Il n'y a que la vérité qui fâche.

En début de semaine, je me faisais "recadrer" par l'administrateur sur le forum Ronkozé, dont j'étais pourtant l'un des modérateurs, parce que je dénonçais une troll à l'un des contributeurs les plus pertinents.

L’auteure que tu recadres est clairement un « troll », méprisable, qui sabote le site [...].

Celle-ci articule sa rhétorique mécaniquement, toujours de la même façon, pour s’attaquer aux lanceurs d’alerte :

• « ce n’est pas une preuve » (effectivement, les preuves on ne les a souvent que 50 ans après, minimum) quand on présente des éléments d’information partiels
• et quand, malgré tout il y a des preuves (par exemple un flagrant délit de conflit d’intérêt, de corruption ou carrément des textes historiques, des aveux), c’est la tentative de dénigrement : « extrême-droite », etc.

Outre son travail de diffamation vis-à-vis des lanceurs d’alerte (et donc de défense systématique du gouvernement, des multinationales et des banques), il y a celui consistant à orienter les dissidents vers des causes de l’opposition contrôlée (« antiracisme » sauf vis-à-vis des blancs, etc.) ; tout ce qui peut diviser les dissidents et/ou les détourner des sujets vraiment importants.

C’est ce qu’on appelle un-e « chien-ne de garde du système ». 

Je n’ai aucun doute sur le fait qu’elle soit payée pour faire cela. Je me demande simplement si c’est par « La France Insoumise » et/ou une autre organisation (franc-maçon ?).[...]

 

Aujourd'hui, c'est au tour du "réseau social" qui compte le plus de participants dans le monde (entre 2 et 3 milliards), Facebook, de me censurer à nouveau (mon compte précédent ayant été définitivement bloqué) pour le commentaire suivant :

[...] Aux armes citoyens ! Contre ces réseaux pédocriminels de banquiers et aristocrates psychopathes.

 

Je prends ces censures comme un compliment. Car je pense que la censure tombe à chaque fois qu'on s'approche de la vérité, qu'on pointe du doigt les responsables, qu'on ôte les masques. Ceux qui s'offusquent ont été touchés de plein fouet.

"Il n'y a que la vérité qui fâche", dit le proverbe.