Fin de l’été 2020. Ils brisent toutes les vitres du supermarché. Et mettent les locaux à sac.
Sous les éclats de verre, votre petite fille est épouvantée. Vous la serrez dans vos bras, vous couvrez sa tête et vous reculez. Il faut partir. Vite.
Cher Lecteur,
Vous sonnez. Votre femme ouvre la porte et vous rentrez en trombe dans l’appartement.
Votre petite fille sanglote à présent, dans les bras de sa mère. Qui affolée, vous presse de questions : "qu’est-ce qui se passe ?" ; "qu’est-ce que tu as ?".
Votre esprit est confus.
Pourtant, la journée avait bien commencé. Enfin, autant que cela est possible, après sept semaines de confinement. Vous emmeniez votre enfant faire les courses au Monoprix. Qui rouvre aujourd’hui, après 10 jours de fermeture.
Un véritable événement, quand on a plus le droit de sortir. Ou du moins, pas plus d’une heure par jour. Et pour raisons impératives uniquement. Comme acheter à manger, par exemple.
Vous avez rempli, daté, horodaté et signé deux attestations de déplacement dérogatoires. Une pour vous et une pour votre fillette de 6 ans. Qui vous a fait part de son envie pressante d’acheter des "milliards de fraises Tagada".
Dans le magasin, un attroupement aux caisses. Des vociférations. Des clients invectivent le personnel, qui tente de les calmer. Des insultes fusent. Les employés sont bousculés.
Vous interrogez une jeune femme, à côté de vous. "Il y a un problème avec les prix Monsieur. Regardez l’étiquetage des produits. Ces personnes refusent de payer à ces prix. Nous refusons tous. Non mais, de qui se moque-t-on ?"
Vous prenez le pot de Nutella que votre fille vous réclame depuis une semaine. 50 euros les 750 grammes. Votre camembert au lait cru, 45 euros. Stupéfait, vous parcourez tous les rayons. La salade en sachet ne coûte plus 2 euros. Mais 20 euros. Le poulet que votre femme voulait faire rôtir, trône à l’étal du boucher. Etiqueté à 90 euros.
Les rayons sont pleins. Rien ne manque. Mais les prix ont changé. Explosé, même. Autour de vous, les clients sont furieux. Et incrédules.
Vous tendez l’oreille : le directeur du magasin est cerné par une clientèle hystérique. Il tente une explication : "Mesdames, Messieurs, je vous en prie calmez-vous". "Vous le savez, le gouvernement l’a annoncé ! avec la chute de l’Euro, nous avons dû adapter nos prix".
"Scandale" ; "escrocs" ; "voleurs" ; puis d’autres mots, de plus en plus agressifs. Orduriers.
Dans un coin, trois jeunes hommes se concertent brièvement. Et soudain, sous vos yeux, ils s’élancent vers les vitrines, qu’ils font éclater à coups de masse. Certains clients restent pétrifiés. D’autres se précipitent dans le magasin et s’emparent des marchandises. Frénétiques, ils remplissent leurs sacs. Au loin, une sirène de police retentit.
Votre petite fille pleure, épouvantée. Il faut partir d’ici. Vite.
De guerre lasse, vous cédez. Et vous faites 15 jours de courses au prix fort. Votre panier coûte 3000 euros.
Il contient des produits de première nécessité. Des aliments nutritifs et basiques. Longue conservation. Pas de vin. Très peu de produits frais. Réservés à votre petite fille. Un sac de bonbons Haribo. Parce que malgré l’angoisse qui vous étreint, il est de première nécessité de lui faire plaisir. Encore un peu.
L’autre souci, c’est votre chien. Les croquettes atteignent des prix astronomiques.
Il ne faudrait pas, surtout pas, que cette situation dure trop longtemps... Vous avez toujours aimé vos animaux. Vous n’avez jamais abandonné aucun d’entre eux. Mais s’il fallait choisir entre nourrir votre petite fille et votre chien...
Saturé de confinement et de COVID-19, vous aviez cessé d’écouter et de regarder les informations. Vous n’étiez pas préparé au cauchemar éveillé, qui se déroule à présent devant vous :
La crise sanitaire du coronavirus vient de précipiter la zone euro dans l’hyperinflation. C’est-à-dire, une augmentation des prix incontrôlable, imprévisible et exponentielle, dépassant 50% par mois. Et appelée à durer.
Jusqu’alors, l’hyperinflation était pour vous un concept vague. Abstrait. Datant de 1923. Localisé en Allemagne. Sous la République de Weimar. Le passé, en somme. Même si, plus récemment, vous aviez eu vent de la descente aux enfers du Venezuela, avec ses 10 000 000% d’hyperinflation.
Mais bien sûr, cette situation ne pouvait pas se produire en France, 7ème puissance mondiale. C’était tout simplement impossible.
Je suis le directeur des Publications Agora en France, maison d’édition spécialisée dans la finance – dédiée aux particuliers.
Le scénario que je viens de vous peindre à l’instant est certes alarmant... mais Dieu soit loué : il ne s’est pas encore produit.
En tout cas l’hyperinflation n’est pas encore présente, même si on peut ressentir déjà quelques signes d’inflation sur certains produits de première nécessité...
... et que d’autres produits sont en pénurie totale, notamment tout ce qui nous vient de Chine – mais l’important n’est pas là...
L’important est de comprendre que ce scénario n’est pas IMPOSSIBLE... car dans le contexte actuel, RIEN n’est impossible.
Songez seulement au début de l’année 2020... si je vous avais écrit en vous disant que d’ici quelques mois vous seriez assigné à résidence...
... que la légion étrangère surveillerait les zones à risque... que l’armée et la police ferait des rondes dans les rues pour vous contraindre à rester chez vous...
... que vous seriez obligé de vous munir d’une attestation de déplacement qui ne vous permettrait pas de sortir plus d’une heure de chez vous...
Vous m’auriez sans doute ri au nez... traité de Cassandre... et m’aurait répondu que tout cela était strictement IMPOSSIBLE.
Depuis 20 ans, par le biais de nos publications gratuites, nous informons quotidiennement nos lecteurs de la situation économique réelle.
Celle dont les médias mainstream ne parlent pas.
Depuis 20 ans, nous publions régulièrement des informations à contre-courant de celles que diffusent le journal de 20h et la presse aux ordres des patrons du CAC40.
20 ans aussi que l’on nous traite de Cassandre et de porteurs de mauvaises nouvelles... C’est l’image dont nous affublent les banquiers, bien souvent.
Mais à mon sens depuis 20 ans, nous abordons les vrais risques, et les vrais problèmes, pendant que les médias détenus par les puissants font diversion.
Les informations que je m’apprête à vous révéler ne sont pas diffusées à la télévision, qu’il s’agisse des chaînes du service public ou des chaînes privées.
Le Figaro, Les Echos ou encore Le Revenu ne les prennent pas réellement au sérieux... ils considèrent parfois que ces informations sont trop complexes...
Ou bien ils sont obnubilés par l’actualité immédiate, et ne sont d’aucune aide lorsqu’il s’agit de se projeter, d’anticiper, de mettre un plan concret en action.
Pourtant, je considère qu’il est de mon devoir de vous transmettre ces informations, pour vous aider à vous préparer à la catastrophe qui s’annonce.
Notez que si à ce jour, vous avez des actions en portefeuille, ce message vous parviendra trop tard !
Quand je parle de catastrophe, je pèse mes mots – et je pense aussi que le pire est à venir pour l’économie mondiale.
Je ne vous parle pas d’une pénurie de bonbons ou de croquettes pour chien...
Je vous parle d’une des pires périodes économiques et financières que nous ayons connues... Une crise qui restera dans les livres d’Histoire et d’Economie.
Savez-vous que pendant la crise de 2008, les Etats ont consacré 1,6 trillion de dollars à renflouer les seules institutions financières ?
... Simplement pour retarder l’inévitable.
Si nos analyses sont justes, nous allons au-devant d’une situation pire encore.
Il faut se préparer à ce que la France traverser une période sombre, digne des pires heures de l’Histoire.
Hélas, quand la situation économique se dégrade, la nature humaine tend à dévoiler ses pires aspects... Il n’y a qu’à voir le comportement de certains consommateurs dans les hypermarchés. A grande échelle, imaginez-vous jusqu’où la peur du manque peut conduire les plus égoïstes et les plus agressifs d’entre nous ?
Un tel péril ne peut être pris à la légère... C’est pourquoi aujourd’hui, je m’adresse à vous solennellement.
J’aurais eu le sentiment du devoir accompli. Je vous aurais au moins alerté sur les véritables risques que nous encourrons tous, et je vous aurais donné les moyens de vous protéger... De protéger votre argent, votre famille, votre héritage aux nouvelles générations.
Vous trouverez tout ce dont vous avez besoin à la fin de ce message.
Mais j’insiste : l’heure n’est plus au scepticisme...
Vous le constatez vous-même : Vous et vos proches ne pouvez plus circuler librement. Ni travailler dans les conditions habituelles. Du fait de la pandémie et du confinement, notre économie est à l’arrêt. Les commerces dits "non indispensables" sont fermés. Le chômage partiel s’instaure dans la plupart des entreprises. La consommation chute.
Une entreprise qui ne travaille pas ne gagne pas d’argent. Une entreprise qui ne gagne pas d’argent ne peut pas payer ses salaires et ses charges – elle ne peut pas rembourser ses crédits. Une entreprise défaillante meurt et entraîne avec elle ses employés, ses fournisseurs et parfois, ses clients.
Bruno Lemaire a déclaré que "Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour soutenir les entreprises. [...] Cela coûtera des dizaines de milliards d’euros."
Emmanuel Macron a enfoncé le clou : "L’Etat paiera".
Pour être précis, on peut se fier au chiffre avancé par le FMI en octobre 2019 :
"En cas de ralentissement marqué de l’activité, dans le plus sombre des scénarios, 40 % de la dette des entreprises dans les huit plus grandes économies, soit 19 000 milliards de dollars [17 000 milliards d’euros], seraient exposés à un risque de défaut, soit plus que le niveau observé durant la dernière crise"
Outre le financement du chômage partiel, est-ce que cela signifie que le gouvernement prendra en charge les pertes d’exploitation ?
Posez-vous la question...
Et remarquez, au passage, qu’aucune compagnie d’assurance ne s’est fait entendre sur le sujet. Et pourtant : la pandémie n’est pas un risque assurable.
La majorité des assureurs excluent la perte d’exploitation "sans dommage" et le risque de pandémie est exclu des contrats d’assurance.
La pandémie est un risque exceptionnel, qui n’entre dans aucune statistique. Estimer ses probabilités d’occurrence s’avère donc aussi impossible que de calculer le prix de sa couverture.
Or, les pertes d’exploitation résultant de la crise du COVID19 s’annoncent gigantesques : des dizaines de milliards d’euros... Et la faillite en perspective, pour de nombreuses entreprises.
J’aimerais prendre 5 minutes pour vous décrire en détails tout cela. Mais avant de rentrer dans le détail de ce choc... Permettez-moi de vous en dire un peu plus sur notre démarche.
Si vous ne me connaissez pas ou si vous découvrez les Publications Agora, sachez que nous n’en sommes pas à notre première prédiction...
Par exemple... En mars 2000, notre fondateur Bill Bonner annonçait que nous approchions de l’explosion de la bulle Internet...
... Plus connue sous le nom de "Bulle des dot.com".
Dès le 10 mars 2000, le Nasdaq dévissait de 77%... Et la même année, nous lancions cet appel à tous nos lecteurs : "Achetez de l’or ! c’est l’opportunité de la décennie !".
Dans notre lettre La Chronique Agora, nous avons martelé ce message presque tous les jours.... Tandis que la presse mainstream n’en parlait pas.
10 ans se sont écoulés avant qu’elle se réveille. Et que des journaux comme The Telegraph titrent enfin : "L’or est l’investissement le plus performant".
Parce qu’en effet, l’or a pris 572% en 10 ans : La différence, c’est que nous étions en avance...et The Telegraph, en retard.
Pour un investisseur ou un épargnant responsable – soucieux de placer son argent intelligemment – cela fait une énorme différence.
En 2003, nous avons anticipé l'effondrement immobilier imminent. Nous avons aidé nos lecteurs à sécuriser leur patrimoine et à se préparer.
En 2008, nous avons annoncé la crise des subprimes. Notre stratégie a conduit à des gains pouvant atteindre 462%.
En 2009, nous avons identifié en Grèce, les prémices d’un "conflit social croissant " lié aux problèmes d'endettement. Les Grecs étaient dans les rues moins d'un an plus tard...
En 2013, nos analyses concluaient que le marché était reparti à la hausse. Cette année-là, le S&P500 a enregistré sa meilleure performance en 16 ans...
En 2016, contre toute attente, nous pressentions déjà le Brexit et l’élection de Trump. Deux événements qui ont surpris tout le monde, sauf nous.
J’évoque ces exemples pour que vous compreniez notre démarche : prévenir les particuliers de ce qu’il se passe réellement dans l’Economie... la Finance...
Toutes ces sphères qui nous dépassent souvent et auxquelles nous n’accédons qu’au travers d’informations parcellaires... voire filtrées par la presse "officielle" ou mainstream.
Pourtant, nos lecteurs se fient à nos experts indépendants qui savent trouver les informations décisives pour leurs investissements et leurs décisions...
Car nous avons parmi les meilleurs experts de France et des Etats-Unis, des experts qui non seulement ont à cœur d’aider nos lecteurs, mais des experts qui expriment ouvertement leurs opinions – contrairement aux journalistes.
Je pense à Philippe Béchade, Olivier Delamarche, Stéphane Dubois, Jim Rickards, Nomi Prins ou encore Bill Bonner, fondateur de notre groupe...
Des experts qui s’appuient sur leur expertise et des investigations rigoureuses.
Ce n’est pas le cas de celles des nouveaux chiens de garde des pouvoirs politiques.
C’est donc tout le sens de ma démarche aujourd’hui : vous avertir du danger qui menace notre pays, mais pas que... En espérant que vous me prêtiez suffisamment de crédit pour lire mon message entièrement...
Libre à vous de décider si vous êtes d’accord ou pas – et si les solutions que j’ai mises en place pour moi et mes lecteurs vous intéressent, ou non.
... Et si mes conclusions vous semblent correctes... Passez à l’action dès la fin de ce message. Croyez-moi : certains de nos lecteurs sont abonnés à nos publications depuis plus de 15 ans. Et ce n’est pas dû au hasard.
Alors que vous soyez "plein aux as", héritier d’une fortune familiale, simple employé qui cherche à se constituer une poire pour la soif, retraité en recherche de sécurité, ou même étudiant un peu perdu dans les méandres de la macro-économie... Lisez ce message jusqu’au bout s’il vous plait.
J’ai mis à votre disposition ce que je considère être la solution la plus simple à mettre en œuvre, et la plus efficace. Une solution qui vous permettra non seulement de vous protéger pendant la PIRE CRISE FINANCIERE que les autorités financière et monétaire ont déclenchée dans l’Histoire...
... mais vous verrez que certains conseils vous permettront aussi de prospérer pendant et après la crise – si bien que dans les années qui la suivront, vous pourrez dire à vos enfants et à vos petits-enfants que vous étiez là... que vous avez vu cette crise de vos propres yeux et que vous avez su réagir intelligemment.
Croyez-moi : il n’y a rien de pire que d’entendre quelque chose du genre "on n’a pas eu le choix, tout le monde était logé à la même enseigne".
Je suis un petit-fils de la Seconde Guerre Mondiale. Mes parents sont nés en 48. Mes grands-parents ont combattu et résisté contre le fascisme et le nazisme en Belgique, en Espagne et en France. Je sais ce que c’est de tout perdre. Nous sommes passés par là. Mais aujourd’hui, vous avez le choix.
Je vous précise que je ne suis pas en campagne électorale... que je ne cherche pas à lever des fonds, ni à vous demander de participer à une campagne de dons...
Mon but aujourd’hui n’est pas de vous convaincre que nous allons droit dans le mur... que les marchés sont pipés... ou que les gouvernements ont un "plan secret" qui va enrichir les 1% et appauvrir tous les autres...
En ce moment même, nous sommes dans une fuite en avant... Dont nos gouvernants eux-mêmes ignorent comment elle se terminera pour les Français.
Et pour les européens.
Depuis des décennies, on a créé plus de dette que jamais... on achète de la croissance avec de la dette... Tant et si bien qu’il n’était pas rare jusqu’à ces dernières semaines, que les banques fassent du démarchage auprès des sociétés pour leur refourguer des crédits à taux si bas qu’il aurait été stupide de les refuser !
Et cela s’est traduit concrètement par une débauche de crédits... contractés par des entreprises qui n’en n’avaient pas réellement besoin – et un gonflement de la bulle obligataire. Sauf qu’il y a toujours les mensualités à rembourser... et que lorsque l’économie est à l’arrêt, que le chiffre d’affaires est à zéro et que la trésorerie est vide, un problème se pose...
C’est la même chose pour les ménages : si vous avez des crédits et pas de trésorerie, vous allez prendre dans vos économies, votre épargne... et quand vous n’avez pas d’économie... certains vont même être tenté de reprendre du crédit !
Et tout ça pose un énorme problème :
Selon l’OCDE, la dette de la France représente 122,1% de son PIB, lui-même évalué à 2.420 milliards d'euros en 2019.
Dans son rapport annuel publié le 25 février 2020, la Cour des comptes estime pour sa part la dette publique française à 98,8 points de PIB, soit environ 2 385 Md€.
Je pense que la prochaine fois que nous ferons les comptes, nous aurons allègrement explosé la barre des 150%, comme l’annonce Florent Ly-Machabert, professeur agrégé de sciences économiques et sociale à la Sorbonne : "avec une dette de 3500 milliards, 200 milliards de déficit et un doublement du taux de chômage".
Pensez-vous sincèrement que le gouvernement français ait les moyens de soutenir les entreprises ? et de relancer la croissance dans le même temps ?
Dans son rapport, l’IFF indique : "Sous l’impulsion de taux d’intérêt bas et de conditions financières déficientes, nous estimons que la dette mondiale totale dépassera les 257.000 milliards de dollars au premier trimestre 2020, entraînée principalement par la dette du secteur non financier".
Depuis des années, l’Etat actionne des leviers dangereux, aux effets dévastateurs :
La crise financière de 2008 a marqué l’apparition du "quantitative easing" ou "assouplissement quantitatif". La FED a initié cette technique non-conventionnelle, allègrement reprise par la BCE et les banques centrales de nombreux pays.
De quoi parle-t-on ?
Le QE consiste pour une banque centrale à créer de la monnaie, non pas physiquement mais au moyen d’une simple ligne de crédit. La banque centrale achète des bons souverains aux banques, aux assurances ou aux fonds de pension, pour injecter cette monnaie dans l’économie.
Les institutions bénéficiaires obtiennent ainsi du cash, qu’elles peuvent – en théorie – prêter aux entreprises et aux ménages, à taux plus faibles. Une fois la croissance relancée par davantage d’investissement et de consommation, la banque centrale revend théoriquement ses bons souverains. Et détruit le surplus de monnaie créé durant la crise, pour éviter la pression inflationniste. Car une monnaie trop abondante au regard de l'activité économique, induit un risque d’inflation.
Le "hic" si vous me permettez l’expression, c’est que depuis 2008 cet argent frais n’est pas du tout allé dans l’économie réelle, il a stagné au niveau des banques et des grandes entreprises qui se sont refinancées à bon compte. Les marchés ont atteint des plus-hauts. Dans les apparences tout allait pour le mieux, sauf que la croissance n’était pas au rendez-vous...
Avec le coup de massue du Covid-19, le roi est nu. L’économie s’arrête, et les marchés perdent 40% en un mois, soit l’équivalent de 10 000 milliards de dollars qui disparaissent en fumée – comme dirait Bill Bonner : "une correction est proportionnelle à la tromperie qui l’a précédée".
En d’autres termes, vous avez aujourd’hui des marchés qui sont à leur cours "normaux", c’est-à-dire qui ne sont pas enflés par une abondance de liquidité.
Mais voilà que les autorités doivent intervenir à nouveau ; par-là, j’entends surtout les banques centrales, qui devront cette fois alimenter l’économie réelle, avec ce qu’on appelle "l’helicopter money", consistant à inonder l’économie réelle d’argent pour éviter la paralysie...
Et ça... C’est le PIRE qui puisse arriver – même si pendant un temps les naïfs penseront que pour une fois l’Etat Providence fait son devoir et aide nos concitoyens à surnager dans cet océan de catastrophe... En réalité, elles sont en train de semer – mécaniquement – le retour de l’inflation, et de l’hyperinflation.
Car plus vous augmentez la masse monétaire, le volume d’argent en circulation, et plus vous diluez la valeur de cet argent. Or la quantité d’argent qui vient d’être émise – et qui sera encore émise pour aussi longtemps que nécessaire – est tout simplement inédite... Et va créer une bulle d’argent sans précédent.
Imaginez que tous les prix, et la monnaie en circulation soient multipliés par 100. Pour endiguer ce phénomène, impactant les entreprises, comme les salariés et les épargnants, la banque centrale et le gouvernement devront augmenter les taux d'intérêt et/ou instaurer une politique d'austérité. Faisant ainsi chuter la croissance, tandis que les dettes contractées devront continuer à être remboursées.
Mais l’accès facile au crédit a entraîné une augmentation colossale de l’endettement. Depuis des années, le niveau d’endettement de la France est devenu un danger pour nous tous.
Publique ou privée, la dette n’est bénéfique que si elle génère de la croissance économique. Parce que la croissance augmente les revenus. Et facilite d’autant le remboursement du capital et des intérêts.
