Le monde, et nos institutions sont malades ! Cette évidence, qui n’apparaissait clairement qu’à un tout petit nombre de spécialistes il y a encore dix ans est maintenant – à la faveur de l’hystérie covidique – sous les projecteurs ; plus personne ne peut l’ignorer.
Le constat – que j’ai fait depuis plus d’une décennie – est que le monde politique, économique, monétaire, juridique et sociétal est organisé autour de la satisfaction exclusive des intérêts d’un petit nombre d’individus cachés derrière l’anonymat et que l’on peut désigner comme étant les « grands argentiers » de la planète.
La mise en place de cette hégémonie financière s’est faite à la faveur de l’imposition du droit anglo-saxon et du capitalisme (d’origine hollando-britannique), deux armes redoutables permettant de rendre anonyme les responsables réels, de leur retirer toute responsabilité juridique et pénale, en mettant en place des leurres, des hommes de pailles et des structures opaques qui s’entassent les unes au-dessus des autres, pour finir à l’abri des paradis artificiels (paradis fiscaux) contrôlés par ces grands argentiers. Ainsi libérés d’avoir à rendre des comptes, les dominants financiers ont pu, en toute impunité, organiser l’accaparement légal des ressources de la planète ; étant précisé qu’à leurs yeux, le « vivant » est une « ressource », au même titre que les biens matériels.
Vous trouverez les détails de ce très bref résumé dans les multiples travaux que j’ai entrepris depuis que j’ai engagé ma thèse, en 1995 ; travaux que j’ai commencé à publier de façon systématique au début de 2016.
L’heure est maintenant à la reconstruction !
Après plus de vingt ans de recherches indépendantes (une centaine d’articles, quatre ouvrages, conférences, de multiples vidéos et autres participations à des émissions) sur les sujets de l’entreprise, du droit, et des institutions, c’est-à-dire après plus de vingt ans de recherche sur l’origine, les moyens et la narrative du pouvoir, je suis en mesure de vous proposer une réforme en profondeur de l’État et du fonctionnement politique de notre Société.
Pour comprendre cette réforme, je vous invite :
- A lire la Charte des valeurs intangibles de la France. Le contraste avec la réalité dans laquelle nous vivons collectivement offre une parfaite présentation du caractère indispensable de cette réforme.
- A regarder attentivement les deux schémas de l’État que je présente : 1°) l’État actuel, sous contrôle financier, que je désigne du terme de financiariste
et 2°) l’État vers lequel nous devons tendre pour retrouver le chemin de la civilisation, que je désigne du terme « d’État politique »
. L’État financiariste est intégralement voué, depuis son origine et quel que soit son nom, à la satisfaction des intérêts financiers supérieur. Ce type d’État, fondé sur la double supercherie du parlementarisme représentatif et d’une pseudo séparation des pouvoirs (qui est en réalité une dissolution du pouvoir politique) est une pure imposture politique ; il est vicié dès l’origine et donc structurellement inapte à instaurer une démocratie ; il est, en réalité, la mise en forme institutionnelle et systémique d’une ploutocratie. Cet État doit être abandonné au profit d’une reconstruction politique donnant une véritable représentation politique aux différents intérêts qui traversent la Société (Cf. État politique).
- A lire les trois articles qui détaillent le fonctionnement de l’État politique ; étant précisé que ces articles ont été publié pour la première fois en 2018.
- A regarder les deux vidéos de septembre 2020 dans lesquelles j’expose et démystifie pour vous le fonctionnement de notre État financiariste et les raisons impératives qu’il y a à changer de régime politique.
- A lire l’article récemment publié intitulé « De l’État profond au nouvel ordre mondial », qui est la version écrite et plus détaillée d’une interview de TV Libertés, diffusée le 15 mars 2020, lors de l’émission Politique & Eco n°291.
EMPAREZ-VOUS DE CES TRAVAUX, ils vous appartiennent, je les ai réalisés POUR VOUS, ils SONT à VOUS…
Bonne lecture
Valérie Bugault
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire