Dire la vérité est un acte de
courage. Pour les médecins qui ont fait le serment d’Hippocrate, c’est aussi un
devoir en matière de santé.
Certains en sont capables et
prennent tous les risques, même dans la plus grande adversité. La grande
majorité d’entre eux reste toutefois soumise à l’autorité de l’Ordre des
Médecins. Cet instrument créé par Pétain afin de servir le pouvoir se retrouve
à présent, logiquement, sous l’emprise de l’industrie pharmaceutique comme des grands
acteurs de l’économie néolibérale.
Aux nuisances déjà bien connues de
cet Ordre est venu s’ajouter dernièrement la gestion désastreuse de la crise
Covid. Alors qu’elle est connue depuis 70 ans, a été consommé par 2 milliards
de personnes, était en libre accès et même prescrite aux femmes enceintes dans
des protocoles expérimentaux, l’hydroxychloroquine s’est vue classée substance vénéneuse
puis interdite de prescription — fait
unique dans le monde —
alors que la France battait tous les records de létalité pour le coronavirus. L’Ordre
des Médecins a pesé de tout son poids pour soutenir cette politique criminelle
et fait à présent la chasse aux médecins résistants.
L’odieuse dictature mercantile de
la santé n’est plus tolérable. Pour s’en débarrasser, la première étape
consiste à exprimer son refus d’un tel assujettissement à des objectifs purement
financiers. Pour nos soignants et, donc, pour toute la population, l’Ordre des
médecins doit être dissous, immédiatement.
Une fois libérés de la tutelle d’un
Ordre sclérosé et failli, il appartiendra à l’ensemble des médecins d’instaurer
une organisation authentiquement démocratique et respectueuse du serment d’Hippocrate,
donc de l’intérêt du public ; sous la surveillance duquel elle aura à se
placer, conformément aux principes de la démocratie.
Rien de cela ne pourra être
accompli tant que durera l’emprise de l’Ordre des médecins. Son histoire
récente le prouve suffisamment, il n’y a rien à sauver, il doit être dissous définitivement.
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