Si l'on en croit Mike Yeadon, ex de chez Pfizer, dans les premières semaines suivant l'inoculation (terme que j'utilise à la place de "vaccination"), les effets secondaires graves touchent moins de 1% des personnes ayant crédulement accepté de se faire injecter le produit génique expérimental contenant la protéine Spike.
C'est malheureusement insuffisant pour que cela se remarque, et encore moins pour que cela soit médiatisé.
Pourtant ça commence dans mon entourage élargi.
Le beau-frère d'un ami, médecin radiologue (en totale confiance vis-à-vis des organismes officiels de santé) s'est fait inoculer une première dose et a ressenti des palpitations, lui qui était jusque-là en parfaite santé, grand sportif (marcheur, randonneur, ...). A la deuxième injection, les palpitations sont devenues fréquentes, tous les deux ou trois jours. Et au bout d'un mois, il a subi une opération cardiaque ! Le drame, c'est que malgré l'évidence, il est resté dans le déni : "Cela n'a aucun rapport avec la vaccination".
Je viens d'apprendre un deuxième cas ; avec en prime l'autre conséquence expliquée par de courageux médecins lanceurs d'alerte : la transmission de la maladie du "vacciné" à son entourage. Le beau-père d'une amie, âgé et souffrant d'e la maladie d'Alzheimer, a cédé à la pression de son médecin traitant et a accepté une première injection. A la deuxième injection, tout s'est détraqué. Sa maladie d'Alzheimer s'est gravement empirée, il est tombé malade avec le covid-19 et a transmis la maladie à sa bonne et à sa compagne ! La mère de mon amie a développé une forme grave et a dû être hospitalisée, passant 15 jours en réanimation, entre la vie et la mort. Heureusement, elle vient de sortir de réa hier.
Je précise que ce deuxième cas concerne des personnes vivant sur l'île de la Réunion, pratiquement épargnée par l'épidémie de covid-19. Il y a donc fort à craindre que la population insulaire ne subisse bientôt une vague d'infection sévère à cause des inoculés.
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