-> pourquoi le rapport Durham prend autant de temps
-> quand le rapport va être rendu publique (en même temps que les résultats des audits)
-> qui a voulu empêcher Trump d'accéder à la présidence, en 2016 et en 2020
-> pourquoi les criminels de l'Etat profond sont si difficiles à cerner et neutraliser
-> pourquoi tout partira du résultat des audits de l'Arizona
"Vous
devez comprendre à quel point cette opération était compliquée et
globale contre la campagne de 2016 et la présidence de Trump"
"Il faut être patient"
3 commentaires:
George Papadopoulos pointe du doigt les services secrets de cinq pays occidentaux comme étant au cœur du complot mondial et non la Chine ou la Russie comme certains "ré-informateurs" le prétendent (faisant le jeu de l'émergence d'une nouvelle guerre froide). Il cite explicitement sous l'appellation "Five Eyes" :
- les États-Unis d'Amérique
- le Royaume-Uni
- Israël
- l'Italie
- et l'Australie.
Bizarrement, Wikipédia ne donne pas la même liste de pays.
Five Eyes (littéralement « Cinq yeux », traduit comme Groupe des cinq par la Défense canadienne), abrégé FVEY pour la classification, désigne l'alliance des services de renseignement de l'Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis.
Ces pays sont reliés entre eux par l'accord UKUSA, un traité qui prévoit la coopération entre les différents services assurant la collecte de renseignements électromagnétiques.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Five_Eyes
Les origines de cette alliance remontent à la Seconde Guerre mondiale. La Charte de l'Atlantique, signée en 1941 par les Alliés, établit les lignes stratégiques du monde de l'Après-guerre. Pendant la Guerre froide, le système d'interception ECHELON est mis sur pied pour surveiller les communications de l'URSS et des pays du Bloc de l'Est ; il est aujourd'hui utilisé par les États-Unis comme instrument de surveillance des communications partout dans le monde.
À la fin des années 1990, le journaliste néo-zélandais Nicky Hager divulgue l’existence du programme ECHELON ; cette révélation déclenche le débat sur la surveillance de masse au Parlement européen et, dans une moindre mesure, au Congrès des États-Unis.
À titre de participants à la Guerre contre le terrorisme depuis 2001, les Five Eyes élargissent leurs capacités de surveillance en mettant l’emphase sur la surveillance d’Internet.
En 2013, l’ancien consultant de la NSA Edward Snowden décrit les Fives Eyes comme « une agence de renseignement supranationale qui ne répond pas aux lois de ses propres pays membres ». Les documents révélés par Snowden en 2013 montrent que les Five Eyes ont intentionnellement espionné leurs citoyens et partagent les informations afin de contourner les lois garantissant les droits des personnes. Les documents classifiés divulgués par Snowden incluent :
- PRISM – exploité par la NSA avec le GCHQ et l'ASD ;
- XKeyscore – exploité par la NSA avec des contributions de l'ASD et du GCSB ;
- Tempora – exploité par le GCHQ avec des contributions de la NSA ;
- Muscular – exploité par le GCHQ et la NSA ;
- Stateroom – exploité par l'ASD, la CIA, le CSEC, le GCHQ et la NSA.
L'absence d'Israël dans ce programme collaboratif de surveillance (du moins d'après Wikipédia) est fort étonnante car ils sont passés maîtres dans le contrôle de l'information et la surveillance de leurs citoyens (ou des citoyens d'autres pays).
J'ai plutôt tendance à croire George Papadopoulos plutôt que Wikipédia.
Il est intéressant de noter également qu'il cite l'Italie comme un des pays-clés de ce complot. L’État profond mondialiste possède sûrement, avec le Vatican, un de ses piliers.
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