mercredi 20 mai 2020

La « stratégie du choc » PLANdémique : comment défendre nos libertés ?


par Luc-Laurent Salvador (son site)
mardi 19 mai 2020

Ce qui suit n’est pas destiné à informer ou à convaincre. Il s'agit seulement de s’accorder sur les grandes lignes de l'effroyable manipulation qui s'est dessinée sous nos yeux au cours de ces deux mois. Cela, afin de réfléchir à l’organisation d’une résistance citoyenne efficace.
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 Savez-vous combien il y a eu de morts de la grippe en 2017-2018 ? La plupart l’ignorent et n’ont jamais entendu parler de cette saison particulièrement meurtrière puisqu’il y a eu 650.000 morts dans le monde. En 1968, c’était même un million de morts. Qui l’a su, qui s’en souvient ?
 Comment se fait-il alors qu’avec un peu plus de 320.000 décès à ce jour dans le monde, le Covid-19 soit à la une de tous les médias depuis deux mois ? Plus grave, comment se fait-il que la moitié de la planète ait été confinée sous surveillance policière avec privation des libertés les plus élémentaires comme circuler ou se rassembler mais aussi, et surtout, celle qui, pour beaucoup d’entre nous, consiste à travailler pour gagner sa vie ?
 Comment tant de gouvernements ont-ils pu être ainsi disposés à massacrer comme ils l’ont fait la vie économique de leur pays pour une maladie qui n’amène pas une mortalité significativement différente de celle que peut susciter la grippe ? Cela, avec un résultat lamentable dans la mesure où les pays qui n’ont pas confiné leurs populations ont souvent une proportion largement moindre de morts.
 Que l’OMS ait lancé une alerte pandémique ne peut rationnellement justifier les décisions terribles qui ont été prises car a) les dirigeants concernés savent très bien que la misère socio-économique tue bien davantage qu’une forme de grippe, sévère ou pas [1] et b) le confinement ne fait même pas partie des mesures recommandées par l’OMS en cas de pandémie, il s’agit donc d’un coup de force institutionnel sans statut légal.
 Le sentiment que la crise du Covid-19 est artificielle au sens où elle a été planifiée se trouve renforcé par le fait que le Nobel Luc Montagnier, ainsi que d’autres chercheurs, ont jugé que le SARS-CoV-2 a une structure génétique qui ne peut pas être d’origine naturelle et que, pour quelque raison que ce soit, il s’agit d’un « artefact », c’est-à-dire, d’un organisme fabriqué par l’homme.
 Il est probable que nous soyons face à une « plandémie ». Ceci peut seul expliquer la disposition des gouvernements, des organismes internationaux à agir de concert comme ils l’ont fait dès le signal donné par l’OMS et en l’absence de données susceptibles de justifier de telles mesures : ils y étaient préparés, notamment par l’entremise de la fondation Bill & Melinda Gates qui, grâce à ses financements généreux, a dorénavant la haute main sur l’OMS. La veule soumission des médias aux puissances d’argent a fait le reste, en propageant jour après jour, bulletin après bulletin, la peur qui règne à présent dans les esprits ainsi qu’un misérable fact-checking qui corrige, il est vrai, certains excès mais sert avant tout à remiser les antivaccins à l’asile des « cerveaux malades » atteints de complotisme.
 Gates ne fait pourtant pas mystère de ses projets : il veut vacciner le monde entier pour arrêter le SARS-CoV-2 et instaurer un dispositif de surveillance de notre statut sérologique (vacciné ou pas, immunisé ou pas) qui permettrait de nous suivre à la trace — grâce à la 5G notamment, dont le haut-débit et l’omniprésence des antennes sont parfaits pour cette tâche.
 La cerise sur ce gâteau est que les chercheurs savent déjà parfaitement que le coronavirus mute sans cesse — comme quasiment tous les virus à ARN. C’est pourquoi il est peu immunisant, de sorte que nous pouvons attraper un « coup de froid » à coronavirus chaque hiver. Si vaccin il y a un jour — on attend encore celui contre le VIH promis il y a trente ans — ce sera « au mieux », comme pour la grippe, une vaccination annuelle, un peu au gré du vent, c’est-à-dire, au hasard, sans garantie de protection (et avec toutes garanties d’effets adverses plus ou moins marqués).
 Mais le pire de tout ça c’est que la vaccination, même inefficace comme le vaccin de la grippe, même sanitairement risquée en raison des adjuvants, revêtira alors un caractère obligatoire comme cela avait été prévu déjà en 2009 lors de l’épisode H1N1 — raison pour laquelle l’Etat avait acheté 95 millions de doses (pour toute la population et les étrangers présents sur le territoire national). Il était prévu que l’armée intervienne en porte à porte mais le faible impact de l’épidémie a rendu la chose indéfendable au regard de l’opinion publique.[2]
 Nous ne sommes plus dans ce cas de figure. L’annonce d’un état de guerre, le confinement et le battage médiatique autour du coronavirus ont répandu la peur et nombre de nos concitoyens seront disposés, heureux et soulagés d’aller se faire vacciner puis « marquer » d'une manière ou d'une autre comme « non contaminants » afin d’apparaître physiologiquement et socialement corrects, exactement comme cela est fait en Chine.
 Ils pourront se déplacer librement, accéder aux commerces, aller au travail, voyager, etc. Quant aux opposants... exactement comme en Chine, on peut imaginer le pire !
 Quoi qu’il soit, face à l’ampleur de ce qui est en train de se dérouler, il importe de résister autant qu’il nous est possible. Cela sans s’illusionner sur le délai de réflexion dont nous disposons. Si nous ne réagissons pas maintenant, cette dystopie orwellienne du Covid-19(84) qui s’avance sur l’horizon sera bientôt inéluctable tant les puissances financières qui la promeuvent sont colossales et ont établi, via les médias [3] une emprise irrésistible sur les masses. Comme disait l’autre enfoiré : "le changement c’est maintenant" et, malheureusement, c’est vrai car nous avons changé de monde, une bascule s’est faite. Elle s’entend tous les jours à la radio dans les paroles des auditeurs : la peur et la confusion sont devenus les deux visages du nouvel attracteur qui va mener ses particules élémentaires à la servitude et, plus exactement, à l’esclavage au sein d’un « parc humain » où, tel du bétail, nous serons totalement dépendants : (piteusement) nourris, vaccinés, tatoués, surveillés et dociles.
 Toute forme de résistance sera la bienvenue. Il s’en invente tous les jours et vous y avez peut-être déjà participé d’une manière ou d’une autre. Mais nous n’avons aucune chance de succès à terme si nous ne sommes pas coordonnés. Nous avons chacun nos idées, les nombreux lanceurs d’alerte nous offrent des pistes intéressantes mais laquelle allons-nous suivre ? Il importe de se poser la question et d’en débattre avant de s’y engager car si nous ne marchons pas de concert, il est douteux que nous allions bien loin, n’est-ce pas ?
 C’est la puissance du collectif qui permet de surmonter les obstacles innombrables qui ne manqueront pas de se présenter. Autrement dit, sans du tout s’interdire un activisme réactif toujours bienvenu quand il n’est pas exclusif, la première chose à faire est, probablement, de nous mettre d’accord sur ce qu’il est non seulement possible mais, surtout souhaitable et utile de faire si nous voulons déjouer les plans de la tyrannie qui vient.
 Il s’agirait donc avant tout que les opposants au « Corona World Order » puissent se rassembler et échanger afin de voir par quels moyens organiser une résistance digne de ce nom et, même, à terme, viser la victoire.
 Les réseaux sociaux ne manquent pas mais ils font partie du problème, c’est pourquoi je propose de se retrouver à l’écart des GAFAM et de leur censure dans un « espace de discussion civilisée » entièrement aménageable. Il s’agit du site de débat réunionnais Ronkozé basé sur l’outil Discourse dans lequel chacun peut parler de ce qu’il veut et où ceux qui entendent résister au projet mondialiste peuvent échanger et commencer à organiser une résistance. Pour le moment, c’est juste un point de rencontre possible dans lequel j’ai disposé quelques minuscules jalons et où tout reste à faire. A votre bon cœur M’sieurs Dames ! Il sera ce que nous en ferons et, si nous sommes nombreux à apporter notre pierre, il pourra avoir belle allure et devenir, par exemple, un QG, au moins provisoire, ou un sas d’entrée pour ceux dont les valeurs disposent au choix de la pilule rouge mais qui ne l’ont pas encore avalées. Enfin, si les forces du panurgisme l’emportent, sans doute pourra-t-il rester comme le témoin de nos efforts.
 Si vous n’êtes pas d’ores et déjà dominés par l’envie de retrouver les confortables et tentantes habitudes de pensée de la masse — qui « s’en lave les mains » car elle croit encore que ses gouvernants veillent sincèrement et suffisamment à l’intérêt public ou la santé publique ; si, comme moi, malgré les innombrables échecs passés de mouvements citoyens courageux, vous avez encore l’espoir qu’une résistance bien organisée puisse faire dérailler le projet orwellien qui vient de surgir sur le devant de la scène, alors parlons-en, ici même, bien sûr, puis sur Ronkozé ou ailleurs si vous avez mieux à proposer mais, quoi qu’il en soit, parlons puis agissons, sans tarder.

Luc-Laurent Salvador
 
[1] Voir par exemple Paris Match ou cet article scientifique.
[2] C’est Jean-Jacques Crèvecoeur qui relate ces faits dans son entretien Décryptage excellent de bout en bout (hormis les interventions de l’interviewer).
[3] Ainsi qu’avec les meilleurs hommes que l’argent puisse acheter mis aux places stratégiques (Fauci à la tête de la santé étazunienne, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS et homme de paille de Gates, Ferguson le statisticien qui a échoué dans toutes ses prédictions).

 Source :  https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-strategie-du-choc-plandemique-224525

L'auteur 

Luc-Laurent Salvador
 
Candide revenu de bien des choses auxquelles j'avais cru, je crois à présent que nous avons surtout des croyances, certaines plus solides que d'autres, et toute la tâche est de bien croire, cad, de se tourner puis avancer vers...
 a) la réalité du monde, que nous construisons bien davantage que nous ne le découvrons comme...
 b) la réalité qui nous dépasse et donne son sens ultime à nos vies en les ouvrant à la possibilité de la paix et de l'amour.
Ceci suppose la capacité essentielle de reconnaître que l'on est dans l'erreur, éventuellement dans la faute.
Sous ce rapport, le modèle christique appréhendé dans le contexte de l'anthropologie girardienne me paraît fondamental pour comprendre la tâche qui est la nôtre et qui, tel que je le comprends, consisterait avant tout chose à savoir être responsable, c'est-à-dire enclin à se (re)mettre en cause plutôt qu'à accuser ses semblables.
Plus prosaïquement, la tâche à laquelle je m'attelle particulièrement peut se formuler comme un effort de dégagement de l'unité de toutes choses au travers d'une même nature originelle que l'on pourrait qualifier de cyclique, ondulatoire, vibratoire, oscillante, etc. et qu'on peut penser être tout à la fois notre alpha et notre omega.
Je m'efforce de conceptualiser cela à deux niveaux.
Tout d'abord, au travers d'une psychologie synthétique tournée vers les invariants fonctionnels liés à la nature cyclique de toute organisation, en particulier psychologique.
Ensuite, au travers d'une théorie de la résonance générale qui, basée sur le postulat d'inspiration piagétienne selon lequel tout être est à concevoir comme organisation de nature cyclique, postule un univers manifesté et mû par une dynamique invariante ou universelle d'accrochage de cycles, et cela, "du (micro)physique au politique". C'est ici que, me semble-t-il, Darwin, Piaget, Girard, Krishnamurti et tout le champ de la spiritualité pourraient être réunis.
Mais il reste tant à faire ;-) !
Pour finir, malgré tout, je précise, qu'en raison de tout ce qui vient d'être indiqué et qui gravite autour de la manière dont nous construisons la réalité "mondaine" que nous faisons nôtre, je fais partie de ceux qui "savent" que dans l'Histoire, les "théories du complot" ont quasiment toujours été le fait des pouvoirs en place. Du point de vue girardien qui fait du sacrifice le lieu originel de l'humain, il est très clair que le mensonge a toujours été le maître du monde et il nous appartient d'être témoins et acteurs de la révélation du mécanisme du bouc émissaire en ne succombant pas à tout propos aux sordides machinations victimaires dont nos médias alignés sont replets et qui, basées sur l'accusation et la diabolisation, incarnent à la perfection la haine qu'elles prétendent voir chez l'autre, l'alien, le monstre... (à suivre)
 
Ancien profil (pour mémoire)________________________________________________
  • Psychologue scolaire et chercheur en psychologie
  •  
  • Fidèle de Darwin, Piaget, Girard, Krishnamurti, etc.
  •  
  • Ecologiste libertaire de la première heure, convaincu que le web social sera l'instrument d'une révolution nécessaire, celle de la déconstruction de l'information et de la construction sociale de la réalité

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