Mais l’endettement de la France ne crée pas assez de croissance. On estimait avant le Corona-Krach que 3 euros de crédit étaient nécessaires pour créer 1 euro de croissance. Demain, il faudra 10 euros de crédit pour un euro de croissance (sachez qu’en Espagne entre 2008 et 2017, il fallait 12,10€ de dette pour 1€ de croissance)... Et la faiblesse artificielle des taux d’intérêts encourage nos gouvernants à emprunter toujours plus, sans créer davantage de richesses...
Or depuis 30 ans l'Etat français s’endette sans compter et dépense sans efficacité. Jusqu’à rendre la dette insoutenable. Avec un taux de chômage dépassant 8% (avant la crise de 2020), la pression fiscale la plus élevée du monde et un déficit public permanent.
Dans notre pays, où le PIB par habitant dépasse 47 800 USD, l’endettement des ménages atteint 120,7% du revenu disponible. Selon l’OCDE, pour une croissance de 10 % du PIB, le crédit aux ménages réduirait de 0,7 point la croissance à long terme.
Problème supplémentaire : un crédit ne vaut que si le créditeur sait qu’il sera remboursé... sauf qu’il arrivera un jour où il sera CLAIR que personne ne pourra rembourser.
Car notre système de crédit est insolvable – et notre monnaie ne vaudra plus rien.
Et quand on arrivera à ce point... Quand les débiteurs avoueront qu’ils ne peuvent pas payer... Et que les créditeurs auront compris qu’ils ne seront jamais remboursés...
Cela va créer un choc historique. La seule solution qu’auront alors les autorités pour soulager la dette et l’explosion de ses intérêts sera l’hyperinflation. Car elle permet de réduire la dette quasi-instantanément.
Vous devez absolument comprendre le risque et la gravité de l’hyperinflation.
J’évoquais tout à l’heure l’hyperinflation de 1923 en Allemagne, sous la République de Weimar. J’exhume cet exemple du passé, parce qu’il est d’une pertinence effroyable. En voici le processus, pour que vous compreniez bien les analogies, avec notre situation actuelle :
Ruinée par sa défaite de 1918, l’Allemagne est contrainte de payer des réparations de guerre colossales - plus 133 milliards de marks-or. Son économie est exsangue. Pour se financer, elle n’a pas d’autre choix que d’emprunter aux investisseurs internationaux. Et uniquement sur les marchés à court terme. L’inflation croît. En 1923, l’Allemagne se retrouve incapable de payer les réparations exigées par les Alliés. En représailles, ces derniers annexent la Ruhr, région la plus industrialisée et l’une des plus riches du pays. La société et l’économie allemandes s’effondrent.
En l’absence de liquidités, le gouvernement allemand actionne frénétiquement la planche à billets. Il en résulte une dévaluation vertigineuse de la monnaie : le taux d’inflation annuel atteint 12 000%. Le billet de tramway s’achète un milliard de marks. Les prix changent plusieurs fois par jour. Pour essayer de maintenir la valeur de leur salaire, les travailleurs réclament d’être payés deux fois par jour. L’hyperinflation sera stoppée avec l’instauration du Rentenmark, une nouvelle monnaie de transition, basée sur les biens de l’Allemagne. Elle aura, au passage, provoqué famine et émeutes dans tout le pays. Elle aura également fait naître une rancœur et un désir de revanche nationale, qui propulseront Hitler au pouvoir. Avec la suite que vous connaissez.
Visiblement, nos gouvernants n’ont toujours pas compris cette leçon historique (bien que le FMI ait déjà mis en place une nouvelle monnaie mondiale, les DTS – qui pourraient jouer le rôle du Rentenmark en cas d’implosion du dollar).
J’espère que vous réalisez que, tout comme l’économie mondiale, l’économie française repose sur le crédit ...
Les entreprises reposent sur le crédit... les grosses entreprises du CAC 40 comme les PME... et de nombreux artisans et agriculteurs vivent à crédit...
Nous avons dépassé les 1000 milliards de crédit immobilier aujourd’hui en France...
Alors si tout ce château de cartes dégringolait demain... je ne préfère même pas imaginer les conséquences...
Les statistiques de janvier et février témoignent d’un effondrement de la production industrielle, des ventes de détail et des investissements. Comparées à la même période l’an dernier, la production industrielle a chuté de 13,5% et les ventes de détail, de 20,5%. Quant aux investissements en actifs immobiliers, ils ont régressé de 24,5%.
Les économistes anticipaient pourtant des baisses inférieures à 5%. Ils craignent maintenant une contraction, voire une baisse de 12% du PIB trimestriel chinois, par rapport à 2019.
Ces résultats de début d’année annoncent l’impact à venir sur l’économie mondiale. Le coup d’arrêt infligé par la pandémie à l’économie chinoise, annonce l’ampleur de la prochaine crise économique.
Les répercussions sur le reste du monde se sont immédiatement fait sentir, qu’elles soient liées au trafic aérien, au tourisme, aux chaînes d'approvisionnement, aux produits de base ou au niveau de confiance de l’ensemble des acteurs économiques.
La pandémie provoque l’affolement sur les marchés financiers. Depuis le début de la crise, le CAC 40 a perdu 40 % de sa valeur.
Confinement et mise en quarantaine ne provoquent pas une récession classique : ils produisent des effets similaires à ceux d’une situation de guerre. Sauf que la crise du coronavirus n’entraînera pas de reconstruction. Pandémie et confinement créent en ce moment même, les conditions d’une catastrophe économique ... A laquelle les banques centrales répliquent de nouveau, par d’énièmes baisses des taux et injections massives de liquidités.
Le 3 mars 2020, la FED a annoncé une baisse surprise de ses taux directeurs de 0,5 point, tandis que la banque centrale du Japon rachetait des actifs ciblés sur les marchés. Actionnant la planche à billets pour soutenir les entreprises japonaises.
Aux Etats Unis, Steven Mnuchin, secrétaire au Trésor, se veut rassurant, en annonçant un plan de relance de 4 000 milliards de dollars de liquidités en soutien à l’économie.
Mais vous l’avez compris : quel intérêt de faciliter plus encore l’accès au crédit, si le confinement total empêche les entreprises de travailler ? Une économie ne se relance qu’à condition que le travail reprenne.
L’arrêt de l’activité économique vient creuser l’abîme de la dette. Il met en danger la capacité de remboursement du secteur privé : il faut des revenus pour payer les salaires et rembourser les emprunts. La contraction de l’activité économique sera fatale à des milliers d’entreprises, partout dans le monde.
La fragilité des bilans et l’endettement massif des entreprises s’érigent en menaces très claires. L’OCDE en évalue les effets sur l’économie mondiale. Et prévient déjà : Déjà, le 8 avril, la Banque de France estimait l’impact du COVID-19 sur l’économie française :
Coronavirus :
"Le PIB a plongé de 6 % au premier trimestre 2020, selon une première estimation de la Banque de France, dévoilée ce mercredi matin. Le pire recul depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale,
après un dernier trimestre 2019 déjà négatif. Certains secteurs, dont
la construction et les services marchands, enregistrent des baisses de
plus de moitié de leur activité du fait des mesures de confinement."
Vous réalisez ? Cette crise du COVID-19 a tout du coup de grâce.
Or, on sait depuis plusieurs années que c’est ce genre d’événement qui crée les crises financières. Le coronavirus est un Cygne Blanc. Cygne, car personne ne s’attendait à ce qu’une pandémie créé une telle chute des marchés mondiaux...
... mais "blanc" parce qu’on aurait pu anticiper les effets de cette pandémie... si les autorités l’avait prise plus au sérieux dès le départ. Mais ce n’est pas là le fond du problème...
Dans de nombreux pays, l’activité économique tourne au ralenti, pour une durée indéterminée. La relancer exigera d’imprimer une quantité phénoménale de monnaie. Des centaines de milliards de dollars, qui viendront pressuriser à l’extrême le système bancaire, déjà détenteur de milliards de produits dérivés. Le QE dépassera les milliers de milliards de dollars.
Au passage, de nombreux investisseurs ignorants continueront d’acheter sur le marché obligataire. Qui finira par faire défaut et s’effondrera.
Et vous ? comment allez-vous en ce moment ?
Avec le confinement imposé, exercez-vous normalement votre activité professionnelle ? Êtes-vous au chômage partiel ? Avez-vous dû stopper toutes vos activités ?
A moins que vous soyez à la retraite ? Comment se portent les valeurs dans lesquelles vous investissez vos économies ?
Vos revenus sont-ils impactés par la crise du COVID-19 ?
Face au risque de voir vos revenus décroître ou pire, disparaître, vous pouvez et vous devez rapidement réagir. L’urgence est de protéger votre patrimoine et mettre vos intérêts hors de danger.
Vous comprenez que notre économie ne sortira pas indemne de la crise du COVID-19.
Le versement de vos retraites, de vos allocations ou de vos salaires risque de connaître des retards et des ratés de plus en plus fréquents.
Le rendement des obligations et actions que votre banque vous a incité à acheter, peut devenir une source de graves déconvenues. A moins qu’il ne le soit déjà...
Quant à votre banque... Depuis la BRRD, vous savez que vos avoirs bancaires sont menacés. Applicable en France depuis le 1er janvier 2016, la BRRD ou "Directive européenne sur le redressement des banques et la résolution de leurs défaillances ", vise à préserver les Etats du risque de faillite bancaire. Elle autorise désormais une banque en grave difficulté à résorber ses pertes, en se servant directement sur les comptes de ses clients.
Avant de pouvoir être secourues par l’Etat, les banques défaillantes se tournent vers leurs actionnaires et leurs créanciers. Avec l’entrée en vigueur de la BRRD, elles peuvent désormais ponctionner les comptes clients excédant 100 000 euros de dépôts.
Théoriquement, le Fonds de Garantie des Dépôts et de Résolution, organisme d’intérêt général, a pour mission de garantir les dépôts bancaires inférieurs à 100 000 euros.
Or, il est de notoriété publique que les réserves du FGDR ne suffiront pas pour garantir les 2 225 milliards d’euros de dépôts que recensait la Banque de France, en février 2019. L’insuffisance de ces réserves implique donc que les économies de Monsieur Toutlemonde, souvent bien inférieures à 100 000 euros, pourront être ponctionnées sans indemnités. Le Livret Jeune de vos enfants, vos PEL, PEA, PEP et autres comptes courants....
En cas de défaillance majeure de votre banque, votre argent pourrait bien s’évaporer, pour aller réparer des dégâts dont vous n’êtes pas responsables.
La Banque Centrale européenne reconnaît elle-même qu’il est inenvisageable de laisser les banques faire faillite (bail-in) tout en conservant la garantie de 100 000€. Tout est dit.
En termes clairs, si une banque fait faillite en France, ses propres clients, riches ou modestes, pourront être contraints de la renflouer sur leurs deniers personnels. Et risquer la ruine.
