vendredi 10 avril 2015

François Asselineau et l'UPR

François Asselineau, Président de l’UPR (Union Populaire Républicaine), a été candidat à l’élection du Président de la République française en 2012.
Le samedi 3 décembre 2011 à Nogent-sur-Marne il a dévoilé son programme politique présidentiel pendant plus de 5 heures. Il a proposé le programme le plus puissant depuis 1958, le vrai programme présidentiel que tous les Français attendent.
L’UPR est un mouvement digne et loyal qui veut rendre à la France son indépendance et sa démocratie.

"La crise dans laquelle la France s’enfonce depuis des années est désormais si grave que nous devons procéder à une rupture complète et décisive. Nous devons le faire de façon sereine et réfléchie, mais déterminée et courageuse. Cette rupture est totalement incompatible avec les oppositions de complaisance qui critiquent l’Europe mais refusent de regarder la réalité en face : la construction européenne n’est pas la solution, c’est le problème.
Voulant redonner toute son actualité au programme du Conseil national de la Résistance de 1944, je propose aux Français de se rassembler, quelles que soient leurs convictions politiques ou religieuses et leurs origines ethniques ou sociales, afin de rendre à la France sa liberté et sa démocratie. Cela impose en premier lieu de dénoncer juridiquement les traités européens, de sortir de l’UE et de l’euro, de sortir de l’OTAN et de soustraire l’économie, les services publics et les médias à la mainmise des féodalités privées.
J’assortis ces choix décisifs de toute une panoplie de réformes institutionnelles, économiques, monétaires, sociales, militaires, diplomatiques, culturelles et éthiques qui sont à des années-lumière des programmes de tous les autres candidats.
C’est à vous d’en juger."

Le Programme politique de l’UPR :  http://www.upr.fr/programme-politique



Le site du parti politique UPR : http://www.upr.fr/

L’article 50 du traité sur l’Union européenne
1. Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.
2. L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union. Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Il est conclu au nom de l’Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.
3. Les traités cessent d’être applicables à l’État concerné à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l’État membre concerné, décide à l’unanimité de proroger ce délai.
4. Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant l’État membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil qui le concernent.
La majorité qualifiée se définit conformément à l’article 238, paragraphe 3, point b), du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne.
5. Si l’État qui s’est retiré de l’Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l’article 49.

Qu'en pensent Etienne Chouard et Nicolas Dupont-Aignan ?

Etienne Chouard, l'UPR et l'article 50 du TUE : https://youtu.be/CzzEu2VnRmw

Le délégué de l'UPR Meurthe et Moselle Clément Manenti est venu à la rencontre d'Etienne Chouard le 25 Janvier 2014 pour parler de l'Union Européenne et des lois en vigueur qui font que, selon lui, même si la proposition d'Assemblée Constituante des Gentils Virus est louable, cette dernière sera inapplicable au sein de l'Union Européenne.




M. Dupont Aignan, parlons de l'article 50 - réponse de l'UPR : https://www.youtube.com/watch?v=xioFphnmec0



Ce François Asselineau m'apparaît de plus en plus sympathique ... et curieusement, il n'a pas d'article qui lui est consacré en français dans Wikipédia alors qu'il y est décrit dans 18 autres langues dont l'anglais (troublant, non ?) : http://en.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Asselineau

2 commentaires:

Je a dit…

Je ne trouve pas très élégant ces incrustations de commentaires sardoniques à l'encontre de Nicolas Dupont-Aignan, mais bon, passons.
J'entends là deux souverainistes : l'un, Nicolas Dupont-Aignan, veut redonner la souveraineté monétaire à la France (en sortant de l'euro), l'autre, François Asselineau, veut redonner une souveraineté complète à la France.
Je découvre François Asselineau et, bien que ce soit plus inquiétant de sortir de l'Union Européenne que de simplement sortir de l'euro, j'avoue que Nicolas Dupont-Aignan n'est pas très convaincant quand il prétend pouvoir faire changer d'avis quelques-uns des 27 autres pays, simplement en discutant avec leurs chefs d'Etat.

Je a dit…

Etienne Chouard présente François Asselineau comme l'un des plus grands spécialistes du droit constitutionnel européen.
Et effectivement, François Asselineau est convaincant quand il parle du droit international et de l'histoire des traités européens.