Qu'il s'agisse de phénomènes astronomiques (éruptions solaires, météorites), atmosphériques (émissions volcaniques) ou humains (guerre nucléaire, pollution, armes nouvelles), il ne faut pas écarter la possibilité de catastrophes de très grande ampleur.
Voilà comment Luc-Laurent Salvador envisage cette éventualité
(extrait de Entre « Prédictions » et « Notre Dame de l’Apocalypse » : récit d’une (re)conversion https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/entre-predictions-et-notre-dame-de-54275)
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1. à quoi nous préparer ?
2. comment nous préparer ?
3. pour quelle suite ?
1. Ce
que me font craindre les écritures et les différents messages de la
Vierge que le livre Notre Dame de l’Apocalypse résume très bien, c’est :
a. La perte des connaissances [3] humaines engrammées dans les ordinateurs qui pourrait être causée par :
i. Une
puissante « éjection de masse coronale » en provenance du soleil. Ceci
pourrait produire des effets électromagnétiques intenses susceptibles de
détruire nos réseaux et les petits et grands circuits électriques,
allant des
réseaux d’alimentation électrique aux puces et disques de nos
ordinateurs.
ii. Le même effet dit
EMP (
ElectroMagnetic Pulse) des bombes atomiques
b. La perte d’innombrables vies humaines par :
i. Des cataclysmes divers (tremblements de terre, tsunamis, ouragans, sécheresses, inondations) avec famines et épidémies associées
ii. Le feu atomique et l’empoisonnement de l’eau et de l’air
2. La préparation qui me paraît la plus adaptée se résume à ceci :
a. Passer dans l’hémisphère sud car :
i. Toutes les forces nucléaires en présence se trouvent dans l’hémisphère nord
ii. L’équateur
sépare de manière presque étanche les deux atmosphères. Il y a en somme
deux terres, ce qui est conforme avec l’annonce de Jean qui nous
dit : « Et je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre s’en étaient allés »
b. Mettre son matériel informatique et électrique dans des cages de Faraday.
c. Venir vivre en nature, près de sources d’eau et de nourriture. S’éloigner des villes, sources de contagions de toutes formes.
d. Faire des réserves de nourriture pour passer les caps difficiles
e. Consommer de l’iode (pour protéger la thyroïde), de la pectine et des carraghénates (pour purger l’organisme des métaux lourds et radioactifs), et pourquoi pas des produits Beljanski pour réparer l’ADN agressé ? Tout cela en cas d’exposition à une radioactivité anormale.
f. Apprendre avec la littérature survivaliste.
g. Enfin,
peut-être le plus important : construire et/ou s’inscrire dans des
réseaux d’entraide, de solidarité et de coopération qui pourront
constituer les germes d’une paix et d’une sécurité non violente dont
nous aurons bien besoin en période de chaos planétaire.
3. Pour
ce qui est de la suite à donner, chacun peut facilement imaginer
combien le sujet est bien trop vaste puisqu’il s’agit ni plus ni moins
que de se préparer à une refondation de l’humanité. En même temps, la
réponse que je me suis donné est assez simple à formuler : les
survivants de l’apocalypse n’auront-ils pas compris après tant de
tribulations qu’il n’existe pas de violence qui soit juste ou légitime
et que la seule réponse à la violence ne peut être que la non violence,
la non réciprocité violente à laquelle nous invite le nouveau testament
mais, probablement aussi, j’imagine, d’autres textes religieux ? Ne
serons-nous pas plongés dans une terreur sacrée qui nous disposera plus
que jamais à entretenir des relations radicalement pacifiques et à
renoncer aux guerres sous toutes leurs formes ? Dans cette perspective,
je comprends mes années de recherche passées comme une forme de
préparation à contribuer à l’immense effort collectif qui sera, je
crois, nécessaire pour que chacun en vienne à découvrir qu’il peut se
réconcilier sans violence avec ses semblables, de sorte que nous
n’aurons alors plus peur les uns des autres. Avec une telle prise de
conscience, je crois qu’une paix que nous n’aurons jamais connue sera
enfin à notre portée.
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