jeudi 29 octobre 2020

Ceci était partagé dès le 3 octobre. Vous comprenez pourquoi on doit parler de PLANdémie ?

 

Bon, voilà les amis, ça se confirme.
Les fuites dont j'ai eu connaissance au début du mois, que j'ai publiées et republiées ici vont sans doute se voir confirmées par l'actualité. Nous sommes d'ores et déjà face à l'option (ce soir la proclamation ?) d'un reconfinement prévu de longue date.
Il va nous être annoncé avec pour motif le fait que les derniers chiffres ) sont tellement alarmants qu'on ne peut faire autrement.
Comme cela était éminemment imprévisible (des mesures étant prises pour empêcher cela), la confirmation des fuites nous permet de conclure qu'il s'agit d'un mensonge.
Tout a été organisé à l'avance, notamment la mayonnaise de la peur basée sur des statistiques et des discours criminellement mensongers.
Le confinement auquel on nous promettait la main sur le cœur de ne jamais revenir est de nouveau à l'ordre du jour et, par les dégâts abominables qu'il va occasionner, nous disposera à une vaccination qu'on voudrait volontaire mais qui sera peut-être aussi obligatoire si les masses apparaissent suffisamment dociles.
Outre la complicité de tous ceux qui savent et se taisent (ceux qui ont reçu les infos sur la date du confinement à l'avance et comprennent donc qu'il s'agit donc d'une PLANdémie), le silence de la plupart des médecins aussi (à l'exception de nos vaillants mousquetaires Raoult, Peronne, Toussaint & Toubiana et quelques autres qui me pardonneront de ne pas les citer nommément), je suis surtout choqué par le silence des psychologues. Pas les cliniciens qui ne voient que des individus. Non, je parle des chercheurs en psychologie sociale qui SAVENT que nous avons là, sous les yeux, la plus belle campagne de propagande jamais organisée. A une telle échelle, mondiale, avec tous les organismes internationaux de la partie, c'est proprement inouï. C'est vrai que ça a de quoi faire peur et si on tient à sa position institutionnelle, académique, on la ferme. Il suffit de voir les misères que l'on fait déjà à nos mousquetaires sus-mentionnés.
Bref, bon courage à tout le monde. Maintenant vous savez. On nous mène en bateau. Depuis le début, cela va de soi, depuis même dix ans au moins puisque l'épisode du H1N1 était juste une tentative ratée faute d'une létalité suffisante pour faire peur.
 

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