Le simple fait qu'il y ait jusqu'à 125% de votes (record établi au Nevada) par rapport au nombre d'inscrits est une preuve flagrante qu'il y a fraude.
Reste maintenant à déterminer qui a fraudé.
C'est la Cour Suprême qui tranchera en dernier recours. Les juges suprêmes sont au nombre de 9.
Je vais me livrer à une estimation de la "grosseur" de la fraude à partir du taux de participation standard (https://fr.wikipedia.org/wiki/Participations_aux_%C3%A9lections_pr%C3%A9sidentielles_am%C3%A9ricaines)
Admettons qu'en 2020, le taux ait été égal à celui des 5 dernières élections (2000 à 2016), on devrait avoir 55% de votants. Le vainqueur pourrait avoir 23% des inscrits et le perdant 22% des inscrits (comme dans une élection normalement serrée). Mais là, imaginons que ce ne soit pas serré du tout et que l'un des deux candidats ait une avance considérable, par exemple 40% des inscrits contre 15% des inscrits. Celui qui se sentirait battu et humilié, n'hésitant pas à tricher sans vergogne, devrait ajouter 26% des inscrits aux votes réellement existants pour passer devant (15+26=41) portant par là-même le total de participation à 55+26 = 81% ; un taux qu'on n'a plus vu aux États-Unis depuis ... 1876.
Or, il est désormais évident qu'on est dans une situation flagrante de "bourrage d'urnes".
Il faut notamment savoir que sur les 3242 comtés des États-Unis d'Amérique, il y en a 378 qui ont un taux d'inscription des électeurs qui dépasse 100 % de la population adulte en âge de voter.
Et malgré cela, malgré ces électeurs "surnuméraires", le taux de vote dépasse parfois le taux d'inscrits dans au moins 7 des 50 États !
C'est juste énorme.
Reste à déterminer qui a fraudé d'une façon aussi outrancière.
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