vendredi 11 septembre 2020

Pour la liberté de parole et de soins de nos médecins : dissolution immédiate de l'Ordre des médecins !

 Dire la vérité est un acte de courage. Pour les médecins qui ont fait le serment d’Hippocrate, c’est aussi un devoir en matière de santé.

Certains en sont capables et prennent tous les risques, même dans la plus grande adversité. La grande majorité d’entre eux reste toutefois soumise à l’autorité de l’Ordre des Médecins. Cet instrument créé par Pétain afin de servir le pouvoir se retrouve à présent, logiquement, sous l’emprise de l’industrie pharmaceutique comme des grands acteurs de l’économie néolibérale.

Aux nuisances déjà bien connues de cet Ordre est venu s’ajouter dernièrement la gestion désastreuse de la crise Covid. Alors qu’elle est connue depuis 70 ans, a été consommé par 2 milliards de personnes, était en libre accès et même prescrite aux femmes enceintes dans des protocoles expérimentaux, l’hydroxychloroquine s’est vue classée substance vénéneuse puis interdite de prescription — fait unique dans le monde — alors que la France battait tous les records de létalité pour le coronavirus. L’Ordre des Médecins a pesé de tout son poids pour soutenir cette politique criminelle et fait à présent la chasse aux médecins résistants.

L’odieuse dictature mercantile de la santé n’est plus tolérable. Pour s’en débarrasser, la première étape consiste à exprimer son refus d’un tel assujettissement à des objectifs purement financiers. Pour nos soignants et, donc, pour toute la population, l’Ordre des médecins doit être dissous, immédiatement.

Une fois libérés de la tutelle d’un Ordre sclérosé et failli, il appartiendra à l’ensemble des médecins d’instaurer une organisation authentiquement démocratique et respectueuse du serment d’Hippocrate, donc de l’intérêt du public ; sous la surveillance duquel elle aura à se placer, conformément aux principes de la démocratie.

Rien de cela ne pourra être accompli tant que durera l’emprise de l’Ordre des médecins. Son histoire récente le prouve suffisamment, il n’y a rien à sauver, il doit être dissous définitivement.

C’est la mesure prioritaire que nous, citoyens signataires, en tant qu'émanation directe du peuple souverain exigeons de prendre sans délai afin de libérer le système de santé des entraves à sa rénovation et de restaurer au plus vite la confiance que la nation doit avoir en lui.

Aucun commentaire: