Source : https://www.youtube.com/watch?v=pROncW_jNao
Les 10 raisons pour lesquelles vous ne devez plus mettre votre enfant à l’école
D'aucuns
diront que ce site prêche "pour sa paroisse" et donne un avis farfelu.
En réalité, nous n'en venons à dire ceci qu'après 10 ans d'activité et
au terme d'une réflexion qui ne peut plus laisser de place au doute. Les
éléments ci-dessous vous en convaincront. Nous voyons ici les 10
raisons pour lesquelles vous ne devriez plus mettre votre enfant à
l'école "classique", c'est-à-dire une école publique (sous-contrat)*
1 - L'école n'enseigne plus
Ce n'est pas pour rien que les bons enseignants démissionnent ou se plaignent du niveau le plus affligeant de toute l'Histoire (et c'est tellement massif que c'en est banal). Dans cet article,
on découvre qu'au bout de 14.256 heures passées dans leur vie à
l'école, les enfants sont nécessairement sans qualification. Tout le
monde sait, et c'est admis sans équivoque, que le niveau de l'école s'est effondré.
Lorsqu'il y a encore un enseignement, c'est un enseignement inversé,
largement inutile, bourré de données sans intérêt, de logique inversée, à
l'appui d'une méthode anti-productive savante qui s'efforce d'obtenir
l'oubli et la confusion, et même de détruire l'âme de l'enfant, d'en
faire un légume tout juste bon à intégrer les rangs du SNUipp-FSU.
Une spécialité de naufrageur ou de boucanier. L'excellence dans
l'échouage.
2 - L'école est l'épicentre du chômage et de la désocialisation
C'est ce qui résulte nécessairement du point précédent. C'est un fait qui saute aux yeux que le
Bac est le contraire d'une garantie de travail, qu'il vaut mieux ne pas
s'en vanter en entrant dans une entreprise, alors que le doyen de la
Sorbonne dit lui-même qu'il ne sert plus à rien.
Toutes les personnes victimes de désocialisation
sortent de l'école ! C'est normal, l'école broie la solidarité de la
société, à coup d'analphabétisme, d'illettrisme, mais aussi de
harcèlement, de vide moral, de déconstruction de la personnalité etc. Le
tremplin vers l'échec.
3 - L'école est le plus sûr chemin vers le fichage et le tribunal
Ainsi que le révèlent quelques courageuses personnalités, on demande maintenant aux enseignants de dénoncer les familles !
Mais
le fait n'est pas neuf. Les signalements des familles qui ne font pas
exactement ce que les fonctionnaires osent leur demander sont en nombre
incalculables, c'est un ras-de-marée du caporalisme et de la délation,
qui rappelle les heures les plus sombres de l'Histoire de l'Humanité,
celles du communisme d'Etat. Le flicage automatique est greffé en
série au sein de structures para-étatiques du genre DPJ, MDPH, PMI et
autres petites organisations sulfureuses et sans complexe, ne craignant
pas de considérer que vous avez à vous justifier devant elles agissant
sans mandat, ignorant la loi en un mot, ignorant vraiment tout de la
loi, à commencer par ce fait assez simple que le peuple est souverain et
le fonctionnaire son serviteur. Rien n'y fait et vous êtes bon une
fois sur deux pour une convocation devant le juge.
4 - L'école est un endroit dangereux
On
ne compte plus les actes de délinquance, de violence, de racket, de
méchanceté gratuite (ou payante d'ailleurs) et le très célèbre harcèlement sur
les cours de récréation (ou juste à la sortie de l'école, sous les yeux
des fonctionnaires qui n'interviennent pas puisqu'en-dehors de l'école,
ils se dégagent de toute responsabilité). Sans compter que les
instituteurs eux-mêmes se font gentiment tabasser, voire violer, avec
interdiction de porter plainte. On rappelle que le plus grand centre
psychiatrique d'Europe est un établissement Education nationale dans
le Massif central (oui, on est parfois premiers, nous les Français).
On
n'oublie pas en passant que l'école sera aussi l'endroit où l'on
vaccinera votre enfant à votre insu au nom de principes sécuritaires
qui fleurent sa dictature de l'hygiéniquement correct.
5 - L'enfant verra ses qualités de départ disparaître à l'école
La
page de témoignage de ce site est emplie de cas d'enfants brimés par le
système scolaire. Pudeur, innocence, piété, finesse, goût du travail,
courage, endurance, intelligence, culture, on ne fera pas ici la liste
des qualités détruites par l'école. Tout ce qui est peut être beau, bon,
bien, est laminé durant tout le temps où l'enfant est à l'école, tandis
que la télé d'Etat se charge de le faire quand il est à la maison. Sans
compter que l'école est aussi une plateforme de propagande
républicaine et de gauche, avec un sens théâtral et une audace qui
défient la prestidigitation.
6 - L'école vous coûte cher et coûte cher à la Nation
C'est le premier budget de l'Etat, mais c'est aussi un coût direct pour vous, plus élevé par exemple que l'école à la maison, qui peut être pratiquement gratuite.
L’école
est de loin la plus grosse administration de l’Etat et la seconde du
monde après l’Armée rouge chinoise. Le plus gros budget français
obtient cependant des résultats inversement proportionnel, au point
qu'on se demande s'il ne faudrait pas carrément arrêter la moindre
subvention et dissoudre le ministère (ou plutôt, on ne se pose plus la
question)...
7 - L'école élimine la liberté de pensée
Il n'est méconnu de personne, et c'est même parfaitement assumé par ceux qui la contrôlent, que l'école est l'usine centrale à normaliser la pensée, d'ailleurs cruciale pour le système. Mieux, elle va détruire les bons réflexes séculaires de l'individu.
Tout ce que vous avez pu transmettre de sain à votre enfant y est passé
au broyeur hydraulique, à la déchiqueteuse à branche, ensuite à
l'extrudeuse bouillette à piston et pour finir à la concasseuse
rotative à mixage tranché que constitue l'école des ministres maçons
plus ou moins français d'ailleurs, car il s'agit d' "arracher les
déterminismes" de votre enfant, autrement dit de le séparer de sa
famille et d'annihiler ses valeurs, comme le disait l'un d'eux, un
certain Vincent Peillon, qui avait une bobine de poupée en plastic.
Source : https://youtu.be/S7IuK7fnLSU
Votre
enfant y est, avec violence ou manipulation, amené à croire à toutes
sortes de "valeurs" (ie républicaines, c'est-à-dire franc-maçonnes de
manière là aussi officiellement assumée - voir ce que le dit Peillon,
ci-dessous), qui ont fait preuve de leur échec éclatant dans une société
moderne moribonde) et d'une Histoire officielle fausse (ignorant toutes
les grandes recherches sérieuses). Les sorties ou voyages vers des
centres de rééducation mémorielle ou des anti-musées modifient la
perception de bon sens et de culture. La plaque-tournante de la
bien-pensance suicidaire.
8 - Votre enfant va entrer dans un processus psychiatrique
Vous
avez remarqué que l'école est l'endroit depuis lequel on étiquette le
plus l'enfance de toutes sortes de troubles, à coups de diagnostics tous
plus trompeurs et imposteurs les uns que les autres.
Ainsi, l’enfant doué peut se retrouver classé comme « asocial », « précoce » ou « haut-potentiel », et l’enfant en difficulté, du fait de mauvaises méthodes, sera
étiqueté « dyslexique » ou encore (tenez-vous bien) dyspraxique,
dyscalculique, dysorthographique, dysmathique, dysécolique,
dysfrancique… (sic) ou selon le mot passé dans le domaine grâce aux bonnes œuvres des laboratoires de Big pharma; « à trouble ». On peut aussi le qualifier d’hyperactif,
alors qu’il a simplement, la plupart du temps, une belle énergie
naturelle. Non pas que ces soucis n'existent pas, mais le systèmes les
grossit démesurément, comme l'importance du coronavirus qui n'a pas tué
beaucoup plus qu'une grippe saisonnière et beaucoup moins que le vaccin,
le médicament, la drogue, le cancer, la faim ou l'alcoolisme (un
battage pour rien, donc, si ce n'est pour vous contrôler et apurer des
dettes, tout en instaurant une saine ambiance mondial-totalitaire).
En attendant, les bonimenteurs certifiés que sont toutes sortes de spécialistes parascolaires, se font fort de prendre le relais au niveau local et vous faire payer leurs diagnostics douteux à prix d'or.
Alors
que la réalité toute simple et évidente, est que l'enfant ne peut pas
réussir des taches que l'école n'enseigne pas. Ce n'est pas l'enfant qui
a un problème et doit faire l'objet de tests et de bilans, c'est
l'école ! Elle n'a plus les compétences. D'où les incapacités des
enfants. Inversion accusatoire.
9 - Votre enfant risque pour sa santé
L'expérience
du coronavirus géré de main de maîtres-chanteurs amis des vendeurs de
médicaments et de vaccins a dissuadé des milliers de familles de
remettre leur enfant dans ce qui est évidemment le bouillon de culture
par excellence de la maladie et des pandémie. L'école, c'est ce qui vous
garantit la livraison à domicile des poux, de la grippe et toutes
sortes de maux dont on se passe aisément. Un chaudron dans lequel les
petits Gaulois n'ont aucun intérêt à tomber.
10 - Vous êtes en réalité obligé par la loi de faire l'école à la maison
En fait, vous êtes en faute vis-à-vis de la loi et risquez 7.500€ d'amende ainsi que des peines de prison en mettant votre enfant à l'école,
car vous avez l'obligation d'assurer à votre enfant une instruction.
Or, vous savez, tu sais, il sait, nous savons, ils savent que l'école
n'instruit plus. D'ailleurs, ses maîtres l'affirment sans ambage dans
leurs convents sectaires : "Notre rôle n'est plus d'apprendre à écrire,
compter et lire".
Voir aussi
- Les 10 Raisons pour lesquelles Votre Enfant va Echouer à l'Ecole
- Les 3 raisons pour lesquelles vous devez faire l'école à la maison si vous avez des valeurs
- Les 17 rumeurs, balivernes et intox sur l'école à la maison
*:
une école sous-contrat est ipso-facto une école publique, puisque ses
professeurs viennent du public et les contenus enseignés viennent du
public. Il vaut même souvent mieux une école publique qu'une fausse école privée sous-contrat.
Les accords Lang-Cloupet que les catholiques ont imprudemment signés
avec le ministre socialiste félon Lang, dont les moeurs n'ont jamais
cessé de défrayer la chronique, ont obtenu ce que Mitterrand n'avait
pas gagné au temps des grandes manifestations pour la défense de l'école
libre.
« La révolution française est l’irruption dans le temps de quelque chose qui n’appartient pas au temps, c’est un commencement absolu (oui, le commencement de la fin), c’est la présence et l’incarnation d’un sens (non, c'est la destruction de l'incarnation, c'est l'apologie d'un contre-sens), d’une régénération et d’une expiation du peuple français (expiation, mot chrétien, mais ici expitaion pourquoi ? Pour avoir été un peuple heureux ? Ah ! oui, en effet, il fallait qu'il paye). 1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement (néologisme qui fait "bien") par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau (oui, le financier apatride pas très catholique qui distribue de l'argent dans les faubours, prétend qu'une armée d'envahisseurs se présente aux frontières, fracture les portes des arsenaux et distribue des armes partout). La révolution est un événement méta-historique, c’est-à-dire un événement religieux (tiens donc ! et pourtant tous les religieux sont violés, massacrés...). La révolution implique l’oubli total de ce qui précède la révolution (on connaît la chanson, les communistes l'ont chanté, deux cents millions de morts à la clé). Et donc l’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen (citoyen est donc égal à "consommateur niais, contribuable asservi, citoyen inculte, prolétaire ignorant, soldat bestial, mougeon confiné, plus privé de droits qu'un serf...). Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation (sic, encore un mot emprunté à la liturgie catholique...) qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi.» (Vincent Peillon, franc-maçon et... ministre de la république française)