Enfin, quid du danger d’hyperinflation qui nous guette ? Une fois lancé, l’engrenage de l’hyperinflation est très difficile à stopper : pour pallier à la crise l’Etat imprime de la monnaie, mais cette dernière ne suffit pas à créer de la croissance, donc les rentrées fiscales sont insuffisantes pour régler la dette, donc besoin de créer encore plus de dettes. Cette spirale déséquilibre encore davantage les comptes publics. L’Etat est alors tenté de créer toujours plus de monnaie pour combler les déficits budgétaires.
L’excès de monnaie en déprécie la valeur. Les épargnants se retrouvent ainsi ruinés, à l’instar de tous ceux dont les revenus ne sont pas indexés sur l’inflation. Comme les retraités par exemple.
Et quand la monnaie n’est plus acceptée, les échanges se complexifient car ils doivent parfois s’établir sur la base du troc. Les acteurs économiques cessent d’investir et se rabattent sur des actifs comme l’or ou l’immobilier. Or, l’arrêt des investissements obère notablement la croissance.
Comment vous prémunir contre ces aléas ?
Comment réduire votre vulnérabilité, le jour où les DAB ne proposeront plus que des coupures de 10 000 ou 20 000 euros...
Nos experts ont développé de véritables stratégies de défense, vis-à-vis de toutes ces menaces que je viens d’évoquer.
Pour commencer, sortir de l’Euro, détenir chez vous des valeurs tangibles, habilement dissimulées.... Sont des prérequis.
Ensuite, vous vous en doutez, il va falloir sortir du système bancaire... des assurances-vie et autres livrets qui ne sont plus fiables. Et il faudra sans doute passer quelques heures cette semaine pour diversifier votre capital dans des actifs sûrs, qui ne craignent pas la crise. Certaines devises, certains métaux précieux, dont la plupart se bonifieront même, à mesure que nous nous enfoncerons dans la récession...
Je crois que vous avez compris l’idée... Et je ne veux pas être trop long dans la description de ce scénario apocalyptique... Je ne suis pas là pour vous terroriser mais au contraire, pour vous donner un moyen d’agir. Je voudrais que vous compreniez qu’il est encore temps d’agir... De mettre vos économies à l’abri... D’éviter de vous faire confisquer une partie de votre argent... Et même qu’il est possible de prospérer en cette période de crise.
Un moyen qui ne vous coûtera presque rien : 4 euros par mois – c’est moins cher qu’une assurance... moins cher qu’un gestionnaire de patrimoine... moins cher qu’un coffre-fort... ou que l’ouverture d’un compte en Suisse.
Cette solution est utilisable par TOUS... où que vous soyez en France... quelle que soit votre situation professionnelle... et quelle que soit votre expertise en économie et en finance. Oui, en suivant les conseils de notre expert, n’importe qui peut se mettre à l’abri de la crise – avant qu’il ne soit trop tard.
Si vous tapez son nom dans Google, vous verrez qu’il est loin d’être un débutant.
Cela fait dix ans qu’il sillonne les routes de France avec les Econoclastes pour prévenir les Français de ce qu’il se passe réellement dans l’économie.
Ils sont même invités régulièrement par l’Ecole de Guerre à Paris, qui prend leurs conseils au sérieux... contrairement aux chiens de garde du gouvernement.
Il a rejoint les Publications Agora au début de l’année 2019, avec une lettre confidentielle : "Delamarche en liberté", que je vous présenterai dans une minute.
Il est aussi à la tête d’une émission d’économie sur RT France – C’est Cash – et fait souvent plus de 300 000 vues sur les chaines Youtube qui l’invitent pour parler économie.
Il faut dire qu’Olivier n’a pas sa langue dans sa poche, et que lorsqu’il sent le besoin de dénoncer une situation ou de critiquer une personnalité...
... il est rare qu’il parvienne à réprimer ce besoin.
Et c’est pour cela qu’on l’aime. Olivier ne supporte pas le mensonge, l’injustice, la bêtise, la pensée unique et tout ce qui consiste à manipuler l’opinion.
Avoir Olivier à vos côtés, c’est votre meilleure chance de comprendre ce qu’il se passe VRAIMENT sur les marchés et dans l’actualité...
D’ailleurs, certaines familles fortunées lui font confiance depuis plusieurs années dans la gestion de leur portefeuille, puisqu’il gère un family office en Suisse.
Ses performances parlent pour lui-même, et je ne m’appesantirai pas là-dessus... mais ce que je veux que vous reteniez, c’est que vous avez aujourd’hui une chance exceptionnelle de profiter des conseils de ce géant de l’économie...
Pour seulement 4 euros par mois. J’ai intentionnellement baissé le tarif de sa lettre confidentielle afin que chacun puisse en profiter en ces temps incertains – et que l’argent ne soit pas une barrière pour vous protéger.
Alors s’il vous plaît, suivez ses conseils.
Notre allocation a déjà permis de générer une plus-value de +40% sur les obligations américaines – et 10% en moyenne sur l’ensemble du portefeuille.
Et même si les marchés s’effondrent, cette allocation devrait vous permettre de dégager ce niveau de rendement.
Pourquoi ? parce qu’elle vous permet de mettre votre argent en dehors du système bancaire, sur des actifs sans lien direct avec la déroute de nos économies et la bulle des dettes...
Soyons clair, je ne suis pas en train de vous vendre une solution miracle :
Je ne peux pas vous garantir que votre argent se bonifiera à coup sûr de 10% tous les ans – et que vous ne subirez AUCUNE perte !
Mais je peux vous assurer que cette solution est la meilleure à ma connaissance pour protéger votre argent de la crise que nous pressentons tous.
Et pour vous aider à gérer votre argent de mois en mois, vous recevrez à partir du prochain numéro, à votre domicile, la lettre Delamarche en liberté.
Cette lettre de 12 pages vous permettra de découvrir tous les mois, l’analyse d’Olivier sur le contexte économique et financier.
Avec le ton qui le caractérise, Olivier vous présenter SA vision de l’économie et de la finance – en s’appuyant sur l’actualité de crise pour vous en dévoiler les rouages, les tenants et les aboutissants.
Contrairement à un dossier de presse, Olivier ira beaucoup plus loin qu’une description froide et morne de l’actualité financière.
Il vous fera part de son indignation face aux politiques monétaires actuelles, face à l’incompétence des directeurs des banques centrales et du FMI...
... Ou encore de sa sidération face aux fake news véhiculées dans la presse généraliste, et surtout : il fera des prédictions sur la manière dont les choses pourraient évoluer dans le court moyen terme et vous donnera tous les mois ses conseils pour gérer au mieux votre argent.
Une fois qu’Olivier aura développé sa vision et ses prédictions, son acolyte Stéphane Dubois prendra le relai pour vous proposer des applications concrètes.
Stéphane est gestionnaire de patrimoine, il connait parfaitement toutes les contraintes administratives, fiscales ou encore réglementaires que tout particulier doit affronter lorsqu’il décide de prendre son argent en main... Dans le dernier numéro, Stéphane aborde par exemple la question de la succession.
Mieux encore : Stéphane a le don pour rendre toutes ces complications simples à comprendre et vous donnera les clés pour agir sans "prises de tête" inutiles.
La Lettre Delamarche en liberté se terminera tous les mois par une présentation du portefeuille (comprenant tout ce dont vous avez besoin pour investir : pourcentage d’allocation, date d’entrée, cours d’achat, performance, etc.) et une mise à jour de ce dernier – dont vous pourrez retrouver une copie mise à jour régulièrement dans l’Espace Membre de notre site internet.
En suivant scrupuleusement les conseils d’Olivier et de Stéphane, vous serez donc suffisamment informé pour pouvoirfacilement répliquer leurs performances – en ayant la satisfaction d’avoir le contrôle sur votre argent.
A nouveau, si vous débutez en investissement, n’hésitez pas à prendre contact avec notre service clients qui pourra vous remettre des documents pédagogiques très bien faits qui vous permettront de reprendre toutes les bases.
Un Kit de Survie Financière qui vous permettra de savoir immédiatement quoi faire de votre argent – et dans quelle proportion investir et diversifier vos positions.
Il contient les différentes classes d’actifs que vous devriez posséder aujourd’hui pour vous prémunir d’une récession longue et coûteuse pour votre épargne.
Quels sont les métaux précieux à privilégier ? Comment investir dans l’or ? Faut-il avoir du cash, et si oui sous quelle devise ? Toutes les actions sont-elles bonnes à jeter ?
Ce guide répond de manière simple et synthétique à toutes ces questions – c’est le premier Rapport que je vous recommande de lire pour avoir une idée instantanée de l’allure que devrait avoir votre portefeuille en ces temps de crise.
Ce Rapport est offert dans votre abonnement à 4 euros par mois...
Considérez qu’en nous rejoignant aujourd’hui et en recevant ce Rapport, vous amortirez instantanément votre investissement !
Et ce n’est pas tout...
En nous rejoignant aujourd’hui je voudrais vous offrir un autre rapport spécial, dédié cette fois au métal jaune : l’or.
Impossible de s’en passer en ce moment (c’est bien pour cela que les publicités vous proposant d’acheter votre or poussent comme des champignons), il convenait donc d’en faire un Rapport dédié, afin de vous donner toutes les informations à connaître pour investir facilement et efficacement.
Car oui, l’or est sans doute un des investissements préférés des Français en temps de crise, mais on le trouve sous toutes les formes... qui ne se valent pas toutes.
Vous découvrirez dans ce Rapport toutes les informations pour acheter de l’or – en quelle proportion, sous quelle forme, les brokers les plus fiables du marché.
Attention : certains brokers sont en pénurie d’or en ce moment – si vous avez des difficultés à trouver les pièces ou lingots que vous recherchez, n’hésitez pas à nous contacter pour avoir les dernières nouvelles de ce marché...
Notre service clients est en veille permanente auprès des brokers concernés et se tient au courant des délais d’approvisionnement de ces derniers.
A nouveau, ce Rapport est offert avec votre abonnement à la lettre Delamarche en liberté. Profitez-en, il sera remis à jour régulièrement.
[...]
N’attendez pas pour agir, le temps passe vite.
Olivier Cros
Directeur des Publications Agora
Vous sonnez. Votre femme ouvre la porte et vous rentrez en trombe dans l’appartement.
Votre petite fille sanglote à présent, dans les bras de sa mère. Qui affolée, vous presse de questions : "qu’est-ce qui se passe ?" ; "qu’est-ce que tu as ?".
Votre esprit est confus.
Pourtant, la journée avait bien commencé. Enfin, autant que cela est possible, après sept semaines de confinement. Vous emmeniez votre enfant faire les courses au Monoprix. Qui rouvre aujourd’hui, après 10 jours de fermeture.
Un véritable événement, quand on a plus le droit de sortir. Ou du moins, pas plus d’une heure par jour. Et pour raisons impératives uniquement. Comme acheter à manger, par exemple.
Vous avez rempli, daté, horodaté et signé deux attestations de déplacement dérogatoires. Une pour vous et une pour votre fillette de 6 ans. Qui vous a fait part de son envie pressante d’acheter des "milliards de fraises Tagada".
Dans le magasin, un attroupement aux caisses. Des vociférations. Des clients invectivent le personnel, qui tente de les calmer. Des insultes fusent. Les employés sont bousculés.
Vous interrogez une jeune femme, à côté de vous. "Il y a un problème avec les prix Monsieur. Regardez l’étiquetage des produits. Ces personnes refusent de payer à ces prix. Nous refusons tous. Non mais, de qui se moque-t-on ?"
Vous prenez le pot de Nutella que votre fille vous réclame depuis une semaine. 50 euros les 750 grammes. Votre camembert au lait cru, 45 euros. Stupéfait, vous parcourez tous les rayons. La salade en sachet ne coûte plus 2 euros. Mais 20 euros. Le poulet que votre femme voulait faire rôtir, trône à l’étal du boucher. Etiqueté à 90 euros.
Les rayons sont pleins. Rien ne manque. Mais les prix ont changé. Explosé, même. Autour de vous, les clients sont furieux. Et incrédules.
Vous tendez l’oreille : le directeur du magasin est cerné par une clientèle hystérique. Il tente une explication : "Mesdames, Messieurs, je vous en prie calmez-vous". "Vous le savez, le gouvernement l’a annoncé ! avec la chute de l’Euro, nous avons dû adapter nos prix".
"Scandale" ; "escrocs" ; "voleurs" ; puis d’autres mots, de plus en plus agressifs. Orduriers.
Dans un coin, trois jeunes hommes se concertent brièvement. Et soudain, sous vos yeux, ils s’élancent vers les vitrines, qu’ils font éclater à coups de masse. Certains clients restent pétrifiés. D’autres se précipitent dans le magasin et s’emparent des marchandises. Frénétiques, ils remplissent leurs sacs. Au loin, une sirène de police retentit.
Votre petite fille pleure, épouvantée. Il faut partir d’ici. Vite.
Vous vous foutez de dépasser l’heure inscrite sur votre attestation de déplacement dérogatoire. Vous tournez dans votre ville, à la recherche d’un magasin aux prix normaux. En vain.
Quatre puis cinq supermarchés. Tous bien approvisionnés. Mais à des prix exorbitants. Multipliés par 10 ou 20. En l’espace de 24 heures. Partout, des altercations, des insultes. Des gens hagards et certains qui en viennent aux mains avec des vigiles. Mais les forces de l’ordre se déploient à présent autour des commerces.De guerre lasse, vous cédez. Et vous faites 15 jours de courses au prix fort. Votre panier coûte 3000 euros.
Il contient des produits de première nécessité. Des aliments nutritifs et basiques. Longue conservation. Pas de vin. Très peu de produits frais. Réservés à votre petite fille. Un sac de bonbons Haribo. Parce que malgré l’angoisse qui vous étreint, il est de première nécessité de lui faire plaisir. Encore un peu.
L’autre souci, c’est votre chien. Les croquettes atteignent des prix astronomiques.
Il ne faudrait pas, surtout pas, que cette situation dure trop longtemps... Vous avez toujours aimé vos animaux. Vous n’avez jamais abandonné aucun d’entre eux. Mais s’il fallait choisir entre nourrir votre petite fille et votre chien...
Saturé de confinement et de COVID-19, vous aviez cessé d’écouter et de regarder les informations. Vous n’étiez pas préparé au cauchemar éveillé, qui se déroule à présent devant vous :
La crise sanitaire du coronavirus vient de précipiter la zone euro dans l’hyperinflation. C’est-à-dire, une augmentation des prix incontrôlable, imprévisible et exponentielle, dépassant 50% par mois. Et appelée à durer.
Jusqu’alors, l’hyperinflation était pour vous un concept vague. Abstrait. Datant de 1923. Localisé en Allemagne. Sous la République de Weimar. Le passé, en somme. Même si, plus récemment, vous aviez eu vent de la descente aux enfers du Venezuela, avec ses 10 000 000% d’hyperinflation.
Mais bien sûr, cette situation ne pouvait pas se produire en France, 7ème puissance mondiale. C’était tout simplement impossible.
Non. L’hyperinflation ne s’est pas encore produite. Mais nous allons au-devant de l’effondrement qui la provoquera.
Bonjour, mon nom est Olivier Cros.Je suis le directeur des Publications Agora en France, maison d’édition spécialisée dans la finance – dédiée aux particuliers.
Le scénario que je viens de vous peindre à l’instant est certes alarmant... mais Dieu soit loué : il ne s’est pas encore produit.
En tout cas l’hyperinflation n’est pas encore présente, même si on peut ressentir déjà quelques signes d’inflation sur certains produits de première nécessité...
... et que d’autres produits sont en pénurie totale, notamment tout ce qui nous vient de Chine – mais l’important n’est pas là...
L’important est de comprendre que ce scénario n’est pas IMPOSSIBLE... car dans le contexte actuel, RIEN n’est impossible.
Songez seulement au début de l’année 2020... si je vous avais écrit en vous disant que d’ici quelques mois vous seriez assigné à résidence...
... que la légion étrangère surveillerait les zones à risque... que l’armée et la police ferait des rondes dans les rues pour vous contraindre à rester chez vous...
... que vous seriez obligé de vous munir d’une attestation de déplacement qui ne vous permettrait pas de sortir plus d’une heure de chez vous...
Vous m’auriez sans doute ri au nez... traité de Cassandre... et m’aurait répondu que tout cela était strictement IMPOSSIBLE.
Depuis 20 ans, par le biais de nos publications gratuites, nous informons quotidiennement nos lecteurs de la situation économique réelle.
Celle dont les médias mainstream ne parlent pas.
Depuis 20 ans, nous publions régulièrement des informations à contre-courant de celles que diffusent le journal de 20h et la presse aux ordres des patrons du CAC40.
20 ans aussi que l’on nous traite de Cassandre et de porteurs de mauvaises nouvelles... C’est l’image dont nous affublent les banquiers, bien souvent.
Mais à mon sens depuis 20 ans, nous abordons les vrais risques, et les vrais problèmes, pendant que les médias détenus par les puissants font diversion.
Les informations que je m’apprête à vous révéler ne sont pas diffusées à la télévision, qu’il s’agisse des chaînes du service public ou des chaînes privées.
Le Figaro, Les Echos ou encore Le Revenu ne les prennent pas réellement au sérieux... ils considèrent parfois que ces informations sont trop complexes...
Ou bien ils sont obnubilés par l’actualité immédiate, et ne sont d’aucune aide lorsqu’il s’agit de se projeter, d’anticiper, de mettre un plan concret en action.
Pourtant, je considère qu’il est de mon devoir de vous transmettre ces informations, pour vous aider à vous préparer à la catastrophe qui s’annonce.
Notez que si à ce jour, vous avez des actions en portefeuille, ce message vous parviendra trop tard !
Quand je parle de catastrophe, je pèse mes mots – et je pense aussi que le pire est à venir pour l’économie mondiale.
Je ne vous parle pas d’une pénurie de bonbons ou de croquettes pour chien...
Je vous parle d’une des pires périodes économiques et financières que nous ayons connues... Une crise qui restera dans les livres d’Histoire et d’Economie.
Savez-vous que pendant la crise de 2008, les Etats ont consacré 1,6 trillion de dollars à renflouer les seules institutions financières ?
... Simplement pour retarder l’inévitable.
Si nos analyses sont justes, nous allons au-devant d’une situation pire encore.
Il faut se préparer à ce que la France traverser une période sombre, digne des pires heures de l’Histoire.
- Nos accès à nos comptes en banque pourraient être bloqués – comme c’est déjà en projet en Belgique, au nom de la solidarité et du civisme économique...Je sais que cela peut être encore difficile à imaginer. La plupart d’entre nous vivent depuis toujours dans une relative abondance. Jusqu’à présent, la question de notre avenir ne s’est jamais posée en termes de survie alimentaire. Mais l’impact économique de la crise du COVID-19 va définitivement changer la donne. Six ou huit semaines d’arrêt total de l’économie ne seront pas sans effet.
- Nos assurances-vie suspendues... déjà que les "Provisions pour Participation aux Bénéfices" nous ont été légalement dérobées.
- De la baguette aux carburants et à l’électricité, les prix pourraient exploser à la hausse...
- Tandis que nos prestations sociales, nos pensions de retraite et nos salaires pourraient diminuer comme peau de chagrin.
- Et la pression fiscale augmenter encore.
Hélas, quand la situation économique se dégrade, la nature humaine tend à dévoiler ses pires aspects... Il n’y a qu’à voir le comportement de certains consommateurs dans les hypermarchés. A grande échelle, imaginez-vous jusqu’où la peur du manque peut conduire les plus égoïstes et les plus agressifs d’entre nous ?
Un tel péril ne peut être pris à la légère... C’est pourquoi aujourd’hui, je m’adresse à vous solennellement.
Un choc monumental se profile, qui pourrait faire imploser la France...
Je conçois que mes propos peuvent paraître catastrophistes... mais j’assume pleinement. Même si je devais mon tromper dans mes anticipations... même si le degré de la catastrophe qui s’annonce était un cran moindre que ce que je vous décris dans ce message... Peu importe.J’aurais eu le sentiment du devoir accompli. Je vous aurais au moins alerté sur les véritables risques que nous encourrons tous, et je vous aurais donné les moyens de vous protéger... De protéger votre argent, votre famille, votre héritage aux nouvelles générations.
Vous trouverez tout ce dont vous avez besoin à la fin de ce message.
Mais j’insiste : l’heure n’est plus au scepticisme...
Vous le constatez vous-même : Vous et vos proches ne pouvez plus circuler librement. Ni travailler dans les conditions habituelles. Du fait de la pandémie et du confinement, notre économie est à l’arrêt. Les commerces dits "non indispensables" sont fermés. Le chômage partiel s’instaure dans la plupart des entreprises. La consommation chute.
Une entreprise qui ne travaille pas ne gagne pas d’argent. Une entreprise qui ne gagne pas d’argent ne peut pas payer ses salaires et ses charges – elle ne peut pas rembourser ses crédits. Une entreprise défaillante meurt et entraîne avec elle ses employés, ses fournisseurs et parfois, ses clients.
Bruno Lemaire a déclaré que "Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour soutenir les entreprises. [...] Cela coûtera des dizaines de milliards d’euros."
Emmanuel Macron a enfoncé le clou : "L’Etat paiera".
Pour être précis, on peut se fier au chiffre avancé par le FMI en octobre 2019 :
"En cas de ralentissement marqué de l’activité, dans le plus sombre des scénarios, 40 % de la dette des entreprises dans les huit plus grandes économies, soit 19 000 milliards de dollars [17 000 milliards d’euros], seraient exposés à un risque de défaut, soit plus que le niveau observé durant la dernière crise"
Outre le financement du chômage partiel, est-ce que cela signifie que le gouvernement prendra en charge les pertes d’exploitation ?
