Les vaccins sont des produits standardisés qui sont inoculés à des
millions de personnes (enfants, adultes, personnes âgées), sans se
préoccuper des caractéristiques génétiques et immunologiques des
individus qui les reçoivent. Or, nous sommes tous différents : chacun
répond différemment aux vaccins. L'acte vaccinal est devenu un acte
médical banalisé. Or, les vaccins, classés comme "médicaments", ne sont
pas des médicaments comme les autres. Leurs effets s'étendent sur des
années, voire des décennies. Que dire de la mode actuelle où des vaccins
polyvalents pouvant contenir des informations biologiques issues de 5, 6
voire 7 micro-organismes différents sont injectés directement dans
l'organisme ? Ce type d'agression est inconcevable dans des conditions
naturelles : avez-vous déjà attrapé la diphtérie, le tétanos et la polio
le même jour ? Ce type de vaccin constitue une agression considérable
pour l'organisme. Avec quels effets ?
Faisons un petit tour de ce
que contiennent les vaccins. Evidemment, ils ne contiennent pas tous les
composants cités ci-après. Mais chaque composant est suffisamment
toxique (donc dangereux) à lui seul pour constituer une agression à
court et long termes. Alors que dire de l'effet "cocktail" de tous ces
produits ?
1- L'élément microbien : virus, bactérie ou toxine.
L'antigène
(élément microbien lié à la maladie que l'on veut prévenir) mis dans le
vaccin et qui va faire réagir le système immunitaire doit être soit
vivant mais atténué, soit tué ou inactivé, soit transformé par génie
génétique, pour donner la maladie a minima et développer une mémoire
immunitaire. L'inactivation s'obtient soit par la chaleur, soit par le
formol. En théorie, l'antigène est rendu incapable d'infecter une
cellule et de s'y reproduire. Mais ce n'est là qu'une théorie. Dans le corps humain, les choses peuvent se passer fort différemment.
L'atténuation s'obtient par des procédés qui font muter l'antigène
(afin qu'il perde son caractère infectieux, mais pas son rôle
d'antigène). Pour cela, on obtient un vaccin par passages successifs sur
substrat ou culture cellulaire. Les scientifiques eux-mêmes avouent qu'ils ne sont absolument pas sûrs de la qualité de l'atténuation.
Lise Thiry (Institut Pasteur de Bruxelles) reconnaît qu' ils ont
"atténué les virus au petit bonheur la chance" ... C'est ainsi que
certains germes, insuffisamment atténués et/ou mutants ont pu retrouver
leur virulence et déclencher des pathologies "like" (ex : polio
post-vaccinale, bécégite après le BCG, ...). La plupart des vaccins à
virus contiennent des virus vivants atténués (ROR, polio oral, hépatite
A, grippe, fièvre jaune, varicelle, ...).
2- Le formaldéhyde (formol).
Ce
produit est classé cancérigène, catégorie 1 (la + élevée), depuis juin
2004, par le Centre International de Recherche sur le Cancer
(CIRC).C'est le produit le plus utilisé dans les vaccins pour inactiver
les antigènes. On le retrouve à l'état de traces dans les vaccins, car le processus de production des vaccins ne peut l'éliminer totalement.
3- Les adjuvants de l'immunité
-
L'hydroxyde ou le phosphate d'aluminium. Il fait partie des métaux qui
menacent notre santé. On le montre du doigt très sévèrement aujourd'hui
car il est impliqué dans les maladies d'Alzheimer, de Parkinson, dans
diverses dégénérescences neurologiques. Selon l'immunogénéticien Herman
Hugh Fudenberg, un individu ayant reçu 5 vaccins consécutifs contre la
grippe a 10 fois plus de risques d'avoir une maladie d'Alzheimer qu'un
non vacciné. L'accumulation graduelle de l'aluminium dans le cerveau
entraîne l'altération des fonctions cognitives. Les Pr Gherardi et
Cherin ont attribué à l'aluminium le développement d'une nouvelle
maladie "la myofasciite à macrophages". La plupart des victimes de cette
maladie avaient reçu le vaccin contre l'hépatite B ou celui contre le
tétanos qui contiennent de fortes doses d'aluminium. Il faut savoir
qu'une fois entré dans les cellules, l'aluminium interfère avec le métabolisme du fer
(il se fixe sur la transferrine) et prend la place du fer; il peut être
capté ainsi par tous les tissus exprimant des récepteurs à la
transferrine (notamment muscles et cerveau).
Michel Georget
rappelle que pour être potable, l'eau ne doit pas contenir plus de 100
microgrammes d'aluminium par litre. Or, une personne vaccinée contre
l'hépatite B en reçoit 1250 microgrammes par injection. Après
une vaccination complète (avec rappels), elle se retrouve avec une
concentration d'aluminium 20 à 40 fois la dose limite de l'eau potable.
Le
vaccin contre le papillomavirus est également très chargé en aluminium
et présente donc des risques accrus de maladies neuromusculaires.
-
Le phosphate de calcium. On pourrait le croire moins nocif que
l'aluminium car le phosphate de calcium est un composant du corps humain
(os et dents par ex). Mais il n'en est rien. Il risque de déclencher des réactions sévères d'auto-immunité : le système immunitaire va produire des anticorps contre toutes les molécules de phosphate de calcium, y compris contre celles présentes naturellement dans l'organisme). En outre, un taux élevé de phosphate de calcium dans le sang peut conduire à une insuffisance rénale.
-
Le squalène. Je renvoie le lecteur à l'article paru dans le n°53, p. 30
du courrier dALIS qui est très complet sur cet adjuvant. On peut
constater que, dans les derniers vaccins, le squalène est mélangé à
d'autres éléments : le polysorbate 80 (pas sans danger : il augmente le
stress oxydatif et diminue le taux de glutathion), le trioléate de
sorbitan, du citrate de sodium, de l'acide citrique.
De toute
évidence, la présence des adjuvants dans les vaccins amplifie leur
dangerosité. L'adjuvant va déclencher une stimulation plus forte de
l'organisme, qui à son tour, va stimuler d'autres mécanismes dans notre corps, de façon anormale et inattendue. D'où les pathologies que l'on observe désormais, tant neurologiques que rhumatismales, souvent auto-immunes.
4- Les autres additifs.
- Les agents de conservation : le phénoxyéthanol (éther de glycol reconnu hautement toxique). C'est un allergène responsable d'allergies cutanées et de troubles neurologiques. Citons aussi les dérivés mercuriels
: le mercure est un neurotoxique bien connu. Une fois absorbés, les
sels de mercure sont susceptibles de s'accumuler dans le foie, les
globules rouges, la moelle osseuse, les reins, la rate, les intestins,
les poumons, la peau, le système nerveux central. Ils
entraînent toute une cascade de dysfonctionnement neurologiques et sont
liés à l'augmentation exponentielle des syndromes autistiques.
Oui, vous avez bien lu ! Ce qui fait qu'en 2000, l'Agence Européenne
d'Evaluation des Médicaments (EMEA) a recommandé que les vaccins
contenant du mercure ne soient plus administrés aux nourissons et jeunes
enfants ... ! Le vaccin H1N1 en contient.
Actuellement, le VIDAL ne mentionne plus de mercure dans les vaccins,
mais il faut considérer que la présence de mercure dans les vaccins
subsiste.
- Les désinfectants : antibiotiques
(tels que néomycine, gentamycine, kanamycine, polymyxine, ... qui
appartiennent à la famille des aminosides dont on connaît la nocivité,
notamment sur les reins et l'oreille interne). Ils sont aussi
responsables d'allergies graves. Pourquoi le slogan "les antibiotiques
c'est pas automatique" ne s'applique pas aux vaccins ? Citons aussi la
beta-propiolactone (produit reconnu cancérigène. Il s'attaque au foie,
système immunitaire, système respiratoire et gastro-intestinal, ...). Et
le glutaraldéhyde (toxique), les microbicides (ce sont des agents détergents !).
