Le professeur Jean-Bernard Fourtillan est sorti de prison (la Prison de la Santé est en face de la Fondation Rothschild, dans le 14ᵉ arrondissement de Paris) après 3 mois d'internement, le 12 juillet 2021 ... le même jour que le discours hallucinant du président de la République Emmanuel Macron.
Ensuite, il a accordé un entretien à Richard "Ricardo" Boutry dans lequel il a dit cette phrase lourde de sens : "C'est l'armée qui m'a libéré." Ajoutant même : "Le bracelet électronique que j'ai c'est un leurre pour faire croire aux autres que je suis surveillé" ...
https://www.laminutedericardo.com/LMDR/urgent-interview-exclusive-du-professeur-fourtillan/
Voilà une déclaration qui "passe crème" dans le narratif Q.
Une Alliance militaire internationale s'apprête-t-elle à prendre le pouvoir ? il faut noter que la République française dispose d'un nouveau chef d'État-major des armées depuis ... hier (21 juillet 2021).
Si cela arrive, c'est-à-dire que l'armée dépose le président "élu" Emmanuel Macron, et que la même chose se passe aux États-Unis, où l'armée pourrait déposer le président "élu" Joe Biden pour remettre Donald Trump à la Maison Blanche, il faudra se poser la question : est-ce pour le bien du peuple ou est-ce un coup d'état militaire (une arnaque de plus) au service des mondialistes ?
En attendant, voilà le portrait du nouveau chef d'État-major des armées, le général Thierry Burkhat, réalisé par France Inter (https://www.franceinter.fr/politique/thierry-burkhard-un-nouveau-chef-d-etat-major-des-armees-dans-un-contexte-charge).
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Après quatre années à la tête des armées, le général François Lecointre leur a fait ses adieux mardi 20 juillet 2021. Il laisse sa place au nouveau chef d'État-major des armées, Thierry Burkhard.
De la même génération que son prédécesseur, le général Burkhard, qui était jusqu'à présent chef de l'armée de Terre, connaît bien le terrain, l'institution et les arcanes du pouvoir.
À bientôt 57 ans, Thierry Burkhard est donc d'abord homme de terrain. Après l'école militaire de Saint-Cyr, il débute sa carrière dans la Légion étrangère en passant par le 2e Régiment de parachutiste. Il part en Guyane, en Irak, en ex-Yougoslavie, au Tchad, au Gabon, en Côte d'Ivoire et en Afghanistan.
Ce père de famille connaît également le milieu de la politique et de la communication. Porte-parole de l'État-major de 2010 à 2013, il rejoint ensuite pour deux ans l'équipe du coordonnateur national du renseignement.
Des atouts pour cet officier général qui va devoir orchestrer, dès le début de sa prise de fonction, la réduction de moitié des troupes françaises au Sahel. Une tâche complexe qui demande à la fois de sécuriser le départ des soldats français et de faire monter en puissance la force militaire européenne Takuba.
En parallèle, le nouveau chef d'État-major des armées devra continuer de préparer l'avenir. Une vision des conflits de demain, qu'il prédit - comme son prédécesseur - plus durs et plus complexes.
Alors que certains pays reprennent la course à l'armement, et que l'on observe une multiplication des provocations comme dernièrement, en Méditerranée orientale, d'autres théâtres d'opérations attendent les armées.
Espace, cybersécurité, fonds marins, réseaux sociaux, guerre informationnelle... tout cela fait aussi partie des affrontements de demain. Le général Burkhard devra également poursuivre le chantier de la modernisation du matériel, avec notamment l'intégration des robots et de l'intelligence artificielle à l'horizon 2040.
Une feuille de route bien remplie, en pleine campagne présidentielle.
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