Nous entrons dans la phase vitale de "révolte des nations" annoncée par Alain Soral en sous-titre de son livre "Comprendre l'Empire" (2011) : "Demain la gouvernance globale ou la révolte des Nations ?".
Actualisons, reformulons : Aujourd'hui la gouvernance globale ou la révolte des Nations ?
Face au danger d'extermination que court l'humanité, il faut une convergence des luttes et surtout viser l'efficacité !
Nous n'en gardons pas moins des opinions différentes ou volontés très variées en ce qui concerne la société de l'après-révolte des nations.
Mais quoi qu'il en soit, il faut abattre ce pouvoir totalitaire et génocidaire que les banquiers (Rothschild en Europe, Rockefeller et confrères en Amérique) sont en train d'installer de façon accélérée.
Pour la première fois depuis que je suis entré dans la dissidence, des propositions concrètes (notamment à partir de la 40ème minute) ont été formulées par quelqu'un qui semble maîtriser son sujet : Rémy Daillet-Wiedemann : https://videos.files.wordpress.com/ZVUESPqK/rskdqdlvorro_hd.mp4
Ceci étant dit, il y a des points qui m'ont alerté puisqu'il préconise :
- de se sacrifier pour un chef
- et la mise en place d'un roi ou d'une régence.
Je devine l'idéologie qui porte ce mouvement : catholique traditionnel, royaliste, volonté de retour à 1750. Je ne partage pas ces valeurs (mes arrières-grands-parents et mon grand-père paternel ayant été les serfs d'une comtesse en Espagne jusque dans les années 1920).
Mais je dois reconnaître que la méthode préconisée me semble efficace.
Pour l'instant, l'ennemi de mon ennemi peut/doit être considéré comme mon ami.
Je demeure anarchiste et je ne pense pas que j'aimerai la société monarchique "façon 1750 modernisée" à laquelle aspire cet homme. Mais la Résistance de 1940-1945 contre l'occupant allemand comprenait aussi des courants contradictoires (communistes, socialistes SFIO, maurassiens).
Je pense sincèrement qu'il faut rejoindre l'un d'eux et s'unir le temps de chasser les ennemis des peuples à savoir : les banquiers pédocriminels (sans oublier la noblesse noire).
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