Posez-vous la question...
La majorité des assureurs excluent la perte d’exploitation "sans dommage" et le risque de pandémie est exclu des contrats d’assurance.
La pandémie est un risque exceptionnel, qui n’entre dans aucune statistique. Estimer ses probabilités d’occurrence s’avère donc aussi impossible que de calculer le prix de sa couverture.
Or, les pertes d’exploitation résultant de la crise du COVID19 s’annoncent gigantesques : des dizaines de milliards d’euros... Et la faillite en perspective, pour de nombreuses entreprises.
Nous allons au-devant d’une crise financière gravissime ; aucune assurance ne vous indemnisera. Et aucun gouvernement ne vous en protégera ;
Je pense que nous allons au-devant d’un choc monumental qui peut faire imploser la France – peut-être même l’Europe, ou en tout cas l’Euro comme monnaie – et laissera des traces pendant longtemps.J’aimerais prendre 5 minutes pour vous décrire en détails tout cela. Mais avant de rentrer dans le détail de ce choc... Permettez-moi de vous en dire un peu plus sur notre démarche.
Si vous ne me connaissez pas ou si vous découvrez les Publications Agora, sachez que nous n’en sommes pas à notre première prédiction...
Par exemple... En mars 2000, notre fondateur Bill Bonner annonçait que nous approchions de l’explosion de la bulle Internet...
... Plus connue sous le nom de "Bulle des dot.com".
Dès le 10 mars 2000, le Nasdaq dévissait de 77%... Et la même année, nous lancions cet appel à tous nos lecteurs : "Achetez de l’or ! c’est l’opportunité de la décennie !".
Dans notre lettre La Chronique Agora, nous avons martelé ce message presque tous les jours.... Tandis que la presse mainstream n’en parlait pas.
10 ans se sont écoulés avant qu’elle se réveille. Et que des journaux comme The Telegraph titrent enfin : "L’or est l’investissement le plus performant".
Parce qu’en effet, l’or a pris 572% en 10 ans : La différence, c’est que nous étions en avance...et The Telegraph, en retard.
Pour un investisseur ou un épargnant responsable – soucieux de placer son argent intelligemment – cela fait une énorme différence.
En 2003, nous avons anticipé l'effondrement immobilier imminent. Nous avons aidé nos lecteurs à sécuriser leur patrimoine et à se préparer.
En 2008, nous avons annoncé la crise des subprimes. Notre stratégie a conduit à des gains pouvant atteindre 462%.
En 2009, nous avons identifié en Grèce, les prémices d’un "conflit social croissant " lié aux problèmes d'endettement. Les Grecs étaient dans les rues moins d'un an plus tard...
En 2013, nos analyses concluaient que le marché était reparti à la hausse. Cette année-là, le S&P500 a enregistré sa meilleure performance en 16 ans...
En 2016, contre toute attente, nous pressentions déjà le Brexit et l’élection de Trump. Deux événements qui ont surpris tout le monde, sauf nous.
J’évoque ces exemples pour que vous compreniez notre démarche : prévenir les particuliers de ce qu’il se passe réellement dans l’Economie... la Finance...
Toutes ces sphères qui nous dépassent souvent et auxquelles nous n’accédons qu’au travers d’informations parcellaires... voire filtrées par la presse "officielle" ou mainstream.
Pourtant, nos lecteurs se fient à nos experts indépendants qui savent trouver les informations décisives pour leurs investissements et leurs décisions...
Car nous avons parmi les meilleurs experts de France et des Etats-Unis, des experts qui non seulement ont à cœur d’aider nos lecteurs, mais des experts qui expriment ouvertement leurs opinions – contrairement aux journalistes.
Je pense à Philippe Béchade, Olivier Delamarche, Stéphane Dubois, Jim Rickards, Nomi Prins ou encore Bill Bonner, fondateur de notre groupe...
Des experts qui s’appuient sur leur expertise et des investigations rigoureuses.
Ce n’est pas le cas de celles des nouveaux chiens de garde des pouvoirs politiques.
C’est donc tout le sens de ma démarche aujourd’hui : vous avertir du danger qui menace notre pays, mais pas que... En espérant que vous me prêtiez suffisamment de crédit pour lire mon message entièrement...
Libre à vous de décider si vous êtes d’accord ou pas – et si les solutions que j’ai mises en place pour moi et mes lecteurs vous intéressent, ou non.
... Et si mes conclusions vous semblent correctes... Passez à l’action dès la fin de ce message. Croyez-moi : certains de nos lecteurs sont abonnés à nos publications depuis plus de 15 ans. Et ce n’est pas dû au hasard.
Alors que vous soyez "plein aux as", héritier d’une fortune familiale, simple employé qui cherche à se constituer une poire pour la soif, retraité en recherche de sécurité, ou même étudiant un peu perdu dans les méandres de la macro-économie... Lisez ce message jusqu’au bout s’il vous plait.
J’ai mis à votre disposition ce que je considère être la solution la plus simple à mettre en œuvre, et la plus efficace. Une solution qui vous permettra non seulement de vous protéger pendant la PIRE CRISE FINANCIERE que les autorités financière et monétaire ont déclenchée dans l’Histoire...
... mais vous verrez que certains conseils vous permettront aussi de prospérer pendant et après la crise – si bien que dans les années qui la suivront, vous pourrez dire à vos enfants et à vos petits-enfants que vous étiez là... que vous avez vu cette crise de vos propres yeux et que vous avez su réagir intelligemment.
Croyez-moi : il n’y a rien de pire que d’entendre quelque chose du genre "on n’a pas eu le choix, tout le monde était logé à la même enseigne".
Je suis un petit-fils de la Seconde Guerre Mondiale. Mes parents sont nés en 48. Mes grands-parents ont combattu et résisté contre le fascisme et le nazisme en Belgique, en Espagne et en France. Je sais ce que c’est de tout perdre. Nous sommes passés par là. Mais aujourd’hui, vous avez le choix.
Je vous précise que je ne suis pas en campagne électorale... que je ne cherche pas à lever des fonds, ni à vous demander de participer à une campagne de dons...
Mon but aujourd’hui n’est pas de vous convaincre que nous allons droit dans le mur... que les marchés sont pipés... ou que les gouvernements ont un "plan secret" qui va enrichir les 1% et appauvrir tous les autres...
Je vais simplement vous informer de ce qu’il se passe en ce moment...
Nos gouvernements sont en train de nous entrainer dans une situation inextricable...En ce moment même, nous sommes dans une fuite en avant... Dont nos gouvernants eux-mêmes ignorent comment elle se terminera pour les Français.
Et pour les européens.
Depuis des décennies, on a créé plus de dette que jamais... on achète de la croissance avec de la dette... Tant et si bien qu’il n’était pas rare jusqu’à ces dernières semaines, que les banques fassent du démarchage auprès des sociétés pour leur refourguer des crédits à taux si bas qu’il aurait été stupide de les refuser !
Et cela s’est traduit concrètement par une débauche de crédits... contractés par des entreprises qui n’en n’avaient pas réellement besoin – et un gonflement de la bulle obligataire. Sauf qu’il y a toujours les mensualités à rembourser... et que lorsque l’économie est à l’arrêt, que le chiffre d’affaires est à zéro et que la trésorerie est vide, un problème se pose...
C’est la même chose pour les ménages : si vous avez des crédits et pas de trésorerie, vous allez prendre dans vos économies, votre épargne... et quand vous n’avez pas d’économie... certains vont même être tenté de reprendre du crédit !
Et tout ça pose un énorme problème :
Selon l’OCDE, la dette de la France représente 122,1% de son PIB, lui-même évalué à 2.420 milliards d'euros en 2019.
Dans son rapport annuel publié le 25 février 2020, la Cour des comptes estime pour sa part la dette publique française à 98,8 points de PIB, soit environ 2 385 Md€.
Je pense que la prochaine fois que nous ferons les comptes, nous aurons allègrement explosé la barre des 150%, comme l’annonce Florent Ly-Machabert, professeur agrégé de sciences économiques et sociale à la Sorbonne : "avec une dette de 3500 milliards, 200 milliards de déficit et un doublement du taux de chômage".
Pensez-vous sincèrement que le gouvernement français ait les moyens de soutenir les entreprises ? et de relancer la croissance dans le même temps ?
Les banques centrales ont créé une bulle de 253 000 milliards de dollars qu’elles alimentent aujourd’hui tous les mois – sans pouvoir s’arrêter.
Au troisième trimestre 2019, l’Institut de la Finance Internationale (IIF) estimait la dette globale à 253 000 milliards de dollars, soit 322% du PIB mondial. Et cette dette continue de croître.Dans son rapport, l’IFF indique : "Sous l’impulsion de taux d’intérêt bas et de conditions financières déficientes, nous estimons que la dette mondiale totale dépassera les 257.000 milliards de dollars au premier trimestre 2020, entraînée principalement par la dette du secteur non financier".
Depuis des années, l’Etat actionne des leviers dangereux, aux effets dévastateurs :
La crise financière de 2008 a marqué l’apparition du "quantitative easing" ou "assouplissement quantitatif". La FED a initié cette technique non-conventionnelle, allègrement reprise par la BCE et les banques centrales de nombreux pays.
De quoi parle-t-on ?
Le QE consiste pour une banque centrale à créer de la monnaie, non pas physiquement mais au moyen d’une simple ligne de crédit. La banque centrale achète des bons souverains aux banques, aux assurances ou aux fonds de pension, pour injecter cette monnaie dans l’économie.
Les institutions bénéficiaires obtiennent ainsi du cash, qu’elles peuvent – en théorie – prêter aux entreprises et aux ménages, à taux plus faibles. Une fois la croissance relancée par davantage d’investissement et de consommation, la banque centrale revend théoriquement ses bons souverains. Et détruit le surplus de monnaie créé durant la crise, pour éviter la pression inflationniste. Car une monnaie trop abondante au regard de l'activité économique, induit un risque d’inflation.
Le "hic" si vous me permettez l’expression, c’est que depuis 2008 cet argent frais n’est pas du tout allé dans l’économie réelle, il a stagné au niveau des banques et des grandes entreprises qui se sont refinancées à bon compte. Les marchés ont atteint des plus-hauts. Dans les apparences tout allait pour le mieux, sauf que la croissance n’était pas au rendez-vous...
Avec le coup de massue du Covid-19, le roi est nu. L’économie s’arrête, et les marchés perdent 40% en un mois, soit l’équivalent de 10 000 milliards de dollars qui disparaissent en fumée – comme dirait Bill Bonner : "une correction est proportionnelle à la tromperie qui l’a précédée".
En d’autres termes, vous avez aujourd’hui des marchés qui sont à leur cours "normaux", c’est-à-dire qui ne sont pas enflés par une abondance de liquidité.
