jeudi 5 novembre 2020

Qui est ce Rémy Daillet-Wiedemann qui se propose de "renverser le gouvernement français" ?

Voici comment il se présente sur https://polemique.roman-livre.com/son-cv/

Rémy Daillet-Wiedemann se propose de rendre la France au peuple, il a plusieurs activités par ailleurs.

Mais qui est-il ? Un citoyen ordinaire, que personne ne peut accuser de la moindre histoire malhonnête ou d’appartenir à une organisation, secte, loge, ou d’agir pour le compte de quiconque.

Il a fait plus de 30 métiers dont chronologiquement : projectionniste de cinéma (17 ans), écrivain, petit personnel de restaurant (Tokyo), prof particulier de français, agent consulaire, comédien post-synchro, engagé volontaire dans la résistance croate, journaliste, chef d’entreprise import-export, entrepreneur de travaux, hôtelier, gérant de société, maraîcher, viticulteur, restaurateur, responsable d’exploitation sécurité, politique, convoyeur de fonds, responsable ressources humaines, blogueur pro, éducateur, conteur, chef d’entreprise ...

Il peut vous aider à quitter l’école de votre enfant, voici d’ailleurs 10 raisons de ne plus mettre votre enfant à l’école (il a répondu personnellement en vidéos courtes à plus de 28.000 personnes !). Il anime également divers blogs racontant des histoires aux enfants par exemple, ou permettant de dégager des revenus en-dehors du marché classique du travail (de la survie). Cela fait donc longtemps qu’il aide les familles et les parents à améliorer leur existence.

Maintenant, trop c’est trop et comme tous ceux qui essaient d’améliorer les choses, il constate que l’ensemble s’écroule quand même.

Il lui était donc devenu impératif de déclarer la guerre au système. Voilà pourquoi il en est là aujourd’hui.

Un journaliste a fait cette note il y a quelques années :

Daillet-Wiedemann (Rémy). Né le 14 août 1966 à St-Cloud. 5ème Fils de Jean-Marie Daillet [1]. Etudes à St-Lô (Manche), Paris (Institut des Langues-Orientales, American Center), Tokyo (Université Waseda). Maitre es-Langues Orientales, diplôme de l’Université Franco-japonaise. Il parle le Japonais (a vécu à Tokyo en 1988-1989), l’Anglais et l’Espagnol. Il a été comédien et fait de la post-synchronisation (doublage des films étrangers) spécialité qui se confirmera dans le monde diplomatique puisqu’il se fera un porte-parole officieux du Quai d’Orsay auprès de certains pays de l’Est. En 1990, il cherche en vain à rejoindre Michel Aoun au Liban, puis la Lituanie en janvier 1991 (date de la tentative de reprise de la capitale par les spetznats russes). Peu après le déclenchement des hostilités en Slovénie, il part s’engager au sein de la Résistance croate (HVO) et émaille les rubriques de l’AFP. Il refuse la Valeur Militaire Croate qui lui est proposée par l’Etat-Major de guerre. A son retour, il témoigne de la cruauté de ce conflit menaçant aux portes de l’Europe et crée une association en soutien et en faveur de la reconnaissance des indépendances (Slovénie, Croatie, Bosnie-Herzégovine). A sa suite, (…).

Rémy Daillet a rencontré plusieurs chefs d’État et chefs de gouvernements.
R. D. désigne Stipe Mesic aux autorités françaises comme présidentiable lors de sa visite à Paris en 1994; mais ni Mitterrand, ni Balladur (alors ministre de la cohabitation) n’acceptent de recevoir le négociateur de Genève (l’ancien président de la fédération accompagnait la scission de la Yougoslavie). Son amitié et ses engagements antérieurs privilégieront R. D. auprès du gouvernement croate lors de l’élection effective de Mesic à la Présidence, succédant à Tudjman en janvier 2000.
Après avoir interrompu ses parcours parisiens à la suite des inondations de Vaison-La-Romaine, il se consacre à la restauration d’un bien familial durant 8 ans. Chef d’entreprise et rédacteur de courriers d’associations, R. D. décroche le Grand Prix de la Renaissance Aquitaine pour son roman « Reinhardt Tarkand ».

Il est issu du « sérail » démocrate-chrétien. Il est le petit-fils de Fernand Wiedemann-Goiran, Grand-Croix de la Légion d’Honneur et député de Paris ; arrière petit-fils de Gabriel Ferme, fondateur des laboratoires du même nom, président de la Chambre de Commerce de Paris (c’est lui qui déménagea la Bourse au Palais Brongniart). Il est également le neveu de l’écrivain Pierre de Boisdeffre, le « biographe des Académiciens ». Il a un nom et une famille figurant au Who’s Who et au Botin Mondin.

[1] : député français (1971-1991) (voir article le concernant), ancien ambassadeur, vice-président de la Commission de la Défense Nationale, Président de l’Internationale Chrétienne, ce démocrate et européiste convaincu fut l’une des éminences du gotha politique. Inspirateur de plusieurs lois (Loi dite Méhaignerie), quoique retiré de la vie politique, il peut encore se flatter d’ouvrir certaines portes. Parlementaire polyglote, c’est l’un des rares députés français à répondre aux radios de langues anglaises. Il fut en contact fréquent de nombreuses personnalités, notamment d’envergure mondiale, qui ont compté entre 1975 et 1995, tels Vaclav Havel, Lech Walesa, Michel Aoun, Samir et Bechir Gemayel… et divers chefs d’États. Apprécié pour sa capacité de travail par Giscard d’Estaing et ambassadeur à l’Est à la demande de François Mitterrand, il a été refusé plusieurs fois pour le portefeuille de ministre (par Simone Veil par exemple car il s’était opposé à elle en votant contre la loi de 1975 sur l’IVG) et a refusé une fois lui-même pour raisons familiales.

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