Patriote Info : L’article qui suit est une analyse d’un article du journal The Economist détenu par les Rothschild pour communiquer avec les élites mondialistes à leur service. L’article en question date de 2017, après l’élection de Trump, mais est encore plus d’actualité aujourd’hui.
Rothschild : Donald Trump menace de détruire le nouvel ordre mondial, pour de bon
Ne sachant pas pourquoi le président Trump a été élu, les Rothschild ont utilisé leur porte-parole médiatique mondialiste pour déclarer que le président Trump menace de détruire le nouvel ordre mondial, pour de bon. Outil de propagande du mondialisme et publication familiale des Rothschild, The Economist a qualifié le président américain de « danger actuel » pour le « Nouvel Ordre Mondial », et a déclaré que les « internationalistes » qui l’ont formé « tournent dans leur tombe ».
« The Economist qualifie Trump comme la plus grande menace pour le Nouvel Ordre Mondial
« libéral » au-dessus d’autres menaces légitimes telles que le
djihadisme et le terrorisme, l’expansion de la Chine communiste et
l’hostilité de la Corée du Nord ».
Le plus grand danger à l’heure actuelle est peut-être le fait d’avoir un
président américain qui méprise les normes internationales, qui dénigre
le libre-échange et qui flirte continuellement avec l’abandon du rôle
essentiel de l’Amérique dans le maintien de l’ordre juridique mondial »,
écrit The Economist.
« L’ordre international fondé sur des règles qui a émergé des
décombres de la Seconde Guerre mondiale a constitué une énorme
amélioration par rapport à toutes les époques précédentes », affirme
l’article. « Pourtant, l’internationalisme libéral est aujourd’hui
attaqué de plusieurs côtés. La doctrine « America First » de Donald
Trump la répudie explicitement : « The Economist décrit la façon dont
l’administration Trump voit la scène mondiale, en citant un article
écrit par deux de ses conseillers dans un éditorial du Wall Street
Journal.
Le monde n’est pas une « communauté mondiale », mais une arène où les
nations, les acteurs non gouvernementaux et les entreprises s’engagent
et se font concurrence pour obtenir des avantages ».
H.R. McMaster et Gary Cohn ont écrit « Nous apportons à ce forum une
force militaire, politique, économique, culturelle et morale inégalée.
Plutôt que de nier cette nature élémentaire des affaires
internationales, nous l’adoptons ».
The Economist fait ensuite l’étrange affirmation que, bien qu’il soit
directement responsable de nombreuses guerres et de tentatives de coup
d’état déstabilisatrices dans le monde, le Nouvel Ordre Mondial est
« meilleur que toutes les autres alternatives ».
« Bien sûr, il y a encore beaucoup de guerres », affirme-t-il. D’une
certaine manière, le nouvel ordre mondial, qui a contribué à rendre les
guerres internationales beaucoup moins imaginables, a rendu possible,
par inadvertance, un plus grand nombre de guerres « intranationales ».
« Des pays fraibles et fragiles qui auraient auparavant craint d’être
conquis par des voisins plus puissants peuvent maintenant être la proie
de guerres civiles ou d’insurrections brutales sans que les mauvais
acteurs ne craignent de perdre le territoire national qu’ils cherchent à
contrôler ». Des groupes non étatiques, tels que l’État islamique
(appellation impropre), peuvent s’emparer, au moins pour un temps, du
territoire de gouvernements dysfonctionnels. « Les guerres bien
intentionnées mais mal conçues pour changer des régimes odieux ont
parfois mal tourné », conclut le magazine en affirmant que les
architectes du Nouvel Ordre mondial du passé « doivent se retourner dans
leur tombe », compte tenu du chemin parcouru par Trump et qu’il doit être démis de ses fonctions pour préserver le Nouvel Ordre mondial.
Patriote info : A propos de The economist, au mois de Mai 2020, alors qu’il y avait pénurie de masques, nous avions fait un article sur la couverture du numéro de The economist qui nous avait interpellé. Une vidéo publicitaire avait été créée pour l’occasion par le journal. Elle prend tout son sens à la lumière des masques que l’on nous force à porter aujourd’hui. Les Rotschilds sont explicites, il s’agit bien de contrôler les populations et les gouvernements avec un virus tout aussi « contrôlé ».
Le roquet qui aboie = les peuples ;
L’homme masqué = les gouvernements ;
La main invisible qui tient les gouvernements = les mondialistes.
Le slogan ne peut pas être plus clair : «Tout est sous contrôle : Les gouvernements, la liberté (des peuples) et le virus»
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire