dimanche 29 mars 2020

Les secrets de la Réserve Fédérale

La plupart des gens, aux États-Unis, en Europe et dans le reste du monde, pensent que les dollars en circulation sont créés par le gouvernement américain. Que le nom de « Réserve Fédérale », mentionné sur chaque billet, désigne une administration gouvernementale. Or, il n'en est rien : la « Réserve Fédérale » est une institution privée, possédée par des banques commerciales. Ce livre, traduit pour la première fois en français, a représenté quarante années de travail pour son auteur. C est probablement un des ouvrages les plus importants du XX° siècle. C est le seul livre brûlé en autodafé, par décision de justice, en Europe après 1945. C est une enquête minutieuse, servie par l'honnêteté et la compétence. C'est, aussi et surtout, une révélation sur la manière dont fonctionne réellement le monde, depuis un siècle. Dans ce livre vous apprendrez, entre autres choses, que : Le système de la Réserve Fédérale n'est pas fédéral. En outre, il ne possède pas les moindres réserves. C est un syndicat d émission monétaire, dont les membres se sont octroyé le privilège exorbitant de fabriquer l argent que vous gagnez durement. Sans ce système, il est très probable que les deux guerres mondiales n auraient pu être ni déclenchées, ni financées. Et surtout, vous apprendrez, que, pour citer Henri Ford, un grand capitaine d'industrie et un VRAI américain : « L'unique objectif de ces financiers est le contrôle du monde par la création de dettes inextinguibles. » Des mots qui, à l heure actuelle, prennent une actualité brûlante...





Sourcehttps://www.babelio.com/livres/Mullins-Les-secrets-de-la-Reserve-Federale/325017

Commentaire d'une lectrice

En 1952, l’ouvrage fut finalement publié par deux autres disciples de Pound, John Kasper et David Horton, sous le titre Mullins on the Federal Reserve. Dans le livre, l’auteur exposait la thèse d’une conspiration comprenant Paul Warburg, Edward Mandell House, Woodrow Wilson, J.P. Morgan, Benjamin Strong, Otto Kahn, les familles Rockefeller et Rothschild, et d’autres banquiers européens et américains, et ayant abouti à la fondation du système de Réserve fédérale américaine. Mullens argumente que la loi portant création de la Réserve fédérale (la Federal Reserve Act) de 1913 est en contradiction avec l’article 1, section 8, paragraphe 5 de la Constitution des États-Unis en ce qu’elle institue pour les États-Unis une « banque centrale d’émission » placée sous la domination de banquiers internationaux et habilitée à définir les taux d’intérêt américains. Mullins en vient à affirmer que la Première Guerre mondiale, la crise agricole de 1920 et la Grande Dépression de 1929 avaient été provoquées par des intérêts financiers internationaux dans l’espoir de tirer profit du conflit et de l’instabilité économique. Mullins rappelle par ailleurs l’opposition obstinée de Thomas Jefferson à l’établissement d’une banque centrale aux États-Unis.

Dans une nouvelle édition mise à jour parue en 1983 et réintitulée Secrets of the Federal Reserve, Mullins affirme que Kuhn, Loeb & Co et la banque Morgan étaient des prête-nom des Rothschild. Il soutient que des intérêts financiers liés à la compagnie J. Henry Schroder et aux frères Dulles ont financé Adolf Hitler (contredisant sur ce point les déclarations de Pound pour qui Hitler fut un chef d’État souverain et dédaigneux de la finance internationale)25. Il qualifie les Rothschild « de monopolistes mondiaux » et affirme que les banquiers de la Cité de Londres étaient les propriétaires de la Réserve fédérale, attendu qu’ils détenaient une grande part des avoirs des banques qui étaient membres de la Réserve fédérale. Mullins s’est attaché à reconstituer la détention des actions dans la Réserve fédérale, au fur et à mesure que celles-ci changeaient de mains par le biais de fusions et d’acquisitions, depuis les commencements de la Réserve fédérale en 1913 jusqu’au début des années 198026.

Dans le dernier chapitre du livre, Mullins mentionne plusieurs investigations menées par le Congrès et critique l’immense pouvoir dont disposent ces quelques banques qui détiennent des participations majoritaires dans la Réserve fédérale. Il attaque également le groupe Bilderberg, le dénonçant comme un consortium international issu de l’alliance entre les Rockefeller et les Rothschild. Dans un appendice, il se penche plus avant sur la Cité de Londres, et cible l’Institut Tavistock (Tavistock Institute of Human Relations), dont il affirme qu’il contribue à mener une guerre psychologique contre les citoyens britanniques et américains.

Un thème central de l’ouvrage de Mullins est que la Réserve fédérale permet aux banquiers de monétiser la dette, ceux-ci pouvant en effet la créer à partir de rien, par un simple jeu d’écriture, grâce à quoi ils possèdent un énorme potentiel spéculatif sur l’ensemble des citoyens. Vers la fin de l’ouvrage, il souligne que le système de la Réserve fédérale :

« ne détient pas de réserves, et ne constitue pas un système, mais plutôt une association de malfaiteurs. Elle est le produit de l’activité mafieuse d’un consortium international de familles dynastiques englobant ce que l’auteur dénomme « l’Ordre mondial » (The World Order). Le système de la Réserve fédérale est une banque centrale opérant aux États-Unis.


Sourcehttps://www.babelio.com/livres/Mullins-Les-secrets-de-la-Reserve-Federale/325017

Aucun commentaire: