dimanche 19 avril 2020

Le coronavirus est-il un coup d'Etat de la finance contre les peuples ?

À qui profite le crime ?
Faire sauter Trump...

Sans plus vous faire attendre, ma réponse est « oui ». Je dirai même que cette probabilité crève les yeux, en vertu de la formule latine:

« Cui bono ». À qui profite le crime !

Les spéculateurs de haut vol, les banques et leurs associés sont en train de faire une orgie de milliards dont on n’a même plus le nom, argent magique dont on les arrose, sans oublier les rejetons des banques, style « Cetelem », qui vont augmenter la dette des Français dans des proportions monstrueuses. Du moins la dette de la petite bourgeoisie car les vraiment pauvres n’auront droit qu’à des miettes. C’est ainsi que le prêt garanti par l’État, et distribué par des banques débordées, ne peut être acquis par ceux qui ont des dettes. Même règle aux États-Unis. L’argent que donne l’État n’ira pas aux plus nécessiteux. Logique !

Seule question :

-Ont-ils habilement profité des circonstances ou les ont-ils créées ?

Au demeurant peu importe. Les peuples sont rétamés. Bientôt pucés et vaccinés s’ils ne se réveillent pas. Un rêve dont les « happy fews » rêvent depuis longtemps. Mais voyons l’histoire.

En ce qui concerne l’origine du virus, trois thèses s’affrontent :

1)- Ce coronavirus est d’origine animale. « La chauve-souris et le pangolin. » Fable de la Fontaine avec le vers fameux :

« La raison du banquier est toujours la meilleure. »

2) Il a été créé par des savants fous chinois. (Thèse américaine.)

3) Il a été créé par des savants fous américains. (Thèse chinoise.)

Personnellement, je suis tentée par la thèse n°3 : Les Américains, héritiers du Docteur Folamour.

Dès juillet 2019, en effet, plusieurs évènements se télescopent aux États-Unis.

Pour les résumer :

- Le grand labo P4 de Fort Detrick est fermé. Raison donnée :il faut le nettoyer. D’autres disent :il y aurait des fuites de virus.

-En effet, après la fermeture de la base, une série de cas de pneumonie ou des cas similaires apparaissent. Les départements américains les ont imputés aux cigarettes électroniques, tandis que les scientifiques affirmaient autre chose. Pour eux, le fait de fumer les cigarettes électroniques n'a rien à voir avec les symptômes et de l'état des malades. En cette même période, la grippe N1H1 éclate aux Etats-Unis. Selon les estimations du Centre américain de contrôle et de prévention des maladies des Etats-Unis (CDC), la grippe, qui a commencé en septembre dernier, a touché plus de 30 millions d'Américains, et causé la mort de plus de 20 000 personnes. Le directeur du CDC, Robert Redfield, avait avoué que le COVID-19 aurait été à l'origine du décès d'une partie de ces 20 000 personnes. Question : combien de cas de COVID-19 y avait-il parmi ces 20 000 morts ?

Autre événement :

https://trustmyscience.com/pandemie-fictive-coronavirus-simulee-octobre-2019-a-tue-65-millions-personnes/

En octobre 2019, plusieurs organes américains ont organisé un exercice codé « Event 201 » pour répondre aux cas de pandémie mondiale. Ils voient en un an 65 millions de morts et l’économie dévastée. Event 201 a été parrainé par la Fondation Bill & Melinda Gates, le Forum économique mondial (WEF), la CIA, Bloomberg, la Fondation John Hopkins et l’ONU.

Les Jeux militaires mondiaux se sont ouverts à Wuhan exactement le même jour.

Deux mois plus tard, le premier cas de pneumonie du nouveau coronavirus a été confirmé à Wuhan, en Chine.

En février 2020, le COVID-19 atteint les quatre coins du monde.

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Allons aux racines de l’Histoire. Les grands maîtres, Soros, Gates, et « tutti banquieri » , qui dirigent l’empire capitaliste occidental, notre poudré faisant partie de leur cavalerie, ont reçu une claque magistrale lors de l’élection de Trump. Pendant quatre ans, ils ont tout tenté pour le dégommer. Les articles quotidiens, Hollywood contre lui, un procès en destitution, un procès en haute trahison. Et le résultat de tout ça : rien. L’autre, c’est le canard…Toujours vivant. Pour calmer le clan « So-Ga », il leur lâche de temps en temps une sucrerie : Jérusalem, capitale d’Israël, quelques bombes sur la Syrie, un général iranien explosé.

Mais le « So-Gate » veut retrouver ses pantoufles à la maison blanche.

Arrive donc l’année de l’élection. Avec comme champion Biden, qui tripote les petites filles en public et vient d’être accusé de harcèlement sexuel

On peut donc imaginer que cette troupe de maîtres du monde ait décidé d’agir.

En frappant sur plusieurs fronts.

-Éliminer Trump. Ce qui est loin d’être gagné.

-Déstabiliser la Chine, leur grand ennemi.

-Gaver de fric les potes de la Finance et les banques car ils tirent la langue.

-Bloquer les peuples chez eux et les vacciner car ils commencent vraiment à être trop agités.


L’épidémie commence et, là, admirons l’itinéraire de ce virus , un vrai globe-trotter.

-Il commence en Chine.

-Il continue en Iran où le gouvernement est gravement frappé.

Et il poursuit en Italie, pays traitre qui veut être une étape de la route de la soie.

Et ensuite, après bien des étapes, chez nous.

Où le général Macron l’attend, bien maquillé.



A partir de là, peu importe qui a lancé le virus ou s’il s’est lancé tout seul. Tout est possible.

La finalité admirable de cette épidémie c’est évidemment le confinement. Un confinement planétaire qui n’a jamais existé.

Le confinement qui :

Fout la frousse.
Rend indispensable le vaccin obligatoire
Mais surtout va avoir pour cause catastrophique une ruine de l’économie. On nous parle de 1939. Pire peut-être.
Mais pas pour tout le monde… Peu importent les pertes de la Finance, et il va y en avoir, elles vont être toutes compensées par ce fameux « argent magique », ce quantitative easing, que l’on te donne et que tu ne rends jamais ou quand tu veux, personne n’est pressé.



Il nous faut faire là une petite parenthèse sur cette fameuse finance.

Pour les uns, des voleurs, pour les autres des richissimes, ce qui est toujours flatteur.

Qui a vu « le Loup de Wall street » et autres « madofferies’» sait qu’ils sont drogués et psychopathes, mais bon.

Pour moi, je les appellerai des pirates. Même si le nom est charmant mais pas leurs actes.

Connaissez-vous la différence entre pirates et corsaires ?

Les pirates sont des gangsters qui étripent tout ce qui bouge.

Les corsaires sont des militaires engagés par les Etats, par exemple Francis Drake pour Elizabeth I, qui font la police des mers et traquent les pirates.

Nos financiers actuels sont des pirates qui pratiquent leurs jeux d’argent sans état d’âme. Même pas cruellement. Sans même savoir quelles sont leurs millions de victimes. Ce n’est pas la richesse qu’ils traquent, ils sont tellement au-delà. C’est la jouissance de l’excitation d’un pari, l’ivresse du pouvoir, la certitude d’appartenir à une race supérieure, l’exaltation de ces soirs où quelques milliards de plus leur donnent simplement l’envie d’en avoir d’autres, invincibles maîtres du monde. Ubris insatiable. Simples criminels, tellement plus dangereux qu’un Nordahl Lelandais. Leurs victimes se comptent, comme leur fortune par milliards.

Quant aux corsaires qui devraient les traquer, ils leur obéissent. Ce sont les chefs d’Etats qui s’inclinent devant leur volonté. Les peuples sont leurs esclaves, pliés sous la dette.

Ce fameux argent que la banque paie sans l’avoir et que les peuples remboursent avec l’effort de leur travail.



Ou ce système sautera ou nous sommes condamnés.



Revenons vers Macron.

Macron, d’après le Canard enchaîné, et s’il sait lire, était parfaitement au courant de l’arrivée de l’épidémie.

Dans un premier temps, il attend pour confiner. Il attend, contrairement à la Chine. Les morts deviennent de plus en plus nombreux. La psychose s’étend. Quand il confine, rien n’est fait pour rassurer. Le seul qui veut rassurer, dès le 25 février, le docteur Raoult est traité de fake par un des pontes des réseaux non sociaux : « Le Monde ». Macron met sur pied une police des rues effrayantes.

On pourrait dire qu’Il fait tout pour qu’il y ait un maximum de morts. Pas de masques, pas de tests, pas de respirateurs. Comme s’il voulait se venger de ce pays rebelle.

Il cloître les vieux dans les EPADH, leur refusant tout soin et donnant la permission de les piquer au Rivatrol.

Pendant ce temps, l’économie du pays s’effondre. Il feint la générosité. Mais tout ce qu’il donne sera remboursé sous forme d’impôts, d’heures supplémentaires

Et enfin, merveille : la vaccination qui arrive.



Je ne sais pas vous, mais moi, je trouve ça bien combiné. Bien pensé, bien réfléchi, bien mûri….

La seule catastrophe qui leur tombe sur la tête c’est le professeur Raoult qui, tel un nouveau Galilée s’entête et signe : c’est une grippe qui causera moins de morts que les précédentes.

Il n’était pas nécessaire de confiner.

Il n’était pas nécessaire de tuer l’économie du pays. Il suffisait de faire ce qui a été fait à Marseille : tester et traiter le plus rapidement possible. A moins qu’on n’ait utilisé, comme le conseillent de plus en plus de docteurs sur la toile, tout simplement, puisque l’Hydrochloroquine est introuvable, des antibiotiques. Le plus tôt possible. Le traitement qui consistait à dire aux fiévreux : « Rentrez chez vous et attendez que ça passe » était un moyen de les conduire à la mort.

On disait autrefois : « Méfie-toi des adultes qui veulent te donner des bonbons. » Il faut dire à présent : « Méfie-toi des gouvernements qui veulent te donner des vaccins. »

Comme le disait Laocoon dans l’Éneide :

« Timeo Danaos et dona ferrentes. »

« Je crains les Grecs quand ils offrent des cadeaux. »

Méfions-nous des cadeaux de la Finance.

Ces vaccins sont le cheval de Troie qui veut entrer la citadelle de notre liberté.



Je terminerai en faisant un rapprochement avec le 11 septembre, qui a, pour moi, les mêmes auteurs car le résultat de cette épidémie va être à l’identique.

1-Terroriser la planète.

2-Peuple sous surveillance avec le Patriot Act..

3- Permettre aux banques de faire un fric fou ou d’effacer leurs dettes. (Le bolide qui tombe sur le Pentagone, manque de bol, détruit toute la comptabilité d’Enron, le patron d’Enron étant un grand ami de Bush. Tous les docs de la SEC, le gendarme des bourses, sont dans le bâtiment 7 qui va s’écraser gracieusement en fin de journée. À la bourse de Chicago, des paris à la baisse ne concernent que les compagnies d’aviation dont les appareils seront détournés.

4-Permettre aux militaires d’entrer en guerre avec des gains incroyables pour les marchands d’armes.



Pour cette pandémie, même programme : peur, surveillance, enrichissement des banques et des labos. Une guerre ensuite ?



Henry Ford disait :

« Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin. »



Tous nos efforts doivent porter sur ce sujet. Comprendre et abattre.



« La dictature des banquiers et leur système d'argent-dette s'étend dans tous les pays du monde. En effet, il suffirait qu'un seul pays se libère de cette dictature et donne l'exemple de ce que pourrait être un système d'argent honnête, émis sans intérêt et sans dette par le gouvernement souverain de la nation, pour que le système d'argent-dette des banquiers s'écroule dans le monde entier. »

Voilà notre mission.

Il ne va pas nous suffire de nous débarrasser de Macron qui n’est qu’un sous-fifre de l’Union bancaire européenne , elle-même sous-fifre de Goldman Sachs et des banquiers US. Quitter l’UE ne serait rien. Il nous faut échapper à ce système bancaire criminel. C’est lui qui détruit la planète et s’attaque à présent à la liberté de toute l’humanité.

Retrouver notre Nation, notre indépendance, notre industrie, une monnaie solidaire, notre créativité dans le respect d’une planète blessée qui pourtant, en quelques jours, a retrouvé de sa force.

Nous, les Humains de cet an 2020 à la fois terrible et plein de rage.

Difficile ?

Rien n’est facile dans l’histoire du monde qui regorge de barbares mais aussi de généreux.

Nous sommes les héritiers, vous et moi, si peu avides de pouvoir démesuré, de cet équilibre qui est le cœur de toutes les philosophies.

Le « juste milieu » de Confucius. L’amour respecteux, couronne des véritables religions.

Ma dernière pensée pour Zarathoustra et son merveilleux conseil : « N’aie pas peur. L’histoire finit bien. »

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