides involontaires". Aux États-Unis, où la crise des opioïdes fait
des ravages (plus de cent morts par jour), les multinationales
pharmaceutiques sont accusées d’avoir encouragé la prescription massive
de ces antidouleurs en dissimulant leur caractère hautement addictif. En
2019, Johnson & Johnson a ainsi été condamné à payer 572 millions
de dollars à l’État d’Oklahoma pour avoir mis en danger la vie de ses
citoyens. Alors que l’industrie pharmaceutique bénéficie largement des
innovations de la recherche publique, les prix des médicaments
atteignent des sommets : facturé 84 000 dollars aux États-Unis, où la
tarification n’est pas encadrée, le traitement contre l’hépatite C coûte
24 000 euros en France, quand la nouvelle thérapie génique contre la
leucémie commercialisée par Novartis avoisine les 300 000 euros. Entre
intense lobbying et ententes illicites, les laboratoires déploient
d’efficaces stratégies pour préserver leurs exclusivités, à l’instar du
même Novartis, qui est parvenu à imposer sur le marché un médicament
contre la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) quarante fois
plus coûteux que son concurrent. Le 9 septembre 2020, Novartis, Roche et
Genentech ont ainsi été condamnés par l’Autorité française de la
concurrence à payer 445 millions d’euros pour pratiques abusives dans le
traitement de la DMLA.
Course au blockbuster
À l’heure où la lutte contre le Covid-19 aiguise les appétits des mastodontes pharmaceutiques, Luc Hermann (Starbucks sans filtre)
et Claire Lasko éclairent le nouveau paradigme à l’œuvre dans le
secteur, entre concentration, financiarisation et course effrénée aux
profits. À l’aide d’exemples documentés et de nombreux témoignages (de
médecins, patients, journalistes, victimes et avocats, ainsi que d’un
représentant de Sanofi et de l’ancienne ministre de la Santé Marisol
Touraine), leur enquête met en lumière la puissance démesurée des Big
Pharma – "comparable à celle d’un État", selon le professeur
François Chast –, les menaces qu’ils font peser sur les systèmes de
santé publique, mais aussi les élans de résistance qu’ils suscitent,
entre multiplication des procédures judiciaires et constitution de
collectifs de médecins luttant contre la corruption dans le domaine de
la santé.
Source de l'article : https://www.arte.tv/fr/videos/085428-000-A/big-pharma-labos-tout-puissants/
Source de la vidéo (en intégralité) : https://bittube.video/videos/watch/0d3cc3d8-8033-4c3a-be62-b3b13d0c5dca
Le directeur scientifique de Pfizer déclare que la « deuxième vague » a été truquée lors de tests COVID faussement positifs, « la pandémie est terminée ».
Dans un développement étonnant, un ancien directeur scientifique du géant pharmaceutique Pfizer déclare qu' »il n’y a aucune science qui suggère qu’une deuxième vague devrait se produire ». L’initié de la « Big Pharma » affirme que des résultats faussement positifs provenant de tests COVID intrinsèquement peu fiables sont utilisés pour fabriquer une « seconde vague » basée sur de « nouveaux cas ».
Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer pendant 16 ans, affirme que la moitié, voire « presque tous » les tests COVID sont des faux positifs. Le Dr Yeadon affirme également que le seuil d’immunité collective peut être beaucoup plus bas que ce que l’on pensait auparavant, et qu’il a peut-être déjà été atteint dans de nombreux pays.
Dans une interview accordée la semaine dernière, le Dr Yeadon a été interrogé :
« Nous basons une politique gouvernementale, une politique économique, une politique des libertés civiles, en termes de limitation des personnes à six personnes dans une réunion… toutes basées sur, ce qui pourrait bien être, des données complètement fausses sur ce coronavirus ? »
Le Dr. Yeadon a répondu par un simple « oui ».
Le Dr. Yeadon a déclaré dans l’interview que, étant donné la « forme » de tous les indicateurs importants dans une pandémie mondiale, tels que les hospitalisations, l’utilisation des soins intensifs et les décès, « la pandémie est fondamentalement terminée ».
Le Dr Yeadon a déclaré dans l’interview :
« Sans les données de test que vous obtenez tout le temps à la télévision, vous concluriez à juste titre que la pandémie est terminée, car il ne s’est rien passé de bien important. Bien sûr, les gens se rendent à l’hôpital, à l’approche de la saison automnale de la grippe… mais aucune donnée scientifique ne permet d’affirmer qu’une deuxième vague devrait se produire ».
Dans un article publié ce mois-ci, co-signé par M. Yeadon et deux de ses collègues, les scientifiques écrivent : « Quelle est la probabilité d’une deuxième vague ?
« Il a été largement observé que dans tous les pays fortement infectés en Europe et dans plusieurs États américains, la forme des courbes de mortalité quotidienne en fonction du temps est similaire à celle du Royaume-Uni. Beaucoup de ces courbes sont non seulement similaires, mais presque super impossibles ».
Les données relatives au Royaume-Uni, à la Suède, aux États-Unis et au monde entier montrent que dans tous les cas, les décès ont augmenté de mars à la mi- ou à la fin avril, puis ont commencé à diminuer progressivement selon une pente douce qui s’est aplatie vers la fin juin et qui se poursuit encore aujourd’hui. Cependant, les taux de cas, basés sur des tests, augmentent et oscillent de façon sauvage vers le haut et vers le bas.
Aux États-Unis, les médias s’attendent déjà à une « deuxième vague ».
Le taux de survie au COVID est maintenant estimé à 99,8%, comme pour la grippe, avec une immunité antérieure aux lymphocytes T
Le taux de survie de COVID-19 a été amélioré depuis le mois de mai pour atteindre 99,8 % des infections. Ce taux se rapproche de celui de la grippe ordinaire, dont le taux de survie est de 99,9 %. Bien que le COVID puisse avoir des séquelles graves, la grippe ou toute maladie respiratoire peut également en avoir. Le taux de survie actuel est bien plus élevé que les premières estimations sombres de mars et avril, citées par le Dr Anthony Fauci, de 94 %, soit 20 à 30 fois plus meurtrier. La valeur du taux de mortalité par infection (IFR) acceptée par Yeadon et al dans le document est de 0,26%. Le taux de survie d’une maladie est de 100% moins l’IFR.
Le Dr Yeadon a souligné que la « nouvelle » contagion COVID-19 n’est nouvelle que dans le sens où il s’agit d’un nouveau type de coronavirus. Mais, a-t-il dit, il existe actuellement quatre souches qui circulent librement dans la population, le plus souvent liées au rhume.
Dans l’article scientifique, Yeadon et al écrivent
« Il y a au moins quatre membres de la famille bien caractérisés (229E, NL63, OC43 et HKU1) qui sont endémiques et provoquent certains des rhumes courants que nous connaissons, surtout en hiver. Ils présentent tous une similitude de séquence frappante avec le nouveau coronavirus ».
Les scientifiques affirment qu’une grande partie de la population possède déjà, sinon des anticorps contre le COVID, du moins un certain niveau d’immunité des « cellules T » contre l’exposition à d’autres coronavirus apparentés, qui circulaient bien avant le COVID-19.
Les scientifiques écrivent :
« Une composante majeure de notre système immunitaire est le groupe de globules blancs appelés cellules T, dont le travail consiste à mémoriser un petit morceau du virus avec lequel nous avons été infectés, afin que les bons types de cellules puissent se multiplier rapidement et nous protéger si nous contractons une infection connexe. Des réponses au COVID-19 ont été démontrées dans des dizaines d’échantillons de sang prélevés sur des donneurs avant l’arrivée du nouveau virus ».
En introduisant l’idée qu’une certaine immunité préalable à COVID-19 existait déjà, les auteurs de « How Likely is a Second Wave ? » écrivent :
« Il est maintenant établi qu’au moins 30% de notre population avait déjà une reconnaissance immunologique de ce nouveau virus, avant même son arrivée…COVID-19 est nouveau, mais les coronavirus ne le sont pas. »
Ils poursuivent en disant qu’en raison de cette résistance préalable, seuls 15 à 25 % d’une population infectée peuvent suffire pour atteindre l’immunité de troupeau :
« …les études épidémiologiques montrent que, avec l’ampleur de l’immunité préalable que l’on peut maintenant raisonnablement supposer, seuls 15-25% de la population infectée sont suffisants pour stopper la propagation du virus… »
Aux États-Unis, si l’on accepte un bilan de 200 000 morts et un taux de mortalité lié à l’infection de 99,8 %, cela signifie que pour chaque personne décédée, il y aurait environ 400 personnes infectées qui auraient survécu. Cela signifierait environ 80 millions d’Américains, soit 27% de la population. Cela touche le seuil d’immunité collective de Yeadon et de ses collègues.
Les auteurs disent :
« La littérature actuelle montre qu’entre 20 et 50 % de la population présente cette réactivité des cellules T pré-pandémique, ce qui signifie que nous pourrions adopter une valeur de population initialement sensible de 80 à 50 %. Plus la susceptibilité initiale réelle est faible, plus nous sommes sûrs d’avoir atteint un seuil d’immunité collective (TIH) ».
La deuxième vague de faux positifs
Les auteurs écrivent que le test PCR, le test COVID le plus répandu dans le monde, est utilisé :
« plus de la moitié des positifs sont susceptibles d’être faux, potentiellement tous ».
Les auteurs expliquent que ce que le test PCR mesure réellement est « simplement la présence de séquences d’ARN partielles présentes dans le virus intact », qui pourrait être un morceau de virus mort qui ne peut pas rendre le sujet malade, et ne peut pas être transmis, et ne peut pas rendre quelqu’un d’autre malade.
« …un vrai positif n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable. Dans les études limitées réalisées à ce jour, de nombreux chercheurs ont montré que certains sujets restent positifs par PCR longtemps après que la capacité de cultiver le virus à partir de prélèvements a disparu. Nous appelons cela un « positif à froid » (pour le distinguer d’un « positif à chaud », une personne réellement infectée par un virus intact). Le point essentiel des « positifs au froid » est qu’ils ne sont pas malades, ne présentent pas de symptômes, ne vont pas en présenter et, de plus, sont incapables d’infecter d’autres personnes ».
Dans l’ensemble, le Dr Yeadon avance l’argument selon lequel toute « deuxième vague » de COVID, et tout cas de verrouillage par les gouvernements, compte tenu des principes bien connus de l’épidémiologie, sera entièrement fabriqué.
Ce mois-ci, à Boston, un laboratoire a suspendu les tests de dépistage des coronavirus après la découverte de 400 faux positifs.
Une analyse du test basé sur la PCR sur le site médical medrxiv.org indique :
« les données sur les tests basés sur la PCR pour des virus similaires montrent que les tests basés sur la PCR produisent suffisamment de résultats faux positifs pour rendre les résultats positifs très peu fiables dans un large éventail de scénarios du monde réel ».
Le cas le plus célèbre de manque de fiabilité des tests PCR a bien sûr été celui du président tanzanien qui a révélé au monde entier qu’il avait secrètement envoyé des échantillons d’une chèvre, d’un mouton et d’un fruit de papaye à un laboratoire de test COVID. Ils sont tous revenus positifs pour le COVID.
Fabriqué en Chine
En août, le gouvernement suédois a découvert 3700 faux positifs COVID à partir de kits de test fabriqués par la société chinoise BGI Genomics. Les kits ont été approuvés en mars par la FDA pour une utilisation aux États-Unis.
Les deuxièmes vagues de coronavirus ne sont pas normales
Le Dr Yeadon a contesté l’idée que toutes les pandémies se déroulent en vagues successives, citant deux autres épidémies de coronavirus, le virus du SRAS en 2003 et le MERS en 2012. Ce qui peut sembler être deux vagues peut en fait être deux vagues uniques se produisant dans des régions géographiques différentes. Ils affirment que les données recueillies lors des épidémies relativement récentes du SRAS en 2003 et du MERS confirment leur thèse.
Dans le cas du MERS :
« il s’agit en fait de plusieurs vagues uniques affectant des populations géographiquement distinctes à différents moments de la propagation de la maladie. Dans ce cas, le premier pic important a été observé en Arabie Saoudite, avec un second pic quelques mois plus tard en République de Corée. Analysée individuellement, chaque zone a suivi un événement unique typique… »
Dans l’interview, interrogé sur l’épidémie de grippe espagnole de 1918, qui s’est produite par vagues successives pendant la Première Guerre mondiale, Yeadon a souligné qu’il s’agissait d’un type de virus entièrement différent, qui ne faisait pas partie de la famille des coronavirus. D’autres ont mis en cause la malnutrition générale du début du siècle et les conditions insalubres. Les soldats de la Première Guerre mondiale, durement touchés, vivaient dans la boue froide et dans les pires conditions imaginables pour la résistance immunitaire.
Les fermetures ne fonctionnent pas
Un autre argument avancé par Yeadon et al dans leur article de septembre est qu’il n’y a pas eu de différence dans les résultats liés aux blocages.
Ils affirment que :
« La forme de la courbe des décès en fonction du temps implique un processus naturel et non un processus résultant principalement d’interventions humaines… La Suède est connue pour avoir adopté une approche presque de laissez-faire, avec des conseils qualifiés donnés, mais pas d’enfermement généralisé. Pourtant, son profil et celui du Royaume-Uni sont très similaires ».
Yeadon aux manières douces démolit l’homme qui a tout commencé, Professeur Neil Ferguson
L’ancien dirigeant et scientifique de Pfizer pointe du doigt un ancien collègue qui a été réprimandé pour son rôle dans la pandémie, le professeur Neil Ferguson. Ferguson a enseigné à l’Imperial College alors que Yeadon y était affilié. Le modèle informatique de Ferguson a fourni aux gouvernements la justification nécessaire pour lancer des ordres draconiens qui ont transformé du jour au lendemain des sociétés libres en prisons virtuelles. Sur ce qui est maintenant estimé par le CDC comme un virus avec un taux de survie de 99,8%.
Le Dr. Yeardon a déclaré dans l’interview qu' »aucun scientifique sérieux ne donne de validité » au modèle de Ferguson.
Parlant avec un mépris à peine voilé pour Ferguson, le Dr. Yeardon a pris un malin plaisir à le souligner à son interlocuteur :
« Il est important que vous sachiez que la plupart des scientifiques n’acceptent pas que le modèle de Ferguson était même légèrement juste… mais le gouvernement est toujours attaché à ce modèle. »
Yeardon se joint à d’autres scientifiques pour fustiger les gouvernements qui suivent le modèle de Ferguson, dont les hypothèses sont à la base de tous les blocages mondiaux. L’un de ces scientifiques est le Dr Johan Giesecke, ancien chef scientifique du Centre européen de contrôle et de prévention des maladies, qui a qualifié le modèle de Ferguson de « document scientifique le plus influent » de mémoire, et aussi « l’un des plus erronés ».
C’est le modèle de Ferguson qui a soutenu que des mesures d' »atténuation » étaient nécessaires, c’est-à-dire la distanciation sociale et la fermeture d’entreprises, afin d’éviter, par exemple, que plus de 2,2 millions de personnes meurent de la maladie de Crohn aux États-Unis.
Ferguson a prédit que la Suède paierait un prix terrible pour l’absence de fermeture, avec 40 000 décès dus à COVID d’ici le 1er mai, et 100 000 d’ici le mois de juin. Le nombre de décès en Suède est maintenant de 5800. Le gouvernement suédois affirme que cela coïncide avec une saison de grippe légère. Bien qu’initialement plus élevé, le taux de mortalité par habitant en Suède est maintenant inférieur à celui des États-Unis, ce qui a été réalisé sans les terribles dommages économiques qui continuent à se produire aux États-Unis. La Suède n’a jamais fermé de restaurants, de bars, d’établissements sportifs, de la plupart des écoles ou de salles de cinéma. Le gouvernement n’a jamais ordonné aux gens de porter des masques.
Le Dr Yeadon parle avec amertume des vies perdues à cause des politiques de verrouillage, et des innombrables vies « savoureuses » qui seront encore perdues, à cause d’importantes opérations chirurgicales et d’autres soins de santé différés, si le verrouillage est réimposé, .
Yeardon est un entrepreneur prospère, fondateur d’une société de biotechnologie qui a été rachetée par Novartis, un autre géant pharmaceutique. L’unité de Yeadon chez Pfizer était l’Unité de recherche sur l’asthme et les maladies respiratoires. (Yeadon, partial list of publications.)
Pourquoi tout cela arrive-t-il ? Un membre du Congrès américain se dit convaincu du « plan du gouvernement » visant à maintenir le verrouillage jusqu’à ce qu’un vaccin soit obligatoire. Des théories de conspiration ?
La liste des nouvelles s’allonge, ce qui reflète défavorablement le récit qui se joue sur les grandes chaînes de télévision, d’un mystérieux « nouveau » virus qui n’a été contrôlé que par une attaque sans précédent contre les droits et libertés individuels, maintenant prêt à bondir à nouveau, sur des populations déjà en souffrance qui n’ont d’autre choix que de se soumettre à de nouvelles injonctions gouvernementales.
Les gouverneurs ont tranquillement étendu leurs pouvoirs indéfiniment en déplaçant le poteau de but, sans le dire, de « l’aplatissement de la courbe » pour soulager la pression sur les hôpitaux, à « aucun nouveau cas ». De « pandémie », à « cas-demic ».
En Allemagne, une organisation de 500 médecins et scientifiques allemands s’est formée, qui affirment que la réponse du gouvernement au virus COVID a été largement disproportionnée par rapport à la gravité réelle de la maladie.
Les preuves de la tromperie s’accumulent. Le CDC et le groupe de travail américain sur les coronavirus, dirigé par le Dr Deborah Birx, affirment tous deux que la définition du décès par COVID a été souple et que les règles favorisent l’appellation COVID chaque fois que cela est possible. Cela ouvre la possibilité d’un nombre de décès largement gonflé. À New York, l’administration du gouverneur Andrew Cuomo fait l’objet d’une enquête fédérale pour avoir signé les arrêts de mort de milliers de personnes âgées en maison de retraite, alors que l’État a envoyé des patients COVID dans les maisons de retraite, malgré les objections impuissantes des cadres et du personnel de ces établissements.
Pourquoi les grands médias ignorent-ils ce qui semblerait être un sujet éminemment médiatique, une rockstar de l’industrie comme Yeadon, en criant les plus grandes armes du monde de la santé publique ? Les talk-shows du dimanche, les Chris Wallace et Meet the Press, ne voudraient-ils pas cuisiner un tel homme pour des audiences records ?
Dans ce cas, les discussions pourraient se tourner vers des programmes sombres, et non pas seulement vers l’incompétence, l’obtus et la stupidité.
Une opinion a été émise par le représentant américain Thomas Massie (R-KY) lors de son intervention au Tom Woods Show le 16 août dernier :
« Le secret que le gouvernement vous cache est qu’il prévoit de nous fermer jusqu’à ce qu’il y ait une sorte de vaccin, et ensuite, que ce soit obligatoire au niveau fédéral ou au niveau de l’État, ou peut-être qu’il persuade vos employeurs par le biais d’un autre programme PPP auquel vous ne pourrez pas prétendre à moins que vous n’obligiez vos employés à se faire vacciner, je pense que c’est leur plan. Que quelqu’un me convainque que ce n’est pas leur plan, car il n’y a pas d’autre issue logique que celle-là ».
Une autre théorie est que la crise du COVID est utilisée pour consolider des niveaux de contrôle des élites sur les individus et la société jamais imaginés auparavant. Cette théorie est avancée par le neveu du président assassiné, Robert F. Kennedy Jr, fils de Bobby Kennedy également assassiné. Dans un discours prononcé lors d’une manifestation massive contre le blocage et la vaccination obligatoire en Allemagne, Bobby Jr. a mis en garde contre l’existence d’un :
« le programme de biosécurité, la montée de l’État de surveillance autoritaire et le coup d’État contre la démocratie libérale parrainé par les Big Pharma… La pandémie est une crise de convenance pour l’élite qui dicte ces politiques, »
Les mises en garde contre les mauvaises intentions de l' »élite » de Kennedy proviennent de sources plus générales. Le Dr Joseph Marcela, du site d’information médicale Mercola.com, qui jouit d’une grande confiance et d’un trafic considérable, a rédigé une étude approfondie des affirmations d’un médecin concernant les vaccins génétiquement modifiés qui se profilent à l’horizon.
Et cela n’apaise pas les craintes qu’un site web de l’establishment de la défense, Defense One, signale que des biopuces permanentes sous la peau, injectables par la même seringue qui contient un vaccin, pourraient bientôt être approuvées par la FDA.
En 1957, une pandémie a frappé, la grippe asiatique H2N2 avec un taux de mortalité de 0,7%, qui a tué autant de personnes par habitant aux États-Unis que le COVID le prétend aujourd’hui. Il n’en a jamais été fait mention dans les médias à l’époque, sans parler du bouleversement extraordinaire que nous connaissons aujourd’hui. En 1968, la grippe de Hong Kong a frappé les États-Unis (.5% IFR,), emportant 100 000 personnes alors que la population américaine était nettement plus faible. Pas une seule alerte n’a été donnée, pas un seul magasin n’a été fermé, ni même un reportage du réseau d’information. L’été suivant, le plus grand rassemblement de l’histoire des États-Unis a eu lieu à Woodstock.
L’hystérie de masse n’est jamais accidentelle, mais elle profite à quelqu’un. La seule question à laquelle il reste à répondre est : qui ?
Source de l'article : https://profidecatholica.com/2020/09/24/le-directeur-scientifique-de-pfizer-declare-que-la-deuxieme-vague-a-ete-truquee-lors-de-tests-covid-faussement-positifs-la-pandemie-est-terminee/
La vaccination, pionnière de l'identification numérique mondiale
L'appel à des vaccinations de masse et la demande d'une carte d'immunité ont tous deux été lancés en public pendant la crise du coronavirus. Kla.TV informe ses téléspectateurs dans cette émission sur les liens entre l'industrie de la vaccination avec Bill Gates et l'identification numérique. Saviez-vous que le vaccin est également destiné à vous « implanter » une identité numérique en même temps ? Découvrez le projet d'asservissement de l'humanité par un contrôle universel – et découvrez-le maintenant !
Sources : https://www.kla.tv/16685
https://www.facebook.com/lanceurarlerte974/videos/249218573092511
La vaccination, pionnière de l'identification numérique mondiale
www.kla.tv/16685
29.06.2020
Plus la crise du Coronavirus dure, plus la politique mondiale redouble d’efforts pour imposer les vaccinations de masse. « La pandémie et les contraintes sanitaires ne finiront que quand on disposera d’un vaccin. » C'est là la ritournelle unanime dans les déclarations des politiques et des représentants de l’Institut Robert-Koch. Les assouplissements temporaires des mesures coercitives ne sauraient faire illusion. Dans le contexte des vaccinations contre le coronavirus et des discussions incessantes au sujet de la preuve d’immunité, il est envisagé de faire un recensement numérique complet de la population. Bill Gates disait à ce sujet, le 18 mars 2020 : « Un jour nous aurons des certificats numériques qui nous permettront de savoir qui est guéri de l’infection du coronavirus, qui a reçu le vaccin et quand. » Les identités numériques servent à enregistrer et identifier les personnes et les objets. Pour cela, on utilise fréquemment les cartes à puce et les codes PIN ou des données biométriques comme les empreintes digitales ou l’iris de l’œil. En 2018, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a vanté les avantages du recensement numérique. Dans le bulletin de l’OMS – « Programmes de vaccinations et informations sur les événements d’importance vitale » il est dit : « ID4D et l’Alliance ID 2020 s’engagent à mobiliser les gouvernements, la société civile, les organisations internationales et le secteur privé pour utiliser efficacement les technologies numérique d’identification sur une vaste échelle. » Mais quels buts, et les intérêts de qui, ces organisations poursuivent-elles ? ID4D est une initiative du Groupe de la Banque Mondiale qui aide les pays à réaliser des systèmes d’identification, c’est-à-dire à « créer d’ici 2030 l’enregistrement des naissances et l’identité légale ». Le partenaire principal et le financier de ID4D est la Fondation Bill et Melinda Gates. ID2020 est une alliance qui prétend vouloir améliorer la qualité de la vie par l’identité numérique. Dans un article publié en 2018, ses membres décrivent les vaccins comme le moyen parfait pour introduire l’identité numérique dans le monde. Les fondateurs et principaux partenaires d’ID2020 sont tous en relation étroite avec Bill Gates et l’industrie vaccinale. L’Institut de Technologie du Massachussets (MIT) a publié, en décembre 2019, les résultats de la recherche initiée et financée par la Fondation Bill et Melinda Gates. En même temps que le vaccin, on introduit sous la peau des données codées dans un motif formé de pigments invisibles à l’œil nu, c’est-à--dire qu'on implante une identification numérique. Le 12 avril 2020, lundi de Pâques, Bill Gates déclarait dans une interview dans l’émission allemande Tagesthemen : « Finalement, nous administrerons le vaccin à 7 milliards de personnes. » Ce qui veut dire en clair que chaque être humain devra recevoir une identité numérique. Mais voilà le hic ! Quel est l’inconvénient de l’identité numérique qui doit être administrée en même temps que les vaccinations ? L’acceptation d’une identité numérique était jusqu'à présent, théoriquement, librement consentie ; dans les faits, pourtant, elle était une contrainte inéluctable. En Indonésie, par exemple, n’obtiennent du gaz liquide subventionné, pour cuisiner, que ceux qui ont une identité numérique. C’est-à-dire, déjà, 41 millions d’Indonésiens. Au Bangladesh, le gouvernement, en accord avec ID2020 et l’Alliance vaccinale GAVI, dote les nourrissons et les enfants, lors de l’enregistrement de leur naissance, ou d’une vaccination, d’une identité numérique. Au Nigeria, on s'est servi de drones pour détecter qui n'a pas été vacciné contre la polio, ce qui est contrôlable à tout moment grâce à l’identité numérique. Cette vaccination, combinée à l’identité numérique, c'est donc la porte ouverte à un contrôle et à un conditionnement absolus. Il est maintenant de la responsabilité de chacun de prendre conscience des esclavages à venir et d’opposer de la résistance.
de sr.hm.
Sources / Liens : Déclarations d'hommes politiques, de RKI et de Bill Gates : Aussagen von Politikern, RKI und Bill Gates: https://www.kla.tv/16407https://www.welt.de/politik/deutschland/article207394539/RKI-zu-Corona-Ohne-Impfstoff-keine-Rueckkehr-zur-Normalitaet.html
https://vigilantcitizen.com/latestnews/bill-gates-calls-for-a-digital-certificate-to-identify-who-is-vaccinated/
https://www.tagesschau.de/ausland/gates-corona-101.html
(Min. 4:24 und 4:55) Identités numériques et OMS Digitale Identitäten & WHO https://www.security-insider.de/was-ist-eine-digitale-identitaet-a-604019/
https://www.zeit.de/wissen/gesundheit/2017-03/who-unabhaengigkeit-bill-gates-film
https://www.who.int/bulletin/volumes/97/4/18-210807/en/
https://www.who.int/bulletin/volumes/97/4/18-210807.pdf
ID4D, ID2020, GAVI & Dr. Seth Berkley https://id4d.worldbank.org/who-is-involved
https://id4d.worldbank.org/about-us
https://unstats.un.org/sdgs/metadata/?Text=&Goal=16&Target=16.9
https://medium.com/id2020/immunization-an-entry-point-for-digital-identity-ea37d9c3b77e
https://www.nature.com/articles/d41586-017-05923-8
https://id2020.org/alliance
https://www.gavi.org/our-alliance/operating-model/gavis-partnership-model
https://www.gavi.org/investing-gavi/funding/donor-profiles/bill-melinda-gates-foundation
https://www.gavi.org/investing-gavi/funding/overview-2000-2037
https://www.msf.org/gavi-money-welcome-could-it-be-more-wisely-spent
https://www.theguardian.com/global-development/2016/jan/15/bill-gates-rockefeller-influence-agenda-poor-nations-big-pharma-gm-hunger
https://www.accenture.com/de-de/services/microsoft-index
https://news.microsoft.com/2019/02/04/new-accenture-microsoft-business-group-will-empower-enterprises-to-thrive-in-the-era-of-digital-disruption/
https://www.ideo.org/tools
https://www.ideo.org/partners
Applications et développements de l'identification numérique Digitale ID Anwendungen & Entwicklungen https://www.globenewswire.com/news-release/2018/09/14/1571269/0/en/Everest-ID2020-and-the-Government-of-Indonesia-TNP2K-Secretariat-Announce-Innovative-Identity-and-Blockchain-Pilot-Solution-to-Enhance-the-National-LPG-Subsidy-Program.html
https://www.prnewswire.com/news-releases/id2020-alliance-launches-digital-id-program-with-government-of-bangladesh-and-gavi-announces-new-partners-at-annual-summit-300921926.html
https://www.gavi.org/news/media-room/prime-minister-bangladesh-receives-2019-vaccine-hero-award
http://news.mit.edu/2019/storing-vaccine-history-skin-1218
https://www.scientificamerican.com/article/invisible-ink-could-reveal-whether-kids-have-been-vaccinated/
https://news.bitcoin.com/400-kraken-survey-respondents-bitcoin-price-22k-2020/
https://bibeltext.com/l12/revelation/13.htm
https://patentscope.wipo.int/search/en/detail.jsf?docId=WO2020060606
https://www.kla.tv/16194
www.youtube.com/watch?v=SFDcwG8ENZA
Spécial Serge Monast REX 84 FEMA
Serge Monast (né en 1945 - mort à Montréal le 5 décembre 1996) est un journaliste d'enquête, poète, essayiste et lanceur d'alerte canadien (québécois).
Source : https://www.youtube.com/watch?v=Lkaq2n9v1aw&feature=youtu.be
CovidPass, la nouvelle prison 2.0
Source : https://www.youtube.com/watch?v=MegnUEXO_B4
Censurée sur YouTube, cette vidéo vaut forcément le détour : https://bittube.video/videos/watch/4c20c55a-2648-4664-9155-73edf0eb119e
Caitlin Johnstone sur QAnon
Voici une traduction DeepL d'un texte récent de cette blogueuse très en vue dans la réinformation US.
L'original du 20 août est ici :
"J'écris périodiquement contre QAnon pour la même raison que j'écris contre les médias ploutocratiques : c'est une construction de propagande évidente conçue pour fabriquer un soutien au statu quo parmi les gens qui autrement ne le soutiendraient pas. Il se présente comme un mouvement passionnant où le petit gars se lève enfin et se débarrasse des chaînes des forces tyranniques qui nous exploitent et nous oppriment, alors qu'en réalité tout ce qu'il fait, c'est de dire à un secteur mécontent de la population de se détendre et de "faire confiance au plan" et de mettre toute leur confiance dans le chef du gouvernement américain.
Seule une humble dévotion à la vérité, prête à sacrifier toute vision du monde ou idéologie au feu implacable de la réalité objective, peut habilement naviguer dans un monde saturé de désinformation et de propagande. Mettez sincèrement la vérité au premier plan tout en faisant de votre mieux pour découvrir ce qui se passe réellement dans notre monde, et vous êtes assuré de vous libérer de toute distorsion perceptive.
Caitlin Johnstone
Un organigramme du pouvoir international
La Compagnie de Jésus ou Ordre des Jésuites (en latin : Societas Jesu, abrégé S.J.) est une congrégation catholique masculine dont les membres sont des clercs réguliers appelés « jésuites ». La Compagnie est fondée par saint Ignace de Loyola, saint François Xavier, saint Pierre Favre et les premiers compagnons en 1539, et approuvée en 1540 par le pape Paul III. Dissoute en 1773, elle est rétablie en 1814 par le pape Pie VII.
Le terme franc-maçonnerie désigne un ensemble d'espaces de sociabilité sélectifs, dont le recrutement des membres est fait par cooptation et pratique des rites initiatiques se référant à un secret maçonnique et à l'art de bâtir. Formée de phénomènes historiques et sociaux très divers, elle semble apparaître en 1598 en Écosse (Statuts Schaw), puis en Angleterre au XVIIe siècle. Elle se décrit, suivant les époques, les pays et les formes, comme une « association essentiellement philosophique et philanthropique », comme un « système de morale illustré par des symboles » ou comme un « ordre initiatique ». Organisée en obédiences depuis 1717 à Londres, la franc-maçonnerie dite « spéculative » — c'est-à-dire philosophique — fait référence aux Anciens devoirs de la « maçonnerie » dite « opérative » anglaise formée par les corporations de bâtisseurs. Elle puise ses sources dans un ensemble de textes fondateurs rédigés entre les XIVe et XVIIIe siècles.
Les Illuminés de Bavière (ou parfois Illuminati de Bavière) (en allemand Illuminatenorden) sont une société secrète allemande du XVIIIe siècle qui se réclamait de l'Aufklärung et plus généralement de la philosophie des Lumières. Fondée le par le philosophe et théologien Adam Weishaupt à Ingolstadt, elle eut à faire face à des dissensions internes avant d'être interdite par un édit du gouvernement bavarois en 1785 et de disparaître peu après.
Le groupe Bilderberg, aussi appelé conférence de Bilderberg ou club Bilderberg, est un rassemblement annuel et informel d'environ cent trente personnes, essentiellement des Américains et des Européens, composé en majorité de personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias.Ce forum annuel a été inauguré en à Oosterbeek aux Pays-Bas, lors d'une réunion à l'hôtel Bilderberg (d'où son nom) et possède des bureaux à Leyde, aux Pays-Bas.