Certains dissidents veulent rester pacifiques et d'autres veulent emprunter la voie de la résistance, avec des actions de sabotage matériel ou des intimidations sur des personnes physiques.
Certains veulent rester légalistes et continuent de croire aux démarches judiciaires ou aux élections, allant même jusqu'à tenter de briguer le poste de président de la République, comme François Asselineau ("François Asselineau en 2 minutes !" : https://www.youtube.com/watch?v=jzhKXRYIK-w).
Certains signent des pétitions pour demander aux dirigeants corrompus d'arrêter leur folie meurtrière.
D'autres manifestent, soit en respectant la loi (déclaration en préfecture pour demander l'autorisation d'être en colère) soit en participant à des manifestations spontanées (comme les "gilets jaunes"), avec ou sans débordements (bien qu'on sache qu'une part non négligeable soit du fait d'infiltrés pour ne pas dire de policiers).
Enfin, certains boycottent, choisissent des voies alternatives pour consommer, construisent un réseau d'entraide indépendant le plus possible de l’État tentaculaire.
Quelle que soit la voie choisie, quel que soit le moyen utilisé, il ne faut pas oublier l'objectif final. La non-violence a toujours eu besoin de la violence pour triompher du despote. Peter Gelderloos l'explique dans son ouvrage "Comment la non-violence protège l’État - Essai sur l’inefficacité des mouvements sociaux" (https://justemonopinion-jeronimo.blogspot.com/2018/09/comment-la-non-violence-protege-letat.html)
Bien que non-violent moi-même, je ne critiquerai donc pas les violents car j'appelle à la convergence des luttes. J'en ai marre de la propagande qui n'a pour but que de diviser le peuple des électeurs-contribuables-consommateurs pour le seul et unique profit des grands propriétaires, ceux qui possèdent le Capital, les banques, et qui vivent du travail des autres, en immondes parasites sociaux.
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