Voici le lien vers l'étude . Faites vous même votre opinion .
https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M20-6817
Rappelons
que cette étude réalisée au Danemark en avril et mai 2020 , visait à
mesurer l'effet protecteur à l'extérieur des masques chirurgicaux de
haute qualité ( masques chirurgicaux jetables à trois couches avec
boucles d'oreille (TYPE II EN 14683 [Abena]; taux de filtration, 98% ) .
Il ne s'agissait pas des "bouts de chiffons" sales qu'on se colle sous le menton !!!
En
dépit de réserves méthodologiques liées à l'impossibilité éthique de
conduire des études randomisées absolument rigoureuses quand est en jeu
la mort ou la maladie , ses conclusions sont claires.
Voici ce qu'elles disent :
« Le critère de jugement principal ( infection au SARS COV 2 ) est
survenu chez 42 participants (1,8%) dans le groupe masque et 53 (2,1%)
dans le groupe témoin.
Dans une analyse en intention de traiter, la
différence entre les groupes était de −0,3 point de pourcentage (IC,
−1,2 à 0,4 point de pourcentage; P = 0,38) (rapport de cotes [OR], 0,82
[IC, 0,54 à 1,23]; P = 0,33) en faveur du groupe masque .
Lorsque
cette analyse a été répétée avec l'imputation multiple pour les données
manquantes en raison de la perte de suivi, elle a donné des résultats
similaires (OR, 0,81 [IC, 0,53 à 1,23]; P = 0,32). »
Dans cet
essai contrôlé randomisé et communautaire mené dans un contexte où le
port de masque était rare et ne faisait pas partie des autres mesures de
santé publique recommandées , une recommandation de porter un masque
chirurgical à l'extérieur du domicile, entre autres, n'a pas réduit, aux
niveaux conventionnels de signification statistique, le risque
d'infection incidente par le SRAS-CoV-2 par rapport à l'absence de
recommandation de masque "
Non seulement les masques ne protègent pas des infections virales mais, pire, ils sont nuisibles pour d'autres infections :
Source : https://www.facebook.com/kevin.robin.1042032/videos/690570914984710
1 commentaire:
cette étude danoise [1] , effectuée entre avril et juin, sur 6 000 personnes réparties en deux groupes : 3 000 personnes avec masques, et 3 000 personnes sans, en conditions réelles.
Comme les résultats ne correspondent pas aux attentes de l’orthodoxie actuelle de la GTS, il a fallu le 13 novembre pour en voir sa publication dans une modeste revue.
Voici ses conclusions brutes : « L’infection par le CoV-2 du SRAS s’est produite chez 42 participants dont le masque était recommandé (1,8 %) et 53 participants témoins (2,1 %).
La différence entre les groupes était de -0,3 point de pourcentage. »
Pas de quoi fouetter un chat… !
Mais elle n''est pas la seule étude à relativiser l’intérêt des masques à faible protection tels que les masques chirurgicaux
Une étude californienne commandée et financée par l’UCSF (University Of California San Francisco), qui voulait démontrer une « Baisse des hospitalisations pour Covid-19 après l’imposition du port du masque dans 1083 comtés américains » [2] est retirée le 4 novembre, car une notable hausse des infections a pu être observée après son écriture, semblant l’invalider. Le port du masque généralisé et obligatoire n’a donc en rien empêché cette hausse qu’on qualifiera de « saisonnière ».
Le 29 octobre, un chercheur américain, Yinon Weiss, publie les résultats de ses recherches observationnelles dans The Federalist (3) : « Ces douze graphiques montrent que l’imposition du port du masque n’arrive en rien à arrêter la Covid ».
Et évidemment s'agissant des « bouts de chiffons » qu'on porte sous le menton là le diagnostic est pire : non seulement ils ne servent à rien mais ils sont dangereux !
[1] https://www.acpjournals.org/doi/10
[2] https://www.medrxiv.org/content/10.... – p-5
3] https://thefederalist.com/2020/10/2.
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