Mais voilà que les autorités doivent intervenir à nouveau ; par-là, j’entends surtout les banques centrales, qui devront cette fois alimenter l’économie réelle, avec ce qu’on appelle "l’helicopter money", consistant à inonder l’économie réelle d’argent pour éviter la paralysie...
Et ça... C’est le PIRE qui puisse arriver – même si pendant un temps les naïfs penseront que pour une fois l’Etat Providence fait son devoir et aide nos concitoyens à surnager dans cet océan de catastrophe... En réalité, elles sont en train de semer – mécaniquement – le retour de l’inflation, et de l’hyperinflation.
Car plus vous augmentez la masse monétaire, le volume d’argent en circulation, et plus vous diluez la valeur de cet argent. Or la quantité d’argent qui vient d’être émise – et qui sera encore émise pour aussi longtemps que nécessaire – est tout simplement inédite... Et va créer une bulle d’argent sans précédent.
Imaginez que tous les prix, et la monnaie en circulation soient multipliés par 100. Pour endiguer ce phénomène, impactant les entreprises, comme les salariés et les épargnants, la banque centrale et le gouvernement devront augmenter les taux d'intérêt et/ou instaurer une politique d'austérité. Faisant ainsi chuter la croissance, tandis que les dettes contractées devront continuer à être remboursées.
La véritable – et terrifiante – source de notre argent...
C’est le crédit. C’est la source actuelle de nos économies. Une banque centrale baisse son taux directeur – à des taux négatifs – pour inciter à l’emprunt et relancer investissement et consommation. En théorie, la faiblesse des taux actuels semble très favorable pour les entreprises, les ménages et les Etats.Mais l’accès facile au crédit a entraîné une augmentation colossale de l’endettement. Depuis des années, le niveau d’endettement de la France est devenu un danger pour nous tous.
Publique ou privée, la dette n’est bénéfique que si elle génère de la croissance économique. Parce que la croissance augmente les revenus. Et facilite d’autant le remboursement du capital et des intérêts.
Mais l’endettement de la France ne crée pas assez de croissance. On estimait avant le Corona-Krach que 3 euros de crédit étaient nécessaires pour créer 1 euro de croissance. Demain, il faudra 10 euros de crédit pour un euro de croissance (sachez qu’en Espagne entre 2008 et 2017, il fallait 12,10€ de dette pour 1€ de croissance)... Et la faiblesse artificielle des taux d’intérêts encourage nos gouvernants à emprunter toujours plus, sans créer davantage de richesses...
Or depuis 30 ans l'Etat français s’endette sans compter et dépense sans efficacité. Jusqu’à rendre la dette insoutenable. Avec un taux de chômage dépassant 8% (avant la crise de 2020), la pression fiscale la plus élevée du monde et un déficit public permanent.
Dans notre pays, où le PIB par habitant dépasse 47 800 USD, l’endettement des ménages atteint 120,7% du revenu disponible. Selon l’OCDE, pour une croissance de 10 % du PIB, le crédit aux ménages réduirait de 0,7 point la croissance à long terme.
Problème supplémentaire : un crédit ne vaut que si le créditeur sait qu’il sera remboursé... sauf qu’il arrivera un jour où il sera CLAIR que personne ne pourra rembourser.
Car notre système de crédit est insolvable – et notre monnaie ne vaudra plus rien.
Et quand on arrivera à ce point... Quand les débiteurs avoueront qu’ils ne peuvent pas payer... Et que les créditeurs auront compris qu’ils ne seront jamais remboursés...
Cela va créer un choc historique. La seule solution qu’auront alors les autorités pour soulager la dette et l’explosion de ses intérêts sera l’hyperinflation. Car elle permet de réduire la dette quasi-instantanément.
Vous devez absolument comprendre le risque et la gravité de l’hyperinflation.
J’évoquais tout à l’heure l’hyperinflation de 1923 en Allemagne, sous la République de Weimar. J’exhume cet exemple du passé, parce qu’il est d’une pertinence effroyable. En voici le processus, pour que vous compreniez bien les analogies, avec notre situation actuelle :
Ruinée par sa défaite de 1918, l’Allemagne est contrainte de payer des réparations de guerre colossales - plus 133 milliards de marks-or. Son économie est exsangue. Pour se financer, elle n’a pas d’autre choix que d’emprunter aux investisseurs internationaux. Et uniquement sur les marchés à court terme. L’inflation croît. En 1923, l’Allemagne se retrouve incapable de payer les réparations exigées par les Alliés. En représailles, ces derniers annexent la Ruhr, région la plus industrialisée et l’une des plus riches du pays. La société et l’économie allemandes s’effondrent.
En l’absence de liquidités, le gouvernement allemand actionne frénétiquement la planche à billets. Il en résulte une dévaluation vertigineuse de la monnaie : le taux d’inflation annuel atteint 12 000%. Le billet de tramway s’achète un milliard de marks. Les prix changent plusieurs fois par jour. Pour essayer de maintenir la valeur de leur salaire, les travailleurs réclament d’être payés deux fois par jour. L’hyperinflation sera stoppée avec l’instauration du Rentenmark, une nouvelle monnaie de transition, basée sur les biens de l’Allemagne. Elle aura, au passage, provoqué famine et émeutes dans tout le pays. Elle aura également fait naître une rancœur et un désir de revanche nationale, qui propulseront Hitler au pouvoir. Avec la suite que vous connaissez.
Visiblement, nos gouvernants n’ont toujours pas compris cette leçon historique (bien que le FMI ait déjà mis en place une nouvelle monnaie mondiale, les DTS – qui pourraient jouer le rôle du Rentenmark en cas d’implosion du dollar).
J’espère que vous réalisez que, tout comme l’économie mondiale, l’économie française repose sur le crédit ...
Les entreprises reposent sur le crédit... les grosses entreprises du CAC 40 comme les PME... et de nombreux artisans et agriculteurs vivent à crédit...
Nous avons dépassé les 1000 milliards de crédit immobilier aujourd’hui en France...
Alors si tout ce château de cartes dégringolait demain... je ne préfère même pas imaginer les conséquences...
Et c’est dans ce contexte à très hauts risques, que la pandémie éclate...
Au prix de mesures d’endiguement draconiennes, la Chine est parvenue à juguler la pandémie. Mais les fermetures d'usines et les restrictions à la circulation des personnes, des biens et des services, ont aujourd’hui de lourdes conséquences sur l'activité manufacturière et la demande intérieure chinoises.Les statistiques de janvier et février témoignent d’un effondrement de la production industrielle, des ventes de détail et des investissements. Comparées à la même période l’an dernier, la production industrielle a chuté de 13,5% et les ventes de détail, de 20,5%. Quant aux investissements en actifs immobiliers, ils ont régressé de 24,5%.
Les économistes anticipaient pourtant des baisses inférieures à 5%. Ils craignent maintenant une contraction, voire une baisse de 12% du PIB trimestriel chinois, par rapport à 2019.
Ces résultats de début d’année annoncent l’impact à venir sur l’économie mondiale. Le coup d’arrêt infligé par la pandémie à l’économie chinoise, annonce l’ampleur de la prochaine crise économique.
Les répercussions sur le reste du monde se sont immédiatement fait sentir, qu’elles soient liées au trafic aérien, au tourisme, aux chaînes d'approvisionnement, aux produits de base ou au niveau de confiance de l’ensemble des acteurs économiques.
La promesse d’une récession
La crise du Coronavirus aggrave la fragilité de notre économie et de notre système financier. Elle trahit la vulnérabilité de notre modèle social et le caractère illusoire de la solidarité européenne.La pandémie provoque l’affolement sur les marchés financiers. Depuis le début de la crise, le CAC 40 a perdu 40 % de sa valeur.
Confinement et mise en quarantaine ne provoquent pas une récession classique : ils produisent des effets similaires à ceux d’une situation de guerre. Sauf que la crise du coronavirus n’entraînera pas de reconstruction. Pandémie et confinement créent en ce moment même, les conditions d’une catastrophe économique ... A laquelle les banques centrales répliquent de nouveau, par d’énièmes baisses des taux et injections massives de liquidités.
Le 3 mars 2020, la FED a annoncé une baisse surprise de ses taux directeurs de 0,5 point, tandis que la banque centrale du Japon rachetait des actifs ciblés sur les marchés. Actionnant la planche à billets pour soutenir les entreprises japonaises.
Aux Etats Unis, Steven Mnuchin, secrétaire au Trésor, se veut rassurant, en annonçant un plan de relance de 4 000 milliards de dollars de liquidités en soutien à l’économie.
Mais vous l’avez compris : quel intérêt de faciliter plus encore l’accès au crédit, si le confinement total empêche les entreprises de travailler ? Une économie ne se relance qu’à condition que le travail reprenne.
L’arrêt de l’activité économique vient creuser l’abîme de la dette. Il met en danger la capacité de remboursement du secteur privé : il faut des revenus pour payer les salaires et rembourser les emprunts. La contraction de l’activité économique sera fatale à des milliers d’entreprises, partout dans le monde.
La fragilité des bilans et l’endettement massif des entreprises s’érigent en menaces très claires. L’OCDE en évalue les effets sur l’économie mondiale. Et prévient déjà : Déjà, le 8 avril, la Banque de France estimait l’impact du COVID-19 sur l’économie française :
Coronavirus :
la France est entrée en récession
"Le PIB a plongé de 6 % au premier trimestre 2020, selon une première estimation de la Banque de France, dévoilée ce mercredi matin. Le pire recul depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale,
après un dernier trimestre 2019 déjà négatif. Certains secteurs, dont
la construction et les services marchands, enregistrent des baisses de
plus de moitié de leur activité du fait des mesures de confinement."Vous réalisez ? Cette crise du COVID-19 a tout du coup de grâce.
Le COVID-19 est le Cygne Blanc qui fera basculer le marché... et des millions d’épargnants non préparés seront laminés
Si vous nous lisez depuis quelques années... vous êtes familier avec le concept de Cygne Noir. Développé entre 2001 et 2007 par Nicholas Nassim Taleb, il représente un événement inattendu, improbable au sens strictement statistique du terme – qui n’aurait pu être anticipé selon les modèles prédictifs utilisés par les grands fonds et les banques centrales.Or, on sait depuis plusieurs années que c’est ce genre d’événement qui crée les crises financières. Le coronavirus est un Cygne Blanc. Cygne, car personne ne s’attendait à ce qu’une pandémie créé une telle chute des marchés mondiaux...
... mais "blanc" parce qu’on aurait pu anticiper les effets de cette pandémie... si les autorités l’avait prise plus au sérieux dès le départ. Mais ce n’est pas là le fond du problème...
Dans de nombreux pays, l’activité économique tourne au ralenti, pour une durée indéterminée. La relancer exigera d’imprimer une quantité phénoménale de monnaie. Des centaines de milliards de dollars, qui viendront pressuriser à l’extrême le système bancaire, déjà détenteur de milliards de produits dérivés. Le QE dépassera les milliers de milliards de dollars.
Au passage, de nombreux investisseurs ignorants continueront d’acheter sur le marché obligataire. Qui finira par faire défaut et s’effondrera.
Et vous ? comment allez-vous en ce moment ?
Avec le confinement imposé, exercez-vous normalement votre activité professionnelle ? Êtes-vous au chômage partiel ? Avez-vous dû stopper toutes vos activités ?
A moins que vous soyez à la retraite ? Comment se portent les valeurs dans lesquelles vous investissez vos économies ?
Vos revenus sont-ils impactés par la crise du COVID-19 ?
Face au risque de voir vos revenus décroître ou pire, disparaître, vous pouvez et vous devez rapidement réagir. L’urgence est de protéger votre patrimoine et mettre vos intérêts hors de danger.
Vous comprenez que notre économie ne sortira pas indemne de la crise du COVID-19.
Le versement de vos retraites, de vos allocations ou de vos salaires risque de connaître des retards et des ratés de plus en plus fréquents.
Le rendement des obligations et actions que votre banque vous a incité à acheter, peut devenir une source de graves déconvenues. A moins qu’il ne le soit déjà...
Quant à votre banque... Depuis la BRRD, vous savez que vos avoirs bancaires sont menacés. Applicable en France depuis le 1er janvier 2016, la BRRD ou "Directive européenne sur le redressement des banques et la résolution de leurs défaillances ", vise à préserver les Etats du risque de faillite bancaire. Elle autorise désormais une banque en grave difficulté à résorber ses pertes, en se servant directement sur les comptes de ses clients.
Avant de pouvoir être secourues par l’Etat, les banques défaillantes se tournent vers leurs actionnaires et leurs créanciers. Avec l’entrée en vigueur de la BRRD, elles peuvent désormais ponctionner les comptes clients excédant 100 000 euros de dépôts.
Théoriquement, le Fonds de Garantie des Dépôts et de Résolution, organisme d’intérêt général, a pour mission de garantir les dépôts bancaires inférieurs à 100 000 euros.
Or, il est de notoriété publique que les réserves du FGDR ne suffiront pas pour garantir les 2 225 milliards d’euros de dépôts que recensait la Banque de France, en février 2019. L’insuffisance de ces réserves implique donc que les économies de Monsieur Toutlemonde, souvent bien inférieures à 100 000 euros, pourront être ponctionnées sans indemnités. Le Livret Jeune de vos enfants, vos PEL, PEA, PEP et autres comptes courants....
En cas de défaillance majeure de votre banque, votre argent pourrait bien s’évaporer, pour aller réparer des dégâts dont vous n’êtes pas responsables.
La Banque Centrale européenne reconnaît elle-même qu’il est inenvisageable de laisser les banques faire faillite (bail-in) tout en conservant la garantie de 100 000€. Tout est dit.
En termes clairs, si une banque fait faillite en France, ses propres clients, riches ou modestes, pourront être contraints de la renflouer sur leurs deniers personnels. Et risquer la ruine.
Enfin, quid du danger d’hyperinflation qui nous guette ? Une fois lancé, l’engrenage de l’hyperinflation est très difficile à stopper : pour pallier à la crise l’Etat imprime de la monnaie, mais cette dernière ne suffit pas à créer de la croissance, donc les rentrées fiscales sont insuffisantes pour régler la dette, donc besoin de créer encore plus de dettes. Cette spirale déséquilibre encore davantage les comptes publics. L’Etat est alors tenté de créer toujours plus de monnaie pour combler les déficits budgétaires.
L’excès de monnaie en déprécie la valeur. Les épargnants se retrouvent ainsi ruinés, à l’instar de tous ceux dont les revenus ne sont pas indexés sur l’inflation. Comme les retraités par exemple.
Et quand la monnaie n’est plus acceptée, les échanges se complexifient car ils doivent parfois s’établir sur la base du troc. Les acteurs économiques cessent d’investir et se rabattent sur des actifs comme l’or ou l’immobilier. Or, l’arrêt des investissements obère notablement la croissance.
Comment vous prémunir contre ces aléas ?
Comment réduire votre vulnérabilité, le jour où les DAB ne proposeront plus que des coupures de 10 000 ou 20 000 euros...
Nos experts ont développé de véritables stratégies de défense, vis-à-vis de toutes ces menaces que je viens d’évoquer.
Pour commencer, sortir de l’Euro, détenir chez vous des valeurs tangibles, habilement dissimulées.... Sont des prérequis.
Ensuite, vous vous en doutez, il va falloir sortir du système bancaire... des assurances-vie et autres livrets qui ne sont plus fiables. Et il faudra sans doute passer quelques heures cette semaine pour diversifier votre capital dans des actifs sûrs, qui ne craignent pas la crise. Certaines devises, certains métaux précieux, dont la plupart se bonifieront même, à mesure que nous nous enfoncerons dans la récession...
Je crois que vous avez compris l’idée... Et je ne veux pas être trop long dans la description de ce scénario apocalyptique... Je ne suis pas là pour vous terroriser mais au contraire, pour vous donner un moyen d’agir. Je voudrais que vous compreniez qu’il est encore temps d’agir... De mettre vos économies à l’abri... D’éviter de vous faire confisquer une partie de votre argent... Et même qu’il est possible de prospérer en cette période de crise.
Un moyen qui ne vous coûtera presque rien : 4 euros par mois – c’est moins cher qu’une assurance... moins cher qu’un gestionnaire de patrimoine... moins cher qu’un coffre-fort... ou que l’ouverture d’un compte en Suisse.
Cette solution est utilisable par TOUS... où que vous soyez en France... quelle que soit votre situation professionnelle... et quelle que soit votre expertise en économie et en finance. Oui, en suivant les conseils de notre expert, n’importe qui peut se mettre à l’abri de la crise – avant qu’il ne soit trop tard.
Qui est l’expert qui vous suivra tout au long de la crise ?
Olivier Delamarche est économiste.Si vous tapez son nom dans Google, vous verrez qu’il est loin d’être un débutant.
Cela fait dix ans qu’il sillonne les routes de France avec les Econoclastes pour prévenir les Français de ce qu’il se passe réellement dans l’économie.
Ils sont même invités régulièrement par l’Ecole de Guerre à Paris, qui prend leurs conseils au sérieux... contrairement aux chiens de garde du gouvernement.
Il a rejoint les Publications Agora au début de l’année 2019, avec une lettre confidentielle : "Delamarche en liberté", que je vous présenterai dans une minute.
Il est aussi à la tête d’une émission d’économie sur RT France – C’est Cash – et fait souvent plus de 300 000 vues sur les chaines Youtube qui l’invitent pour parler économie.
Il faut dire qu’Olivier n’a pas sa langue dans sa poche, et que lorsqu’il sent le besoin de dénoncer une situation ou de critiquer une personnalité...
... il est rare qu’il parvienne à réprimer ce besoin.
Et c’est pour cela qu’on l’aime. Olivier ne supporte pas le mensonge, l’injustice, la bêtise, la pensée unique et tout ce qui consiste à manipuler l’opinion.
Avoir Olivier à vos côtés, c’est votre meilleure chance de comprendre ce qu’il se passe VRAIMENT sur les marchés et dans l’actualité...
D’ailleurs, certaines familles fortunées lui font confiance depuis plusieurs années dans la gestion de leur portefeuille, puisqu’il gère un family office en Suisse.
Ses performances parlent pour lui-même, et je ne m’appesantirai pas là-dessus... mais ce que je veux que vous reteniez, c’est que vous avez aujourd’hui une chance exceptionnelle de profiter des conseils de ce géant de l’économie...
Pour seulement 4 euros par mois. J’ai intentionnellement baissé le tarif de sa lettre confidentielle afin que chacun puisse en profiter en ces temps incertains – et que l’argent ne soit pas une barrière pour vous protéger.
Alors s’il vous plaît, suivez ses conseils.
Comment ça fonctionne ?
Avec notre expert Olivier Delamarche, nous avons mis en place une allocation d’actif qui permet de placer son argent hors-système bancaire...Notre allocation a déjà permis de générer une plus-value de +40% sur les obligations américaines – et 10% en moyenne sur l’ensemble du portefeuille.
Et même si les marchés s’effondrent, cette allocation devrait vous permettre de dégager ce niveau de rendement.
Pourquoi ? parce qu’elle vous permet de mettre votre argent en dehors du système bancaire, sur des actifs sans lien direct avec la déroute de nos économies et la bulle des dettes...
Soyons clair, je ne suis pas en train de vous vendre une solution miracle :
Je ne peux pas vous garantir que votre argent se bonifiera à coup sûr de 10% tous les ans – et que vous ne subirez AUCUNE perte !
Mais je peux vous assurer que cette solution est la meilleure à ma connaissance pour protéger votre argent de la crise que nous pressentons tous.
Et pour vous aider à gérer votre argent de mois en mois, vous recevrez à partir du prochain numéro, à votre domicile, la lettre Delamarche en liberté.
Cette lettre de 12 pages vous permettra de découvrir tous les mois, l’analyse d’Olivier sur le contexte économique et financier.
Avec le ton qui le caractérise, Olivier vous présenter SA vision de l’économie et de la finance – en s’appuyant sur l’actualité de crise pour vous en dévoiler les rouages, les tenants et les aboutissants.
Contrairement à un dossier de presse, Olivier ira beaucoup plus loin qu’une description froide et morne de l’actualité financière.
Il vous fera part de son indignation face aux politiques monétaires actuelles, face à l’incompétence des directeurs des banques centrales et du FMI...
... Ou encore de sa sidération face aux fake news véhiculées dans la presse généraliste, et surtout : il fera des prédictions sur la manière dont les choses pourraient évoluer dans le court moyen terme et vous donnera tous les mois ses conseils pour gérer au mieux votre argent.
Une fois qu’Olivier aura développé sa vision et ses prédictions, son acolyte Stéphane Dubois prendra le relai pour vous proposer des applications concrètes.
Stéphane est gestionnaire de patrimoine, il connait parfaitement toutes les contraintes administratives, fiscales ou encore réglementaires que tout particulier doit affronter lorsqu’il décide de prendre son argent en main... Dans le dernier numéro, Stéphane aborde par exemple la question de la succession.
Mieux encore : Stéphane a le don pour rendre toutes ces complications simples à comprendre et vous donnera les clés pour agir sans "prises de tête" inutiles.
La Lettre Delamarche en liberté se terminera tous les mois par une présentation du portefeuille (comprenant tout ce dont vous avez besoin pour investir : pourcentage d’allocation, date d’entrée, cours d’achat, performance, etc.) et une mise à jour de ce dernier – dont vous pourrez retrouver une copie mise à jour régulièrement dans l’Espace Membre de notre site internet.
En suivant scrupuleusement les conseils d’Olivier et de Stéphane, vous serez donc suffisamment informé pour pouvoirfacilement répliquer leurs performances – en ayant la satisfaction d’avoir le contrôle sur votre argent.
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N’attendez pas pour agir, le temps passe vite.
Olivier Cros
Directeur des Publications Agora
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