dimanche 1 septembre 2019

L'Etat ne nous protège pas; il est le bras armé des ploutocrates.

Le président de la République est un employé de banque, choisi par toutes les plus grandes fortunes de France pour sa vénalité, sa corruptibilité, son absence totale de vergogne et, très certainement, sa capacité à commettre les pires horreurs pour devenir lui même un milliardaire. C'est un nouveau Napoléon dans tout ce qu'il y a de plus détestable. Je rappelle que Napoléon fut porté au pouvoir (en 1799) par le soutien financier d'une dizaine de banquiers français et suisses à qui il donna l'autorisation (dès 1800) de fonder la "Banque de France" qui resta privée jusqu'en 1945. Bref, Macron, menteur né, fera des discours "dans le sens du poil de l'électeur" mais trahira toujours ces mêmes électeurs au profit exclusif des multinationales. C'est l'archétype  du "Fort avec les faibles, faible avec les forts." L'exemple de l'hypocrisie déployée à l'encontre du maire "anti-pesticide" de Langouët est flagrant.



Source :https://www.youtube.com/watch?v=9MaoSawR6Zs

Il ne faut rien attendre des hommes de pouvoir. Surtout des politiciens élus. Je rappelle que pour gagner une élection, il faut avoir de l'argent, beaucoup d'argent. Les deux critères pour l'emporter sont donc :
- dire aux électeurs ce qu'ils veulent entendre (c'est-à-dire être le meilleur menteur)
- et être entendu par le plus grand nombre, jusqu'au bourrage de crâne (c'est-à-dire passer dans les médias de masse en boucle, médias de masse  qui sont la propriété privée d'à peine une dizaine d'individus en France, tous milliardaires).
Plus on monte dans la hiérarchie des politiciens, plus ils sont menteurs et corrompus. Regardez les hommes et femmes politiques de l'île de la Réunion (notre petit caillou) ne serait-ce qu'au niveau municipal (une commune réunionnaise compte en moyenne 30.000 habitants) et multipliez ensuite, proportionnellement à la population, leur capacité à être malhonnête et sous contrôle des multinationales/banques ... Niveau national, c'est 2.000 fois pire. Niveau union-européen, c'est 17.000 fois pire.
Si le critère pour atteindre ces sommets de pouvoir, c'est de passer par le viol et le meurtre d'enfants (confer le réseau Epstein), on ne peut qu'imaginer le pire avec ces gens-là.

Une seule méthode (si on souhaite rester pacifique) : la désobéissance civile.

Et j'ajoute la citation "Réfléchir, c'est commencer à désobéir" pour vous encourager à faire de l'éducation populaire autour de vous. Chaque opportunité compte. Donnez à réfléchir. Ne vous épuisez pas à convaincre. Vous risquez de braquer votre interlocuteur/interlocutrice. Semez des graines. Parlez de démocratie directe, au moins par le RIC (référendum d'initiative citoyenne, en toutes matières, écrit par nous-mêmes). Encouragez les gens à écouter Étienne Chouard (plus on est sali les médias de masse, plus on est celui qui a visé juste : vraie démocratie et création monétaire publique, pas monopole des banques privées).

Bientôt, nous allons mettre en place un "atelier constituant" régulier dans chaque quartier. Réfléchir collectivement, article par article, aux règles générales (constitutionnelles) que nous voudrions pour nous, nos enfants et petits-enfants. Avec toujours en tête cette motivation : quel monde voulons nous ?

C'est seulement au niveau municipal (comme dans le cas de ce maire) qu'on peut encore espérer quelque chose de positif de la part des politiciens; ou alors, comme à l'initiative du mouvement Démorun (à la Réunion) et en suivant l'exemple de la commune de Saillans, que les citoyens (tirés au sort, comme seules les vraies démocraties le font) prennent enfin le contrôle.

Avec la Monarchie parlementaire (1789) puis la République (1793), nous sommes simplement passés de la tyrannie d'un seul (le monarque absolu) à la tyrannie de quelques centaines (les parlementaires) avant de retomber dans la tyrannie de quelques dizaines (les commissaires union-européens) en 1992.

Il est vital de viser la Ière Démocratie (à l'exemple du Chiapas, au Mexique, ou du Rojava, en Syrie) et non une VIème République ; car il en va de la survie de l'humanité et de la biosphère.

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