-
Les stabilisants : trométamol (alcalinisant. Contre-indiqué chez les
enfants de moins de 6 ans et les insuffisants rénaux), la gélatine (!) :
dérivée du collagène prélevé sur les os ou la peau des bovins, ovins,
porcins, voire équins. Bon appétit ! Plusieurs études ont montré les
nombreuses allergies qu'elle déclenche. Depuis quelques années, les
labos utilisent une gélatine hydrolysée recombinante. Avec quels autres
troubles ? Citons aussi l'albumine (risque d'allergie, choc
anaphylactique).
- Les émulsifiants. Citons les principaux : polysorbate 20, polysorbate 80, sorbitol, glycine, lactose, saccharose, aspartame, glutamate, dextran. Tous ces produits ont des effets secondaires sur certaines personnes sensibilisées et allergiques.
-
Les solvants. Citons le tributylphosphate (produit chimique suspecté
d'être un poison pour les reins et les nerfs). Il peut aussi attaquer le
système respiratoire et nerveux.
- Le latex. Utilisés pour
boucher les flacons contenant les vaccins, contenu dans les seringues
préremplies et les protège-aiguilles. On le retrouve là aussi à l'état
de traces dans les vaccins. Bien que naturel, c'est un puissant allergène.
-
La "substance tampon" : pour maintenir le PH du vaccin. On trouve dans
les vaccins : acide acétique, hydroxyde de sodium, phosphate disodique
ou monosodique déshydraté.
- Les anti fongiques : ce sont des
produits qui détruisent les champignons, ils servent de conservateur. Il
en est un qui est surprenant, puisque c'est la mort-aux-rats (borate de
sodium) contenu dans ... le vaccin Gardasil contre le papillomavirus
!!!
5- Les contaminants et impuretés des vaccins.
Les virus
ou les bactéries doivent être cultivés sur des substrats afin d'en
obtenir de grandes quantités pour une production industrielle de masse.
Les cellules sur lesquelles sont cultivés ces micro-organismes sont
générallement des cellules animales ou des levures. Le principal
problème est leur possible contamination virale. Aucun
fabricant ne peut garantir l'asepsie des cellules animales servant à la
culture vaccinale (l'OMS a d'ailleurs prononcé des mises en garde sur
ce sujet). Un exemple : le vaccin polio des années 60 fut
contaminé par un virus inconnu à l'époque (le SV40 - virus simien 40)
responsable de tumeurs cancérieuses. Il y a eu d'autres cas.
Voilà
les informations essentielles à connaître sur la composition des
vaccins les plus couramment utilisés en France. Je vous invite à
rechercher des informations complémentaires dans des ouvrages
spécialisés. Ceci dit, les fabricants sont souvent peu bavards sur la
composition de leurs produits. Et nous avons vu que des composants à
l'état de traces ne sont même pas mentionnés sur les étiquettes !
En guise de conclusion, je poserais juste une question : est-ce que les laboratoires savent vraiment ce qu'ils font ?
Pour aller plus loin :
- Michel Georget "vaccinations, les vérités indésirables"
- http://www.infovaccin.fr/composants.html
- http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article6132
- Dr Jean Pilette "constituants des vaccins". Livre téléchargeable (pdf) : http://www.asanat.org/IMG/pdf/constituants_vaccins-2.pdf
- "Vaccination, erreur médicale du siècle" du Dr L. De Brouwer
- "L'intoxication vaccinale" de F. Delarue
- "La rançon des vaccinations" de S. Delarue
- "La catastrophe des vaccins obligatoires", du Pr Tossot
- "La faillite du BCG" du Dr Marcel Ferru
- "Vaccin hépatite B : les coulisses d'un scandale" de Sylvie Simon et du Dr Marc Vercoutère
Source : https://blogs.mediapart.fr/helene-ecochard/blog/030614/les-vaccins-mais-au-fait-que-contiennent-ils
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