Je ne suis pas allé au-delà de la troisième page de liens car on aurait dit une campagne électorale du type de celle qui a porté Emmanuel Macron au pouvoir : saturation jusqu'au vomi.
J'ai toutefois été attiré par deux occurrences :
- une de Solidarité & Progrès censé être dans la dissidence puisque le parti politique de Jacques Cheminade propose depuis très longtemps la création d'une monnaie d'investissement (à la grande colère des banques privées qui ont le monopole de la création monétaire). Malheureusement, l'article commence par une diffamation contre ... Alain Soral. Quel rapport avec Bill Gates ? Je ne suis pas allé plus loin.
- et un article du site d'information indépendant Nexus. C'est celui-ci que je partage, tellement les journalistes non-corrompus sont devenus rares.
------------
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Alors que l’épidémie de coronavirus a paralysé presque
toute la planète, certains médias relaient que le vaccin est la seule
solution pour une sortie définitive du confinement. Plus que quiconque,
celui qui agite aujourd’hui ce spectre n’est autre que Bill Gates. Il a
adopté, avec sa Fondation Bill & Melinda Gates, une position claire
et […]
Alors que l’épidémie de coronavirus a paralysé presque toute la planète, certains médias relaient
que le vaccin est la seule solution pour une sortie définitive du
confinement. Plus que quiconque, celui qui agite aujourd’hui ce spectre
n’est autre que Bill Gates. Il a adopté, avec sa Fondation Bill &
Melinda Gates, une position claire et déterminée, allant jusqu’à
annoncer vouloir vacciner 7 milliards de personnes contre le Sars–CoV–2. Il me semble nécessaire de m’interroger sur le rôle précis que joue ce magnat sur le destin du monde.
Bill Gates, Bill Gates, Bill Gates : ce nom
que l’on voit et que l’on entend désormais partout. Mais qui est cet
homme ? A-t-il joué un rôle stratégique dans la mise en place des
mesures sanitaires, sécuritaires et technologiques en cours et à venir ?
Est-ce l’occasion épidémique qui en fait un larron économique ? Est-il
un homme profondément philanthrope ? Quelles sont ses véritables
intentions quand il décide d’investir 40 milliards de dollars de sa
Fondation pour lutter contre le SARS–CoV–2 ? Quand il dit vouloir trouver un traitement efficace à 95 % ou vacciner à titre préventif 7 milliards de personnes en
bonne santé, tout en précisant que le vaccin est pour lui la solution à
mettre en tête de liste, est-ce avant tout pour la protection de notre
santé ? Et s’il y avait un ou plusieurs traitements efficaces déjà
existants ou à venir, peu onéreux, les défendrait-il ?
Avec la manne d’informations disponibles à son sujet, difficile de savoir qui est Bill Gates.
◆ Gates, un homme au double visage
Certains l’encensent, et le présentent
comme un généreux donateur qui veut sauver la planète. À une soirée,
j’entends même dire : « Tu te rends compte, il finance même des toilettes sèches dans
des zones arides et pauvres du monde, pour empêcher la propagation des
bactéries et faire baisser le taux de mortalité infantile ! »
Ingénieux. D’autres le voient comme un dictateur qui veut imposer sa
vision du monde, dont la vaccination obligatoire et universelle.
J’apprends qu’une pétition dont
le nombre de signatures explose circule actuellement aux États-Unis et
qu’elle réclame une enquête contre la fondation Bill & Melinda Gates
pour faute médicale et crimes contre l’humanité. En ce moment même,
elle a recueilli plus de 557 000 signatures, alors que 100 000 suffisent
pour que le gouvernement américain la prenne en compte.
Source : https://youtu.be/Dqzt6yAmdDE
◆ Bill Gates et le nouveau philantro-capitalisme
Le journaliste Lionel Astruc offre des pistes de réponses dans son livre « L’Art de la fausse générosité » (Actes Sud, 2019 ), ainsi que dans cette interview accordée au Média, sur le profil psychologique de Bill Gates et sur ses agissements philantro-capitalistes :
« Je crois Bill Gates sincère dans sa démarche, ce qui est peut-être le plus grave constat, parce qu’il ira jusqu’au bout.[…] C’est quelqu’un qui a réussi à devenir le Maître du Monde si j’ose dire, grâce à la technologie. […] C’est pour ça qu’il aime les vaccins, les téléphones, l’informatique, et pour lui, la solution, elle est là. […] Entre 2011 et 2019, la fortune de Bill Gates est passée de 56 à 96 milliards d’euros. On ne peut pas dire qu’il est en train de se dépouiller au profit des pauvres. […] À la fondation est adossé un fond d’investissement, et ce fond d’investissement place de l’argent. Et ce ne sont que les dividendes de ces placements qui vont ensuite alimenter la fondation. Ça à la limite, ça ne pose pas de problème si les investissements sont vraiment irréprochables, ou si les investissements contribuent eux-mêmes à ce qu’on appelle l’économie sociale et solidaire. Mais là, il investit dans l’armement, dans les énergies fossiles, les laboratoires pharmaceutiques, les OGM, et la malbouffe avec Coca-Cola, McDo. […] Souvent, on constate que les entreprises qui reçoivent les investissements de la fondation font également partie des bénéficiaires. Donc il ya un vrai problème : on donne de l’argent à une entreprise qui va vous en rapporter, ce n’est pas ce que j’appelle vraiment de la générosité.[…] Lorsque la fondation choisit des programmes à financer, elle préfère financer des programmes qui vont susciter la création de marchés, plutôt que d’autres qui vont autonomiser les gens qui ont des problèmes. En l’occurrence, on le voit à chaque fois qu’il y a deux solutions à savoir : un remède naturel fabriqué localement par les populations locales et un vaccin qui va être revendu par un grand laboratoire venu de l’extérieur ».
La technoscience sous couvert de philanthropie serait-elle la stratégie de Bill Gates ?
J’apprends en plus qu’il a été poursuivi en 1998 pour abus de position dominante par le gouvernement américain. Bill Gates va vraiment très loin dans l’aspect sauvage du capitalisme.
◆ Bill Gates et ses recherches technologiques
Souvent on me rapporte que Bill Gates est en avance sur son temps. On me vante ses dernières trouvailles : « Tu as vu que la Fondation Gates finance des recherches sur un carnet de vaccination sous-cutané avec des nanoparticules fluorescentes à injecter en même temps que les vaccins ? »
Oui, j’ai vu ça, mais aussi que ça va sûrement être « testé sur les êtres humains en Afrique dans les deux prochaines années. La Fondation a même lancé des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour évaluer le niveau d’acceptabilité des populations. »
Effrayant, mais vrai. Même si dans certains cas, avoir accès rapidement à certaines informations pourrait sauver des vies. En cas d’hémorragie, par exemple, connaître le groupe sanguin pourrait s’avérer utile pour une transfusion rapide, mais est-ce que nous tatouer, nous pucer, nous « nanoparticuler » ne sera pas détourné à d’autres fins ? Et sera-t-on obligés d’être tous vaccinés ? Si on refusait cet acte intrusif, que risquerions-nous ? De ne pas pouvoir voyager ? De se voir refuser l’entrée dans les lieux publics ? De se voir réduire ou supprimer nos droits sociaux et fiscaux comme cela se fait déjà dans certains pays comme en Australie ? Ou interdire l’accès à la crèche, à l’école ou toute collectivité publique comme c’est déjà le cas en France pour les enfants nés après le 1er janvier 2018 qui n’ont pas eu les 11 vaccins obligatoires ?
Oui, j’ai vu ça, mais aussi que ça va sûrement être « testé sur les êtres humains en Afrique dans les deux prochaines années. La Fondation a même lancé des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour évaluer le niveau d’acceptabilité des populations. »
Effrayant, mais vrai. Même si dans certains cas, avoir accès rapidement à certaines informations pourrait sauver des vies. En cas d’hémorragie, par exemple, connaître le groupe sanguin pourrait s’avérer utile pour une transfusion rapide, mais est-ce que nous tatouer, nous pucer, nous « nanoparticuler » ne sera pas détourné à d’autres fins ? Et sera-t-on obligés d’être tous vaccinés ? Si on refusait cet acte intrusif, que risquerions-nous ? De ne pas pouvoir voyager ? De se voir refuser l’entrée dans les lieux publics ? De se voir réduire ou supprimer nos droits sociaux et fiscaux comme cela se fait déjà dans certains pays comme en Australie ? Ou interdire l’accès à la crèche, à l’école ou toute collectivité publique comme c’est déjà le cas en France pour les enfants nés après le 1er janvier 2018 qui n’ont pas eu les 11 vaccins obligatoires ?
J’avoue que je m’inquiète quand je vois Jacques Attali dire, déjà en 2008, au sujet de la puce RFID[1] dans Conversation d’avenir (sur Public Sénat) que l’on « peut
imaginer que chaque individu accepte volontairement, ou sans le savoir,
une puce en lui qui contiendrait toute une série d’informations sur lui
[…] Le vrai luxe de demain, ce sera d’être isolable, de
pouvoir s’isoler, et la vraie liberté, ce ne sera pas d’être relié aux
autres, mais d’avoir le droit de ne pas être branché.»
Alors, Jacques inspire-t-il Bill, ou Bill inspire-t-il Jacques ?
Et y a-t-il un lien entre les actions de Bill Gates contre l’épidémie et le projet mondial d’identité numérique généralisée ID2020, soutenu entre autres par Microsoft, la Banque Mondiale, la Fondation Rockfeller, ou Accenture ? Pas de test ? Pas de vaccin ? Contrôle d’identité, et… pas de liberté ?
◆ Bill Gates et son pouvoir sur l’OMS
Depuis que Trump a décidé d’arrêter les subventions américaines, c’est la Fondation Gates qui est devenue le premier donateur de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). On peut légitimement se demander quel pouvoir ça lui donne sur cette institution. Dans une vidéo de Fox News, une réponse à cette question s’impose : « un dollar sur 10 versé à l’Organisation mondiale de la santé vient de la Fondation Bill Gates […] En 2017, Politico l’a appelé le « Docteur de l’OMS », car il avait tant d’influence que lorsqu’il voulait qu’une réglementation soit accélérée, les bureaucrates de l’OMS cédaient souvent à ses désirs. […] 395 subventions pour un total de 3,6 milliards de dollars à l’OMS […] Il semblerait que Gates a la mainmise sur presque tout ce qui touche aux pandémies. À de nombreuses reprises, il voulait que l’OMS déclare le coronavirus en tant que pandémie, et l’OMS ne voulait pas le faire. Alors, Bill Gates, par l’entremise de sa fondation, a annoncé injecter 50 millions $ dans une initiative appelée « L’accélérateur thérapeutique Covid-19 » [the Covid-19 Therapeutics Accelerator] destinée à combattre le coronavirus et à trouver un vaccin. Beaucoup de cet argent est allé à l’OMS. Un seul jour après cette annonce, le secrétaire général de l’OMS a déclaré que le coronavirus était une pandémie.»
Il y de quoi être bouche bée.
Et la directrice de YouTube commence déjà à censurer toutes les vidéos qui « vont à l’encontre des recommandations de l’OMS ». Elle a déclaré que YouTube « supprimerait les informations qui posent problème, y compris tout ce qui est médicalement non fondé ». Par
exemple, des vidéos qui parlent de Vitamine C comme remède contre le
Covid-19 ? La suppression, le déréférencement et la démonétisation de
contenus ont déjà commencé avec les vidéos reliant 5G et coronavirus.
Mais nous ne sommes pas au bout de nos surprises.
◆ Bill Gates et la simulation de pandémie pendant l’Event 201
Sa fondation a organisé une simulation de pandémie de coronavirus en octobre 2019, juste avant les premiers cas apparus en Chine. Même si c’était autour d’un épisode fictif se déroulant au Brésil et provenant d’une porcherie, on peut trouver que c’est une étrange coïncidence.
◆ Bill Gates et les médias
Puis, on peut lire que le journal Le Monde a été financé à hauteur de plus de 4 millions $ de 2014 à 2019. Est-il possible pour les journalistes de ce média d’être encore libres de dire ce qu’ils veulent sur les vaccins et est-ce pour cette raison qu’ils semblent les défendre à ce point ?
◆ Bill Gates et l’éducation post-confinement
Après la santé, l’éducation. La fondation Gates est rémunérée par l’État de New York « dans
le domaine de l’éducation, pour travailler avec les responsables de
l’éducation de l’État afin de repenser le système K-12 lorsque les
écoles rouvriront à l’automne. » Le Système K12 étant l’ensemble de
la formation scolaire obligatoire, je réalise que Bill a envahi aussi
la sphère éducative. Cette information est-elle la cerise sur le
gâteau ? Non, malheureusement.
◆ Bill Gates, Windows et le traçage de nos données de santé
En guise de dessert, on me conseille de visionner cette vidéo faite avec le Dr Karim Khelfaoui qui nous alerte sur le fait qu’on demande actuellement aux médecins, contre quelques euros, de violer le secret médical en faisant « remonter tous les cas positifs au COVID 19 […] en recensant tous les proches qui vivent avec eux, avec leurs coordonnées et leurs adresses pour les faire remonter auprès de l’assurance maladie, afin qu’ils leur envoient une brigade sanitaire ». Ces informations seront transférées sans notre consentement à « la plateforme nationale qui centralise les données de santé des Français » qui s’appelle le Health Data Hub, hébergée sur les serveurs… du géant américain Microsoft ! Lequel a été choisi sans appel d’offres ! Rappelons que Microsoft a été fondé par Gates en 1975 et l’a présidé jusqu’en 2014, avant de faire partie de son conseil d’administration jusqu’en mars 2020. Le journal Libération a beau expliquer que « cela ne signifie pas forcément que la firme américaine aura la main sur ces données », le doute est néanmoins permis et légitime. La Commission nationale de l’informatique et des Libertés (CNIL), elle-même, censée assurer la sécurité de ces données, même si elle promet d’être vigilante, relève que le contrat « mentionne l’existence de transferts de données en dehors de l’Union européenne » et que « la législation américaine permet aux autorités de contraindre les entreprises à leur fournir leurs données […] à des fins de sécurité nationale ». Elle rappelle que cette question fait d’ailleurs l’objet actuellement d’une procédure « soumises à la Cour de justice de l’Union européenne » et qu’« un arrêt de la Cour dans cette affaire est attendu dans les mois qui viennent ».
En plus de l’appli Stopcovid, les médecins vont être sur le coup aussi !
Dur, dur de ne pas faire de liens entre tous ces faits. Et de ne pas se poser davantage de questions…
◆ Bill Gates et son réseau d’influence
Je m’interroge beaucoup sur les objectifs des gens qui s’organisent autour de lui à une échelle internationale. Macron, le 24 avril disait pendant une conférence de lancement pour une initiative mondiale sur les diagnostics, les traitements et les vaccins : « Aujourd’hui, la communauté internationale, réunie sous l’égide des Nations-Unies et de son agence qui est l’Organisation mondiale de la santé avec l’ensemble des acteurs de la santé mondiale, les organisations régionales, la société civile, décident d’agir concrètement et d’unir ses forces dans un partenariat inédit pour plus d’efficacité. Avoir autour de la table à la fois l’OMS qui en assurera la coordination, mais GAVI, CEPI le Fonds Mondial, United, Wellcome trust, la Banque Mondiale, la Fondation Bill & Melinda Gates, les acteurs du secteur privé pharmaceutiques, les chefs d’état et de gouvernement ici rassemblés est inédit. » Et pour ce qui concerne les vaccins : « C‘est ce qui nous permettra de retrouver le plus vite possible une vie normale ». Mais combien, parmi les alliés de Bill Gates, ont été financés ou ont un lien avec sa fondation [2] ?
Mais attention, toute cette attention
déployée autour de Bill Gates ne doit pas lui donner plus de pouvoir
qu’il n’en a. Et ne braquons pas tous les projecteurs sur lui, pendant
que beaucoup d’autres agissent dans l’ombre à notre détriment (dont Elon
Musk avec ses implants cérébraux et ses 40 000 satellites en cours de
déploiement : lire notre article),
ou en notre faveur. Finalement, qui est-il pour pouvoir décider de
notre sort collectif ? Quelle est sa légitimité pour que nous
obéissions ? C’est à nous de dire non à ses projets. Bien qu’il soit
immensément riche, il n’est ni roi, ni médecin, ni élu.
Par Estelle BrattesaniÀ propos de l’auteureEstelle Brattesani écrit, réalise et interprète la websérie écolo-humoristique Journal d’une Femme-Tambour, qui comme son premier livre Mes 7 Alliés Capitaux incite les spectateurs à penser par eux-mêmes et à agir pour leur bien-être, celui des autres et de toute forme de vie. Elle réalise également des reportages et des vidéos de communication en lien avec l’éthique, l’écologie et le développement personnel. (Cf. Profil LinkedIn et sa chaîne YouTube)
Source : https://www.nexus.fr/actualite/technoscience/billy-the-king/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire